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Revue de presse sur les rythmes


dameoiselle

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Il est quand même préférable que ce soit les CE qui décident plutôt que les mairies, à choisir, non ?

ET nous à paris on serait les seuls c*** a rester à 5 jours? :cry:

Eh oui, c'est ça d'habiter à la capitale !

Au fait, est-ce vrai que votre mairesse a eu un fils avec le Président ?

Hein? :blink:

On me l'a appris aujourd'hui, donc ce n'est pas un poisson.

Ils auraient ensemble un enfant.

Cela dit, j'ai eu la flemme de vérifier, mais je pensais que tout bon Parisien ne pouvait l'ignorer ... :chris:

Donc je viens de googliser et il y a plein d'articles qui en parlent. En voici un pris au hasard :

http://www.lexpress.fr/region/francois-hollande-anne-hidalgo-et-l-etrange-rumeur_1282229.html

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Les Parisiens ne sont peut-être pas tous friands des ragots colportés par l'UMP à chaque fois qu'Anne Hidalgo est candidate...

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Les Parisiens ne sont peut-être pas tous friands des ragots colportés par l'UMP à chaque fois qu'Anne Hidalgo est candidate...

Sans être friand, c'est tout de même un festival ce méli-mélo entre eux!!!

La croisière s'amuse...

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Le copain qui m'a affirmé ça est ... socialiste. ;)

On trinquait au départ de VP en "potinant" sur le gouvernement.

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Le Point

2/04/13

http://www.lepoint.fr/societe/remaniement-comment-les-rythmes-scolaires-ont-eu-la-peau-de-vincent-peillon-02-04-2014-1808278_23.php

Remaniement : comment les rythmes scolaires ont eu la peau de Vincent Peillon

"[...] Malgré ses fautes politiques sur la réforme des rythmes scolaires, Vincent Peillon n'a cependant pas laissé qu'une mauvaise impression. Gérard Aschieri, ancien secrétaire général de la FSU, juge avec le recul que Peillon peut se prévaloir d'un bon bilan : "Il a fait voter sa loi d'orientation, il a lancé sa politique sur l'éducation prioritaire, il a mené une discussion sur le service des enseignants du second degré. Un certain nombre de ses prédécesseurs n'ont pas lancé de chantiers de cette ampleur." Des dossiers dont il n'appréciera finalement pas lui-même les effets sur le terrain, et dont on ne peut pas encore dire s'ils seront porteurs de réussite.

Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU, salue lui le "changement de cap, mais aussi de ton" impulsé par Peillon, grâce à qui "l'école n'était plus vue comme une contrainte budgétaire, mais comme un investissement prioritaire". Le "ton" : voilà encore un point sur lequel tous les acteurs s'accordent. La méthode Peillon, basée sur le dialogue social, a été très appréciée. Ici, on évoque le "ministre de proximité", qui a plus vu les syndicats "que ses six prédécesseurs réunis" (SE-Unsa). Là, on parle d'un ministre "ouvert" qui a permis un espace de concertation pour l'école (SNUipp-FSU).

[...]

Au SE-Unsa, Christian Chevalier ose demander clairement que "le travail entamé se poursuive", espérant que le prochain ministre de l'Éducation nationale sera "volontariste, réformiste et ouvert au dialogue social, aura une vision éducative et progressiste de l'école". N'étaient-ce pas là justement les qualités reconnues unanimement comme étant celles de Peillon ? "Il n'y a pas de ministre idéal, mais il a clairement posé des rails qui vont dans le bon sens", admet Christian Chevalier. Et de conclure d'un éloquent : "C'est toujours quand un ministre s'en va qu'on se rend compte qu'il n'était pas si mauvais." Quel gâchis ! [...]

Ces "syndicalistes" sont de véritables raclures de chiottes...

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J'adore ce passage :

La méthode Peillon, basée sur le dialogue social, a été très appréciée.
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Oh, non, non, rassurez-vous, il n'y a pas que Paris qui bosse le mercredi....

Nous avons l'énorme privilège de bosser aussi les mercredis....AUCUNE activité prévue, juste 30 mn de périsco en plus pour les enfants. Aucun couac, tout est très bien organisé.....le périsco passe à 15h45. Les insatisfaits ne bronchent pas...et moi, je me demande à combien vont partir les rares postes dans la commune voisine où le maire a juré qu'il irait en prison plutôt que d'appliquer la réforme...(enfin, ça, c'était AVANT de se faire réélire....)

J'espère JUSTE qu'ils ne vont pas laisser le choix aux communes...parce que le maire est bien capable de rester aux 4 jours et demi, histoire de montrer le bon exemple....

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En tout cas , Hamon doit trancher et ça urge ! Quant aux déclarations de l'UNSA, du SGEN ou de la FCPE, elles sont complètement à l'opposé de ce que pense l'immense majorité des PE, personnels communaux, maires eux-mêmes et parents....C'est fou d'être obstiné à ce point pour cette réforme coûteuse (et d'ailleurs non finançable !), totalement inefficace et nocive...

Bon, on a déjà eu la peau de l'ours reste à ...en faire une descente de lit !

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Le Point

2/04/13

http://www.lepoint.fr/societe/remaniement-comment-les-rythmes-scolaires-ont-eu-la-peau-de-vincent-peillon-02-04-2014-1808278_23.php

Remaniement : comment les rythmes scolaires ont eu la peau de Vincent Peillon

"[...] Malgré ses fautes politiques sur la réforme des rythmes scolaires, Vincent Peillon n'a cependant pas laissé qu'une mauvaise impression. Gérard Aschieri, ancien secrétaire général de la FSU, juge avec le recul que Peillon peut se prévaloir d'un bon bilan : "Il a fait voter sa loi d'orientation, il a lancé sa politique sur l'éducation prioritaire, il a mené une discussion sur le service des enseignants du second degré. Un certain nombre de ses prédécesseurs n'ont pas lancé de chantiers de cette ampleur." Des dossiers dont il n'appréciera finalement pas lui-même les effets sur le terrain, et dont on ne peut pas encore dire s'ils seront porteurs de réussite.

Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU, salue lui le "changement de cap, mais aussi de ton" impulsé par Peillon, grâce à qui "l'école n'était plus vue comme une contrainte budgétaire, mais comme un investissement prioritaire". Le "ton" : voilà encore un point sur lequel tous les acteurs s'accordent. La méthode Peillon, basée sur le dialogue social, a été très appréciée. Ici, on évoque le "ministre de proximité", qui a plus vu les syndicats "que ses six prédécesseurs réunis" (SE-Unsa). Là, on parle d'un ministre "ouvert" qui a permis un espace de concertation pour l'école (SNUipp-FSU).

[...]

Au SE-Unsa, Christian Chevalier ose demander clairement que "le travail entamé se poursuive", espérant que le prochain ministre de l'Éducation nationale sera "volontariste, réformiste et ouvert au dialogue social, aura une vision éducative et progressiste de l'école". N'étaient-ce pas là justement les qualités reconnues unanimement comme étant celles de Peillon ? "Il n'y a pas de ministre idéal, mais il a clairement posé des rails qui vont dans le bon sens", admet Christian Chevalier. Et de conclure d'un éloquent : "C'est toujours quand un ministre s'en va qu'on se rend compte qu'il n'était pas si mauvais." Quel gâchis ! [...]

Ces "syndicalistes" sont de véritables raclures de chiottes...

:scratch: Bah je sais pour qui je ne voterai pas aux prochaines élections pro...

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