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J'ai fini Charly 9 de Jean Teulé. Eh bien je suis mitigée à la sortie de cette lecture. C'est original, ça fait découvrir un pan de l'histoire que l'on ne voit pas souvent mais l'écriture est plutôt déroutante. Bref, je ne sais pas trop quoi en penser.

Là j'ai commencé Femmes de dictateurs c'est un livre documentaire sur les femmes qui ont accompagnés les dictateurs lors de leur ascension et leur chute.

Je suis dans ma période de livre d'histoire en ce moment.

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J'ai fini Charly 9 de Jean Teulé. Eh bien je suis mitigée à la sortie de cette lecture. C'est original, ça fait découvrir un pan de l'histoire que l'on ne voit pas souvent mais l'écriture est plutôt déroutante. Bref, je ne sais pas trop quoi en penser.

C'es un peu la signature de Teulé, ça, non? Son écriture sort toujours des sentiers battus.

Pas de coup de coeur en ce moment de mon côté. Je lis "Nos ancêtres les Gaulois et autres fadaises", de François Reynaert. C'est vrai qu'on a tendance à penser à un destin pré-établi, à travers une histoire officielle qui a choisi dates et personnages en conséquence, l'histoire suivrait une "logique". Clovis? Mais en Allemagne, il est considéré comme un roi allemand, etc. La religion aussi est "démontée, vue comme un bloc (l'Europe chrétienne contre le reste musulman, et pourtant ça n'a pas toujours été aussi simple).

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C'est la première fois que je lisais un livre de Teulé donc je n'avais aucun point de comparaison.

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C'est la première fois que je lisais un livre de Teulé donc je n'avais aucun point de comparaison.

J'ai beaucoup aimé "le Montespan", un peu moins "le magasin des suicides" et "Darling"; et jamais réussi à trouver à la bibliothèque "Mangez-le si vous voulez".

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En ce moment, je lis Journal d'un corps , le dernier Pennac et Mémoire fantôme de Thilliez.

Le premier est très instructif sur le corps masculin et ça reste du Pennac, donc très bien écrit, et très anecdotique. Thilliez, toujours aussi palpitant, vraiment un très bon auteur de thriller... et il est français:-)

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Pendant ces deux semaines de vacances, j'ai lu Quand souffle le vent du nord, dans la lignée du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, j'ai bien aimé et j'attends la suite !

J'ai aussi lu La librairie des ombres, un polar où l'arme des crimes est la lecture... Idée très intéressante, ça se lit très bien, même si l'auteur est allé un peu loin dans l'effet de la lecture sur certains personnages...

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C'est la première fois que je lisais un livre de Teulé donc je n'avais aucun point de comparaison.

J'ai beaucoup aimé "le Montespan", un peu moins "le magasin des suicides" et "Darling"; et jamais réussi à trouver à la bibliothèque "Mangez-le si vous voulez".

Je n'ai pas lu Le Montespan mais j'ai lu et adoré Darling, et bien apprécié le magasin des suicides.

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J'ai fini Le coeur d'une autre de Tatiana de Rosnay. Plongée dans l'art, dans une belle histoire avec l'Italie en prime.

J'entame Le voleur d'ombres de Lévy. C'est pas mal mais j'en ai lu de meilleurs !

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J'ai beaucoup aimé "le magasin des suicides" !

J'ai lu récemment 2 tatiana de Rosnay : "rose" que j'ai beaucoup apprécié et "boomerang" très sympa également !

Là je suis en train de terminer "la gifle" de Christos Tsiolkas (australien) que je trouve déroutant : la façon de raconter l'histoire me plait bien (à travers les yeux d'un personnage différent à chaque chapitre), par contre le contenu est assez particulier.

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J'ai terminé le livre du mois Replay ainsi que Ils ne sont pour rien dans mes larmes de Olvia Rosenthal:

Dans Que font les rennes après Noël ?, on découvrait combien certains films avaient eu d'importance pour l'héroïne du livre. Partant de ce même rapport émotionnel et non savant au cinéma, Olivia Rosenthal a restitué dans Ils ne sont pour rien dans mes larmes des portraits d'hommes et de femmes à travers l'impact déterminant de quatorze films. Elle leur a posé cette question simple et vertigineuse : " Quel film a changé votre vie ? ", en se soumettant par deux fois au même exercice d'introspection. Ainsi, dans un monologue inaugural saisissant, " Le Vertige ", l'auteur relate un événement biographique douloureux dans un récit diffracté qui prend sa source dans Vertigo d'Alfred Hitchcock. Croisant la fable du film relaté essentiellement sous l'angle de la peur du vide et du suicide de sa soeur, Olivia Rosenthal remonte à la source d'une terreur adolescente. Dans " Les larmes ", qui clôt ce livre, elle se demande ce qui la fait pleurer systématiquement devant Les parapluies de Cherbourg de Jacques Demy. Pourquoi la scène finale la remet-elle toujours dans le même état ? Qu'est-ce qui la touche de si près dans ce scénario d'amour raté ? Le texte engage avec humour d'autres pistes de réflexion qui, comme toujours chez Olivia Rosenthal, se prête à un jeu d'interlocution ne laissant jamais de côté le lecteur. Ces prologue et épilogue viennent embrasser d'autres expériences de spectateurs. En effet, enquêtant sur les " films de votre vie ", Olivia Rosenthal a demandé à huit femmes et quatre hommes d'évoquer leur film fétiche. Elle s'est ensuite librement réapproprié leurs réponses. Pour chacun de ces douze personnages (Sophie, Jean, Angélique, Béatrice, Denis...), un film a agi comme une rencontre décisive : Douze hommes en colère de Sydney Lumet, Le retour d'Andreï Zviaguintsev, Rouge de Kieslowski, L'arrangement d'Elia Kazan, Nuit et brouillard d'Alain Resnais... Qu'il soit léger ou grave, connu ou inconnu, important ou mineur, ce n'est pas le jugement esthétique qui préside à ce choc cinématographique. Vivre des histoires d'amour catastrophiques dans la lignée du Dernier Tango à Paris, rêver de devenir script pour faire comme Nathalie Baye dans La nuit américaine, ou se passionner d'anglais et de pop music grâce au déclic d'une séance en VO, voilà quelques témoignages d'adolescents devenus adultes. Ils pensent ce choc comme une éducation sentimentale, un éveil politique, un modèle existentiel même où le film a servi de déclic, apportant un réconfort ou un trouble durable, au-delà du grand écran. Revu quelques années plus tard parfois, le film culte s'avère très différent du souvenir, voire décevant. Mais la pellicule a définitivement irradié la réalité de leur destin.

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Les visages de Jesse Kellerman. ça faisait un moment que je l'avais dans ma bibliothèque et je n'avais pas pris le temps de le lire. Et franchement je regrette car il est vraiment génial. Un super Thriller!! Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu et que ça pourrait intéresser :

C’est dans le milieu de l’art contemporain et au cœur des grandes familles argentées de New-York que se déroule l’intrigue. Le héros, Ethan Muller, est un marchand d’art trentenaire, rejeton d’une grande famille fortunée, notamment magnat de l’immobilier, orphelin de mère et en rupture avec un père qui a toujours été froid envers lui. Un jour, l’homme de confiance de son père lui fait part d’une découverte dans l’un de ses appartements abandonné par son locataire : des centaines de dessins remarquables. Ethan, en extase, s’en empare pour les exposer et les vendre. Mais bien vite, l’auteur inconnu de ce chef d’œuvre, un certain Victor Cracke, commence à le hanter. En particulier, lorsqu’un vieux flic à la retraite l’informe que les « chérubins » représentés sur plusieurs dessins sont les visages d’enfants assassinés des années plus tôt. L’enquête dans laquelle s’acharnera le jeune galeriste lui révèlera bien plus qu’il ne l’aurait cru…

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J'arrive à lire un peu en ce moment alors les derniers :

Ce que le jour doit à la nuit de Yasmina Khadra

Algérie, dans les années 1930. Les champs de blés frissonnent. Dans trois jours, les moissons, le salut. Mais une triste nuit vient consumer l'espoir. Le feu. Les cendres. Pour la première fois, le jeune Younes voit pleurer son père. Et de pleurs, la vie de Younes ne manquera pas. Confié à un oncle pharmacien, dans un village de l'Oranais, le jeune garçon s'intègre à la communauté pied-noire. Noue des amitiés indissolubles, françaises, juives : "les doigts de la fourche ",,comme on les appelle. Et le bonheur s'appelle Emilie, une "princesse" que les jeunes gens se disputent. Alors que l'Algérie coloniale vit ses derniers feux, dans un déchaînement de violences, de déchirures et de trahisons, les amitiés se disloquent, s'entrechoquent. Femme ou pays, l'homme ne peut jamais oublier un amour d'enfance...

Une très belle histoire, moins dure que Les hirondelles de Kaboul que j'avais pourtant aussi beaucoup aimé.

La vingtième épouse de Indu Sundaresan

Intelligence précoce, beauté éclatante, volonté farouche Mehrunnisa, née en 1577, semble marquée par le Ciel pour une vie heureuse. Pourtant, elle a vu le jour sous une tente poussiéreuse et râpée ; chassé de son pays, la Perse, pour des raisons politiques, son père se demande s'il ne devra pas l'abandonner à une autre famille. La chance, l'amour et le courage vont transformer le destin de la fillette. La chance est celle de s'approcher de la cour d'Akbar, le monarque moghol dont le royaume s'étend de Kandahar à Bombay. L'amour, celui qu'elle éprouve à huit ans lorsque, pour la première fois, elle voit Salim, l'héritier du trône. Le courage, la force qui lui fera braver les intrigues de la cour, les trahisons d'État, les convenances, pour devenir enfin la vingtième épouse du jeune monarque - et la plus chérie. Sur les traces de cette héroïne fascinante, Indu Sundaresan déroule une épopée fastueuse où revit la splendeur de l'empire moghol.

Agréable à lire malgré quelques longueurs.

Et là je viens de commencer La scribe d'Antonio Garrido et pour l'instant j'ai beaucoup de mal à le lâcher.

Franconie, an 799, à la veille du sacre de Charlemagne. Fille d’un célèbre scribe byzantin, Theresa est apprentie parcheminière. Un drame l’oblige à quitter sa ville et à se réfugier dans la cité abbatiale de Fulda. Là, elle devient la scribe du moine Alcuin d’York, véritable Sherlock Holmes en robe de bure, qu’elle assiste dans ses enquêtes. Mais elle découvre que, dans sa fuite, elle a emporté à son insu un précieux parchemin qui pourrait bien sceller l’avenir de la chrétienté... À travers les aventures de Theresa, La Scribe évoque une page décisive du christianisme au Moyen Âge. Coups de théâtre et rebondissements se succèdent dans ce passionnant roman historique, qui mêle personnages fictifs et personnages ayant réellement existé.

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