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Quel pack office dans une école ?


Izabelle

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Bonjour,

Nous utilisons depuis un long moment Open Office dans l'école, mais avons décidé d'acheter un pack Microsoft Office car nous avons des soucis d'utilisation avec Open Office.

En recherchant les prix, nous avons découvert plusieurs packs.

En regardant ce dont nous avions besoin, il s'avère que le pack Office family (à 139 € - pour 3 postes) est celui qu'il nous faudrait (les autres sont plus complets, donc plus chers, mais nous n'avons pas besoin de ce qui est en plus).

Nous voudrions donc savoir si nous avons le droit d'installer cette version "family" sur les 2 postes de l'école (direction et salle des maîtres)ou si un pack "professionnel" est obligatoire.

Merci d'avance.

Izabelle

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Pack "Family" pour une école ? Peut-être, mais je ne crois pas...

Voir ici une liste de revendeurs (cliquer sur "Commander" en bas à droite) :

http://www.microsoft.com/france/education/prim-sec/chef_etablissement/office/promos.aspx

On obtient une liste de revendeurs en France qui peuvent proposer des solutions aux écoles.

Sinon, tu devrais voir avec ton ATICE qui devrait déjà être au courant de ce à quoi vous avez droit (anti-virus gratuit pour les écoles et les enseignants, licence éducation pour les systèmes d'exploitation, etc.).

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Bonjour,

J'ai eu la réponse auprès de mon coordinateur TICE : il faut s'adresser directement à un revendeur officiel de Microsoft car il existe des offres très très avantageuses pour l'Education (écoles...).

Izabelle

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Et quels étaient donc vos soucis d'utilisation d'Open Office ?

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Des problèmes de mise en page principalement.

Les documents "Open office" faits à l'école étaient les mêmes quand je les ragardais avec "Word" à la maison.

Mais les documents que je faisais avec "Word" chez moi étaient souvent modifiés quand je les ouvrais avec "Open office" à l'école (photos décalées, saut de page non souhaités...).

Peut-être cela venait de moi, mais mes collègues avaient les mêmes soucis d'où le ras-le-bol général.

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Ok. Idem pour mon école : fichiers .doc venant du rectorat, de l'inspection, des collèges, qui une fois ouvert dans OpenOffice Writer ont une mise en page différente, ou perdent des éléments (bordures, tableaux,...). Ça peut arriver de temps en temps. Mais je n'ai pas installé Word sur les ordinateurs de l'école. On utilise mon ordinateur portable s'il y a besoin de Word. :)

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Bonjour,

et pourquoi ne pas opter pour la solution inverse : télécharger gratuitement OpenOffice et l'installer chez toi?

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Bonjour,

et pourquoi ne pas opter pour la solution inverse : télécharger gratuitement OpenOffice et l'installer chez toi?

Ah oui ! Pourquoi payer pour un logiciel propriétaire, alors qu'existe une alternative gratuite ?

Sans compter que donner à une entreprise privée de la taille de Microsoft de l'argent public m'apparaît en contradiction avec les valeurs de l'école.

Bénéfice record pour Microsoft sur l’exercice 2010

Microsoft boucle une année 2010 avec un chiffre d’affaires de 62,5 milliards de dollars, en hausse de 7 % par rapport à 2009 et un bénéfice de 18,8 milliards de dollars.

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Sans compter que donner à une entreprise privée de la taille de Microsoft de l'argent public m'apparaît en contradiction avec les valeurs de l'école.

Quelles sont donc les valeurs de l'école qui font que l'on ne doit pas acheter de produits Microsoft ? Ça m'intéresse. Tu pourrais développer, s'il te plaît ? :)

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Loool. Étant un macuser, je ne puis être taxé de pro-microsoft, aussi je me permets d'ajouter ma petite pierre. S'il existe de très bons logiciels dont quelques utilitaires qui remédient parfaitement aux absences ou arrêts de développement de pilotes et d'applications, nous ne devons pas nous livrer au manichéisme en considérant qu'il y aurait un milieu angélique celui du libre et un milieu diabolique celui du payant et surtout celui des grosses sociétés. Si les simples utilisateurs choisissent le libre c'est pour la gratuité, si les développeurs le choisissent aussi c'est pour l'apparente "ouverture" du code. D'un autre côté si beaucoup d'utilisateurs choisissent le payant, c'est pour la réactivité des mises à jour en cas de problème, certaines innovations et un support en cas de bug majeur; si des professionnels choisissent le payant c'est pour la compatibilité assurée, une stabilité et un support (les usagers professionnels n'ont pas le temps d'essayer des betas ou ce qui y ressemble). Beaucoup ont connu des mauvaises expériences avec des systèmes ou des applications payantes, mais ils possédaient comme protection les menaces extrêmes des "class actions" pour faire fléchir les sociétés récalcitrantes. Le gratuit nécessite des bénévoles pour développer et améliorer les "freewares" (relativement facile sur de petites applications et moins aisé sur le moyen et long terme pour des systèmes et des suites logicielles, et surtout dépend de bouts de codes cédés par des chercheurs; la résolution de problèmes dépendra de la disponibilité et du bon vouloir du créateur non rétribué. D'autres complications existent aussi : actuellement un procès oppose Oracle et Google (pseudo gratuit) qui "aurait" copié/collé du code java au cœur d'Androïd, un code ouvert accessible à beaucoup n'est pas forcément un gage de sécurité face aux développeurs malveillants. Pour réflexion, les révélations récentes d'un créateur d'un système libre qui affirme qu'il a du céder aux exigences du FBI en laissant des backdoors accessibles aux investigateurs de l'organisme policier pour explorer les ordinateurs connectés. Quand on recense le nombre de malwares, de spywares, avec parfois des failles critiques, la majeure partie vient de logiciels dits gratuits dont parfois de bons produits recompilés et représentés par des hackers.

Donc arrêtons la naïveté, s'il existe une version "académique" d'un très bon logiciel que l'on utilise très souvent à prix très doux, l'acheter n'est pas ridicule, de même utiliser quelquefois de petits freewares pas toujours aboutis n'est pas un si mauvais choix à condition d'en connaître l'origine exacte. Établissez bien vos priorités et vos règles de sécurité.

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On va éviter de tomber dans le débat Apple/Microsoft/linux.

Parce que la philosophie d'Apple... Système totalement fermé, tant en hardware qu'en software, contrôle le plus total possible sur les usages par la firme.

Freeware ne veut absolument pas dire libre.

Il ne faut pas faire d'amalgame entre des freewares téléchargés n'importe où et des logiciels libres, soutenus par une comunauté active, motivée et croyant au partage, que l'on se donne la peine d'aller chercher au bon endroit.

Les freewares ne sont pas nécessairement sous licence libre.

Le libre peut être payant, quand l'usager souhaite un support, ainsi pour de nobreuses distrib Linux.

Google est gratuit, mais n'est en aucun cas libre, lol.

Au meme titre que Chrome, gratuit mais non libre, alors que Chromium, sur lequel Chrome est basé est libre.

Pour ce qui est de la sécurité avec les applications libres elle est au moins aussi grande qu'avec Microsoft.

Internet tourne majoritairement sous Apache (serveur http sous licence libre) : En décembre 2008, 72,45% de parts de marché pour Apache.

Firefox a longtemps eu beaucoup moins de failles que Internet Explorer.

Il n'y a là aucune naïveté.

De la longévité pour les suites comme Open Office ? OOo s'appelait StarOffice, il y a près de dix ans. Et c'est en train de muter vers LibreOffice, parce qu'Oracle a un peu de mal à s'accomoder des contraintes du libre.

Le FBI et les Backdoors :

information sur developpez.net, forum de développeurs :

http://www.developpez.net/forums/d1013272/systemes/autres-systemes/unix/bsd/fbi-aurait-paye-tiers-inserer-backdoors-openbsd/

OpenBSD : NETSEC certainement impliqué dans la tentative d'insertion de backdoors

Sur demande du FBI, mais toujours aucune trace avérée de porte dérobée

Mise à jour du 23/12/2010

Les investigations avancent sur les allégations émises la semaine dernière quant à une éventuelle insertion de portes dérobées (backdoors) dans le système OpenBSD (lire ci-avant).

Une opération qui aurait été commanditée par le FBI.

Theo de Raadt, le développeur principal du système, à l'origine de la divulgation de cette affaire (et au début plutôt sceptique), vient de rendre public un mail dans lequel il explique qu'il pense que l'entreprise NETSEC a bien été impliquée dans l'insertion de backdoors (qu'elle ait réussi est une autre histoire). Mais il souligne également qu'à son avis, ces éventuelles parties de code n'ont pas été intégrées à la base commune d'OpenBSD.

Selon les investigations lancées par De Raadt, l'entreprise NETSEC a donc effectivement eu un contrat avec le gouvernement américain, et un de ses développeurs, un dénommé Jason Wright, aurait effectivement contribué à OpenBSD.

Mais De Raadt pense que si backdoors il y a, ceux-ci ont en fait plus de chance d'avoir été intégrés dans des forks privés de OpenBSD. Autrement dit, d'après lui, peu de chance qu'ils aient affecté la version grand public de l'OS.

Mais pour en être véritablement sûr, les efforts pour auditer le code d'OpenBSD se multiplient.

Les développeurs-auditeurs n'auraient jusqu'ici trouvé que deux bugs. Des bugs mais pas de failles. Des bugs qui ne peuvent en tout cas pas être considérés comme des portes dérobées.

Quoi qu'il en soit, De Raadt positive. Il conclut que l'ensemble de cette affaire est plutôt bénéfique pour OpenBSD et sa communauté : « je suis content que les gens saisissent cette opportunité pour auditer une importante partie du code qui a longtemps été considérée comme sûre ».

« Cent fois sur le métier remettre son ouvrage », dit le dicton.

Les simples utilisteurs ne choisissent pas toujours le libre uniquement pour sa gratuité. Parfois, c'est plutôt par philosophie, en quelque sorte. Le partage, plutôt que la loi du marché. La mutualisation plutôt que le droit d'auteur.

Ce sont ces notions de partage et de mutualisation qui m'apparaissent en accord avec les valeurs de l'école. Un choix politique, pourrait-on dire.

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