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La revalorisation salariale des enseignants


poujohel

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Peillon qui occupe toujours autant le terrain médiatique (interview de 15 minutes sur bfm) : sur notre rémunération

http://www.bfmtv.com/bourdin-2012-vincent-peillon-actu29375.html

"Les enseignants sont mal payés, 20 % de moins que la moyenne européenne.

Il y a encore en France (...) des gens pour qui l'argent n'est pas le premier moteur...Ils en manquent et si on peut l'améliorer on le fera. Mais quand on choisit d'être professeur des écoles, on ne le choisit pas pour l'argent, chacun l'a compris!!!! On le choisit parce que l'on a une certaine idée de l'humanité, parce que l'on a une certaine idée de sa patrie, une certaine idée de l'état général, une certaine idée du service public, on a une idée de l'instruction, de la liberté de conscience...C'est tout ça qui font les valeurs d'un pays..."

Et en conclusion, la revalorisation n'est pas possible pour le moment....

Énorme !!!!

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Ben vouiiii hein, c'est bien connu : enseigner est un sacerdoce !! Si si si !!!! alors pourquoi espérer une augmentation ? un curé ne travaille pas pour l'argent, il fait ça parce qu'il aime son prochain DONC nous z'ossi, on fait ça pour tout sauf l'argent :devil:

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je suis certaine que les ministres remplissent leurs fonctions dans le même état d'esprit:une certaine idée de l'humanité...

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Voilà... tout est dit... un sacerdoce ce métier!

Et quand mon mari continue à me dire que nous sommes des privilégiés... :getlost:

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le pire c'est qu'il croit faire passer ça en nous lancant des fleurs!! Qu'il nous lance des sous oui!!!!! :D

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"Les enseignants sont mal payés, 20 % de moins que la moyenne européenne.

Il y a encore en France (...) des gens pour qui l'argent n'est pas le premier moteur...Ils en manquent et si on peut l'améliorer on le fera. Mais quand on choisit d'être professeur des écoles, on ne le choisit pas pour l'argent, chacun l'a compris!!!! On le choisit parce que l'on a une certaine idée de l'humanité, parce que l'on a une certaine idée de sa patrie, une certaine idée de l'état général, une certaine idée du service public, on a une idée de l'instruction, de la liberté de conscience...C'est tout ça qui font les valeurs d'un pays..."

moi je colle parfaitement à cette définition, si j'avais voulu faire du fric, je serai pas là; Mis je ne sai spas où je serais vu que je ne sais pas comment on choisit sa vie pour faire du fric. Autre question.

Celà dit il admet qu'on est mal payé, et moi, à l'extrai que tu cites - je n'ai pas lu ni entendu le reste, j'entends surtout qu'i la bien consceince qu'on 'et pa spayé, et que il défend notre coté sacerdotique" vis à vis des gens qui nous pensent priviligiés.

Pas choquée.

Et pas socialiste.

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"Les enseignants sont mal payés, 20 % de moins que la moyenne européenne.

Il y a encore en France (...) des gens pour qui l'argent n'est pas le premier moteur...Ils en manquent et si on peut l'améliorer on le fera. Mais quand on choisit d'être professeur des écoles, on ne le choisit pas pour l'argent, chacun l'a compris!!!! On le choisit parce que l'on a une certaine idée de l'humanité, parce que l'on a une certaine idée de sa patrie, une certaine idée de l'état général, une certaine idée du service public, on a une idée de l'instruction, de la liberté de conscience...C'est tout ça qui font les valeurs d'un pays..."

moi je colle parfaitement à cette définition, si j'avais voulu faire du fric, je serai pas là; Mis je ne sai spas où je serais vu que je ne sais pas comment on choisit sa vie pour faire du fric. Autre question.

Celà dit il admet qu'on est mal payé, et moi, à l'extrai que tu cites - je n'ai pas lu ni entendu le reste, j'entends surtout qu'i la bien consceince qu'on 'et pa spayé, et que il défend notre coté sacerdotique" vis à vis des gens qui nous pensent priviligiés.

Pas choquée.

Et pas socialiste.

Même si on a choisi ce métier par convictions fortes autour des valeurs qu'il énonce et pas pour faire du fric, on peut quand même légitimement revendiquer une rémunération décente pour vivre dans la société actuelle en reconnaissance justement de l'investissement autour des "idées" énumérées. On ne peut quand même pas nier que notre métier s'est paupérisé en terme de reconnaissance sociale et en terme de rémunération (et les deux vont sans doute de pair...). Avant, il y a longtemps, un instit faisait partie d'une certaine élite sociale et intellectuelle et avait, je crois, une rémunération de 2,5 fois le smic ; aujourd'hui, au tiers de la carrière, on doit être à 1,7 ou 1,8 fois le smic peut-être...

Personnellement, je revendiquerai l'ISOE (que touchent les professeurs de secondaire pour les conseils de classe et le suivi et l'orientation des élèves) car question suivi des élèves, nous ne sommes pas en reste du tout.

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"Les enseignants sont mal payés, 20 % de moins que la moyenne européenne.

Il y a encore en France (...) des gens pour qui l'argent n'est pas le premier moteur...Ils en manquent et si on peut l'améliorer on le fera. Mais quand on choisit d'être professeur des écoles, on ne le choisit pas pour l'argent, chacun l'a compris!!!! On le choisit parce que l'on a une certaine idée de l'humanité, parce que l'on a une certaine idée de sa patrie, une certaine idée de l'état général, une certaine idée du service public, on a une idée de l'instruction, de la liberté de conscience...C'est tout ça qui font les valeurs d'un pays..."

moi je colle parfaitement à cette définition, si j'avais voulu faire du fric, je serai pas là; Mis je ne sai spas où je serais vu que je ne sais pas comment on choisit sa vie pour faire du fric. Autre question.

Celà dit il admet qu'on est mal payé, et moi, à l'extrai que tu cites - je n'ai pas lu ni entendu le reste, j'entends surtout qu'i la bien consceince qu'on 'et pa spayé, et que il défend notre coté sacerdotique" vis à vis des gens qui nous pensent priviligiés.

Pas choquée.

Et pas socialiste.

Même si on a choisi ce métier par convictions fortes autour des valeurs qu'il énonce et pas pour faire du fric, on peut quand même légitimement revendiquer une rémunération décente pour vivre dans la société actuelle en reconnaissance justement de l'investissement autour des "idées" énumérées. On ne peut quand même pas nier que notre métier s'est paupérisé en terme de reconnaissance sociale et en terme de rémunération (et les deux vont sans doute de pair...). Avant, il y a longtemps, un instit faisait partie d'une certaine élite sociale et intellectuelle et avait, je crois, une rémunération de 2,5 fois le smic ; aujourd'hui, au tiers de la carrière, on doit être à 1,7 ou 1,8 fois le smic peut-être...

Personnellement, je revendiquerai l'ISOE (que touchent les professeurs de secondaire pour les conseils de classe et le suivi et l'orientation des élèves) car question suivi des élèves, nous ne sommes pas en reste du tout.

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"Les enseignants sont mal payés, 20 % de moins que la moyenne européenne.

Il y a encore en France (...) des gens pour qui l'argent n'est pas le premier moteur...Ils en manquent et si on peut l'améliorer on le fera. Mais quand on choisit d'être professeur des écoles, on ne le choisit pas pour l'argent, chacun l'a compris!!!! On le choisit parce que l'on a une certaine idée de l'humanité, parce que l'on a une certaine idée de sa patrie, une certaine idée de l'état général, une certaine idée du service public, on a une idée de l'instruction, de la liberté de conscience...C'est tout ça qui font les valeurs d'un pays..."

moi je colle parfaitement à cette définition, si j'avais voulu faire du fric, je serai pas là; Mis je ne sai spas où je serais vu que je ne sais pas comment on choisit sa vie pour faire du fric. Autre question.

Celà dit il admet qu'on est mal payé, et moi, à l'extrai que tu cites - je n'ai pas lu ni entendu le reste, j'entends surtout qu'i la bien consceince qu'on 'et pa spayé, et que il défend notre coté sacerdotique" vis à vis des gens qui nous pensent priviligiés.

Pas choquée.

Et pas socialiste.

Même si on a choisi ce métier par convictions fortes autour des valeurs qu'il énonce et pas pour faire du fric, on peut quand même légitimement revendiquer une rémunération décente pour vivre dans la société actuelle en reconnaissance justement de l'investissement autour des "idées" énumérées. On ne peut quand même pas nier que notre métier s'est paupérisé en terme de reconnaissance sociale et en terme de rémunération (et les deux vont sans doute de pair...). Avant, il y a longtemps, un instit faisait partie d'une certaine élite sociale et intellectuelle et avait, je crois, une rémunération de 2,5 fois le smic ; aujourd'hui, au tiers de la carrière, on doit être à 1,7 ou 1,8 fois le smic peut-être...

Personnellement, je revendiquerai l'ISOE (que touchent les professeurs de secondaire pour les conseils de classe et le suivi et l'orientation des élèves) car question suivi des élèves, nous ne sommes pas en reste du tout.

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