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J'ai fini Le coeur d'une autre de Tatiana de Rosnay. Plongée dans l'art, dans une belle histoire avec l'Italie en prime.

J'entame Le voleur d'ombres de Lévy. C'est pas mal mais j'en ai lu de meilleurs !

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J'ai beaucoup aimé "le magasin des suicides" !

J'ai lu récemment 2 tatiana de Rosnay : "rose" que j'ai beaucoup apprécié et "boomerang" très sympa également !

Là je suis en train de terminer "la gifle" de Christos Tsiolkas (australien) que je trouve déroutant : la façon de raconter l'histoire me plait bien (à travers les yeux d'un personnage différent à chaque chapitre), par contre le contenu est assez particulier.

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J'ai terminé le livre du mois Replay ainsi que Ils ne sont pour rien dans mes larmes de Olvia Rosenthal:

Dans Que font les rennes après Noël ?, on découvrait combien certains films avaient eu d'importance pour l'héroïne du livre. Partant de ce même rapport émotionnel et non savant au cinéma, Olivia Rosenthal a restitué dans Ils ne sont pour rien dans mes larmes des portraits d'hommes et de femmes à travers l'impact déterminant de quatorze films. Elle leur a posé cette question simple et vertigineuse : " Quel film a changé votre vie ? ", en se soumettant par deux fois au même exercice d'introspection. Ainsi, dans un monologue inaugural saisissant, " Le Vertige ", l'auteur relate un événement biographique douloureux dans un récit diffracté qui prend sa source dans Vertigo d'Alfred Hitchcock. Croisant la fable du film relaté essentiellement sous l'angle de la peur du vide et du suicide de sa soeur, Olivia Rosenthal remonte à la source d'une terreur adolescente. Dans " Les larmes ", qui clôt ce livre, elle se demande ce qui la fait pleurer systématiquement devant Les parapluies de Cherbourg de Jacques Demy. Pourquoi la scène finale la remet-elle toujours dans le même état ? Qu'est-ce qui la touche de si près dans ce scénario d'amour raté ? Le texte engage avec humour d'autres pistes de réflexion qui, comme toujours chez Olivia Rosenthal, se prête à un jeu d'interlocution ne laissant jamais de côté le lecteur. Ces prologue et épilogue viennent embrasser d'autres expériences de spectateurs. En effet, enquêtant sur les " films de votre vie ", Olivia Rosenthal a demandé à huit femmes et quatre hommes d'évoquer leur film fétiche. Elle s'est ensuite librement réapproprié leurs réponses. Pour chacun de ces douze personnages (Sophie, Jean, Angélique, Béatrice, Denis...), un film a agi comme une rencontre décisive : Douze hommes en colère de Sydney Lumet, Le retour d'Andreï Zviaguintsev, Rouge de Kieslowski, L'arrangement d'Elia Kazan, Nuit et brouillard d'Alain Resnais... Qu'il soit léger ou grave, connu ou inconnu, important ou mineur, ce n'est pas le jugement esthétique qui préside à ce choc cinématographique. Vivre des histoires d'amour catastrophiques dans la lignée du Dernier Tango à Paris, rêver de devenir script pour faire comme Nathalie Baye dans La nuit américaine, ou se passionner d'anglais et de pop music grâce au déclic d'une séance en VO, voilà quelques témoignages d'adolescents devenus adultes. Ils pensent ce choc comme une éducation sentimentale, un éveil politique, un modèle existentiel même où le film a servi de déclic, apportant un réconfort ou un trouble durable, au-delà du grand écran. Revu quelques années plus tard parfois, le film culte s'avère très différent du souvenir, voire décevant. Mais la pellicule a définitivement irradié la réalité de leur destin.

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Les visages de Jesse Kellerman. ça faisait un moment que je l'avais dans ma bibliothèque et je n'avais pas pris le temps de le lire. Et franchement je regrette car il est vraiment génial. Un super Thriller!! Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu et que ça pourrait intéresser :

C’est dans le milieu de l’art contemporain et au cœur des grandes familles argentées de New-York que se déroule l’intrigue. Le héros, Ethan Muller, est un marchand d’art trentenaire, rejeton d’une grande famille fortunée, notamment magnat de l’immobilier, orphelin de mère et en rupture avec un père qui a toujours été froid envers lui. Un jour, l’homme de confiance de son père lui fait part d’une découverte dans l’un de ses appartements abandonné par son locataire : des centaines de dessins remarquables. Ethan, en extase, s’en empare pour les exposer et les vendre. Mais bien vite, l’auteur inconnu de ce chef d’œuvre, un certain Victor Cracke, commence à le hanter. En particulier, lorsqu’un vieux flic à la retraite l’informe que les « chérubins » représentés sur plusieurs dessins sont les visages d’enfants assassinés des années plus tôt. L’enquête dans laquelle s’acharnera le jeune galeriste lui révèlera bien plus qu’il ne l’aurait cru…

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J'arrive à lire un peu en ce moment alors les derniers :

Ce que le jour doit à la nuit de Yasmina Khadra

Algérie, dans les années 1930. Les champs de blés frissonnent. Dans trois jours, les moissons, le salut. Mais une triste nuit vient consumer l'espoir. Le feu. Les cendres. Pour la première fois, le jeune Younes voit pleurer son père. Et de pleurs, la vie de Younes ne manquera pas. Confié à un oncle pharmacien, dans un village de l'Oranais, le jeune garçon s'intègre à la communauté pied-noire. Noue des amitiés indissolubles, françaises, juives : "les doigts de la fourche ",,comme on les appelle. Et le bonheur s'appelle Emilie, une "princesse" que les jeunes gens se disputent. Alors que l'Algérie coloniale vit ses derniers feux, dans un déchaînement de violences, de déchirures et de trahisons, les amitiés se disloquent, s'entrechoquent. Femme ou pays, l'homme ne peut jamais oublier un amour d'enfance...

Une très belle histoire, moins dure que Les hirondelles de Kaboul que j'avais pourtant aussi beaucoup aimé.

La vingtième épouse de Indu Sundaresan

Intelligence précoce, beauté éclatante, volonté farouche Mehrunnisa, née en 1577, semble marquée par le Ciel pour une vie heureuse. Pourtant, elle a vu le jour sous une tente poussiéreuse et râpée ; chassé de son pays, la Perse, pour des raisons politiques, son père se demande s'il ne devra pas l'abandonner à une autre famille. La chance, l'amour et le courage vont transformer le destin de la fillette. La chance est celle de s'approcher de la cour d'Akbar, le monarque moghol dont le royaume s'étend de Kandahar à Bombay. L'amour, celui qu'elle éprouve à huit ans lorsque, pour la première fois, elle voit Salim, l'héritier du trône. Le courage, la force qui lui fera braver les intrigues de la cour, les trahisons d'État, les convenances, pour devenir enfin la vingtième épouse du jeune monarque - et la plus chérie. Sur les traces de cette héroïne fascinante, Indu Sundaresan déroule une épopée fastueuse où revit la splendeur de l'empire moghol.

Agréable à lire malgré quelques longueurs.

Et là je viens de commencer La scribe d'Antonio Garrido et pour l'instant j'ai beaucoup de mal à le lâcher.

Franconie, an 799, à la veille du sacre de Charlemagne. Fille d’un célèbre scribe byzantin, Theresa est apprentie parcheminière. Un drame l’oblige à quitter sa ville et à se réfugier dans la cité abbatiale de Fulda. Là, elle devient la scribe du moine Alcuin d’York, véritable Sherlock Holmes en robe de bure, qu’elle assiste dans ses enquêtes. Mais elle découvre que, dans sa fuite, elle a emporté à son insu un précieux parchemin qui pourrait bien sceller l’avenir de la chrétienté... À travers les aventures de Theresa, La Scribe évoque une page décisive du christianisme au Moyen Âge. Coups de théâtre et rebondissements se succèdent dans ce passionnant roman historique, qui mêle personnages fictifs et personnages ayant réellement existé.

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J'ai terminé de lire Je le ferai pour toi de T. Cohen et j'ai beaucoup aimé.

Tout à l'heure, je vais commencer Les voisins d'à côté de L. Barclay. J'ai adoré les autres livres de cet auteur, j'espère qu'il en sera de même pour celui-ci.

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Je viens de finir Femmes de dictateur de Diane Ducret. Livre intéressant pour découvrir la vie de dictateurs célèbres (Mussolini, Lénine, Hitler...) à travers leur vie amoureuse.

Cependant l'ensemble est à mes yeux un peu inégal et parfois brouillon mais bon ça permet quand même de découvrir plein de petites choses sur ces hommes impitoyables.

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J'ai terminé La scribe et l'ai beaucoup apprécié. :smile:

J'ai commencé et bien entamé La théorie Gaïa deMaxime Chattam. Ça me fait peur, mais j'adore... Hâte de connaître le dénouement.

Invité Poetesse
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Bonjour,

J'ai découvert un recueil de 42 contes racontés en public et retranscrits par écrit : Les Contes de la Goutte de Miel

Les contes de ce recueil vivent dans l’oralité et dans la mémoire des Hommes. Ils continuent leur vie en entrant par vos oreilles dans votre imaginaire et ressortent par votre bouche pour entrer dans d’autres oreilles. Loin de toutes rationalités ils vous autorisent à rêver, à imaginer. Vous devenez le héros, l’héroïne d’histoires venues il y a bien longtemps de l’ancienne Russie, de l’Estonie, de Slovénie, de Pologne, de Tchécoslovaquie, de Roumanie, d’Arménie, de Hongrie, d’Albanie, de Tasjistan …

Et voici une très jolie présentation du livre :http://www.passiondu...tte-de-miel.htm

Modifié par Poetesse
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james rollins : la malédiction de marco polo

(Venise, 1325. De son voyage en Chine qui dura plus de vingt ans, Marco Polo donna un fabuleux récit. Pourtant, des quatorze navires et des six cents compagnons mis à sa disposition par le grand Khan, seule une poignée d'hommes a survécu. Que sont-ils devenus ? Jusqu'à la fin de ses jours, Marco Polo garda le silence sur ce mystère. Ile Christmas, océan Indien, de nos jours. Sur cette île perdue, une pandémie inconnue fait rage. Le paquebot à bord duquel enquêtent deux agents de Sigma Force venus des Etats-Unis, est pris d'assaut par des pirates qui y installent un étrange laboratoire de recherche et d'épidémiologie. Une organisation occulte semble s'intéresser à la redoutable souche d'un virus baptisé Judas. Sept cents ans après Marco Polo, les terreurs ancestrales des civilisations perdues se réveillent sous la forme d'une impitoyable menace bactériologique. Le compte à rebours est lancé pour éviter à l'humanité le pire des fléaux...)

je suis fan de ce genre d'histoire :)

j'ai lu le dernier oracle du meme auteur

et j'ai hâte de commencer le syndrome E de Thilliez :happy:

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J'ai commencé et bien entamé La théorie Gaïa deMaxime Chattam. Ça me fait peur, mais j'adore... Hâte de connaître le dénouement.

j'ai lu les arcanes du chaos : excellent !!!

et aussi le sang du temps (un peu déçue sur la fin...du coup j'en ai pas lu d'autres mais je vais essayer la théorie gaïa du coup!)

après les deux livres qui m'attendent encore :tongue:

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J'en ai lu déjà un certain nombre de Chattam mais celui-ci je trouve l'ambiance vraiment oppressante...

Invité
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