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Posté(e)

Probablement qu'ils seront même récompensés pour leurs bons et loyaux services dans un premier temps. Attendons quand même qq temps, histoire de voir comment ils vont gérer le désastre en septembre à moins que , et je crois que ce serait salutaire pour tout le monde , cette réforme- pagaille ne soit abrogée avant. ;)

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Le mieux est de les laisser en première ligne, comme ils nous ont abandonnés face à la RGPP et aux surenchères démagogiques des sarkozistes.

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Oui, je suis tellement en rage que je ne risque pas de les défendre. Un peu comme cette histoire "d'ABCD de l'égalité", pas de quoi fouetter un chat mais je ne la défendrais pas non plus; Peillon a piétiné le" b.a.-ba de l'école républicaine" :unsure:. On se fait avoir donc je veux qu'il échoue. Comme ses amis. :devil:

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Varmatin

02/02/14

http://www.varmatin.com/brignoles/appel-au-boycott-et-a-la-manif-a-toulon-contre-la-reforme-des-rythmes-scolaires.1564704.html

Appel au boycott et à la manif à Toulon contre les rythmes scolaires

Mouvement spontané et apolitique à l’initiative de parents contre la réforme, les gilets jaunes de «CLRDRS» tiennent à se faire entendre, pour obtenir le retrait de la réforme des rythmes scolaires.

Propagé en grande partie sur les réseaux sociaux, le mouvement est fédérateur, puisque le groupe national compte près de 50000 membres, tandis que le groupe "83-13" (Var et Bouches-du-Rhône) en compte près de 2000. La mobilisation est enfin décliné en groupes municipaux, comme par exemple à Saint-Zachariee où une centaine de personnes en sont membres.

« CLRDRS » invite les parents à deux actions nationales cette semaine pour exprimer leur opposition.
Tout d’abord une journée de boycott des écoles, ce vendredi 7 février. Il s’agit de la deuxième du genre après celle du 13 novembre.
Le lendemain, samedi, la deuxième action se jouera à Toulon, avec un rassemblement de tous les « gilets jaunes », place de la Liberté, à 10 heures

.
A l’image d’Amandine, maman animant le «CLRDRS» de Saint-Zacharie, le mouvement appelle « tous les parents opposés à la réforme à nous rejoindre, en participant à ces deux rendez-vous, et/ou en prenant part aux groupes sur les réseaux sociaux, et en en créant commune par commune. Pour faire entendre raison au gouvernement, seul le nombre peut faire la différence ».

Plus de renseignements sur www.cirdrs.fr et sur Facebook, le groupe «Contre le reforme des rythmes scolaire departement 13 /83»

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Justement, rappelons qu'il ne faut surtout pas confondre les raisons des boycotts !! Parce que c'est ce que tente de faire Peillon (en allumant des contre-feux !)

Avant de créer (maladroitement) "l'ABCD de l'égalité garçons/filles", qu'il médite déjà sur le b.a.-ba de l'école laïque et républicaine !

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Justement, rappelons qu'il ne faut surtout pas confondre les raisons des boycott !! Parce que c'est ce que tente de faire Peillon (en allumant des contre-feux !)

+1

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Ah, c'est rare, :) mais je fais partie du groupe majoritaire !

Posté(e)

Un extrait de l'analyse de Marie-Caroline Missir :

Les réformes importantes menées par Vincent Peillon - le rétablissement de la formation des enseignants, la loi de refondation de l'école, les "plus de maitres que de classes" en primaire, la création d'un conseil national des programmes et d'une instance d'évaluation du système éducatif, et le chantier des ZEP - n'ont pas réussi à "imprimer" dans l'opinion, ni à incarner la refondation attendue par le monde éducatif.

Restent les polémiques, qui elles ont durablement entaché la crédibilité et l'image d'un ministre franc-tireur, amateur de coups politiques et à la parole incontrôlable. Après sa prise de positon pour la dépénalisation du cannabis en octobre 2012 le ministre s'était astreint à une diète médiatique. La polémique sur l'ABCD de l'égalité, et sa déclaration à l'Assemblée nationale - Vincent Peillon a affirmé être opposé à la "théorie du genre" à l'école, utilisant maladroitement la terminologie de ses adversaires - auront le même effet.

En savoir plus sur

Pour Marie-Caroline Missir, c'est bien Benoît Hamon qui est pressenti pour le remplacer :

Bref la messe est dite et Vincent Peillon le sait.
Ses potentiels successeurs se préparent. Benoît Hamon, discret ministre délégué à la Consommation, a pris les devants.
Il a déjà rencontré la FSU.

http://www.lexpress.fr/education/peillon-mauvais-ministre-les-raisons-du-desamour_1319665.html

Yes ! Si la messe est finie, je vais déjà mieux me sentir !lol!!

Posté(e)

Le Parisien

02/02/14

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/peillon-un-ministre-tres-clivant-02-02-2014-3551193.php

(article payant)

Peillon, un ministre très clivant

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"C’est la nouvelle tête de Turc des partisans de la Manif pour tous. Depuis quelques semaines, Vincent Peillon a détrôné Christiane Taubira sur les forums Internet de la nébuleuse réac. En cause : l’enseignement à titre expérimental dans 600 classes des ABCD..."

Justement, rappelons qu'il ne faut surtout pas confondre les raisons des boycotts !! Parce que c'est ce que tente de faire Peillon (en allumant des contre-feux !)

Avant de créer (maladroitement) "l'ABCD de l'égalité garçons/filles", qu'il médite déjà sur le b.a.-ba de l'école laïque et républicaine !

Peillon serait fichu de tourner ça à son avantage, se posant en rempart face à la droite bien réac.

Posté(e)

Peillon "mauvais ministre": les raisons du désamour

Par Marie Caroline Missir, publié le

02/02/2014 à 16:49

Le ministre de l'Education nationale serait un "mauvais ministre" pour six Français sur dix, selon un sondage publié dimanche par Le Parisien. Retour sur un gâchis.

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53

le-ministre-de-l-education-vincent-peill

Vincent Peillon est un "mauvais ministre de l'Education nationale" pour 62% des Français, selon un sondage BVA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France ce dimanche.

afp.com/Alain Jocard

Le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon est en passe d'incarner l'implacable loi de la Rue de Grenelle. Depuis vingt ans, quel que soit ses antécédents, son niveau de préparation, ou son appartenance politique, rares sont les ministres qui soient parvenus à transformer l'essai du ministère de l'Education nationale. Xavier Darcos s'y est brûlé les ailes, poussé dehors par la contestation lycéenne. Même destin pour François Fillon, qui n'a pas résisté aux manifestations contre sa réforme du bac. Avec Vincent Peillon, pas de lycéens dans la rue, mais le constat d'une immense opportunité gâchée un peu moins de deux ans après son entrée au gouvernement, ses 58 000 postes supplémentaires sous le bras.

Des réformes qui "n'impriment" pas dans l'opinion

Comment expliquer de si mauvais sondages, alors que le ministre n'a en rien bousculé le système éducatif ? Certes la réforme des rythmes scolaires a suscité l'opposition d'une partie du monde enseignant, des résistances de la part des collectivités territoriales, et des critiques sur la méthode. Mais depuis son entrée en fonction, Vincent Peillon a eu à coeur de soigner le syndicat majoritaire, la FSU, accédant à toutes ses demandes. La réforme du métier enseignant ? Diluée à coup de primes et de revendications catégorielles. La modification du temps de travail des professeurs de prépas ? Ajournée. L'expérimentation d'une école du socle commun ? Supprimée du projet de loi sur l'école.

Les réformes importantes menées par Vincent Peillon - le rétablissement de la formation des enseignants, la loi de refondation de l'école, le "plus de maitres que de classes" en primaire, la création d'un conseil national des programmes et d'une instance d'évaluation du système éducatif, et le chantier des ZEP - n'ont pas réussi à "imprimer" dans l'opinion, ni à incarner la refondation attendue par le monde éducatif.

Un capital de notoriété gâché

Restent les polémiques, qui elles ont durablement entaché la crédibilité et l'image d'un ministre franc-tireur, amateur de coups politiques et à la parole incontrôlable. Après sa prise de positon pour la dépénalisation du cannabis en octobre 2012 le ministre s'était astreint à une diète médiatique. La polémique sur l'ABCD de l'égalité, et sa déclaration à l'Assemblée nationale - Vincent Peillon a affirmé être opposé à la "théorie du genre" à l'école, utilisant maladroitement la terminologie de ses adversaires - auront le même effet.

Tout se passe comme si le capital de notoriété de Vincent Peillon était tout entier absorbé, et de manière disproportionnée, par ses écarts de route.

Tête de liste aux élections européennes dans le Sud-Est, Vincent Peillon a désormais à coeur de sortir par le haut du piège de son ministère. Un piège, puisqu'il est en passe de devenir la cible d'une droite attachée aux valeurs traditionnelles. Un piège, puisque le cadeau empoisonné des 58 000 postes limite paradoxalement sa capacité de réforme en profondeur du système. Un piège, puisque son avenir politique devra maintenant s'inventer en dehors de l'éducation, alors qu'il était la personnalité la plus qualifiée de la gauche pour ce poste.

Bref la messe est dite et Vincent Peillon le sait. Ses potentiels successeurs se préparent. Benoît Hamon, discret ministre délégué à la Consommation, a pris les devants. Il a déjà rencontré la FSU.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/education/peillon-mauvais-ministre-les-raisons-du-desamour_1319665.html#Giy2LQ8TWiFwu1Gf.99

Posté(e)

Bref la messe est dite et Vincent Peillon le sait.

yeeeeeeessssss !!! :sort::yahoo: :yahoo: :yahoo: :yahoo:

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