ninie586 Posté(e) 19 juin 2010 Posté(e) 19 juin 2010 Rassemblons nos sujets ici, pour ceux qui sont déjà passés et ceux à venir. Je passe le 28. L'an passé, j'ai eu un sujet sur les "mymos". Un dispositif pour savoir où se trouve les enfants. En 2008, un texte sur une fille qui voulait être prof. Bonne chance et bon courage.
lora4 Posté(e) 21 juin 2010 Posté(e) 21 juin 2010 salut! je suis passé ce matin à Nice, et j'ai eu un sujet sur la lecture que font les parents aux enfants (le soir par exemple) Jury sympa, même si il y a des choses que je n'ai pas compris, je pense que ca s'est pas trop mal passé!! bon courage à tous!
antoniou Posté(e) 21 juin 2010 Posté(e) 21 juin 2010 Bonjour ! Je suis passé ce matin à Bordeaux, et le texte portait sur une représentante de la Deutschmobile... Jury hyper sympa, vraiment rien à redire !
ninie586 Posté(e) 21 juin 2010 Auteur Posté(e) 21 juin 2010 Merci pour ces témoignages. En croisant les doigts en attendant les résultats...
hildegard Posté(e) 21 juin 2010 Posté(e) 21 juin 2010 je suis passé à Dijon: texte sur le "nachhilfeunterricht in Deutschland" Texte pas trop difficile et jury super sympa Le sujet venait de la Deutsche Welle = une Radio allemande.
ninie586 Posté(e) 21 juin 2010 Auteur Posté(e) 21 juin 2010 De quels sites internet ou de quelles revues les textes étaient-ils tirés ? J'ai oublié de noter les références de mes sujets que je viens de retrouver : 2008 : Lehrer werden ? nach Spiegel-Online 11.02.2008 2009 : Kontrolliert von Big Mother nach Stern Heft 2005
antoniou Posté(e) 21 juin 2010 Posté(e) 21 juin 2010 Mon sujet était extrait du Frankfurter Allgemeine Zeitung - 03.12.2009
Delle Posté(e) 21 juin 2010 Posté(e) 21 juin 2010 Pareil, un texte du FAZ, datant quant à lui de janvier 2006.
ninie586 Posté(e) 21 juin 2010 Auteur Posté(e) 21 juin 2010 Pareil, un texte du FAZ, datant quant à lui de janvier 2006. Sur quel thème , STP ? J'espère que le jury était sympa. En principe, pour les langues, les jurys sont assez tolérants. A+
Delle Posté(e) 22 juin 2010 Posté(e) 22 juin 2010 Une Realschule dans laquelle la plupart des élèves n'ont pas l'allemand pour langue maternelle.
aladine Posté(e) 22 juin 2010 Posté(e) 22 juin 2010 Je suis passée sur un article du Spiegel. Le thème c'était "comment éviter les tueries dans les écoles?" (Amoklauf) L'année derniere, un élève avait fait feu sur ses camarades en Allemagne. Moi aussi jury sympa... Ah ils st bien ces jurys allemands! bon courage!
lerocher Posté(e) 23 juin 2010 Posté(e) 23 juin 2010 Moi aussi jury sympa... Ah ils st bien ces jurys allemands! Ouaip ...à part le mien. Je n'ai pas fait et surtout pas parlé allemand depuis 18 ans (mais je me suis préparée à l'épreuve comme j'ai pu). Quand j'ai découvert le texte .... bien plus de 20 lignes. J'ai tout de même réussi à donner les idées de chaque partie et à comprendre le sujet du texte, ce qui était miraculeux pour moi. J'arrive dans la salle : le gars était à mon avis natif allemand (je n'ai pas compris les 4 mots, dont mon nom, dit en allemand : ben oui, il y a un ach dans mon nom et il a dit ar au lieu de ache ) et la nana semblait désespérer par mes phrases et mon vocabulaire. Et pourtant, j'ai fait des efforts. Là où ils n'ont pas été sympas, c'est qu'ils sont restés sur le texte, très complexe, et sur rien d'autre. Ils n'ont pas élargi le sujet à l'école en général. Mon texte était sur la violence dans les collèges allemands et les agents de sécurité. J'ai juste pu caser les 3 filières sur le système scolaire mais rien d'autres. Je suis dégoûtée. Ils n'essayaient même pas de se mettre à mon niveau. Les 10 dernières minutes ont été une torture. Et bien le résultat est le suivant : j'étais contente de mettre remise à l'allemand, je pensais m'en être pas trop mal sortie en apprenant par moi-même pendant cette année et après cette épreuve : je suis dégoûtée de l'allemand. Désolée pour ce message plutôt négatif Mon texte pour ceux qui veulent s'entraîner : Gewalt an Schulen Wachschutz vor einer Berliner Schule. Markus Wächter Wachschutz am Eingang der Röntgen-Realschule und der Richardschule. (avec une photo) Ein sicheres Gefühl Jetzt gibt es Wachschutz an 13 Neuköllner Schulen. Andere Großstädte lehnen das Projekt ab. Nadja Nölting, Anja Schlender und Stefan Strauss Zum ersten Mal in Deutschland werden seit gestern 13 Neuköllner Schulen von 20 Sicherheitsleuten der Bielefelder Wachschutzfirma Germania bewacht. Bis zum Sommer 2008 zahlt der Bezirk 200 000 Euro für das Projekt. Zehn weitere Schulen stehen auf der Warteliste. Die Wachschützer sollen verhindern, dass schulfremde Personen das Schulgelände betreten. Nur so, sagt Bezirksbürgermeister Heinz Buschkowsky (SPD) könne er Sicherheit noch gewährleisten. 56 Mal prügelten in den vergangenen zwei Jahren an Neuköllner Schulen Schulfremde auf Schüler und Lehrer ein. Der erste Tag mit Wachsschutz verlief unspektakulär. An der Otto-Hahn-Gesamtschule in der Buschkrugallee zeigten die Schüler dem Wachschutz ihre Schülerausweise und gingen in ihre Klassenzimmer. Der Wachmann vor dem Albert-Schweitzer-Gymnasium in der Karl-Marx-Straße schickte eine 19-jährige Schülerin zurück, weil sie keinen Ausweis bei sich hatte. Als sie umkehren wollte, sagte der Wachmann, er habe nur einen Scherz gemacht. So lernten sich Schüler und Wachleute kennen. Er habe "ein gutes Gefühl", sagte Schulleiter Georg Knapp. "Wir haben 530 Schüler, keinen Pförtner und keine automatische Schließanlage. Jetzt steht Wachpersonal am Eingang, so wie das in jedem öffentlichen Gebäude üblich ist." Gegen 7.15 Uhr kam Lehrerin Karin Recknagel an die Karl-Weise-Grundschule in der Weisestraße. Da war ein Wachmann schon da. Sie sagte, der Wachschutz sei nötig. "In den Pausen betreuen zwei Lehrer 370 Schüler auf dem Hof." Manchmal lungerten ehemalige Schüler am Schultor herum und belästigten Schüler. "Wenn die Störenfriede von einer Lehrerin angesprochen werden, reagieren die gar nicht", sagte sie. Schulleiter Klaus Hartung sagte: "Die Polizei kommt immer erst, wenn es zu spät ist." Unter den 35 Lehrern und Erziehern gebe es nur fünf Männer. "Da macht eine Autoritätsperson in Uniform bei Störern mehr Eindruck." Seit gestern hat auch Detlev Bachmann wieder ein "sicheres Gefühl". Der 55-Jährige ist Lehrer für Arbeitslehre und Erdkunde an der Röntgen-Realschule. Im Juni wurde er selbst Opfer eines Vorfalles: Während der Hofpause betrat ein Jugendlicher den Schulhof, der nicht zur Schule gehörte. "Ich habe ihn des Schulhofs verwiesen. Da sagte er zu mir: ,Was willst du? Ich hau' dir gleich eine!' Dann hat er zugeschlagen." Bachmann bekam die Faust ins Gesicht, er bückte sich nach seiner Brille, der Junge trat ihm mit dem Knie ans Ohr. Bachmann kam ins Krankenhaus. "Das war die Spitze des Eisbergs", sagt Schulleiterin Marlis Meinicke-Dietrich. Lehrer registrieren mindestens "zwei Fälle pro Woche", in denen Schulfremde Klassenzimmertüren aufreißen, pöbeln und stören. In anderen Städten findet das Projekt keine Unterstützung. "Das ist ein Armutszeugnis, wenn pädagogische Arbeit auf Nichtpädagogen übertragen wird", sagte Michael Damian, Sprecher der Bildungsverwaltung in Frankfurt am Main. Mit Mentoren, Stücken des Schultheaters und einem Friedenspreis verfüge die Stadt über "umfangreiche Instrumentarien".
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