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Invité Poetesse
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Bonjour,

J'ai découvert un recueil de 42 contes racontés en public et retranscrits par écrit : Les Contes de la Goutte de Miel

Les contes de ce recueil vivent dans l’oralité et dans la mémoire des Hommes. Ils continuent leur vie en entrant par vos oreilles dans votre imaginaire et ressortent par votre bouche pour entrer dans d’autres oreilles. Loin de toutes rationalités ils vous autorisent à rêver, à imaginer. Vous devenez le héros, l’héroïne d’histoires venues il y a bien longtemps de l’ancienne Russie, de l’Estonie, de Slovénie, de Pologne, de Tchécoslovaquie, de Roumanie, d’Arménie, de Hongrie, d’Albanie, de Tasjistan …

Et voici une très jolie présentation du livre :http://www.passiondu...tte-de-miel.htm

Modifié par Poetesse
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james rollins : la malédiction de marco polo

(Venise, 1325. De son voyage en Chine qui dura plus de vingt ans, Marco Polo donna un fabuleux récit. Pourtant, des quatorze navires et des six cents compagnons mis à sa disposition par le grand Khan, seule une poignée d'hommes a survécu. Que sont-ils devenus ? Jusqu'à la fin de ses jours, Marco Polo garda le silence sur ce mystère. Ile Christmas, océan Indien, de nos jours. Sur cette île perdue, une pandémie inconnue fait rage. Le paquebot à bord duquel enquêtent deux agents de Sigma Force venus des Etats-Unis, est pris d'assaut par des pirates qui y installent un étrange laboratoire de recherche et d'épidémiologie. Une organisation occulte semble s'intéresser à la redoutable souche d'un virus baptisé Judas. Sept cents ans après Marco Polo, les terreurs ancestrales des civilisations perdues se réveillent sous la forme d'une impitoyable menace bactériologique. Le compte à rebours est lancé pour éviter à l'humanité le pire des fléaux...)

je suis fan de ce genre d'histoire :)

j'ai lu le dernier oracle du meme auteur

et j'ai hâte de commencer le syndrome E de Thilliez :happy:

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J'ai commencé et bien entamé La théorie Gaïa deMaxime Chattam. Ça me fait peur, mais j'adore... Hâte de connaître le dénouement.

j'ai lu les arcanes du chaos : excellent !!!

et aussi le sang du temps (un peu déçue sur la fin...du coup j'en ai pas lu d'autres mais je vais essayer la théorie gaïa du coup!)

après les deux livres qui m'attendent encore :tongue:

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J'en ai lu déjà un certain nombre de Chattam mais celui-ci je trouve l'ambiance vraiment oppressante...

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Eux sur la photo, Hélène Gestern. 1er roman.

Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices : deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père. Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu’ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie. Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur le secret de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d’éléments inconnus, la résolution d’énigmes posées par le passé ne suffisent pas : ce qui compte, c’est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu’ils modifient, ou pas, ce que nous sommes.

J'ai commencé samedi soir et j'adore le thème, la façon dont c'est écrit, l'intrigue.

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Je vais commencer Faute de preuves d'Harlan Coben

Journaliste dans une émission de télé-réalité, Wendy piège en direct les prédateurs sexuels. Sa dernière prise, Dan Mercer, un éducateur pour adolescentes : tout l’accable, on le soupçonne même de meurtre. Mais les preuves font défaut. Wendy le sent bien, quelque chose ne tourne pas rond. Et si elle avait été manipulée ? Si Dan était innocent ? La jeune femme va alors se pencher sur le passé de Dan, ses années d’étudiant à Princeton, ses quatre amis inséparables… Des amis avec qui il a tout partagé, même le pire… Secrets, disparitions, complots, cabales sur le net, confréries malfaisantes, vengeance… Pourriez-vous pardonner à ceux qui ont brisé votre vie ?
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Je viens de terminer un livre très poignant 900 jours, 900 nuits, dans l'enfer d'une prison équatorienne de Daniel Tibi:

27 septembre 1995. Daniel Tibi n'oubliera jamais cette date. En quelques heures, la vie de ce Français de 37 ans, installé depuis plusieurs années en Equateur, bascule dans l'absurde et bientôt dans l'horreur. Il est arrêté à Quito par deux policiers en civil, accusé de trafic de cocaïne. A tort. Il est innocent. Sans la moindre preuve, sans procès, sans jugement, après un premier passage à tabac, Daniel Tibi est jeté dans l'une des pires prisons du pays : le Centre de réhabilitation sociale des hommes de Guayaquil. Ce trou du diable, cet immonde cul-de-basse-fosse porte bien mal son nom. L'espérance de vie d'un prisonnier y est des plus courtes ; seule y règne la loi du plus fort, de l'argent et de la corruption. Chaque nuit, ou presque, le sang coule. Les pillos tuent et volent ceux qui n'ont pas de cellule, obligés de dormir dans un couloir... Spectacle hallucinant au petit matin de ces corps ensanglantés que les matons traînent le long des coursives ! Pendant deux ans et demi, Daniel Tibi va lutter pied à pied pour ne pas sombrer, n'ayant d'autre choix, parfois, que le recours, lui aussi, à la violence : "Il y a une chose que je ne pardonnerai jamais : m'avoir contraint à puiser au fond de mon être les instincts les plus bestiaux, d'avoir fait de moi un animal sans pitié, parce qu'il me fallait vivre, parce qu'il me fallait survivre." Torturé à plusieurs reprises, malade, Daniel Tibi n'est plus qu'un squelette ambulant de 46 kg quand il est enfin libéré le 23 janvier 1998. Il n'aura eu de cesse d'alerter la presse sur son cas, jusqu'à obtenir les excuses officielles de l'Etat équatorien et la condamnation de celui-ci par la Cour interaméricaine des droits de l'homme.

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J'ai terminé L'échappée de Valentine Goby :

C'est l'histoire dune jeune fille qui tombe amoureuse d'un pianiste allemand logeant dans l'hôtel où elle travaille. Dans une première partie, le roman raconte d'abord leur rencontre et le rapprochement entre les deux personnages en s'attachant lentement (un peu trop peut-être ?) au point de vue de Madeleine, pleine d'émotions et de rêves d'adolescente. Ensuite, l'histoire et le narration s'accélèrent nettement pour décrire les bouleversements qui vont forcer Madeleine à changer de vie et donneront sens au titre.

J'ai été assez mitigée sur ce livre : l'histoire m'a bien plu, les changements de rythme correspondent bien au récit, mais il me reste une impression que n'est pas très positive, je crois que je n'aime pas vraiment l'écriture même de l'auteur.

J'ai commencé Parti tôt pris mon chien, roman policier de Kate Atkinson. J'aime beaucoup cette auteur anglaise, dont j'avais dévoré les précédents romans : elle écrit avec beaucoup d'humour, s'attachant à décrire avec ironie ces compatriotes et leurs habitudes. La plupart de ses romans raconte les enquêtes de Jackson Brodie, ancien flic grincheux mais dont le bon coeur le rend incapable de ne pas se mêler d'affaires étranges. Cette romancière me fait penser aux premiers romans de Jonathan Coe, elle construit des histoires pleines de mystères, sous forme d'intrigues à tiroirs multiples telles des puzzles et l'on se retrouve à la fin à se rappeler ces quelques détails du début qui sont la clef de voûte de son récit! Bref elle nous entraîne dans des polars parfois des thrillers en décrivant avec un humour un peu vache la société britannique. Si ça vous dit, commencez avec La souris bleue, puis Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux, A quand les bonnes nouvelles ? et enfin celui-ci Parti tôt pris mon chien.

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Je viens de terminer le weekend dernier 'Personnes disparues' de P. Mc Donald. Vraiment super comme intrigue!

dès que j'ai un moment je vais poursuivre avec le même auteur!

salazie

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Il est vieux celui-là ! J'ai acheté le dernier : "Le poids des mensonges" avant la reprise. Je l'ai lu en une journée. Et j'ai beaucoup aimé bien sûr.

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Bonjour,

Pour ma part, je suis en train de lire : " Libres enfants de Summerhill" d'Alexander Neill

Je vous donne la présentation de l'éditeur, qui sera bien meilleure que celle que je pourrais faire :

"Summerhill, c'est l'aventure d'une école autogérée fondée en 1921 dfans la région de Londres. Son fondateur, le psychanalyste A.S. Neill (1883-1973), a mis les découvertes psychanalytiques au service de l'éducation. Il s'est dressé contre l'école traditionnelle soucieuse d'instruire mais non pas d'éduquer. Il s'est dressé contre les parents hantés par le critère de succès (l'argent). Il s'est insurgé contre un système social qui forme, dit-il, des individus "manipulés" et dociles, nécessaires à l'ensemble bureaucratique hautement hiérarchisé de notre ère industrielle."

C'est, selon moi, un livre très intéressant expliquant une éducation bien différente de celle de l'école traditionnelle. Neill un philosophe sur lequel j'ai eu l'occasion de travailler dans le cadre de mes cours de philosophie de l'éducation. Sa conception de l'école, de l'éducation et sa représentation de l'enfant ont tout de suite attiser ma curiosité.

Si vous êtes intéresse par l'éducation nouvelle, n'hésitez pas à y jeter un oeil !

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C'est la première fois que je lisais un livre de Teulé donc je n'avais aucun point de comparaison.

J'ai beaucoup aimé "le Montespan", un peu moins "le magasin des suicides" et "Darling"; et jamais réussi à trouver à la bibliothèque "Mangez-le si vous voulez".

Je n'ai pas lu Le Montespan mais j'ai lu et adoré Darling, et bien apprécié le magasin des suicides.

"Mangez-le" : excellent, mais lu d'une traite alors à ne pas acheter, c'est pas rentable ! :D

"Le Montespan" : ma femme avait trouvé ça assez vulgaire.

Il existe un Teulé que j'avais bien aimé et dont on ne parle jamais, c'est "O Verlaine", il raconte les derniers jours du poète. J'aimerais bien trouver en bibli son livre sur Villon.

A part ça j'ai lu un Balzac "Splendeurs et misères des courtisanes" : bof bof ... lecture un peu fastidieuse et quelques bons coups de masse, 700 pages en plus, autant j'avais adoré "Le père Goriot", "Illusions perdues" et "Le cousin Pons", mais celui-là je ne le conseille pas !

Pour les amateurs d'Histoire : "Pour en finir avec Vichy : les oublis de la mémoire - 1940" par Henri Amouroux : un ouvrage d'une grande intelligence qui a le mérite de remettre les évènements dans leur contexte.

J'ai commencé aussi le dernier Onfray "L'ordre libertaire - vie philosphique d'Albert Camus" : très intéressant, ça donne envie de découvrir Camus, et il règle son compte à Sartre au passage ...

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