clochette27 Posté(e) 17 mars 2012 Posté(e) 17 mars 2012 je viens de finir l'homme a l'envers de Fred Vargas super comme d'hab j'attaque Les piliers de la terre de ken follet
titecoccinelle Posté(e) 17 mars 2012 Posté(e) 17 mars 2012 je viens de finir l'homme a l'envers de Fred Vargas super comme d'hab j'attaque Les piliers de la terre de ken follet J'ai adoré Les piliers de la terre et la suite Un monde sans fin ! Pour info, à partir de dimanche 18, il y a sur France 3 un feuilleton en 8 épisodes tiré du livre. Je l'ai vu en DVD il y a quelques mois et j'avais beaucoup aimé aussi.
téchiney Posté(e) 17 mars 2012 Posté(e) 17 mars 2012 De la philo; le goût de vivre et 100 autres propos Beaucoup d'articles issus de Psychologies magazines, certains barbants, d'autres instructifs.
salazie Posté(e) 18 mars 2012 Posté(e) 18 mars 2012 J'ai plus qu'adoré 'J'ai épousé un inconnu' de Patricia Macdonald! C'est mon préféré de tous ceux que j'ai lu de cette auteur! salazie
ximixt Posté(e) 19 mars 2012 Posté(e) 19 mars 2012 J'ai terminé Sanctuaire du coeur de Thu Huong Duong: un très beau livre: La fugue de Thanh plonge dans la stupeur ses parents, un couple de professeurs respectés, ainsi que toute la petite ville proche de Hanoi où vit cette famille modèle. A seize ans, le jeune homme était promis à un brillant avenir et n'avait jamais donné le moindre signe de trouble ni de rébellion. Quand on le retrouve quatorze ans plus tard - en 1999, le temps du récit -, il est devenu gigolo, entretenu par une femme d'affaires rencontrée dans la maison close de Saigon où il exerçait ses talents de prostitué. Comment - et pourquoi - ce jeune homme sans histoires en est arrivé là, c'est ce que dévoile ce roman diaboliquement construit. Thanh a tout le temps, pendant ses longues journées dans la villa de la côte que seuls rythment des dîners dans des établissements de luxe, de se remémorer son passé. Ses jeunes années sont autant de souvenirs lumineux : elles ont été à jamais marquées par la présence radieuse de Tra My, son amie de toujours, la petite fille que ses parents avaient recueillie et dont il était tombé éperdument amoureux. Sa descente aux enfers après sa fugue vient en sombre contrepoint de cette enfance heureuse : les scènes époustouflantes de son arrestation par erreur dans un hôtel de passe, de son emprisonnement avec des droit commun ou de sa rencontre avec le proxénète qui l'a embauché donnent à Duong Thu Huong la matière d'un portrait sans appel d'une société vietnamienne déstabilisée et corrompue que dominent le sexe, le pouvoir et l'argent. Quand Thanh ne supporte plus sa vie oisive d'objet sexuel et qu'il décide de prendre un nouveau départ, il ne peut s'empêcher de buter sur le traumatisme subi lors de ses seize ans. La scène qui le hante, et dont son propre père est l'acteur principal, donne la clé de sa dérive et du roman tout entier. La question sous-jacente que pose en effet Duong Thu Huong tout au long de ce livre consacré aux enfants des hommes et des femmes de sa génération, celle qui s'est battue pour des idéaux et qui ne se reconnaît pas dans le Vietnam d'aujourd'hui, est déchirante : qu'avons-nous fait à nos enfants ? quel monde leur laissons-nous ?
MissTiQ Posté(e) 20 mars 2012 Auteur Posté(e) 20 mars 2012 Je vais commencer L'amour dure trois ans de Beigbeder " Au début, tout est beau, même vous. Vous n'en revenez pas d'être aussi amoureux. Pendant un an, la vie n'est qu'une succession de matins ensoleillés, même l'après-midi quand il neige. Vous écrivez des livres là-dessus. Vous vous mariez, le plus vite possible - pourquoi réfléchir quand on est heureux ? La deuxième année, les choses commencent à changer. Vous êtes devenu tendre. Vous faites l'amour de moins en moins souvent et vous croyez que ce n'est pas grave. Vous défendez le mariage devant vos copains célibataires qui ne vous reconnaissent plus. Vous-même, êtes-vous sûr de bien vous reconnaître, quand vous récitez la leçon apprise par coeur, en vous retenant de regarder les demoiselles fraîches qui éclairent la rue ? La troisième année, vous ne vous retenez plus de regarder les demoiselles fraîches qui éclairent la rue. Vous sortez de plus en plus souvent : ça vous donne une excuse pour ne plus parler. Vient bientôt le moment où vous ne pouvez plus supporter votre épouse une seconde de plus, puisque vous êtes tombé amoureux, d'une autre. La troisième année, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle : dégoûtée, votre femme vous quitte. La mauvaise nouvelle : vous commencez un nouveau livre. "
genevièveT Posté(e) 20 mars 2012 Posté(e) 20 mars 2012 En ce moment Pédagogie et révolution de Grégory Chambat. L'auteur rassemble un certain nombre de ces textes écrits par lui dans plusieurs plublications et notamment la revue N'autre école. Il questionne l'histoire de l'éducation et les principaux mouvements pédagogiques sous l'angle de la question des classes sociales. Où l'on apprend que l'objectif premier de Jules Ferry en instaurant l'école laïque, gratuite et obligatoire était d'éviter que l'Eglise ne mette la main sur le peuple afin de le maintenir sous la coupe des classes dirigeantes. Où l'on se rappelle que toutes ces innovations pédagogiques sont nées d'une inspiration révolutionnaire. Où l'on se pose clairement la question d'une école émancipatrice. Et plein d'autres choses passionnantes... Je mets le lien vers la maison d'édition car quelque chose me dit qu'on ne le trouvera pas à la Fnouc ou chez Amazouff http://editionslibertalia.com/Pedagogie-et-revolution.html
sogna Posté(e) 23 mars 2012 Posté(e) 23 mars 2012 Je viens de terminer La mémoire des murs de Tatiana de Rosnay. "L’appartement correspondait exactement à ce que Pascaline, une informaticienne de 40 ans, imaginait pour sa nouvelle vie de femme divorcée, sans enfants. Un deux-pièces calme et clair qui donne sur une rue animée. Mais à peine installée, Pascaline apprend par une voisine qu’un drame s’est déroulé dans ces lieux. Comment vivre dans des murs marqués par l’horreur ? Comment continuer à dormir là comme si de rien était ? Et pourquoi Pascaline ne cesse-t-elle d’y penser ? Lentement mais sûrement, par touches infimes, cette tragédie fera ressurgir chez Pascaline une ancienne douleur, une fragilité secrète restée trop longtemps enfouie. Seule face à la mémoire des murs, elle devra affronter son passé. Dans ce sixième roman, Tatiana de Rosnay explore avec lucidité l’univers noir de l’obsession, ses vertiges et ses abîmes. " Un roman court qui se lit très vite. Très différent de celui que j'avais lu précédemment Le coeur d'une autre
ximixt Posté(e) 25 mars 2012 Posté(e) 25 mars 2012 J'ai terminé Monster de Patrick Bauwen, un thriller que j'ai beaucoup aimé: Paul Becker a ouvert une unité de soins d'urgence en Floride et consacre peu de temps à sa femme et son fils. Une nuit, un policier lui amène un patient blessé, menotté, nu et aux membres anormalement longs et souples. Une fois cet étrange patient soigné, le téléphone qu'il a oublié sonne : Paul répond... c'est la pire erreur de sa vie, qui tourne alors au cauchemar.
pomme62 Posté(e) 26 mars 2012 Posté(e) 26 mars 2012 J'adore de Rosnay ! Ici ce week end j'ai lu "les lois de la gravité" de Jean Teulé ! Court mais efficace !
salazie Posté(e) 1 avril 2012 Posté(e) 1 avril 2012 Je suis en train de lire l'ombre de ton sourire de M.H Clark et depuis que j'ai découvert Patricia Macdonald je classerais MHC après alors que je la lis depuis des années! salazie
titecoccinelle Posté(e) 1 avril 2012 Posté(e) 1 avril 2012 J'ai lu un peu plus des 100 premières pages de La couleur des sentiments de Kathryn Stockett et j'aime beaucoup ! J'ai hâte de me plonger dans la suite ...
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