Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

salut,

est-ce que quelqu'un sait si le nombre de PE sans poste a diminué?

  • Réponses 594
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • Maoria

    96

  • Nell92

    84

  • Zarko

    71

  • elsa83

    59

Membres les plus actifs

Posté(e)

Midi libre d'aujourd'hui

1047_W101JEU.jpg

Nimes.ÉducationTrente-deux enseignants sur le carreau

LES FAITS : Hier, le syndicat Snudi-FO a manifesté à l'inspection académique

Généralement, en période de rentrée scolaire, les syndicats et les parents d'élèves manifestent pour dénoncer les classes surchargées. Cette année, le problème est inversé : ce ne sont plus les élèves qui manquent d'enseignants mais des professeurs d'école qui se retrouvent sans écoliers ! Ils étaient 48 en début d'année scolaire, ils sont encore 32.

La situation peut sembler paradoxale dans un département en pleine explosion démographique, où les classes sont souvent surchargées. Le Snudi-FO, principal syndicat enseignant dans le premier degré, tire la sonnette d'alarme. Hier matin, Pascal Gasquet, secrétaire départemental, accompagné d'une poignée de manifestants, a déployé deux banderoles devant l'inspection académique.

Si la manifestation n'avait pas - et de loin - l'ampleur des mouvements de l'an passé, elle révèle néanmoins un malaise persistant dans l'Éducation nationale : ces enseignants en surnombre sont reclassés dans des écoles en attendant mieux - une affectation -, mais ne peuvent pas mener de projets pédagogiques au long terme. « Ils sont enseignants titulaires mais n'ont pas d'affectation, déclare Pascal Gasquet. On les place dans des écoles pour effectuer des tâches diverses, des remplacements, du soutien, mais aussi de la surveillance. Tout cela alors que les classes de maternelle sont surchargées. C'est aberrant ! » Rue Rouget-de-Lisle, le nouvel inspecteur d'académie, en poste depuis une semaine, ne s'alarme pas et s'explique. « Je ne peux pas revoir la carte scolaire en cours d'année, mais ce chiffre va fondre, affirme Jean Guttierrez. Il y a toujours du mouvement dans les écoles, des enseignants qui partent en disponibilité et qu'il faut remplacer... » « Normalement, la situation se règle dans les premiers jours de rentrée. C'est inédit », répond Fabienne Fourcade, trésorière nationale du Snudi-FO, sceptique sur les propos de l'inspecteur : « Comment et où va-t-on reclasser trente enseignants avant Noël ? » Le syndicat Snudi-Fo n'en démord pas : « Il y a non-respect du statut de la fonction publique. » Le syndicat espère des réponses concrètes. Il se dit prêt à en référer au préfet si la situation n'évoluait pas au cours de ce trimestre.

Agathe BEAUDOUIN

http://www.midilibre.com/articles/2009/10/...eau-949959.php5

Posté(e)

J'ai téléphoné au SE hier, il y a 24 ou 25 personnes devant moi !

Et puis petit soucis : pour "régulariser" la situation à la MGEN (qu'il y a-t-il à régulariser mis à part une adresse postale, franchement ça me :mad: ) je dois leur envoyer mon PV d'installation ... que je n'ai pas !!

Posté(e)

Demain matin CAPD !

Ma directrice veut me garder car une collègue est (et sera) très souvent absente, moi j'aimerais bien, on a essayé de joindre Mme Brissac

mais elle ne répond pas.

De toute manière je remplace la-dite collègue jusqu'aux vacances !

Posté(e)

DU JAMAIS VU SUR LE DEPARTEMENT:

26 ENSEIGNANTS SUR LE CARREAU

...et le statut des 3500 autres menacé !

A travers la situation des 26 enseignants toujours sans affectation dans le Gard, c’est le statut de nous tous, enseignants du premier degré qui est remis en cause.

Comme nous l'avons fait remarquer à l'IA, lors de l'audience dont vous pourrez lire le compte-rendu dans ce journal,le nombre inédit de collègues sans affectation est mathématiquement généré par la politique gouvernementale de suppression massive de postes dans l'Education Nationale, comme d'ailleurs, dans toute la fonction publique.

Quelle honte, empêcher des enseignants d'enseigner alors que les besoins sont là, dans nos écoles : classes surchargées, pénurie de remplaçants et de maîtres spécialisés !

Et l’IA nous apprend, lors de la CAPD du 16 octobre, qu'en application des décrets sur la mastérisation, 254 étudiants vont prendre nos classes en observation au mois de novembre et en responsabilité au mois de mai alors que, dans le même temps, l'on répond aux collègues qui attendent, souvent depuis des années, un ineat dans notre département, qu'ils ne pourront pas rejoindre leur conjoint, leurs enfants tant qu'il y aura des «surnombres».

Et ce sont 16 000 emplois et 9182 postes de stagiaires dans le premier degré qui doivent être supprimés l'année prochaine.

Est-ce là la réponse ministérielle au désespoir de ces collègues ?

N'a-t-on pas suffisamment de tristes exemples des conséquences du désespoir au travail ?

Mais les réformes gouvernementales devraient passer coûte que coûte, avec, pour unique point de mire, la disparition de notre statut. Nous en voyons ici les prémisses :

atteinte au droit à affectation (pour les «sans poste»)

atteinte au droit de mutation (au niveau interdépartemental pour les collègues demandant un ineat mais aussi à l’intérieur du département avec la modification de notre mouvement)

atteinte au droit au salaire (les «sans poste» ne toucheraient qu'un acompte)

introduction de personnel sans statut dans les écoles (des étudiants)

le SNUDI FO du Gard a été reçu en audience par l’IA le 7 octobre,

le SNUDI FO national a été reçu en audience au ministère le 15 octobre :

l’IA annonce à la CAPD du 16 octobre qu’il a fait en sorte que les « sans poste »

puissent toucher un salaire en leur donnant… « une affectation fictive » !

Deux postes de BD « oubliés » ont été « retrouvés » par l’administration et ainsi

2 collègues « sans poste » ont pu être affectés !

L’UD FO avec le SNUDI FO seront reçus en audience par le Préfet le 2 novembre.

Signez et faites signer massivement la pétition.

SNUDI FO, 5 rue Bridaine 30 000 Nîmes, tel/fax : 04 66 67 79 99, snudi-fo.30@laposte.net ,

http://30.fo-snudi.fr

Suite au rassemblement des collègues « sans poste » ou « en attente d'ineat » devant l'Inspection Académique le mercredi 7 octobre à 10h30, une délégation composée de Béatrice Lafon et Pascal Gasquet pour le SNUDI FO et de trois collègues a été reçue par l’Inspecteur d’Académie, L’IEN adjoint à l’Inspecteur d’Académie et le Secrétaire Général de l’Inspection Académique.

Le SNUDI FO a bien rappelé à l’IA que le rassemblement et l’audience avaient été organisés suite à la réunion que nous avions organisée avec des collègues « sans affectation » et d’autres en attente d’ineat. Ceux-ci avaient lancé un appel que nous avions relayé sous la forme d’une pétition. En une semaine, c’est une centaine de signatures que nous avons recueillies, aussi bien d’enseignants que de parents d’élèves. Cette situation et la mobilisation qui lui correspond ne constituent pas une « exception gardoise » : à travers la France, des centaines d’enseignants se retrouvent

sans poste à cette rentrée, 32 à ce jour sur notre département.

Même si l’administration départementale a essayé de les préserver « géographiquement » en les plaçant en surnombre dans une école proche de leur domicile, il n’en demeure pas moins que ces collègues ont l’impression de jouer « les bonnes à tout faire ». Leur situation est en totale contradiction avec leurs droits statutaires : l’article 12 du chapitre III de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 prévoit bien que chaque fonctionnaire a droit à une affectation sur un poste correspondant à son grade.

L’IA estime que cette situation va vite se résorber et qu’il ne devrait plus y avoir de collègues sans affectation d’ici la fin de l’année civile. En tout état de cause, il préfère avoir des surnombres que des postes vacants. Il nous indique aussi que, pour lui, au regard du statut, il n’y a aucun problème dans la mesure où ils ont bien une affectation… dans le Gard !

Le SNUDI FO a indiqué que cette situation de collègues en surnombre, « empêchés » d’enseigner, est totalement inacceptable, y compris aux yeux des parents d’élève, qui constatent, comme nous, les besoins dans les écoles : classes surchargées, manque de remplaçants alors que nous ne sommes que début octobre, démantèlement des RASED….

Nous avons eu droit, en cette rentrée, à un simulacre de CTPD, l’IA n’ayant

répondu à aucun des dossiers que nous lui avons présenté et n’ayant opéré aucune ouverture de classes. Notre département est réellement sinistré en terme de carte scolaire.

Le SNUDIFO a donné une liste détaillée des besoins précis qui nous sont remontés en une semaine de plusieurs écoles, de quoi créer déjà plus de 20 postes, sans compter les besoins au niveau du remplacement.

L’IA nous indique qu’il ne peut refaire la carte scolaire au mois d’octobre mais que ces problèmes lui sont apparus dès qu’il a pris ses fonctions. Il a, aussitôt, adressé un courrier au Recteur et a demandé la venue d’Inspecteurs Généraux en vue d’un audit sur la gestion des emplois dans le premier degré.

Posté(e)

Des nouvelles? Y-a-t-il encore des sans-postes? C'est juste incroyable que cette affaire ne fasse pas scandale!! Certaines classes (notamment en maternelle) sont surchargées et à côté de ça des enseignants attendent avec envie d'avoir enfin une classe! C'est de plus grotesque du côté financier, car que ces profs soient en surnuméraire ou en poste d'ouverture de classe, l'éducation nationale leur verse quand même un salaire (et encore heureux tout de même!)

Bon courage à ceux qui sont encore et toujours dans l'attente...

Posté(e)

et oui,toujours sans poste et je ne suis pas prête d être appelée car je suis la dernière de la liste.c est vraiment scandaleux,je remplace de plus en plus de personnes dans mon école dc souvent j arrive à 8h30 et on me dit de prendre la classe d une collègue.je prépare des choses avec les autres collègues pour rien.j ai l impression que je fais mal mon boulot même si je sais que je n y suis pour rien.c est quand même pas normal ce qui se passe

Posté(e)

En effet perrine06, ne te démoralise pas tu n'y es absolument pour rien. Comment veux-tu travailler dans de bonnes conditions alors que finalement tu n'as pas de travail (et oui puisque tu n'as pas de classe!)? Et puis où est la motivation dans tout cela? Franchement tous ceux qui sont motivés et qui sont dans ton cas et bien je leur tire mon chapeau! Allez courage, ça ne va pas durer (même si je disais ça à la rentrée...).

C'est vraiment honteux, je ne le dirais jamais assez.

Posté(e)

Il semblerait que l'IA ait annoncé que tous les sans-postes soient affectés d'ici le 31 décembre.

Posté(e)

pour les PE qui entrent dans le gard, avez-vous régularisé votre situation auprès de la mgen ou non?

pour ma part, j'ai bien reçu le courrier, mais n'ayant pas de pv d'installation je n'ai rien renvoyé pour l'instant.

et les T2 avez-vous des news en ce qui concerne l'inspection?

est-ce que vous savez si la liste a baissé des "sans poste"? des collègues à moi dans le Vaucluse ont été nommés, mais dans le gard je ne sais pas si on a avancé.

++

Posté(e)

Moi je n'ai rien envoyé et mes médicaments sont partis comme d'hab ...

Nouvelles de la directrice :

une bonne dizaine de MAD sont affectés jusqu'au 27 janvier, Mme Brissac a dit que normalement, jusqu'à cette date

je serai encore dans mon école

Moi je suis :D:D:D car c'est près de la maison, je remplace occasionnellement ma collègue-qui-déprime-sur-son-poste

(15 avant les vacances, 15 jours maintenant :sleep: ) en maternelle ....

(j'veux bien y rester dans cette école moi ...)

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...