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Thème 3


vik

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Toujours en rapport avec le sujet du jour, voici les questions pour ceux qui veulent tenter d'y répondre

1) Comment définissez-vous la violence?

2) Quelles sont les différentes formes de violence?

3) Quelles sont les causes de la violence?

4) Quels remèdes pédagogiques à la violence?

5) Faut-il "sanctuariser" l'école?

6) Les enfants sont-ils moins violents en maternelle qu'en primaire?

7) La violence des élèves est-elle une réaction de légitime défense?

8) Face à la violence, faut-il privilégier la prévention ou la répression?

9) Y a-t-il violence dans l'acte éducatif?

10) L'instruction morale et civique vise-t-elle à lutter contre la violence?

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1) Comment définissez-vous la violence?

C'est une atteinte à l'intégrité de la personne.

2) Quelles sont les différentes formes de violence?

-physique, verbale, morale (ignorance), symbolique (institutionnelle)

-objective (par rapport à une loi), subjectiv (selon notre sensiblité)

3) Quelles sont les causes de la violence?

- économique et sociale

- pulsions agressives

- les médias

- le langage déficient

- la crise de l'autorité

- l'école, l'échec scolaire

4) Quels remèdes pédagogiques à la violence?

- favoriser le dialogue, le théâtre pour évacuer, pour s'exprimer autrement que par la violence

- favoriser le partenariat école / parents

- donner des responsabilités à l'élève

- favoriser le travail en équipe des enseignants

- en éducation civique, construire des règles de vie

5) Faut-il "sanctuariser" l'école?

Sanctuariser l'école, c'est fermer l'école à la violence, pour dissuader les 'violenteurs' d'y entrer, sous peine d'une sanction.

Oui: pour écarter la violence et protéger les élèves et les enseignants, ils doivent se sentir en sécurité. (Mr Sarkozy veut sanctuariser l'école, en mars 2009, Darcos et Alliot Marie en avril 2009.)

Non: Parce que pour certains, sanctuariser l'école, c'est "l'ouvrir à l'incivilité", l'école se referme sur elle même, et exclut la ville.

6) Les enfants sont-ils moins violents en maternelle qu'en primaire?

Je ne crois pas!

7) La violence des élèves est-elle une réaction de légitime défense?

oui, quand ils n'ont pas d'autres moyens de communication, ou quand ils sont influenéc par ce qu'ils voient dans leur environnement.

8) Face à la violence, faut-il privilégier la prévention ou la répression?

la prévention (règles de vie, réglement de l'école, instruction civique et morale, conseil de classe coopératif de Freinet)

9) Y a-t-il violence dans l'acte éducatif?

Oui, parce que l'élève est face à un nouveau savoir et doit remettre ses conceptions en question.

10) L'instruction morale et civique vise-t-elle à lutter contre la violence?oui, en construisant les règles de vie, en discutant de cas de violence (vu à la télé ou autres)

Y'a des questions pas évidentes!

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1) Comment définissez-vous la violence?

C'est une atteinte à l'intégrité de la personne.

2) Quelles sont les différentes formes de violence?

-physique, verbale, morale (ignorance), symbolique (institutionnelle)

-objective (par rapport à une loi), subjectiv (selon notre sensiblité)

- d'ordre hiérarchique

3) Quelles sont les causes de la violence?

- économique et sociale

- pulsions agressives

- les médias

- le langage déficient

- la crise de l'autorité

- l'école, l'échec scolaire

- massification, mauvaise gestion de l'immigration, changement du statut de prof., valeurs différentes, perte de repères, responsabilité des parents, etc..

4) Quels remèdes pédagogiques à la violence?

- favoriser le dialogue, le théâtre pour évacuer, pour s'exprimer autrement que par la violence

- favoriser le partenariat école / parents

- donner des responsabilités à l'élève

- favoriser le travail en équipe des enseignants

- en éducation civique, construire des règles de vie

plus d'autonomie, lutter contre l'echec: PPRE,différenciation pédagogique, école pour tous: projets d'école, CEL, PAC;

5) Faut-il "sanctuariser" l'école?

Sanctuariser l'école, c'est fermer l'école à la violence, pour dissuader les 'violenteurs' d'y entrer, sous peine d'une sanction.

Oui: pour écarter la violence et protéger les élèves et les enseignants, ils doivent se sentir en sécurité. (Mr Sarkozy veut sanctuariser l'école, en mars 2009, Darcos et Alliot Marie en avril 2009.)

Non: Parce que pour certains, sanctuariser l'école, c'est "l'ouvrir à l'incivilité", l'école se referme sur elle même, et exclut la ville.

je pense que c'est un mot trop fort qui n'a plus forcément sa place aujourd'hui (suite aux nouvelles pédagogies). Il faut ramener le respect et l'égalité sans hiérarchisation (notion de pouvoir, phénomène du plus fort)

6) Les enfants sont-ils moins violents en maternelle qu'en primaire?

Je ne crois pas!

7) La violence des élèves est-elle une réaction de légitime défense?

oui, quand ils n'ont pas d'autres moyens de communication, ou quand ils sont influenéc par ce qu'ils voient dans leur environnement.

C'est un phéomène bien plus complexe...mal être, loi du plus fort etc...

8) Face à la violence, faut-il privilégier la prévention ou la répression?

la prévention (règles de vie, réglement de l'école, instruction civique et morale, conseil de classe coopératif de Freinet)

9) Y a-t-il violence dans l'acte éducatif?

Oui, parce que l'élève est face à un nouveau savoir et doit remettre ses conceptions en question.

oui, dans la façon d'inculquer ce savoir. (effet pygmalion, groupe ghetto, concurence par classement, humiliation)

10) L'instruction morale et civique vise-t-elle à lutter contre la violence?

oui, en construisant les règles de vie, en discutant de cas de violence (vu à la télé ou autres)

oui les élèves comprennent que leurs actes entrainent des conéquences qu'ils doivent assumer. Cela leur donne des repères qu'ils n'ont pas toujours (bien/mal)

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Pour la question 6, les enfants de maternelle ne s'expriment pas tous très bien et donc ils utilisent plutôt de la violence physique (ils frappent, ils mordent...) Puis en primaire, les enfants maitrisent leur langage et pour la plupart ils reproduisent les gestes ou les paroles qu'ils rencontrent a la maison, a la télé ou encore par influence a l'école. Donc je dirais que les formes de violences sont plus développées en primaire mais cela ne veut pas dire qu'en maternelle il n'y en a pas. Après il n'y a pas de violence plus grave qu'une autre, dans tous les cas celle ci est a bannir car elle rentre dans un processus d'irrespect et de non contrôle de soi.

Enfin c'est ce que je pense ... :blink:

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1) Comment définissez-vous la violence?

C'est une atteinte à l'intégrité de la personne.

Premièrement, il faut signaler que chacun a une sensibilité différente à la violence et qu'il est donc difficile de définir une violence « objective ».

- Prendre en compte « violence objective »: définie par la loi comme crimes et délits et la « violence subjective »: relative à la sensibilité de chaque personne et de chaque époque.

- est légitime tte violence conforme à la loi ou à l'intérêt de celui qui la subit (ex: obliger à aller à l'école, punir un élève qui perturbe la classe, forcer qq1 de malade à manger...)

- Violences et incivilités: ils constituent le gros de la violence ordinaire, elles st l'objet principal des mesures disciplinaires.

- Violence et discipline: pb de discipline ft parti intégrante du fonctionnement de la classe et de l'école (chahut, bavardage)

- Violence et agressivité: potentiel de violence qui s'effectue plus ou moins. Apprendre à maitriser ses pulsions.

2) Quelles sont les différentes formes de violence?

-physique, verbale, morale (ignorance), symbolique (institutionnelle)

-objective (par rapport à une loi), subjectiv (selon notre sensiblité)

- d'ordre hiérarchique

- Violence physique

- Violence verbale

- Violence morale : vise à humilier l'autre, a peut être le silence et l'indifférence aussi

- Violence symbolique ou institutionnelle: passe par le langage et l'image

3) Quelles sont les causes de la violence?

- économique et sociale

- pulsions agressives

- les médias

- le langage déficient

- la crise de l'autorité

- l'école, l'échec scolaire

- massification, mauvaise gestion de l'immigration, changement du statut de prof., valeurs différentes, perte de repères, responsabilité des parents, etc..

- éco et sociales

- naturellement présente en nous: explique violence des enfts en maternelle (mordre, griffer...)

- les médias: spectacle de la violence qu'il offre qui conduit à banaliser la violence et à engendrer des comportements violents

- langage déficient: mettre les « maux » à la place des « mots » lorsqu'on n'a pas les mots pour exprimer sa colère. Violence apparaît comme un moyen d'expression par défaut.

- crise de l'autorité: enfts ss repères, ss interdits. Résulte d'un déficit éducatif.

- l'école: humiliations de la part du PE ou élève en échec qui rejette la faute sur l'école

4) Quels remèdes pédagogiques à la violence?

- favoriser le dialogue, le théâtre pour évacuer, pour s'exprimer autrement que par la violence

- favoriser le partenariat école / parents

- donner des responsabilités à l'élève

- favoriser le travail en équipe des enseignants

- en éducation civique, construire des règles de vie

plus d'autonomie, lutter contre l'echec: PPRE,différenciation pédagogique, école pour tous: projets d'école, CEL, PAC;

- maitriser les langages (les mots guérient les maux) et enrichir ses moyens d'expression (théâtre, musique, écriture, débat)

- donner du sens au travail scolaire et à l'école

- responsabiliser les élèves

- éduquer à la loi (élaboration collective et argumentée des règles de vie de la classe, conseil de classe)

- développer les partenariats (mener une action éducative cohérente)

- travailler en équipe

5) Faut-il "sanctuariser" l'école?

Sanctuariser l'école, c'est fermer l'école à la violence, pour dissuader les 'violenteurs' d'y entrer, sous peine d'une sanction.

Oui: pour écarter la violence et protéger les élèves et les enseignants, ils doivent se sentir en sécurité. (Mr Sarkozy veut sanctuariser l'école, en mars 2009, Darcos et Alliot Marie en avril 2009.)

Non: Parce que pour certains, sanctuariser l'école, c'est "l'ouvrir à l'incivilité", l'école se referme sur elle même, et exclut la ville.

je pense que c'est un mot trop fort qui n'a plus forcément sa place aujourd'hui (suite aux nouvelles pédagogies). Il faut ramener le respect et l'égalité sans hiérarchisation (notion de pouvoir, phénomène du plus fort)

Les risques d'introduction de la violence remettent en cause l'ouverture de l'école. Doit-on pour autant revenir à une école fermée? Ce souci légitime de sécurité ne doit pas empecher l'école d'enrichir son partenariat avec les parents, d'accueillir des intervenants ou de s'ouvrir à la vie du quartier. Entre l'école "caserne " et l'école "où on entre comme dans un moulin", l'école actuelle doit trouver un juste milieu.

6) Les enfants sont-ils moins violents en maternelle qu'en primaire?

Je ne crois pas!

Plus de violence en maternelle car ils ne maitrisent pas le langage, sont égocentriques et n'ont pas encore intégré les règles sociales.

7) La violence des élèves est-elle une réaction de légitime défense?

oui, quand ils n'ont pas d'autres moyens de communication, ou quand ils sont influenéc par ce qu'ils voient dans leur environnement.

C'est un phéomène bien plus complexe...mal être, loi du plus fort etc...

Certes, élèves en échec scolaire retournent cette violence contre une institution qui les met en souffrance. Toutefois, l'école et les PE s'efforcent d'être à leurs services et d'oeuvrer à leur bien être et à leur réussite donc l'école ne doit pas servir de bouc émissaire et ces injustices ne doivent pas servir de prétextes à ce qui relève de la délinquance « pure »

8) Face à la violence, faut-il privilégier la prévention ou la répression?

la prévention (règles de vie, réglement de l'école, instruction civique et morale, conseil de classe coopératif de Freinet)

9) Y a-t-il violence dans l'acte éducatif?

Oui, parce que l'élève est face à un nouveau savoir et doit remettre ses conceptions en question.

oui, dans la façon d'inculquer ce savoir. (effet pygmalion, groupe ghetto, concurence par classement, humiliation)

Il n'y a pas d'apprentissage sans violence. Apprendre c'est remettre en cause ses représentations et ses croyances , c'est être soumis à un conflit socio-cognitif qui brutalise nos certitudes et nos habitudes.

10) L'instruction morale et civique vise-t-elle à lutter contre la violence?

oui, en construisant les règles de vie, en discutant de cas de violence (vu à la télé ou autres)

oui les élèves comprennent que leurs actes entrainent des conéquences qu'ils doivent assumer. Cela leur donne des repères qu'ils n'ont pas toujours (bien/mal)

Oui mais ne peut suffire et ne s'y réduit pas car dans ce cas si plus de violence, plus d'instruction civique et morale. Elle vise surtout à éduquer le citoyen

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