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Eux sur la photo, Hélène Gestern. 1er roman.

Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices : deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père. Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu’ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie. Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur le secret de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d’éléments inconnus, la résolution d’énigmes posées par le passé ne suffisent pas : ce qui compte, c’est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu’ils modifient, ou pas, ce que nous sommes.

J'ai commencé samedi soir et j'adore le thème, la façon dont c'est écrit, l'intrigue.

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Je vais commencer Faute de preuves d'Harlan Coben

Journaliste dans une émission de télé-réalité, Wendy piège en direct les prédateurs sexuels. Sa dernière prise, Dan Mercer, un éducateur pour adolescentes : tout l’accable, on le soupçonne même de meurtre. Mais les preuves font défaut. Wendy le sent bien, quelque chose ne tourne pas rond. Et si elle avait été manipulée ? Si Dan était innocent ? La jeune femme va alors se pencher sur le passé de Dan, ses années d’étudiant à Princeton, ses quatre amis inséparables… Des amis avec qui il a tout partagé, même le pire… Secrets, disparitions, complots, cabales sur le net, confréries malfaisantes, vengeance… Pourriez-vous pardonner à ceux qui ont brisé votre vie ?
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Je viens de terminer un livre très poignant 900 jours, 900 nuits, dans l'enfer d'une prison équatorienne de Daniel Tibi:

27 septembre 1995. Daniel Tibi n'oubliera jamais cette date. En quelques heures, la vie de ce Français de 37 ans, installé depuis plusieurs années en Equateur, bascule dans l'absurde et bientôt dans l'horreur. Il est arrêté à Quito par deux policiers en civil, accusé de trafic de cocaïne. A tort. Il est innocent. Sans la moindre preuve, sans procès, sans jugement, après un premier passage à tabac, Daniel Tibi est jeté dans l'une des pires prisons du pays : le Centre de réhabilitation sociale des hommes de Guayaquil. Ce trou du diable, cet immonde cul-de-basse-fosse porte bien mal son nom. L'espérance de vie d'un prisonnier y est des plus courtes ; seule y règne la loi du plus fort, de l'argent et de la corruption. Chaque nuit, ou presque, le sang coule. Les pillos tuent et volent ceux qui n'ont pas de cellule, obligés de dormir dans un couloir... Spectacle hallucinant au petit matin de ces corps ensanglantés que les matons traînent le long des coursives ! Pendant deux ans et demi, Daniel Tibi va lutter pied à pied pour ne pas sombrer, n'ayant d'autre choix, parfois, que le recours, lui aussi, à la violence : "Il y a une chose que je ne pardonnerai jamais : m'avoir contraint à puiser au fond de mon être les instincts les plus bestiaux, d'avoir fait de moi un animal sans pitié, parce qu'il me fallait vivre, parce qu'il me fallait survivre." Torturé à plusieurs reprises, malade, Daniel Tibi n'est plus qu'un squelette ambulant de 46 kg quand il est enfin libéré le 23 janvier 1998. Il n'aura eu de cesse d'alerter la presse sur son cas, jusqu'à obtenir les excuses officielles de l'Etat équatorien et la condamnation de celui-ci par la Cour interaméricaine des droits de l'homme.

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J'ai terminé L'échappée de Valentine Goby :

C'est l'histoire dune jeune fille qui tombe amoureuse d'un pianiste allemand logeant dans l'hôtel où elle travaille. Dans une première partie, le roman raconte d'abord leur rencontre et le rapprochement entre les deux personnages en s'attachant lentement (un peu trop peut-être ?) au point de vue de Madeleine, pleine d'émotions et de rêves d'adolescente. Ensuite, l'histoire et le narration s'accélèrent nettement pour décrire les bouleversements qui vont forcer Madeleine à changer de vie et donneront sens au titre.

J'ai été assez mitigée sur ce livre : l'histoire m'a bien plu, les changements de rythme correspondent bien au récit, mais il me reste une impression que n'est pas très positive, je crois que je n'aime pas vraiment l'écriture même de l'auteur.

J'ai commencé Parti tôt pris mon chien, roman policier de Kate Atkinson. J'aime beaucoup cette auteur anglaise, dont j'avais dévoré les précédents romans : elle écrit avec beaucoup d'humour, s'attachant à décrire avec ironie ces compatriotes et leurs habitudes. La plupart de ses romans raconte les enquêtes de Jackson Brodie, ancien flic grincheux mais dont le bon coeur le rend incapable de ne pas se mêler d'affaires étranges. Cette romancière me fait penser aux premiers romans de Jonathan Coe, elle construit des histoires pleines de mystères, sous forme d'intrigues à tiroirs multiples telles des puzzles et l'on se retrouve à la fin à se rappeler ces quelques détails du début qui sont la clef de voûte de son récit! Bref elle nous entraîne dans des polars parfois des thrillers en décrivant avec un humour un peu vache la société britannique. Si ça vous dit, commencez avec La souris bleue, puis Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux, A quand les bonnes nouvelles ? et enfin celui-ci Parti tôt pris mon chien.

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Je viens de terminer le weekend dernier 'Personnes disparues' de P. Mc Donald. Vraiment super comme intrigue!

dès que j'ai un moment je vais poursuivre avec le même auteur!

salazie

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Il est vieux celui-là ! J'ai acheté le dernier : "Le poids des mensonges" avant la reprise. Je l'ai lu en une journée. Et j'ai beaucoup aimé bien sûr.

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Bonjour,

Pour ma part, je suis en train de lire : " Libres enfants de Summerhill" d'Alexander Neill

Je vous donne la présentation de l'éditeur, qui sera bien meilleure que celle que je pourrais faire :

"Summerhill, c'est l'aventure d'une école autogérée fondée en 1921 dfans la région de Londres. Son fondateur, le psychanalyste A.S. Neill (1883-1973), a mis les découvertes psychanalytiques au service de l'éducation. Il s'est dressé contre l'école traditionnelle soucieuse d'instruire mais non pas d'éduquer. Il s'est dressé contre les parents hantés par le critère de succès (l'argent). Il s'est insurgé contre un système social qui forme, dit-il, des individus "manipulés" et dociles, nécessaires à l'ensemble bureaucratique hautement hiérarchisé de notre ère industrielle."

C'est, selon moi, un livre très intéressant expliquant une éducation bien différente de celle de l'école traditionnelle. Neill un philosophe sur lequel j'ai eu l'occasion de travailler dans le cadre de mes cours de philosophie de l'éducation. Sa conception de l'école, de l'éducation et sa représentation de l'enfant ont tout de suite attiser ma curiosité.

Si vous êtes intéresse par l'éducation nouvelle, n'hésitez pas à y jeter un oeil !

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C'est la première fois que je lisais un livre de Teulé donc je n'avais aucun point de comparaison.

J'ai beaucoup aimé "le Montespan", un peu moins "le magasin des suicides" et "Darling"; et jamais réussi à trouver à la bibliothèque "Mangez-le si vous voulez".

Je n'ai pas lu Le Montespan mais j'ai lu et adoré Darling, et bien apprécié le magasin des suicides.

"Mangez-le" : excellent, mais lu d'une traite alors à ne pas acheter, c'est pas rentable ! :D

"Le Montespan" : ma femme avait trouvé ça assez vulgaire.

Il existe un Teulé que j'avais bien aimé et dont on ne parle jamais, c'est "O Verlaine", il raconte les derniers jours du poète. J'aimerais bien trouver en bibli son livre sur Villon.

A part ça j'ai lu un Balzac "Splendeurs et misères des courtisanes" : bof bof ... lecture un peu fastidieuse et quelques bons coups de masse, 700 pages en plus, autant j'avais adoré "Le père Goriot", "Illusions perdues" et "Le cousin Pons", mais celui-là je ne le conseille pas !

Pour les amateurs d'Histoire : "Pour en finir avec Vichy : les oublis de la mémoire - 1940" par Henri Amouroux : un ouvrage d'une grande intelligence qui a le mérite de remettre les évènements dans leur contexte.

J'ai commencé aussi le dernier Onfray "L'ordre libertaire - vie philosphique d'Albert Camus" : très intéressant, ça donne envie de découvrir Camus, et il règle son compte à Sartre au passage ...

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J'ai bien aimé le Teulé sur Verlaine mais j'ai adoré "Je, François Villon", je l'ai beaucoup prêté !

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Bonjour,

Pour ma part, je suis en train de lire : " Libres enfants de Summerhill" d'Alexander Neill

Je vous donne la présentation de l'éditeur, qui sera bien meilleure que celle que je pourrais faire :

"Summerhill, c'est l'aventure d'une école autogérée fondée en 1921 dfans la région de Londres. Son fondateur, le psychanalyste A.S. Neill (1883-1973), a mis les découvertes psychanalytiques au service de l'éducation. Il s'est dressé contre l'école traditionnelle soucieuse d'instruire mais non pas d'éduquer. Il s'est dressé contre les parents hantés par le critère de succès (l'argent). Il s'est insurgé contre un système social qui forme, dit-il, des individus "manipulés" et dociles, nécessaires à l'ensemble bureaucratique hautement hiérarchisé de notre ère industrielle."

C'est, selon moi, un livre très intéressant expliquant une éducation bien différente de celle de l'école traditionnelle. Neill un philosophe sur lequel j'ai eu l'occasion de travailler dans le cadre de mes cours de philosophie de l'éducation. Sa conception de l'école, de l'éducation et sa représentation de l'enfant ont tout de suite attiser ma curiosité.

Si vous êtes intéresse par l'éducation nouvelle, n'hésitez pas à y jeter un oeil !

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Absolument d accord avec toi Mina Koala, c est un ouvrage excellent qui a complètement changé un certain nombre de certitudes que j avais sur l education. Et puis, il se lit très bien, un peu comme un roman et non comme un docu.

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J'ai terminé Les voisins d'à côté de L. Barclay. C'est le 3ème livre que je lis de cet auteur et je n'ai pas été déçue, même si ce n'est pas mon préféré, je pense.

Jusqu'à quel point connaît-on ses voisins ? La petite ville de Promise Falls est sous le choc : les Langley ont été cruellement assassinés. Seul témoin du drame : Derek Cutter, dix-sept ans, qui a profité de l'absence de ses voisins pour occuper la maison avec sa petite amie. Déjà connu pour de petits méfaits, il est le coupableparfait aux yeux du voisinage. Son père, persuadé - de son innocence, se lance dans une enquête haletante qui va mettre au jour de sombres révélations sur les habitants de la petite ville en apparence si paisible. Tout le monde a un secret à cacher...

J'ai commencé à lire les premières pages de Rose de Tatiana de Rosnay, pour l'instant j'aime bien.

Paris, sous le Second Empire. Des centaines de maisons sont rasées et des quartiers réduits en cendres. Alors que le vieux Paris s'effondre sous les ambitions du baron Haussmann, de nombreux Parisiens protestent sans parvenir à infléchir les ordres d'expropriation. Dans sa maison de la rue

Childebert, à l'ombre de l'église Saint-Germain-des-Prés, Rose Bazelet mène une vie paisible, rythmée par la lecture du Petit Journal, les visites à Alexandrine, sa locataire et amie fleuriste du rez-de-chaussée, les soins de Germaine et Mariette ses domestiques dévouées. Jusqu'au jour où elle reçoit une lettre de la préfecture, la sentence tombe : le tracé du boulevard St Germain passe par chez elle, rue Childebert. Liée par une promesse faite à son défunt mari, Armand, Rose ne peut envisager de quitter la demeure familiale. Déterminée à résister jusqu'à son dernier souffle, elle confie à Armand, son amour disparu, son combat quotidien. De lettres en lettres, elle replonge dans

son passé et dévoile peu à peu un secret qu'elle a gardé pendant plus de trente ans. Dans ce roman épistolaire, Tatiana de Rosnay nous entraîne au coeur d'un monde où les petits métiers, herboriste, relieur, chiffonnier fleurissaient, et dont il ne reste que les vestiges. Tandis qu'une page de l'Histoire se tourne, Rose devient le témoin d'une époque et raconte le traumatisme suscité par ces grands travaux d'embellissement. Entre introspection et rédemption, ces lettres rendent hommage au combat d'une femme seule contre tous. Dans cette ode à la capitale, les maisons regorgent de secrets et les murs sont imprégnés de souvenirs.

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J'ai commencé à lire les premières pages de Rose de Tatiana de Rosnay, pour l'instant j'aime bien.

Paris, sous le Second Empire. Des centaines de maisons sont rasées et des quartiers réduits en cendres. Alors que le vieux Paris s'effondre sous les ambitions du baron Haussmann, de nombreux Parisiens protestent sans parvenir à infléchir les ordres d'expropriation. Dans sa maison de la rue

Childebert, à l'ombre de l'église Saint-Germain-des-Prés, Rose Bazelet mène une vie paisible, rythmée par la lecture du Petit Journal, les visites à Alexandrine, sa locataire et amie fleuriste du rez-de-chaussée, les soins de Germaine et Mariette ses domestiques dévouées. Jusqu'au jour où elle reçoit une lettre de la préfecture, la sentence tombe : le tracé du boulevard St Germain passe par chez elle, rue Childebert. Liée par une promesse faite à son défunt mari, Armand, Rose ne peut envisager de quitter la demeure familiale. Déterminée à résister jusqu'à son dernier souffle, elle confie à Armand, son amour disparu, son combat quotidien. De lettres en lettres, elle replonge dans

son passé et dévoile peu à peu un secret qu'elle a gardé pendant plus de trente ans. Dans ce roman épistolaire, Tatiana de Rosnay nous entraîne au coeur d'un monde où les petits métiers, herboriste, relieur, chiffonnier fleurissaient, et dont il ne reste que les vestiges. Tandis qu'une page de l'Histoire se tourne, Rose devient le témoin d'une époque et raconte le traumatisme suscité par ces grands travaux d'embellissement. Entre introspection et rédemption, ces lettres rendent hommage au combat d'une femme seule contre tous. Dans cette ode à la capitale, les maisons regorgent de secrets et les murs sont imprégnés de souvenirs.

Idem !

Mais l'accumulation de soucis m'a fait reprendre des lectures plus chick-lit (comprendre : y'a pas besoin de réfléchir).

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