chancat Posté(e) 20 février 2011 Auteur Posté(e) 20 février 2011 Pourquoi et pour qui selon vous est-ce un parti-pris ? Pourriez-vous développer et être plus explicite sur les souffrances que je n'aborde pas ? Par exemple la souffrance des directeurs dont le quotidien peut être pourri par un adjoint .... Le but de cette recherche de témoignages est une tentative de mise en avant de certaines situations de souffrance vécues par des enseignants au sein de leur école, qui m'ont paru importantes et rarement énoncées.
chancat Posté(e) 20 février 2011 Auteur Posté(e) 20 février 2011 Ou la souffrance d'enseignants dont la hierrachie n'est, au contraire, pas assez présente? Je ne suis pas persécutée par ma hiérarchie. Mais je ne suis pas du tout soutenue par elle. J'ai plutôt l'impression (dans mon école en tout cas) que la souffrance se situe là. Nous devons nous débrouiller tous seuls, tout le temps, face à des cas de plus en plus lourds. On peut bien avoir des élèves qui fuguent, qui font des crises extrêmement violentes, tentent de se suicider et autre, l'inspection (du moins chez moi) ne bouge jamais. On se sent un peu à l'abandon. Désolée, je ne fais pas avancer le schmilblick, c'est juste que quand j'ai vu ce sujet, je n'ai pas pu m'empêcher d'intervenir. Oui, celle-là aussi. Je n'occulte absolument pas ces problèmes majeurs auxquels sont confrontés les enseignants et qui mériteraient qu'on s'y attarde davantage. D'après les quelques témoignages que j'ai obtenus sur un autre site,il s'avère qu'il existe aussi des enseignants malmenés ou(et) abandonnés dans l'exercice de leurs fonctions. Par qui,pourquoi,comment ? Et là est mon propos. Faut-il encore le comprendre...
MaStellou Posté(e) 20 février 2011 Posté(e) 20 février 2011 Ou la souffrance d'enseignants dont la hierrachie n'est, au contraire, pas assez présente? Je ne suis pas persécutée par ma hiérarchie. Mais je ne suis pas du tout soutenue par elle. J'ai plutôt l'impression (dans mon école en tout cas) que la souffrance se situe là. Nous devons nous débrouiller tous seuls, tout le temps, face à des cas de plus en plus lourds. On peut bien avoir des élèves qui fuguent, qui font des crises extrêmement violentes, tentent de se suicider et autre, l'inspection (du moins chez moi) ne bouge jamais. On se sent un peu à l'abandon. Désolée, je ne fais pas avancer le schmilblick, c'est juste que quand j'ai vu ce sujet, je n'ai pas pu m'empêcher d'intervenir. Oui, celle-là aussi. Je n'occulte absolument pas ces problèmes majeurs auxquels sont confrontés les enseignants et qui mériteraient qu'on s'y attarde davantage. D'après les quelques témoignages que j'ai obtenus sur un autre site,il s'avère qu'il existe aussi des enseignants malmenés ou(et) abandonnés dans l'exercice de leurs fonctions. Par qui,pourquoi,comment ? Et là est mon propos. Faut-il encore le comprendre... Je l'ai bien compris, c'est ce qui m'a fait dire que le sujet était réducteur. Mais c'est votre choix.
chancat Posté(e) 21 février 2011 Auteur Posté(e) 21 février 2011 Ou la souffrance d'enseignants dont la hierrachie n'est, au contraire, pas assez présente? Je ne suis pas persécutée par ma hiérarchie. Mais je ne suis pas du tout soutenue par elle. J'ai plutôt l'impression (dans mon école en tout cas) que la souffrance se situe là. Nous devons nous débrouiller tous seuls, tout le temps, face à des cas de plus en plus lourds. On peut bien avoir des élèves qui fuguent, qui font des crises extrêmement violentes, tentent de se suicider et autre, l'inspection (du moins chez moi) ne bouge jamais. On se sent un peu à l'abandon. Désolée, je ne fais pas avancer le schmilblick, c'est juste que quand j'ai vu ce sujet, je n'ai pas pu m'empêcher d'intervenir. Oui, celle-là aussi. Je n'occulte absolument pas ces problèmes majeurs auxquels sont confrontés les enseignants et qui mériteraient qu'on s'y attarde davantage. D'après les quelques témoignages que j'ai obtenus sur un autre site,il s'avère qu'il existe aussi des enseignants malmenés ou(et) abandonnés dans l'exercice de leurs fonctions. Par qui,pourquoi,comment ? Et là est mon propos. Faut-il encore le comprendre... Je l'ai bien compris, c'est ce qui m'a fait dire que le sujet était réducteur. Mais c'est votre choix. Pour arrêter cette polémique stérile, le fait de cibler tel ou tel problème n'est pas forcément réducteur. Par contre,vos réponses le sont, elles réductrices et fermées, puiqu'elles ne sont jamais argumentées. Dommage...
Goëllette Posté(e) 23 février 2011 Posté(e) 23 février 2011 Pourquoi et pour qui selon vous est-ce un parti-pris ? Pourriez-vous développer et être plus explicite sur les souffrances que je n'aborde pas ? Par exemple la souffrance des directeurs dont le quotidien peut être pourri par un adjoint .... Le but de cette recherche de témoignages est une tentative de mise en avant de certaines situations de souffrance vécues par des enseignants au sein de leur école, qui m'ont paru importantes et rarement énoncées. Si, c'est réducteur, et en plus, vous allez parler de la seule souffrance dont on parle déjà, en évacuant celles (citées par les différents intervenants) tout aussi courantes, mais peut-être plus difficiles à admettre chez les enseignants, et dont du coup, on ne parle pas. Si le témoignage de la réalité et la globalité de la souffrance des enseignants ne vous intéresse, c'est dommage.
chancat Posté(e) 26 février 2011 Auteur Posté(e) 26 février 2011 Pourquoi et pour qui selon vous est-ce un parti-pris ? Pourriez-vous développer et être plus explicite sur les souffrances que je n'aborde pas ? Par exemple la souffrance des directeurs dont le quotidien peut être pourri par un adjoint .... Le but de cette recherche de témoignages est une tentative de mise en avant de certaines situations de souffrance vécues par des enseignants au sein de leur école, qui m'ont paru importantes et rarement énoncées. Si, c'est réducteur, et en plus,vous allez parler de la seule souffrance dont on parle déjà, en évacuant celles (citées par les différents intervenants) tout aussi courantes, mais peut-être plus difficiles à admettre chez les enseignants, et dont du coup, on ne parle pas. Si le témoignage de la réalité et la globalité de la souffrance des enseignants ne vous intéresse, c'est dommage. Les classes surchargées, le manque de remplaçants,les problèmes d'apprentissage de certains enfants,le contexte culturel et social, la suppression du RASED, les postes supprimés ou réduits, les crédits insuffisants, la formation désormais quasi inexistante ... ne seraient jamais évoqués ? Peut-être pourriez -vous me citer les sources de vos affirmations ? A cette longue liste s'ajoutent l'abus d'autorité et les pressions diverses (pour exemple, l'obstruction de certains directeurs ) qui conduisent des enseignants en dépression ou à quitter leur poste. Il arrive plus rarement qu'un chef d'établissement, insuffisamment soutenu par son supérieur hiérarchique, soit victime de manigances lâches et gratuites.
Mel(yMélo) Posté(e) 26 février 2011 Posté(e) 26 février 2011 bin didon si chaque personne qui fait part de son petit morceau de souffrance, ou de celle de collègue, se fait rembarrer aussi poliment, ça va avancer vite, ton mémoire. j'aurai été tentée de participer, mais clairement j'ai pas envie de me faire rabrouer. C'ets un point sensible, comme tu le soulignes, aussi, sans doute un poil de tact pour expliciter dès le départ la délimitation du sujet, ou ré-explliquer à tel ou telle pourquoi tu veux pas entendre parler des paretns défavorisés, explciter pouruqoi tu as fait le choix etc.. en tousc as, j'ai pas envie de me faire engueuler parce uqe ma souffrance rentre pas dans les cases, et que j'argumente pas. C'ets .on, le sujet est hypêr intéressant. Mais la forme n'invite pas bie nà la confidence parce que même si c'est un entretien façon sociologique pour celui ou celle qui parle, c'est dela confidence. c'ets pour le chercheur/la chercheuse que c'ets un sujet d'étude.
Mel(yMélo) Posté(e) 26 février 2011 Posté(e) 26 février 2011 ouais, j'ai pas relu, mes doigts ont fourché, scousatez
Goëllette Posté(e) 28 février 2011 Posté(e) 28 février 2011 Rien que le fait que vous parliez de chefs d'établissement montre que vous ne connaissez pas l'enseignement primaire public. Et je réitère mes propos (même pas peur de me faire rabrouer ! ), ce que vous décrivez comme une souffrance des enseignants (et franchement, je ne vois pas ce que la suppression des rased vient faire là-dedans, sauf pour les enseignants des rased), c'est ce qu'on sait déjà, et tout ce que tous les intervenants ont évoqué sont des souffrances tout aussi réelles et importantes, mais bien moins médiatisées, car parfois difficiles à admettre par la profession. C'est donc fort dommage que vous ayez déjà pris votre parti avant d'avoir commencé. Je pense que c'est une erreur, et si j'étais jury de mémoire, ça m'interpellerait.
rolandb Posté(e) 1 mars 2011 Posté(e) 1 mars 2011 Rien que le fait que vous parliez de chefs d'établissement montre que vous ne connaissez pas l'enseignement primaire public. Et je réitère mes propos (même pas peur de me faire rabrouer ! ), ce que vous décrivez comme une souffrance des enseignants (et franchement, je ne vois pas ce que la suppression des rased vient faire là-dedans, sauf pour les enseignants des rased), c'est ce qu'on sait déjà, et tout ce que tous les intervenants ont évoqué sont des souffrances tout aussi réelles et importantes, mais bien moins médiatisées, car parfois difficiles à admettre par la profession. C'est donc fort dommage que vous ayez déjà pris votre parti avant d'avoir commencé. Je pense que c'est une erreur, et si j'étais jury de mémoire, ça m'interpellerait. Moi je crois qu'il y a toujours eu des cheffaillons dans le métier et qu'on ne le dit pas toujours pour ne pas avoir de problèmes. Mais c'est pas une majorité.J'ai été directeur et aussi adjoint.
Goëllette Posté(e) 6 mars 2011 Posté(e) 6 mars 2011 Je ne vois pas vraiment le rapport entre le sujet et ton intervention. Et j'ai également été directrice et adjointe. Une école n'est pas un établissement et donc le directeur n'est pas un chef d'établissement. Et puis le chéfaillon, dans une école, quand il y en a un, souvent, c'est un des adjoints, qui, de part son attitude, impose ses points de vue aux autres.
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