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Anecdotes des nouveaux rythmes


cleo17fr

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Activités extrascolaires moi je veux bien..

A par payantes, je ne vois pas.

Montigny, elles sont où les associations comme en Belgique qui proposent des activités? ET les locaux?

Ici à Paris, les activités périscolaires, c'est garderie dans les classes et le préau, et ce, malgré tous les intitulés qu'ils voudront y mettre pour "faire bien".

De beaux discours, de belles phrases... mais moi je voudrais bien voir du concret dans mon école, à savoir des activités dignes de ce nom.

Et je n'en vois pas.

Et puis qu'on m'explique cette récréation de 45 minutes (au plus court) par un froid de canard avant de débuter le périsco le soir...

Non désolée mais si c'est pour faire moins bien que l'école, je ne vois pas l’intérêt.

Quand je pense aux PS qui se réveillent et qui vont dans la cour....45 mn....

Montagny, puisque tu parles de la Belgique, c'est comme ça aussi?

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Il y a plusieurs corps de métiers dans les professionnels de l'enfance.

A chacun le sien, le mien, c'est enseignante, et 6h de classe par jour encadrées par un enseignant, ce n'est pas trop pour un enfant.

C'est à partir du moment où on essaie de faire croire le contraire qu'on devient irrespectueux envers les enseignants.

Après ces 6h, vous pouvez bien ajouter toute la garderie que vous voulez, puisque vous affirmez que ça, c'est très épanouissant, mais n'obligez pas les élèves à revenir à l'école le mercredi et laissez-les profiter d'une bonne journée tranquilles centre aéré, à la maison ou chez papi-mamie.

Sur ce, je vous laisse à votre militantisme aveugle.

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Sur ce, je vous laisse à votre militantisme aveugle.

Tu sais de quoi tu parles.

Ta vision de l'enseignement et de la vie de l'enfant ne me paraît pas très en adéquation avec la vraie vie des gens.

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Activités extrascolaires moi je veux bien..

A par payantes, je ne vois pas.

Montigny, elles sont où les associations comme en Belgique qui proposent des activités? ET les locaux?

Ici à Paris, les activités périscolaires, c'est garderie dans les classes et le préau, et ce, malgré tous les intitulés qu'ils voudront y mettre pour "faire bien".

De beaux discours, de belles phrases... mais moi je voudrais bien voir du concret dans mon école, à savoir des activités dignes de ce nom.

Et je n'en vois pas.

Et puis qu'on m'explique cette récréation de 45 minutes (au plus court) par un froid de canard avant de débuter le périsco le soir...

Non désolée mais si c'est pour faire moins bien que l'école, je ne vois pas l’intérêt.

Quand je pense aux PS qui se réveillent et qui vont dans la cour....45 mn....

Montagny, puisque tu parles de la Belgique, c'est comme ça aussi?

8h25-12h puis 13h25-15h30 ; 20 minutes pause puis activités, étude ou garderies dans les locaux de l'école (classes, cantines, salle de sport, cour...)

Pour les maternelles, si sieste à l'école repas à l'école obligatoire pour un coucher juste après.

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Timis

Pour la pause méridienne,surveillée par les atsem en maternelle, et les agents municipaux en primaire, Il n'existe, à ce jour, aucun texte législatif ou réglementaire
prévoyant le taux d'encadrement , ça reste au bon vouloir du maire.

http://www.territorial.fr/PAR_TPL_IDENTIFIANT/107431/TPL_CODE/TPL_ARCHIVE_FICHE/PAG_TITLE/RE%3A+%5BJuridique%5D+nombre+de+surveillants+cantine+et+cours+%E9cole%E9l%E9mentaire/131-listes-de-discussion-de-la-fonction-publique-territoriale.htm

Si la pause méridienne extensible a autant de succès, c'est pour éviter le recours à des animateurs pour qui le taux d'encadrement est réglementé - quoique revu à la baisse grâce à notre cher ministre dans l'intérêt des enfants, cela va sans dire.

On nous avait vendu des activités enrichissantes - la voile avec Rufo, la guitare sur un poney avec Peillon - le culturel, le sport, l'égalité des chances

Maintenant c'est la fête à l'occupationnel : il faut pouvoir colorier, rêver, s'ennuyer,. C'est reposant, formateur - et surtout c'est moins cher)

L'an dernier j'étais une sale corporatiste, une égoïste qui ne pensait qu'à son mercredi matin

Aujourd'hui, je ne pense plus, je suis manipulée par l'ump

Des journées de 6 heures de classe, c'est mal, c'est trop.long 5 heures 30 c'est le maximum

Mais à Paris deux fois par semaine,dans le cadre de la réforme, ces journées soi-disant épuisantes deviennent tout à fait acceptables.

On devait alléger le rythme des enfants....

Mes élèves commenceront aussi tôt, finiront aussi tard et viendront une matinée supplémentaire.

Ils passeront plus de temps en collectivité, dans de plus mauvaises conditions.

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occupationnel reposant : oui rêvasser tranquillement installé sur son lit, ou des coussins , ou dans l'herbe à inventer des formes aux nuages ... c'est beau et c'est chouette.

Mais bizarrement çà rentre moins bien dans le cadre d'un préau avec 50 petits camarades qui crient et qui chahutent (devant des adultes qui les laissent faire ce que le réglement de l'école interdit en temps normal ...)

courir : merveilleux et pas grave si c'est dans les couloirs de l'école et dans les escaliers

jouer au foot : y compris dans les classes ?

bref la réalité de ce que je vis me permet d'affirmer haut et fort : OUI 45mn dans ma classe est plus reposant que les TAP ...

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occupationnel reposant : oui rêvasser tranquillement installé sur son lit, ou des coussins , ou dans l'herbe à inventer des formes aux nuages ... c'est beau et c'est chouette.

Mais bizarrement çà rentre moins bien dans le cadre d'un préau avec 50 petits camarades qui crient et qui chahutent (devant des adultes qui les laissent faire ce que le réglement de l'école interdit en temps normal ...)

courir : merveilleux et pas grave si c'est dans les couloirs de l'école et dans les escaliers

jouer au foot : y compris dans les classes ?

bref la réalité de ce que je vis me permet d'affirmer haut et fort : OUI 45mn dans ma classe est plus reposant que les TAP ...

L'intérêt est de regarder et garder ce qui fonctionne pour encadrer la réforme.

Ce post sur les anecdotes pourrait être repris par les parents en my mettant tout ce qui foire avec les enseignants et tout le monde sauterait au plafond en criant à la manipulation !

Bref, malgré le côté politique de la chose, essayons de voir ce qui marche et de s'en inspirer.

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Ce qui marche, d'après PISA, c'est le modèle sud-coréen et chinois (enfin, côté "riche")....

Allez, pour le fun, un copier-coller de wikipédia...

Le système scolaire coréen est semblable à celui du Japon. En effet, il est divisé en 5 niveaux : jardin d'enfants et primaire, collège, lycée et université :

  • le jardin d'enfants : (2-3ans) de 3 à 6 ;
  • l'école primaire : (6ans) de 6-7 à 11-12 ;
  • le collège : (3ans) de 12-13 à 14-15 ;
  • le lycée : (3ans) de 15-16 à 17-18 ;
  • l'université : représente les quatre dernières années du schéma éducatif.

L’année scolaire, qui débute en mars, se déploie en plusieurs semestres, ceux-ci séparés par les vacances d’été (en juillet et août) qui marquent la transition entre le premier semestre (de mars à fin juin) et le second semestre (de septembre à février), lequel se termine par les vacances d’hiver (fin décembre jusqu'à début février) ; enfin, les vacances de printemps (souvent la première semaine de mars) précèdent la rentrée. Depuis 2012, les écoles primaires et les collèges n'ont plus tenu les cours le samedi.

Il y a des écoles mixtes mais aussi des écoles uniquement pour filles ou pour garçons. De plus, les élèves portent généralement l’uniforme propre à leurs écoles.

Généralement, les matières les plus importantes sont les mathématiques, les sciences, le coréen, les études sociales et l'anglais. L'éducation physique est normalement considérée moins importante.

L'uniforme

En Corée, presque tous les lycéens et les collégiens portent l'uniforme de leur école. Le port de l'uniforme a été instauré à l'école à la fin du XIX siècle, lors de l' occupation japonaise en Corée. L’uniforme était alors utilisé pour contrôler les étudiants coréens. Après cela, il est devenu un vestige de l' impérialisme japonais, mais depuis 1986, on le porte à nouveau. Les uniformes des écoles sont faits pour améliorer la vie de la communauté scolaire mais ils sont généralement très chers. Pour chaque saison, il y a un type d'uniforme scolaire ; et chaque école décide la date où les élèves changent leurs uniformes. Une nouvelle polémique en rapport avec les uniformes scolaires a vue le jour récemment ; en effet, les étudiantes sud-coréennes sont dans le collimateur des autorités chargées de l'éducation en Corée du Sud (pays où les mœurs restent très pudiques) parce qu'elles portent des jupes courtes. En effet, ces jupes ont subi un raccourcissement de 10 à 15 centimètres en 10 ans. Les autorités envisagent de prendre certaines mesures mais le coût d’une telle démarche s'élève presque aussi haut que l'ourlet des jupes de ces jeunes étudiantes. La fédération des professeurs de la province s'est prononcée sur le sujet : selon elle, il s'agit d'un gaspillage d'argent public, et il serait plus judicieux de faire appliquer une loi sur les uniformes scolaires.

L'éducation sud-coréenne en chiffres

Selon CIA World Factbook, le taux d'alphabétisation des personnes âgées de plus de 15 ans en Corée du Sud est 97,9 % en 2012 (soit 99,2 % pour les hommes et 96,6 % pour les femmes)1.

Le jardin d'enfant

Le jardin d'enfant n'est pas comptabilisé dans le schéma éducatif annuel. Les parents envoient donc leurs enfants dans des organismes privées. Beaucoup de ces jardins ont une classe anglophone et certains font même un apprentissage presque entièrement en anglais.

L'enseignement primaire

Les coréens commencent leur scolarité généralement vers 6 ans à l’école maternelle, qui n’est pas obligatoire. Cette étape ne dure qu’un an et, elle est suivie par l’école primaire qui elle, est obligatoire. Celle-ci se déroule en six années et ils ne sont pas sanctionné par un examen final.

L'école primaire

Habituellement, le professeur de classe enseigne la majorité de matières. Mais, il existe des professeurs spécialisés dans certains domaines comme l'éducation physique et les langues étrangères.

L'enseignement secondaire

Au bout des six années de primaires, l’élève entame ses études secondaires. Elles sont séparées en deux parties (collège et lycée), chacune se déroulant en trois ans : les sud-coréens, fraîchement sortis des primaires entrent d’abord au collège à l’âge de treize ans et au lycée à l’âge de 16 ans.

Le collège

À la plupart du collège, les coiffures et les uniformes sont assez strictement renfoncé selon des règles et certains aspects de la vie des étudiants sont contrôlés hautement. Comme l'école primaire, les étudiants passent le jour dans la même classe avec des mêmes camarades de classe, désormais, ils ont des professeurs différents pour chaque matière.

Le lycée

Arrivés au lycée, les étudiants travaillent très dur afin d’obtenir de bonnes notes pour pouvoir entrer dans les meilleures universités : le classement des universités sud-coréennes étant très important.

Même si le lycée n'est pas obligatoire en Corée du sud, selon une étude d'OCDE de 2005, 97 % de jeunes coréens entrent aux lycées. Environ 30 % de lycéens vont aux lycées professionnels.

L'enseignement supérieur

L'université

L’entrée à l’université, qui constitue est une sorte de libération pour les étudiants, dépend des résultats obtenus aux examens. Ainsi la pression vécue lors des études secondaires s’estompe et ils abandonnent l’uniforme. De plus, le fait d’entrer à l’université est synonyme de majorité ; dès lors, ils peuvent accomplir de nombreuses choses interdites aux mineurs comme entrer dans un bar. Les études universitaires se déroulent généralement en quatre ans et permet d'obtenir un premier diplôme équivalant à la licence française, néanmoins il existe aussi des études plus longues mais celles-ci ne sont accessibles qu’aux élèves ayant obtenu les meilleures notes lors des examens finaux des secondaires. Lorsque les étudiants commencent leurs stages, la concurrence recommence et la pression s’accentue de nouveau.

Problèmes

Surcharge de travail

Les hagwons sont des instituts privés où des professeurs payés à prix d'or préparent les élèves aux examens souvent jusqu'à minuit ou au-delà. Avec 50 heures d'études par semaine en moyenne, les écoliers du pays du Matin-Calme sont les plus assidus de l' OCDE (L'Organisation de Coopération et de Développement Économiques). C’est cette assiduité qui serait la clé des excellents résultats de la Corée ; elle se positionne en effet au deuxième rang, derrière la Chine et devant la Finlande . Les autorités cherchent en permanence à améliorer la compétitivité du système sous la pression de parents qui voient dans la réussite scolaire la clé de l'ascension sociale.

C’est comme cela qu’après avoir démarré la journée de cours vers 8 heures, les étudiants poursuivent leur journée avec des études supplémentaires. Vers 21 h 30, des bus les attendent pour les emmener vers les hagwons. Ils entament alors une deuxième journée de cours. Lors de leur dernière année du secondaire, ils ne dorment que cinq heures par nuit et ont moins d'une heure de temps libre par jour. Ce véritable système éducatif parallèle oblige les enfants à des journées de quinze heures de cours, voire plus. Son objectif est de préparer l'examen d'entrée à l'université, le sooneung , l'épreuve la plus importante de la vie d'un jeune Sud-Coréen. En Corée, le diplôme universitaire est une garantie de prestige social et de bon emploi.

Évidemment, cette surcharge de travail à un prix; selon un sondage réalisé en 2009, un tiers des lycéens dort pendant les cours obligatoires. Les enfants sont épuisés, stressés, aigris. Les parents veulent toujours plus de notes, de résultats. Leurs enfants deviennent des marchandises et leur santé psychologique est mise en danger. Autres effets négatif du système : un esprit critique peu développé et peu créatif, ainsi qu’un manque de réactivité en classe ; les élèves deviennent amorphes.

Une alternative

Pour échapper à la pression des études, de plus en plus de jeunes se dirigent vers des voies plus artistiques. En effet la Hallyu , a permis à la musique sud-coréenne, la K-Pop de se propager en une dizaine d’années vers ses pays voisins et, peu à peu, vers le reste du monde ; ce qui a aidé les boys et girls’ bands d’accroitre leur popularité et ainsi faire rêver des millions d’adolescents.

Néanmoins, les avantages de ces stars font polémique, notamment au niveau universitaire. En effet, de nombreuses stars ne doivent pas payer leurs frais de scolarité, malgré leur salaire élevé. Ces universités leur octroient des bourses pour revaloriser leur image. Les étudiants se disent choqués et vivent cela comme une injustice, notamment parce que certaines de ces stars ne viennent que très rarement en cours et reçoivent tout de même leur diplôme, alors que les étudiants « normaux » se tuent à la tâche pour n’obtenir que des résultats satisfaisants.

Persécutions

La Corée du Sud, comme son pays voisin le Japon (voir Ijime), présente de nombreux cas de persécutions dans ses écoles. Il n’est effectivement pas rare qu’un élève soit pris pour cible. Les violences infligées à la victime peuvent être physiques et morales. Celle-ci, ne pouvant parfois pas assumer le poids des atrocités qu’elle subit, finit par se donner la mort. [réf. nécessaire]

Pour faire prendre conscience à la population de la gravité de la situation, certains dramas ont dénoncé ce problème comme LIFE, adapté du manga Life de Keiko Suenobu, Boys Over Flowers, qui est l’adaptation coréenne du manga Hana yori dango de l'écrivaine japonaise Yōkō Kamio ou encore Nobuta wo produce .

Suicides

Depuis quelques années, le nombre de suicides d’adolescents est en forte augmentation. Ces suicides sont causés par un stress lié à des problèmes familiaux, des dépressions, mais aussi, dans beaucoup de cas, à des pressions d’ordre scolaire. On observe ce phénomène dans le milieu universitaire, ainsi qu'au collège. [réf. nécessaire]

En moyenne, plusieurs dizaines de coréens font une tentative de suicide chaque jour à cause de la pression scolaire qui y est extrêmement conséquente, et où l'on travaille plus que dans tout autre pays de l'OCDE.

Malgré de nombreuses tentatives de la part du gouvernement pour empêcher le phénomène de s’accentuer, le nombre de suicides ne cesse de s’accroître.

Solutions

Pour éviter l’effondrement d’un système éducatif qui montre ses limites, la Corée du Sud a décidé d’inciter ses entreprises à engager du personnel peu diplômé. Certaines d’entre elles ont répondu positivement à cet appel comme par exemple des chantiers navals du groupe Daewoo, qui engageront des bacheliers pour ensuite les former. Ces efforts sont nécessaires, malgré tout, la plupart des grandes entreprises coréennes sont plus réticentes à les fournir, ce qui est expliqué par le fait que leurs managers appartiennent à la génération pour laquelle « les diplômes font tout ». Autre piste de réforme pour le gouvernement : réguler le marché des cours privés. En limitant les horaires dans les hagwon, on limite aussi les dépenses des familles et la surenchère qui favorise les plus riches aux dépens de la santé de leurs enfants. Cependant, le véritable changement ne pourra venir que de la jeunesse coréenne elle-même. On peut déjà observer les prémices d’une contestation : de plus en plus d’étudiants remettent en question les pratiques éducatives mises en place, mais sortir du système reste difficile.

Oui, regardons ce qui se fait ailleurs et ne tombons pas dans le piège... Ce n'est pas parce que ça marche que c'est bien.

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Si je comprends bien en Corée ils font cours du 7 mars environ à fin juin puis 2 mois de vacances, puis cours en septembre octobre novembre decembre vacances fin décembre et tout janvier, cours en février et fin de l'année scolaire

J'aimerais bien en savoir plus sur le temps d'heure de classe etc....

Le problème principal des systèmes scolaires asiatiques c'est la pression mise sur les enfants dès le plus jeune age pour être le meilleur.

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