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8h20-8h30 et 13h20-13h30 : non à 20 minutes quotidiennes de bénévolat


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Posté(e)

L'an passé les remplaçants qui sont passés par l'école et ont travaillé le mercredi et sur des journées de 6 heures les autres jours ont tous récupéré leurs heures.

Posté(e)

Oui mais ça, c'était avant...

Posté(e)

L'an passé les remplaçants qui sont passés par l'école et ont travaillé le mercredi et sur des journées de 6 heures les autres jours ont tous récupéré leurs heures.

...entre le 15 juin et le 5 juillet ?

droopy_1.jpg

Posté(e)

L'an passé les remplaçants qui sont passés par l'école et ont travaillé le mercredi et sur des journées de 6 heures les autres jours ont tous récupéré leurs heures.

L'an passé les remplaçants qui sont passés par l'école et ont travaillé le mercredi et sur des journées de 6 heures les autres jours ont tous récupéré leurs heures.

...entre le 15 juin et le 5 juillet ?

droopy_1.jpg

Voilà exactement !!Si on ne choisit pas le jour ou si on n'a pas de compensation financière, c'est vraiment de l'arnaque. Dans le secondaire, les heures sup sont payées; il parait qu'on a le même statut...

Posté(e)
COMMUNIQUÉ SNUDI-FO DU 28 AOÛT 2014
Le décret HAMON sur les obligations de service des TR et des PE exerçant sur plusieurs écoles, c’est la déréglementation généralisée !
LE SNUDI-FO DEMANDE L’ABROGATION IMMÉDIATE DE CE DÉCRET ANNUALISANT ET AUGMENTANT LE TEMPS D’ENSEIGNEMENT DE CES PERSONNELS
vendredi 29 août 2014

Comme l’avait dénoncé notre syndicat avant même le début de la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires, les décrets PEILLON / HAMON ne pouvaient qu’aboutir à la remise en cause de la réglementation fixant les obligations de service des PE.

Les décrets Peillon-Hamon destructeurs du statut

Ces décrets débouchent sur des horaires quotidiens différents d’une école à une autre, leur application est contradictoire avec le décret 2008 – 775 du 30 juillet 2008 qui fixe à 24 heures le nombre hebdomadaire d’heures d’enseignement pour chaque PE.

Les craintes de notre syndicat viennent d’être totalement confirmées. Ainsi le 20 août 2014, pendant les congés, l’ex-ministre HAMON a signé un décret qui autorise l’administration à déroger à la réglementation en matière d‘obligation de service pour les Titulaires Remplaçants et les PE chargés d’un service partagé [1].

Ainsi le décret N°2014-942 stipule dans son article 3-2 :

« Art. 3-2. – I. – Les personnels enseignants du premier degré chargés soit de fonctions de remplacement soit de l’accomplissement d’un service hebdomadaire partagé entre plusieurs classes d’une même ou de différentes écoles assurent les heures d’enseignement auxquelles les élèves des classes où ils interviennent ont droit.

Leur service hebdomadaire ne peut cependant comprendre à la fois les journées du mercredi et du samedi.

II. – Les heures d’enseignement accomplies au cours de l’année scolaire en dépassement des obligations de service hebdomadaire auxquelles ils sont tenus en application de l’article 1er du présent décret donnent lieu, au cours de cette même année, à un temps de récupération égal au dépassement constaté. Les modalités qui régissent les temps de récupération sont arrêtées par l’autorité académique après avis du comité technique spécial départemental et leur mise en oeuvre donne lieu à un bilan annuel.

III. – L’autorité académique définit le calendrier des temps de récupération dans l’intérêt du service et après consultation de l’agent. »

Jusqu’à 27 heures d’enseignement hebdomadaire

Concrètement, cela signifie pour ces enseignants qu’ils pourraient enseigner jusqu’à
27 heures par semaine. Il s‘agit donc d’une possibilité d’augmentation du temps de
service sans précédent de ces personnels, gérée de plus, de manière annuelle sans réelle obligation pour l’employeur l’Education Nationale de leur permettre de récupérer les heures supplémentaires.

Sans garantie pour la récupération

En effet, le calendrier de récupération devant être fixé dans l’intérêt du service, compte tenu de la pénurie de postes, en particulier de remplaçants, nous pouvons affirmer avec certitude que l’Education Nationale n’est pas en mesure d’assurer systématiquement la récupération de ces heures supplémentaires [2].

De plus les modalités de discussion pour la récupération instaurent une individualisation des personnels avec l’employeur.

Annualisation et augmentation du temps d’enseignement sans garantie de récupération : c’est une triple peine dont vont être victimes ces personnels.

Les principes de la fonction publique remis en cause

De plus, en fixant les obligations de service de ces personnels en fonction des missions et non plus en fonction de leur appartenance à un corps de fonctionnaire, ce décret remet en cause les principes fondateurs du statut général de la Fonction publique.

Une seule issue : l’abrogation des décrets Peillon-Hamon

Ainsi il ouvre la porte non seulement à la remise en cause des obligations de service des TR et des PE exerçant sur plusieurs écoles, mais à celles de tous les PE, et au delà à la remise en cause du statut général de la Fonction Publique.

Le SNUDI FO considère qu’il y a donc urgence à abroger ce décret comme les décrets
Peillon-Hamon sur la réforme des rythmes scolaires à l’origine de cette déréglementation généralisée.

Avec la FNEC FP FO il va s’adresser dans ce sens à la ministre de l’E.N.
Il appelle tous ses syndicats départementaux à réunir dès la rentrée les personnels pour les mobiliser afin d’exiger également l’abrogation de ce décret scélérat.

Montreuil, le 28 août 2014

[1] 1 - Rappelons qu’au Comité Technique Ministériel du 9 avril 2014 lors du vote sur ce texte qui n’était encore qu’un projet, FO, CGT, FSU, SUD ont voté contre ce texte alors qu l’UNSA et la CFDT votaient pour, apportant une nouvelle fois leur soutien aux orientations ministérielles.

[2] 2 - Il suffit d’ailleurs de constater que par exemple dans les hôpitaux ce sont des centaines de milliers d’heures de RTT non prises que les dirctions doivent aux agents hospitaliers et qu’elles sont incapables d’honorer.

Posté(e)

Les remplaçants ont choisi leur jour sous réserve de ne pas demander la veille.

Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre. Vous avez décidé que rien ne marche, ni ne marchera ......

Posté(e)

Les remplaçants ont choisi leur jour sous réserve de ne pas demander la veille.

Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre. Vous avez décidé que rien ne marche, ni ne marchera ......

Ah, ben ce n'est pas du tout ce que m'a laissé entendre la secrétaire de circo...Si là aussi c'est différent selon les endroits, ce que je crains, on a la totale...

Posté(e)

Les remplaçants ont choisi leur jour sous réserve de ne pas demander la veille.

Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre. Vous avez décidé que rien ne marche, ni ne marchera ......

Pour l'instant, on gagne, ça ne marche pas... :)

Posté(e)

J'ai rattrapé deux jours de dépassement l'an dernier (j'étais brigade sur plusieurs écoles à 4jours et 4.5 jours) et j'ai choisi la date .... On verra si c'est encore ok cette année ...

Posté(e)

J'ai rattrapé deux jours de dépassement l'an dernier (j'étais brigade sur plusieurs écoles à 4jours et 4.5 jours) et j'ai choisi la date .... On verra si c'est encore ok cette année ...

Je sais déjà ce que je vais choisir: les mercredis matin lol !(si ça compte pour une demie journée !) :sort:

Posté(e)

Les remplaçants ont choisi leur jour sous réserve de ne pas demander la veille.

Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre. Vous avez décidé que rien ne marche, ni ne marchera ......

Pour s'entendre, il faut s'écouter et accepter que l'autre ait un avis différent.

Ce n'est pas parce que cela ne marche pas dans le village X que cela ne marche pas dans le village Y.

Mais l'inverse est vrai aussi.

A un moment donné, il faut accepter la différence mais aussi avoir de l'empathie pour ceux qui vivent dans la difficulté.

Ce n'est pas un choix de leur part et il faut là aussi accepter et comprendre. Et visiblement, cela reste un exercice difficile pour beaucoup.

Il faut comprendre ceux qui souffrent et ne pas se contenter d'un déni de leur souffrance et, encore moins, leur reprocher cette souffrance au simple titre que nous ne souffrons pas nous-mêmes.

Tout cela pour dire que notre métier devient de plus en plus difficile, qu'il y a de plus en plus d'enseignants qui souffrent pour des raisons multiples, que cette réforme (et surtout l'ensemble des conséquences qui y sont liées) accentue encore ce mal-être et que notre profession se déchire encore un peu plus car ceux qui doivent protéger les enseignants en souffrance sont soit responsables, soit démissionnaires.

"Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre. Vous avez décidé que rien ne marche, ni ne marchera ......"

Certains ont décidé que tout marchait bien, alors tout marche bien. Est-ce être moins sourd?

Aucune de ces deux extrémités n'est la bonne.

Quand sera-t-il décidé que, quelle que soit la doctrine, quelle que soit la politique, c'est avant tout ce qui se passe sur le terrain qui compte. Tant mieux si cela marche ici, mais que faire pour les endroit où cela ne marche pas? Et ce n'est pas qu'une histoire de volonté. Ce serait si simple si ce n'était que cela.

Ecoutez les autres, écoutez-les vraiment et cherchez à les comprendre plutôt qu'à les juger.

Posté(e)

Sauf qu'1 heure sup n'égale pas une heure normale!

Toute heure sup devrait être compensée ou payée plus...

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