Aushkra Posté(e) 12 novembre 2008 Partager Posté(e) 12 novembre 2008 euh, sinon je me pose une question pour les Lc qui n'ont pas le permis et qui sont ZIL comme moi, vous faites comment????? je galère je pars de chez moi à 6h30 je rentre à 19h j ai eu un remplacement une aprèm une collègue m y a emmené! j'ai de la chance d avoir des collègues super sympathiques! mais sinon je me débrouille comme je peux, ma circonscription est au courant. Bref c'est la galère mais c'est mieux que de rester chez soi et puis faut bien travailler pour se le payer ce foutu permis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
susophili Posté(e) 12 novembre 2008 Partager Posté(e) 12 novembre 2008 "Je refuse d’obéir !" (Lettre d’un instituteur à son inspecteur) même si la (ré)action collective est indispensable, la multiplicité des réactions individuelles nourrit l’action collective. Cette lettre honore son auteur et toute la profession... C...., le 6 novembre 2008 Monsieur l’Inspecteur, Je vous écris cette lettre car aujourd’hui, en conscience, je ne puis plus me taire ! En conscience, je refuse d’obéir. Depuis un an, au nom des indispensables réformes, un processus négatif de déconstruction de Éducation Nationale s’est engagé qui désespère de plus en plus d’enseignants. Dans la plus grande précipitation, sans aucune concertation digne de ce nom, au mépris de l’opinion des enseignants qui sont pourtant les « experts » du quotidien sur le terrain, les annonces médiatiques de « réformes » de l’école se succèdent, suscitant tantôt de l’inquiétude, tantôt de la colère, et surtout beaucoup de désenchantement et de découragement. La méthode est détestable. Elle témoigne de beaucoup de mépris et d’arrogance vis-à-vis de ceux qui sont les premiers concernés. La qualité d’une réforme se juge autant par son contenu que par la façon dont est elle est préparée, expliquée et mise en oeuvre. L’Education Nationale n’est pas l’armée ! Il n’y a pas d’un côté ceux qui décident et d’un autre côté ceux qui exécutent ! L’honneur de notre métier est aussi de faire oeuvre de raison, de critique et de jugement. Aujourd’hui, la coupe est pleine ! Le démantèlement pensé et organisé de l’Education Nationale n’est plus à démontrer tant les mesures décidées et imposées par ce gouvernement l’attestent au grand jour : des milliers de suppressions de postes qui aggravent une situation d’enseignement déjà difficile, la diminution du volume horaire hebdomadaire, la préférence accordée à la semaine de 4 jours, pourtant dénoncée par tous les chronobiologistes, l’alourdissement des programmes scolaires malgré une rhétorique qui prétend le contraire, la suppression des IUFM, la disparition annoncée des RASED alors qu’aucun bilan de leur action n’a été réalisé, la réaffectation dans les classes des enseignants travaillant pour les associations complémentaires de l’école, ce qui mettra à bas grand nombre de projets éducatifs dont l’utilité n’est plus à démontrer, la mise en place d’une agence chargée du remplacement avec l’utilisation de vacataires, la création des EPEP où les parents et les enseignants seront minoritaires dans le Conseil d’Administration, la dévalorisation du métier d’enseignant dans les écoles maternelles et les menaces qui pèsent sur celles-ci, la liste est longue des renoncements, des coupes franches et finalement des mauvais coups portés à notre système éducatif. Sans compter, ce qui m’est le plus insupportable, l’insistance à dénoncer le soit disant « pédagogisme », c’est-à-dire les mouvements pédagogiques qui, depuis des décennies, apportent des réponses innovantes, crédibles, raisonnables à l’échec scolaire. Le démantèlement des fondements de l’Education Nationale est un processus que je ne peux accepter sans réagir. L’objet de ma lettre est de vous informer que je ne participerai pas à ce démantèlement. En conscience, je refuse de me prêter par ma collaboration active ou mon silence complice à la déconstruction d’un système, certes imparfait, mais qui a vocation à éduquer et instruire, à transmettre tout autant un « art de faire » qu’un « art de vivre », en donnant toutes ses chances à chaque élève, sans aucune distinction. 1. Les « nouveaux » programmes constituent une régression sans précédent. Ils tournent le dos à la pédagogie du projet qui permet aux élèves de s’impliquer dans les savoirs, de donner du sens à ce qu’ils font, de trouver des sources de motivation dans leur travail. Cette vision mécaniste et rétrograde des enseignements, qui privilégie l’apprentissage et la mémorisation, va certainement enfoncer les élèves en difficulté et accentuer l’échec scolaire. Ces programmes sont conçus pour pouvoir fournir des résultats « quantifiables, publiables et comparables » Or, « en éducation, tout n’est pas quantifiable, ni même évaluable en termes d’acquisitions immédiatement repérables ». (Philippe Meirieu). Nous sommes bien dans une logique d’entreprise et de libéralisation de l’école. Désormais, les enseignants seront évalués sur les progrès des acquis des élèves, c’est-à-dire sur la progression des résultats chiffrés. C’est notre liberté pédagogique qui est ainsi menacée. Dans la mesure où les programmes de 2002 n’ont fait l’objet d’aucune évaluation sérieuse et que d’autre part nous ne savons toujours pas qui a élaboré et rédigé les programmes 2008, d’ailleurs sans aucune concertation digne de ce nom, nous sommes en présence d’un déni de démocratie et de pédagogie. Pour toutes ces raisons, je considère que ces programmes sont totalement illégitimes. C’est pourquoi en conscience, j’ai décidé de ne pas les appliquer et de continuer à travailler dans l’esprit des programmes de 2002. 2. Tout particulièrement, je refuse de m’inscrire dans la logique d’une « Instruction morale et civique » aux relents passéistes. C’est une insulte faite aux enseignants et aux élèves de penser que l’inscription d’une règle de morale au tableau, apprise par coeur par les élèves, fera changer un tant soit peu leur comportement ! Aujourd’hui, plus que jamais nous avons besoin de mettre en place dans nos classes des dispositifs qui offrent aux élèves la possibilité de se connaître, de se rencontrer, d’échanger, de se respecter. Nous avons besoin d’une éducation au vivre ensemble, car si nous ne le faisons pas, qui le fera ? L’éducation citoyenne est l’un des piliers de l’école pour construire une société ouverte, démocratique et libérée de l’emprise de la violence. La priorité aujourd’hui est d’apprendre aux élèves à se respecter, à réguler positivement les inévitables conflits du quotidien par la parole, la coopération, la médiation. Aujourd’hui, comme hier, en conscience, j’ai fait le choix d’une éducation citoyenne qui permette aux élèves de découvrir leur potentiel créatif et émotionnel au service du mieux vivre ensemble. 3. La réduction du volume horaire de la semaine scolaire de 26h à 24h apporte des bouleversements tels dans l’organisation des écoles, qu’il faut aujourd’hui parler de désorganisation structurelle. Le dispositif d’aide personnalisée pour « les élèves en difficulté » n’est qu’un prétexte démagogique pour supprimer les RASED. Ce dispositif porte un coup fatal à la crédibilité du métier d’enseignant. En effet, de nombreuses expériences pédagogiques d’hier et d’aujourd’hui ont montré et montrent que la difficulté scolaire se traite avec efficacité avec l’ensemble du groupe-classe, dans des dynamiques de coopération, de tutorat, de travail différencié, d’ateliers de besoin, etc. Le dispositif actuel considère que la difficulté doit être traitée de façon « médicale », avec un remède individuel, en dehors de toute motivation et de tout projet de classe. C’est une grave erreur. Ce dispositif est une faute contre l’esprit et la pédagogie. Dès la rentrée, en conscience, je n’appliquerai pas ce dispositif d’aide personnalisée tel qu’il est actuellement organisé. Ces deux heures seront mises à profit pour mener à bien un projet théâtre avec tous les élèves de la classe, répartis en demi-groupe, le mardi et le vendredi de 15h30 à 16h30, ceci avec l’accord des parents. 4. Les stages de remise à niveau pendant les vacances scolaires à destination des élèves de CM1 et CM2 sont eux aussi des dispositifs scandaleux et démagogiques destinés à caresser l’opinion publique dans le sens du poil. Mis en place sous le motif populiste qu’il est anormal que seuls les riches peuvent se payer des heures de soutien scolaire (dixit notre ministre), ces stages dont certains ne seront pas animés par des enseignants, ne règleront en rien l’échec scolaire. Ils sont destinés à appâter les enseignants qui souhaitent effectuer des heures supplémentaires avec bonne conscience, alors que dans le même temps des milliers de postes sont supprimés, aggravant ainsi les conditions de travail dans les écoles. Parce que je respecte profondément les élèves qui ont des difficultés et leurs parents et que je suis persuadé que ce dispositif est néfaste, je continuerai à refuser de transmettre des listes d’élèves pour les stages de remise à niveau. 5. La loi sur le service minimum d’accueil dans les écoles les jours de grève n’est pas autre chose qu’une loi de remise en question des modalités d’application du droit de grève. Il est demandé aux enseignants de se déclarer gréviste 48h avant la grève afin que ce service minimum d’accueil puisse se mettre en place. Ce qui signifie clairement que les enseignants doivent collaborer à la remise en cause du droit de grève ! On ne saurait être plus cynique ! La commune de Colomiers ayant décidé de ne pas organiser ce service minimum d’accueil les jours de grève, il devient inutile de se déclarer 48h avant. En conscience, je ne me déclarerai pas gréviste à l’administration et j’informerai les parents trois jours avant de mon intention de faire grève. Dans son dernier ouvrage, « Pédagogie : le devoir de résister », Philippe Meirieu écrit : « Nous avons le devoir de résister : résister, à notre échelle et partout où c’est possible, à tout ce qui humilie, assujettit et sépare. Pour transmettre ce qui grandit, libère et réunit. Notre liberté pédagogique, c’est celle de la pédagogie de la liberté. […] Nous n’avons rien à lâcher sur ces principes pédagogiques. Car ils ne relèvent pas de choix passagers de majorités politiques, mais bien de ce qui fonde, en deçà de toutes les circulaires et de toutes les réformes, le métier de professeur dans une société démocratique. Et devant les errances de la modernité, le professeur n’a rien à rabattre de ses ambitions, bien au contraire… Face à la dictature de l’immédiateté, il doit travailler sur la temporalité. Quand, partout, on exalte la pulsion, il doit permettre l’émergence du désir. Contre les rapports de force institués, il doit promouvoir la recherche de la vérité et du bien commun. Pour contrecarrer la marchandisation de notre monde, il doit défendre le partage de la culture. Afin d’éviter la sélection par l’échec, il doit incarner l’exigence pour tous. Personne ne prétend que la tâche est facile. Elle requiert détermination et inventivité. Echanges, solidarité et travail en équipe. Elle exige du courage. Et la force de nager à contre-courant. Il ne faut pas avoir peur de la marginalité. Car, plus que jamais et selon la belle formule de Jean-Luc Godard, « c’est la marge qui tient la page. » » Si aujourd’hui je décide d’entrer en résistance et même en désobéissance, c’est parnécessité. Pour faire ce métier, il est important de le faire avec conviction et motivation. Aujourd’hui, c’est parce que je ne pourrais plus concilier liberté pédagogique, plaisir d’enseigner et esprit de responsabilité qu’il est de mon devoir de refuser d’appliquer ces mesures que je dénonce. Je fais ce choix en pleine connaissance des risques que je prends, mais surtout dans l’espérance que cette résistance portera ces fruits. J’espère que, collectivement, nous empêcherons la mise en oeuvre de ces prétendues réformes. Cette action est une action constructive car dans le même temps il s’agit aussi de mettre en place des alternatives pédagogiques concrètes, raisonnables et efficaces. Monsieur l’Inspecteur, vous l’avez compris, cette lettre n’est pas dirigée contre vous, ni votre fonction, mais je me dois de vous l’adresser et de la faire connaître. Le propre de l’esprit responsable est d’agir à visage découvert, sans faux-fuyant, en assumant les risques inhérents à cette action. C’est ce que je fais aujourd’hui. Je vous prie de recevoir, Monsieur l’Inspecteur, l’assurance de mes sentiments déterminés et respectueux. Alain R. Professeur des écoles Ecole Jules Ferry, C.... Lettre adressée à Mr l’Inspecteur de l’Education Nationale de .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
titejulie56 Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 il n'y a plus personne? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Douceuramere Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 il n'y a plus personne? si si...mais c'est vrai que depuis les appels...les commentaires se font rares... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
babylol Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 salut je ne poste jamais mais je viens vous lire quasiment ts les jours. je suis 166 sur la LC à l'origine, puis 164 et maintenant 124 avec très peu d'espoirs.... mais félicitation à tous ceux qui ont été appelés! je donnerai n'importe quoi pour connaître ce bonheur un jour! je travaille en tant qu'animatrice périscolaire dans une école maternelle à valenciennes et aujourd'hui une instit était absente et elle n'a pas été remplacée alors je me dis qu'il manque encore un peu de monde! en fait j'essaye juste de trouver un peu d'espoir même là où il n'y en a pas! lol est-ce que vous avez vu la maquette du nouveau concours pour 2010! c'est effrayant! j'espère vraiment qu'on sera tous appelés cette année...je vais croiser tout ce que je peux pour ça lol (quitte à devenir contorsionniste lol) sinon c'est vrai que l'ambiance est retombée... mais il faut continuer à aller aux renseignements est-ce que vous allez participer à la grève du 20 novembre? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
francolequesnoy Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 Hello, pour ceux qui galèrent avec leurs moyens, moi j'ai une classe de ps ms et je m'éclate, je fais toutes mes activités à partir d'un album et je fais 2 ateliers maximum pour éviter les pbs de gestion et ça marche très bien comme ça ils ont du travail tout au long de la journée sans les saouler et de toute façon après la récré de l'aprem on ne peut plus rien en tirer des enfants, donc puzzles, chants et écoute. Moi ma hantise c'était de ne pas savoir bien gérer et de ne pas savoir quoi leur proposer et ben ça marche comme sur des roulettes pour le moment, pourtant j'arrive à continuer mes loisirs normalement, question d'organisation. Donc no panic faites ce que vous pouvez visez bien mais pas trop haut au départ vis-à-vis de vous même, ce n'est que le début. Au fait est-ce qu'on est visités par des conseillers péda en tant que brigades lc??? tôt ou tard dans l'année??? Bonne soirée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
Cile59 Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 C'est super pour toi francolequesnoy! Oui, on va avoir la visite de conseillers péda, voir même de l'inspecteur (mais pas inspecté, juste pour voir) dans l'année. moi, ils m'ont dit que ça serait très rapidement (justement pour nous aider, nous conseiller au départ, c'est là qu'on en a le plus besoin). Ca y est, dernière journée d'observation demain dans mon école de ratachement puis jserais vraiment dans le bain!! J'ai encore peur mais j'ai amassé toutes les infos que jpouvais, et j'ai préparé quelques cours dans plusieurs niveaux. J'espère que ça ira. Le plus dur c'est la route: jpars à 7h15 du mat pour 8h30 (jarrive à 8h15), et le soir je rentre à passé 18h en sortant de l'école à 16h45! pfu... Enfin...j'ai quand même la chance d'avoir été appelée, et d'avoir uen voiture! Même si j'ai déjà eu un accrochage en début de semaine, mais j'ai juste ma plaque d'immatriculation de tordue. Du coup, jme suis achetée tout de suite un gps, ça m'évitera de rentrer à nouveau dans les voitures de devant en regardant mon plan! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
susophili Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 coucou, Sinon la manif du 20 est suivie à 100% dans mon Je suis allée aujourd'hui au colloque du SNUipp sur le rythme de l'enfant et le rythme scolaire. Pour faire un petit résumé, la vigilance maximale des enfants se trouve après la récré de 10h et après celle de 15h. Bien entendu, la semaine de 4 jours est une véritable catastrophe au niveau du rythme de l'enfant. Pour les infos LC, ils nous ont dit qqu'il y avait encore 140 classes sans prof. Une deuxième vague serait alors logique mais pas avant décembre-janvier. Maintenant, leur crainte est la suivante: encore une fois un mauvais coup du ministère qui ferait trainer le recrutement pour mettre en place en Janvier les premières brides de l'agence de remplacement, car en effet, celle-ci est prévue dans le budget 2009. Le mot d'ordre reste encore et toujours l'attente!! Il faut continuer à appeler régulièrement les syndicats. école donc ECOLE FERMEE !!!! Il faut être un maximum de LC !!! Courage à tous et il faut faire revivre le forum!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
susophili Posté(e) 13 novembre 2008 Partager Posté(e) 13 novembre 2008 PETITE CORRECTION coucou, Je suis allée aujourd'hui au colloque du SNUipp sur le rythme de l'enfant et le rythme scolaire. Pour faire un petit résumé, la vigilance maximale des enfants se trouve après la récré de 10h et après celle de 15h. Bien entendu, la semaine de 4 jours est une véritable catastrophe au niveau du rythme de l'enfant. Pour les infos LC, ils nous ont dit qu'il y avait encore 140 classes sans prof. Une deuxième vague serait alors logique mais pas avant décembre-janvier. Maintenant, leur crainte est la suivante: encore une fois un mauvais coup du ministère qui ferait trainer le recrutement pour mettre en place en Janvier les premières brides de l'agence de remplacement, car en effet, celle-ci est prévue dans le budget 2009. Le mot d'ordre reste encore et toujours l'attente!! Il faut continuer à appeler régulièrement les syndicats. Sinon la manif du 20 est suivie à 100% dans mon école donc ECOLE FERMEE !!!! Il faut être un maximum de LC !!! Courage à tous et il faut faire revivre le forum!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
TooN Posté(e) 14 novembre 2008 Partager Posté(e) 14 novembre 2008 C'est marrant dans ma clis c'est à ces heures qu'ils sont les plus énervés -.- Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
pika59 Posté(e) 14 novembre 2008 Partager Posté(e) 14 novembre 2008 bonjour à tous, comme vous savez le 20 novembre grève nationale... Il nous faut se mobiliser pour tenter de freiner ce gouvernement qui aime décidement les réformes !! manifestation à Lille jeudi 20 novembre porte de Paris 14h Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
coockie Posté(e) 14 novembre 2008 Partager Posté(e) 14 novembre 2008 Bonjour à tous! Ca y est, je RE stress! J'ai réussi à lâcher la pression quelques jours, mais là, j'ai pas fermé l'oeil de la nuit à réfléchir à tout ça! Est ce que quelqu'un sait où on pourrait avoir une info officielle par rapport à cette agence de remplaçants? On nous avait dit que pour le primaire ça ne commençait pas avant la rentrée 2009, mais apparemment ce n'est pas sur... Ca serait bien qu'on le sache. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'outils de partage
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