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Posté(e)

Aujourd'hui, je décide d'aller faire quelques emplettes dans ma grande surface préférée, afin de tenir jusqu'à dimanche soir, alimentairement parlant.

L'expédition se déroule sans anicroche, ni quelque chariot rebondissant accidentellement sur mon postérieur, ni quelque mémé ayant décidé de planter sa tente pile-poil devant les yaourts que je voulais m'accaparer.

Arrivé à la caisse, je patiente doublement : je ne suis pas le seul client, et les caissières permutent (pause oblige). Lorsque je me présente benoîtement à la hauteur de la caissière (et donc de l'appareil ayant pour fonction de détecter les éventuels cleptomanes), celui-ci décide de biper et de s'éclairer en rouge. Je regarde les caissières, elles me regardent. Voulant prouver ma bonne foi, je repasse devant ledit appareil. Je le regarde, il me regarde, et il bipe à nouveau.

Ayant attiré l'attention d'un vigile, je vide mes poches et donne mon mini sac à dos à la caissière. Rien n'y fait : l'appareil bipe derechef. Le vigile m'examine du regard, je le regarde, et me laisse passer. Et ça bipe encore ; les quidams des autres caisses me regardent, je les regarde : m'en fous, je suis innocent.

Une pensée me vient : et si j'étais tombé sur un molosse en guise de vigile, qui m'aurait demandé de le suivre afin de constater si je n'avais pas volé un slip (mon short et mon tee-shirt n'étant pas des marques vendues dans le magasin, il ne restait que cet attribut pouvant être suspect à ses yeux) ? Devant tous ces quidams qui m'auraient regardé comme un clepto ? Certaines scènes du film La Loi du Marché me viennent aussi. Bien sympa de m'avoir laissé partir, le vigile. Ou alors, il était physionomiste.

Bref : je suis allé faire des courses.

Posté(e)

c'est pas une étiquette pucée que tu aurais oublié de couper sur tes vêtements ?

c'est balot quand meme ce genre de situation !

Posté(e)

Le short est d'une marque d'un autre magasin : c'est pas possible. De plus, l'appareil à l'entrée du magasin aurait fait bip aussi.

  • 3 semaines plus tard...
Posté(e)

Ce matin réveil à 5h, les yeux qui collent. Je regarde Mr JS, oh punaise la fatigue extrême. Départ pour Orly à 6h.

Arrivée à la sécurité, je pose ma valise, ma veste, mes liquides, gels et autres aérosols. Je passe le portique. Biiiiiiiip.

Je regarde le mec, il me regarde, je le regarde, il regarde mon corps. "Par là mademoiselle". Et la ptite dame : "acceptez-vous la palpation?" Ai-je le choix?

Bon bah on me palpe et rien. "Bon vol!"

On arrive à l'embarquement. On regarde les gens, leurs valises, leurs vêtements, on se moque parfois. 7h20 début de l'embarquement.

On passe, "votre carte d'embarquement svp". Je lui donne, il scanne, il me regarde, il regarde sa collègue, je me dis que ça pue. "Vous n'êtes pas enregistrés, il n'y a pas de place" [...] Et nous voilà en train de courir jusqu'à l'embarquement.

"Désolée mesdemoiselles mais en effet il n'y a pas de place pour vous. Vous voyez là sur votre carte c'est écrit Stand By" et moi de lui répondre "non c'est écrit SBY, et je ne bosse pas à l'aéroport".

Après un bon coup de flippe, des explications qui font que personne n'a vraiment tort (nous aurions dû aller au chek in puisqu'on était en SBY. Vu qu'on ne l'a pas fait bah ils ont donné nos sièges à quelqu'un d'autre) finalement nous partons sur le vol suivant à 11h. Nous avons donc toujours notre correspondance à 16h.

Et le monsieur de nous amener dans un ascenseur, de nous donner nos cartes d'embarquement et d'ajouter: "et voilà une carte pour le salon vip, un petit déjeuner vous sera offert".

150706084235576492.jpg

Bref aujourd'hui je prends l'avion.

Posté(e)

bon tu es bien partie, ouf ! :sweatingbullets::)

Posté(e)

Et ben, dommage le stress.

Posté(e)

Tout est bien qui finit bien, heureusement.

Posté(e)

Il y a le wifi à l'appart.

Quelle journée de fou!

Départ de Lisbonne vers 15h30. On commence à atterrir sur Madère et là grosses turbulences, j'avais déjà mal au crâne mais alors là j'étais barbouillée comme jamais.

Et v'la ti pas qu'on n'atterri pas mais qu'on redécolle! Trop de vent sur Madère, on va atterrir à Porto Santo (une île à 2h30 de bateau).

Et le pilote de nous expliquer (au bout de 45 minutes d'attente dans l'avion à l'arrêt sur le tarmac) qu'on va réessayer d'atterrir sur Madère (environ 10 minutes de vol) et que s'il y a toujours trop de vent on retourne sur Lisbonne...

Là on a prié comme des folles et heureusement on a réussi à atterrir à Madère. Il y a eu bien sûr un tonnerre d'applaudissements!

A côté trouver les lignes de bus et monter le sacré dénivelé à pieds avec les valises, pour aller à l'appart, c'était du pipi de chat!

Allez au dodo je suis crevée! (même s'il est une heure de moins ici)

Posté(e)

Eh bien dis-donc, vous devez savourer ces débuts sur l'île. Bon séjour !

Posté(e)

quel début de vacances mouvementées dis donc !

profite bien :)

Posté(e)

Souvent, ça démarre mal et le séjour se déroule très bien. Comme moi à Berlin l'année dernière.

Bon séjour à toi, Justy :).

  • 1 mois plus tard...
Posté(e)

Aujourd'hui, je suis allé faire quelques emplettes à visée sustentatoire dans la grande surface la plus proche. Pour cela, j'ai pris un bus afin de me permettre, quatre arrêts plus loin, d'y accéder.

Je monte dans le bus : le chauffeur me regarde, il me regarde, nous nous disons bonjour, puis je m'en vais m'asseoir quelques mètres plus loin. Moins de trois arrêts plus tard, un voiture de la maréchaussée fait usage de sa sirène et intime l'ordre au chauffeur de s'arrêter : celui-ci obtempère. Que veulent-ils ? Qu'ai donc fait ? Aurais-je commis un impair non identifié ? J'examine les autres quidams dans le bus : que des personnes plus âgées que moi. Je ne détecte nulle présence d'un individu-à-la-mine-pas-tibulaire-mais-presque. Je regarde l'agent, il nous regarde. Ouf ! Ce n'est pas à moi qu'ils en veulent. Ni aux autres quidams : pas d'arrestation spectaculaire avec menottes et molestage en perspective.

Un des agents dit au chauffeur :

- Monsieur, vous avez grillé le feu rouge.

Le chauffeur répond benoîtement qu'il était trop près dudit feu pour freiner.

L'agent n'est pas d'accord. Le ton monte. Le chauffeur prétexte "qu'il travaille", qu'il a "un horaire à respecter" et que "c'est pas juste". Le ton monte encore : l'agent rétorque que cela ne serait pas arrivé s'il n'avait pas grillé le feu.

Et pendant ce temps, Je tergiverse. C'est ballot d'être à un arrêt du but et de rester planté. Je sais qu'à pied, j'en aurai pour 10 minutes, mais j'arriverai en sueur. Et puis l'endroit n'est pas top pour marcher. Finalement, je reste, j'ai le temps : la biiip n'est que pour lundi prochain. Je suis en vacances, que diable !

Après avoir été bloqué 20 minutes à un arrêt du but, j'arrive à destination. Le chauffeur est furax.

Bref : j'ai testé la mauvaise foi envers agent et le (probable) perdage de points sur permis par un tiers.

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