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Hier il y avait l'adaptation de Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Je n'ai pas pu regarder, seulement le 10 premières minutes puis j'ai changé, rien que d'entendre le nom du gamin me donnait des frissons. Mais c'est un super livre quand même hein. :wink:

j'ai regardé, j'ai beaucoup aimé...... j'adore le jeune acteur, il joue très "vrai". J'ai acheté le livre je vais le lire.

Mince !

C'était sur quelle chaîne ? :glare:

c'était sur france2, moi aussi j'ai regardé et ça me donne envie de lire le livre.

on peut le revoir gratuitement pendant 7 jours sur le site de france 2 (partie pluzz.fr).

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Hier il y avait l'adaptation de Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Je n'ai pas pu regarder, seulement le 10 premières minutes puis j'ai changé, rien que d'entendre le nom du gamin me donnait des frissons. Mais c'est un super livre quand même hein. :wink:

j'ai regardé, j'ai beaucoup aimé...... j'adore le jeune acteur, il joue très "vrai". J'ai acheté le livre je vais le lire.

Mince !

C'était sur quelle chaîne ? :glare:

c'était sur france2, moi aussi j'ai regardé et ça me donne envie de lire le livre.

on peut le revoir gratuitement pendant 7 jours sur le site de france 2 (partie pluzz.fr).

eh bien moi j'avais prévu de lire de livre, ne sachant pas qu'il existait le film. J'ai regardé hier soir, j'ai adoré, mais du coup je ne sais pas si je vais lire le livre. Qu'en pensez-vous ?

J'ai plutôt l'habitude de lire le livre PUIS de regarder le film...

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Hier il y avait l'adaptation de Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Je n'ai pas pu regarder, seulement le 10 premières minutes puis j'ai changé, rien que d'entendre le nom du gamin me donnait des frissons. Mais c'est un super livre quand même hein. :wink:

Je le rouve pas sur le site, t'es sûre?

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Je lis "Les aurores montréales", de Monique Proulx.

Présentation de Décitre :

Ce sont des nouvelles, textes courts et incisifs, tous soigneusement taillés dans l'insupportable banalité des drames et des lieux.<br style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; ">Le livre se compare à une petite mosaïque de pierres multicolores. Chacune conserve sa couleur rare et la forme unique de sa froide minéralité. L'ensemble n'en constitue pas moins un vivant portrait de Montréal, une effrayante collection de spécimens humains, un tableau prodigieux de cacophonie et de tristesse nordique (...). (...) il faut lire sans hésiter les Aurores Montréales. Pour apprivoiser l'atrocité.<br style="margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; ">Pour attiser la fureur. Pour savourer le bonheur d'une écriture souveraine aux portes de la barbarie. Enfin parce que ces nouvelles s'ajustent de manière à former un livre, ce qui n'est pas toujours évident quand on rassemble des histoires dont chacune soutient si facilement sa propre unité.

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Hier il y avait l'adaptation de Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Je n'ai pas pu regarder, seulement le 10 premières minutes puis j'ai changé, rien que d'entendre le nom du gamin me donnait des frissons. Mais c'est un super livre quand même hein. :wink:

j'ai regardé, j'ai beaucoup aimé...... j'adore le jeune acteur, il joue très "vrai". J'ai acheté le livre je vais le lire.

Mince !

C'était sur quelle chaîne ? :glare:

c'était sur france2, moi aussi j'ai regardé et ça me donne envie de lire le livre.

on peut le revoir gratuitement pendant 7 jours sur le site de france 2 (partie pluzz.fr).

eh bien moi j'avais prévu de lire de livre, ne sachant pas qu'il existait le film. J'ai regardé hier soir, j'ai adoré, mais du coup je ne sais pas si je vais lire le livre. Qu'en pensez-vous ?

J'ai plutôt l'habitude de lire le livre PUIS de regarder le film...

J'ai autant aimé l'adaptation télé que le livre qui m'avait beaucoup marqué. Je te conseille de lire ne serait-ce que pour le style de Jonquet.

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finalement j'ai commencé à lire Les visages de Jesse Kellerman. J'aime assez pour le moment. L'écriture est agréable et le milieu de l'art contemporain américain change des thrillers classiques.

Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l'obsession. C'est le début d'une spirale infernale à l'intensité dramatique et au coup de théâtre final dignes des plus grands thrillers. Bien loin des polars calibrés habituels, Jesse Kellerman, styliste hors pair, nous offre ici un roman d'une indéniable qualité littéraire qui, doublée d'une intrigue machiavélique, place d'emblée le livre au niveau des plus grandes réussites du genre, tels Mystic River, de Dennis Lehane, ou L'Analyste, de John Katzenbach.

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J'ai terminé de lire L'attentat de Yasmina Khadra.

Dans un style plus léger, je vais commencer La fille de papier de Guillaume Musso.

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le poème qui a donné son titre au livre: je l'ai lu à mes 4èmes SEGPA........ (la partie lue dans le téléfilm) ils ont adoré et se sont retrouvés, magnifique.....

A CEUX QU’ON FOULE AUX PIEDS

Oh ! je suis avec vous ! j’ai cette sombre joie.

Ceux qu’on accable, ceux qu’on frappe et qu’on foudroie

M’attirent ; je me sens leur frère ; je défends

Terrassés ceux que j’ai combattus triomphants ;

Je veux, car ce qui fait la nuit sur tous m’éclaire,

Oublier leur injure, oublier leur colère,

Et de quels noms de haine ils m’appelaient entre eux.

Je n’ai plus d’ennemis quand ils sont malheureux.

Mais surtout c’est le peuple, attendant son salaire,

Le peuple, qui parfois devient impopulaire,

C’est lui, famille triste, hommes, femmes, enfants

Droit, avenir, travaux, douleurs, que je défends ;

Je défends l’égaré, le faible, et cette foule

Qui, n’ayant jamais eu de point d’appui, s’écroule

Et tombe folle au fond des noirs événements ;

Etant les ignorants, ils sont les incléments ;

Hélas ! combien de temps faudra-t-il vous redire

A vous tous, que c’était à vous de les conduire,

Qu’il fallait leur donner leur part de la cité ;

Que votre aveuglement produit leur cécité ;

D’une tutelle avare on recueille les suites,

Et le mal qu’ils vous font, c’est vous qui le leur fîtes.

Vous ne les avez pas guidés, pris par la main,

Et renseignés sur l’ombre et sur le vrai chemin ;

Vous les avez laissés en proie au labyrinthe.

Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte ;

C’est qu’ils n’ont pas senti votre fraternité.

Ils errent ; l’instinct bon se nourrit de clarté ;

Ils n’ont rien dont leur âme obscure se repaisse ;

Ils cherchent des lueurs dans la nuit, plus épaisse

Et plus morne là-haut que les branches des bois ;

Pas un phare. A tâtons, en détresse, aux abois,

Comment peut-il penser celui qui ne peut vivre ?

En tournant dans un cercle horrible, on devient ivre ;La misère, âpre roue, étourdit Ixion.

Et c’est pourquoi j’ai pris la résolution

De demander pour tous le pain et la lumière.….

Ce n’est pas le canon du noir vendémiaire,

Ni les boulets de juin, ni les bombes de mai,

Qui font la haine éteinte et l’ulcère fermé.

Moi, pour aider le peuple à résoudre un problème,

Je me penche vers lui. Commencement : je l’aime.

Le reste vient après. Oui, je suis avec vous,

J’ai l’obstination farouche d’être doux,

Ô vaincus, et je dis : Non, pas de représailles !

Ô mon vieux cœur pensif, jamais tu ne tressailles

Mieux que sur l’homme en pleurs, et toujours tu vibras

Pour des mères ayant leurs enfants dans les bras.

Quand je pense qu’on a tué des femmes grosses,

Qu’on a vu le matin des mains sortir des fosses,

Ô pitié ! quand je pense à ceux qui vont partir !

Ne disons pas : Je fus proscrit, je fus martyr.

Ne parlons pas de nous devant ces deuils terribles ;

De toutes les douleurs ils traversent les cribles ;

Ils sont vannés au vent qui les emporte, et vont

Dans on ne sait quelle ombre au fond du ciel profond.

Où ? qui le sait ? leurs bras vers nous en vain se dressent.

Oh ! ces pontons sur qui j’ai pleuré reparaissent,

Avec leurs entreponts où l’on expire, ayant

Sur soi l’énormité du navire fuyant !

On ne peut se lever debout ; le plancher tremble ;

On mange avec les doigts au baquet tous ensemble,

On boit l’un après l’autre au bidon, on a chaud,

On a froid, l’ouragan tourmente le cachot,

L’eau gronde, et l’on ne voit, parmi ces bruits funèbres,

Qu’un canon allongeant son cou dans les ténèbres.

Je retombe en ce deuil qui jadis m’étouffait.

Personne n’est méchant, et que de mal on fait !

Combien d’êtres humains frissonnent à cette heure,

Sur la mer qui sanglote et sous le ciel qui pleure,

Devant l’escarpement hideux de l’inconnu !

Etre jeté là, triste, inquiet, tremblant, nu,

Chiffre quelconque au fond d’une foule livide,

Dans la brume, l’orage et les flots, dans le vide,

Pêle-mêle et tout seul, sans espoir, sans secours,

Ayant au cœur le fil brisé de ses amours !

Dire : - « Où suis-je ? On s’en va. Tout pâlit, tout se creuse,

Tout meurt. Qu’est-ce que c’est que cette fuite affreuse ?

La terre disparaît, le monde disparaît.

Toute l’immensité devient une forêt.

Je suis de la nuée et de la cendre. On passe.

Personne ne va plus penser à moi. L’espace !

Le gouffre ! Où sont-ils ceux près de qui je dormais ! » -

Se sentir oublié dans la nuit pour jamais !

Devenir pour soi-même une espèce de songe !

Oh ! combien d’innocents, sous quelque vil mensonge

Et sous le châtiment féroce, stupéfaits !

— Quoi ! disent-ils, ce ciel où je me réchauffais,

Je ne le verrai plus ! on me prend la patrie !

Rendez-moi mon foyer, mon champ, mon industrie,

Ma femme, mes enfants ! rendez-moi la clarté !

Qu’ai-je donc fait pour être ainsi précipité

Dans la tempête infâme et dans l’écume amère,

Et pour n’avoir plus droit à la France ma mère ! –

Quoi ! lorsqu’il s’agirait de sonder, ô vainqueurs,

L’obscur puits social béant au fond des cœurs,

D’étudier le mal, de trouver le remède,

De chercher quelque part le levier d’Archimède,

Lorsqu’il faudrait forger la clef des temps nouveaux ;

Après tant de combats, après tant de travaux,

Et tant de fiers essais et tant d’efforts célèbres,

Quoi ! pour solution, faire dans les ténèbres,

Nous, guides et docteurs, nous les frères aînés,

Naufrager un chaos d’hommes infortunés !

Décréter qu’on mettra dehors, qui ? le mystère !

Que désormais l’énigme a l’ordre de se taire,

Et que le sphinx fera pénitence à genoux !

Quels vieillards sommes-nous ! quels enfants sommes-nous !

Quel rêve, hommes d’Etat ! quel songe, ô philosophes !

Quoi ! pour que les griefs, pour que les catastrophes,

Les problèmes, l’angoisse et les convulsions

S’en aillent, suffit-il que nous les expulsions ?

Rentrer chez soi, crier : - Français, je suis ministre

Et tout est bien ! - tandis qu’à l’horizon sinistre,

Sous des nuages lourds, hagards, couleur de sang,

Chargé de spectres, noir, dans les flots décroissant,

Avec l’enfer pour aube et la mort pour pilote,

On ne sait quel radeau de la Méduse flotte !

Quoi ! les destins sont clos, disparus, accomplis,

Avec ce que la vague emporte dans ses plis !

Ouvrir à deux battants la porte de l’abîme,

Y pousser au hasard l’innocence et le crime,

Tout, le mal et le bien, confusément puni,

Refermer l’océan et dire : c’est fini !

Être des hommes froids qui jamais ne s’émoussent,

Qui n’attendrissent point leur justice, et qui poussent

L’impartialité jusqu’à tout châtier !

Pour le guérir, couper le membre tout entier !

Quoi ! pour expédient prendre la mer profonde !

Au lieu d’être ceux-là par qui l’ordre se fonde,

Jeter au gouffre en tas les faits, les questions,

Les deuils que nous pleurions et que nous attestions,

La vérité, l’erreur, les hommes téméraires,

Les femmes qui suivaient leurs maris ou leurs frères,

L’enfant qui remua follement le pavé,

Et faire signe aux vents, et croire tout sauvé

Parce que sur nos maux, nos pleurs, nos inclémences,

On a fait travailler ces balayeurs immenses !

Eh bien, que voulez-vous que je vous dise, moi !

Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi,

L’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles,

Je blâme. Est-ce ma faute enfin ? j’ai des entrailles.

Éternel Dieu ! c’est donc au mal que nous allons ?

Ah ! pourquoi déchaîner de si durs aquilons

Sur tant d’aveuglements et sur tant d’indigences ?

Je frémis.

Sans compter que toutes ces vengeances,

C’est l’avenir qu’on rend d’avance furieux !

Travailler pour le pire en faisant pour le mieux,

Finir tout de façon qu’un jour tout recommence,

Nous appelons sagesse, hélas ! cette démence.

Flux, reflux. La souffrance et la haine sont sœurs.

Les opprimés refont plus tard des oppresseurs.

Oh ! dussé-je, coupable aussi moi d’innocence,

Reprendre l’habitude austère de l’absence,

Dût se refermer l’âpre et morne isolement,

Dussent les cieux, que l’aube a blanchis un moment,

Redevenir sur moi dans l’ombre inexorable,

Que du moins un ami vous reste, ô misérables !

Que du moins il vous reste une voix ! que du moins

Vous nous ayez, la nuit et moi, pour vos témoins ?

Le droit meurt, l’espoir tombe, et la prudence est folle.

Il ne sera pas dit que pas une parole

N’a, devant cette éclipse affreuse, protesté.

Je suis le compagnon de la calamité.

Je veux être, - je prends cette part, la meilleure, -

Celui qui n’a jamais fait le mal, et qui pleure ;

L’homme des accablés et des abandonnés.

Volontairement j’entre en votre enfer, damné.

Vos chefs vous égaraient, je l’ai dit à l’histoire ;

Certes, je n’aurais pas été de la victoire,

Mais je suis de la chute ; et je viens, grave et seul,

Non vers votre drapeau, mais vers votre linceul.

Je m’ouvre votre tombe.

Et maintenant, huées,

Toi calomnie et toi haine, prostituées,

Ô sarcasmes payés, mensonges gratuits,

Qu’à Voltaire ont lancés Nonotte et Maupertuis,

Poings montrés qui jadis chassiez Rousseau de Bienne,

Cris plus noirs que les vents de l’ombre libyenne,

Plus vils que le fouet sombre aux lanières de cuir,

Qui forciez le cercueil de Molière à s’enfuir,

Ironie idiote, anathèmes farouches,

Ô reste de salive encor blanchâtre aux bouches

Qui crachèrent au front du pâle Jésus-Christ,

Pierre éternellement jetée à tout proscrit,

Acharnez-vous ! Soyez les bien venus, outrages.

C’est pour vous obtenir, injures, fureurs, rages,

Que nous, les combattants du peuple, nous souffrons,

La gloire la plus haute étant faite d’affronts.

poème « A ceux qu’on foule aux pieds », écrit en 1872, tiré des œuvres complètes de Victor Hugo, Poésie. XII, L’année terrible, Paris : J. Hetzel, A. Quantin, 1883.

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Hier il y avait l'adaptation de Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Je n'ai pas pu regarder, seulement le 10 premières minutes puis j'ai changé, rien que d'entendre le nom du gamin me donnait des frissons. Mais c'est un super livre quand même hein. :wink:

j'ai regardé, j'ai beaucoup aimé...... j'adore le jeune acteur, il joue très "vrai". J'ai acheté le livre je vais le lire.

Mince !

C'était sur quelle chaîne ? :glare:

c'était sur france2, moi aussi j'ai regardé et ça me donne envie de lire le livre.

on peut le revoir gratuitement pendant 7 jours sur le site de france 2 (partie pluzz.fr).

eh bien moi j'avais prévu de lire de livre, ne sachant pas qu'il existait le film. J'ai regardé hier soir, j'ai adoré, mais du coup je ne sais pas si je vais lire le livre. Qu'en pensez-vous ?

J'ai plutôt l'habitude de lire le livre PUIS de regarder le film...

J'ai autant aimé l'adaptation télé que le livre qui m'avait beaucoup marqué. Je te conseille de lire ne serait-ce que pour le style de Jonquet.

ok, merci pour cette précieuse réponse. Il est vrai que je n'ai jamais lu un livre de cet auteur.

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Je viens de lire "La liste", de Jennifer Tremblay. C'est l'histoire d'une femme qui fait des listes de choses à faire interminables et à cause de qui une femme est morte parce qu'elle a mal géré les priorités de sa liste.

En tant que spécialiste des listes de choses à faire interminables, ce livre me met particulièrement mal à l'aise...cry.gif

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J'ai commencé Crimes, passion et talons aiguilles de Kyra Davis

Je vous le dis : tout n'est pas si parfait qu'on croit dans la haute société de San Francisco ! La preuve, ma sœur Leah, la perfection incarnée - mère au foyer accomplie, épouse de Bob Miller, un homme d'affaires incroyablement ennuyeux - découvre du jour au lendemain :

1) que Bob la trompe,

2) que Bob gît, le crâne fracassé, sur la moquette blanche immaculée du salon conjugal,

3) qu'elle est le suspect n°1 dans cette affaire !

C'est là que j'entre en scène. Moi, Sophie Katz, auteur de romans policiers, et détective amateur quand les circonstances l'exigent. Mais je vous avoue que l'enquête s'annonce difficile. Et cela ne tient qu'à un minuscule petit détail : ma sœur et moi on ne s'entend pas, mais alors pas du tout...

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Je vous conseille "Le confident" d'Hélène Gremillon. L'histoire d'une femme qui reçoit des lettres racontant une histoire bien étrange au moment du décès de sa mère....

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