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Messages recommandés

Posté(e)

Pour ceux que ça interesse, mon expérience sur ce post... vous invite à échanger (avec moi et les autres qui m'ont tenu de bons conseils et des messages de soutien précieux).

Courage à tous.

Mon cheminement aujourd'hui (et plus tard je l'espère) peut montrer qu'on peut s'en sortir ensemble. wub.gif

Ce message date d'il y a 3 ans, mais si tu es encore sur le site j'aimerai parler avec toi de ce que tu as vécu..

  • 1 année plus tard...
Posté(e)

Pas en dépression mais déprime oui...

Merci les nouveaux rythmes...

Posté(e)

Nouveaux rythmes, postes fractionnés sur des écoles à 1h de chez moi avec en prime 1 journée et demi en tant que ZIL dans une des écoles, en réseau ECLAIR, et tout cela pendant les 5 derniers mois de ma grossesse....j'avoue que l'idée de retourner en classe me donne la nausée. grosse grosse déprime...

Posté(e)

Ce topic a 4 ans, mais je sais que des collègues sont dans ce cas, dans le même que Shiloh à l'époque et que le mien actuellement.

Je sors d'un congé de formation qui m'a vu décroché un diplôme me donnant une porte de sortie. Le truc, c'est ce deal de 3 ans officiels dus à l'EN après un congé, officiels selon les syndicats..

L'annonce du poste fin juin ne m'avait pas spécialement perturbé, j'étais certes agacé de reprendre le chemin de l'école mais soit. Et puis, depuis un mois, c'est une plaie, un supplice au quotidien, l'envie de ne rien faire, de ne m'investir dans absolument rien. Seul cours double d'une grosse école de 15 classes, je me sens encore moins à ma place. Les journées de classe, pourtant raccourcies, ne m'ont jamais paru aussi longues. C'est bien simple, j'ai le sentiment de ne plus supporter le métier.

Juste envie de tout envoyer valser.

Posté(e)

Ce topic a 4 ans, mais je sais que des collègues sont dans ce cas, dans le même que Shiloh à l'époque et que le mien actuellement.

Je sors d'un congé de formation qui m'a vu décroché un diplôme me donnant une porte de sortie. Le truc, c'est ce deal de 3 ans officiels dus à l'EN après un congé, officiels selon les syndicats..

L'annonce du poste fin juin ne m'avait pas spécialement perturbé, j'étais certes agacé de reprendre le chemin de l'école mais soit. Et puis, depuis un mois, c'est une plaie, un supplice au quotidien, l'envie de ne rien faire, de ne m'investir dans absolument rien. Seul cours double d'une grosse école de 15 classes, je me sens encore moins à ma place. Les journées de classe, pourtant raccourcies, ne m'ont jamais paru aussi longues. C'est bien simple, j'ai le sentiment de ne plus supporter le métier.

Juste envie de tout envoyer valser.

Même état d'esprit.

Je me demande bien comment on peut apprécier travailler dans autant de speed, de bruit, de stress (école de 18 classes pour moi), pour une paye aussi nulle.

Posté(e)

Le sentiment de ne plus supporter le métier est difficile car certains jours, le seuil de tolérance est très bas et on gueule beaucoup, et pas toujours à propos. Et puis, d'autres jours, c'est un peu comme si on s'en foutait, et des comportements parfois pires, nous passent au-dessus. Enfin, c'est comme ça que je vois la chose également...

Posté(e)

Oui, je vis aussi le truc comme ça.

Je redoute les jours où on est soi même pas en forme (peu dormi, avoir la crève .....).

Avec une grosse pression, celle de s'absenter en laissant les collègues dans la mouise à se taper nos élèves car on n'est plus remplacés.

Vraiment, le jeu n'en vaut plus la chandelle, mais partir oui ..... mais en limitant la casse.

  • 3 semaines plus tard...
Posté(e)

Quasi 3 semaines d'arrêt. Rendez-vous à la médecine "préventive" le 28 octobre (seul jour dispo entre octobre et décembre..)

Un responsable du syndicat m'invite à attendre le rendez-vous en question avant d'envisager une demande de dispo. Pendant ce temps, envois de CV etc. pour la reconversion et visites chez la psy (ça fait du bien de parler à quelqu'un d'extérieur).

Si la directrice a pris de mes nouvelles, pas un message, même 2 mots de la part d'un des 17 collègues de l'école (c'est ça aussi l'E.N. comme partout)

Posté(e)

Ils pensent peut-être aussi que tu veux faire un vrai break et du coup n'appellent pas. L'un de nos collègue a plongé l'an dernier, aucun d'entre nous ne l'a appelé, et c'était je crois une bonne chose, d'autant comme dit plus haut qu'il n'avait de relation privilégiée avec personne. Il est de retour parmi nous, et on a un peu discuté de tout ça, avec le recul il pense aussi que c'était mieux comme ça. Et moi aussi.

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