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Par contre, sacrée famille !

Vincent Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d'URSS2, la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque3. Du côté maternel, il est issu d'une famille juive alsacienne4 : sa mère, Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), spécialiste en physiopathologie de l'hypophyse ; son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930)5, spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l'insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman ; sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985) est la fille d'un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent6 ; son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la pilule RU 486, professeur honoraire au Collège de France, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur de Babar7.

Sources : Wikipédia

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La Voix du Nord

9/02/14

http://www.lavoixdunord.fr/region/lille-la-reforme-des-rythmes-scolaires-c-est-parents-ia19b0n1906745

Lille : la réforme des rythmes scolaires, c'est parents contre parents ?

"[...] Cette maman d’une petite fille de 10 ans, représentante des parents d’élèves de l’école Diderot dans le Vieux-Lille, avoue avoir été « indignée » à la lecture des propos sur les nouveaux rythmes scolaires. « Martine Aubry a dit qu’elle et Jean-René Lecerf n’ont pas dû rencontrer les mêmes familles. Elle, elle choisit l’école le samedi. Je venais de lui dire que dans notre école une majorité de parents et l’intégralité des enseignants (résultat d’une consultation interne réalisée en début d’année) préfèrent le mercredi. » Nathalie avait rencontré Martine Aubry lors des vœux de son quartier le 31 janvier, et ne comprend pas « ce traitement à la légère, une pique à l’adversaire », regrette-t-elle, sur un sujet « aussi important que l’avenir de nos enfants ».

De la légèreté, il n’y en a pourtant pas eu sur le fond. La réflexion engagée par Martine Aubry avec notamment des chronobiologistes est ancienne. La maire de Lille s’est tôt fait une opinion en faveur de l’école le samedi matin, qui rend les retours du lundi moins compliqués, les enfants plus vite concentrés. Et la pause du mercredi reste la bienvenue. [...]

De l’aveu de la mairie, les avis recueillis, nombreux, ont été « très partagés et contradictoires ». Ils ont été pris en conseil d’écoles (au moins une réunion sur ce sujet en 2013 dans les 84 écoles), lors de réunions à la mairie avec les délégués élus de parents d’élèves (200 parents le 11 mars, 150 le 23 novembre), lors de réunions avec les représentants syndicaux, eux-mêmes parents ou enseignants. « Souvent, c’était plus une information qu’une consultation, nuance un directeur d’école. On discutait des rythmes de l’enfant, mais le choix du samedi était acté. » [...]

Quoi que l'on puisse penser de ce choix municipal (qui va dans le sens des préconisations de l'Académie de Médecine),

force est de constater que la municipalité de Lille semble faire fi des opinions exprimées en conseils d'école...

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L'hebdo Sèvre et Maine

8/02/14

http://www.lhebdodesevreetmaine.fr/2014/02/08/reforme-des-rythmes-scolaires-mairie-et-enseignants-saffrontent/

Clisson. Réforme des rythmes scolaires : mairie et enseignants s'affrontent

"[...] Pour les maternelles, deux scénarios ont été proposés : un par la municipalité et un autre par les enseignants de ce niveau. Le premier suggère de rallonger la pause méridienne pour une reprise de la classe à 13 h 45 (au lieu de 13 h 15 pour les primaires). Les petits terminant ainsi à 16h, soit un quart d’heure avant les primaires (ou une demi-heure après pour ceux qui ne participeront pas aux activités). [...]

Et pour les fratries en décalage ? “Les familles avec un enfant en primaire et un autre en maternelle ne représentent que 13 % et on peut toujours arranger pour faire sortir un enfant de l’activité s’il y a besoin”, répond-on au service enfance jeunesse. [...]

:scratch:

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Le Parisien

8/02/14

http://www.leparisien.fr/espace-premium/val-de-marne-94/au-moins-cinq-manifestations-dans-le-94-contre-la-reforme-des-rythmes-scolaires-08-02-2014-3570589.php

(article payant)

Val-de-Marne : au moins cinq manifs contre la réforme des rythmes scolaires

A 18 heures, ce vendredi, à Champigny (Val-de-Marne), comme dans d'autres villes du département (Ivry, Sucy, Le Kremlin-Bicêtre, Villejuif), des dizaines de personnes se sont rassemblées contre la réforme des rythmes scolaires. [...]

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Le Parisien

8/02/14

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/rythmes-scolaires-maisons-alfort-ne-mettra-pas-en-place-la-reforme-07-02-2014-3569623.php

Rythmes scolaires : Maisons-Alfort ne mettra pas en place la réforme

"Et une de plus. La ville de Maisons-Alfort a pris la décision ce vendredi de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014. «Je suis face à une opposition de la quasi-totalité des enseignants. 85% d’entre eux m’ont demandé mon soutien» pour ne pas appliquer la réforme, explique le député-maire (UMP) Michel Herbillon. Toutes les associations de parents sont contre aussi.

[...] De plus en plus de villes se déclarent opposées à la réforme des rythmes scolaires. Avant Maisons-Alfort, Vitry, Villeneuve-le-Roi et Villiers-sur-Marne avaient déjà annoncé qu’ils n’appliqueraient pas cette réforme. "

C'est rigolo de voir une banderole de la fcpe dans une manif contre la réforme des rythmes. Ca sent l’excommunication, ça !

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Libération

9/02/14

http://www.liberation.fr/politiques/2014/02/09/cope-arret-de-la-reforme-des-rythmes-scolaires-si-sanction-aux-municipales_978932

Copé : arrêt de la réforme des rythmes scolaires si sanction aux municipales

Jean-François Copé, président de l’UMP, a estimé dimanche qu’en cas d’échec lourd de la majorité aux municipales, le gouvernement se devrait d’arrêter la réforme des rythmes scolaires, qui à ses yeux coûte cher et crée du désordre. [...]


Par exemple, a poursuivi M. Copé, «arrêter immédiatement la réforme des rythmes scolaires qui - on le voit tous les jours - est en train de désorganiser la communauté éducative et de coûter une fortune». Il a cité un surcoût «a minima» d’un milliard d’euros.

Modifié par prof désécol
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compte rendu CDEN dans le 71 :

RYTHMES SCOLAIRES

Le Préfet rappelle que seules 32 communes sur 398 ayant une école ont appliqué la réforme l'année dernière.

Pour la rentrée 2014: 321 communes ont validé de nouveaux horaires scolaires, 41 communes sont en cours de négociation et 2 communes ont déclaré refuser d'appliquer la réforme.

Le Préfet refuse de donner le nom de ces communes, afin de ne pas les stygmatiser! Il confirme que malgré leur refus d'appliquer la réforme, leurs écoles devront travailler neuf demi-journées et l'accueil devra se faire jusqu'à 16H30.

Pour le DASEN tout est bien engagé et pour 306 communes ( présentes dans le document remis sur table) les propositions d'horaires scolaires sont identiques pour les conseils d'école et les mairies. Pour 41 communes, le processus est engagé mais les horaires non diffusés.

Le SEUNSA souhaite connaître la source du document: Ce sont les IEN qui se sont chargés de faire remonter les horaires scolaires.

En réalité, nous observons que dans plusieurs cas, les horaires scolaires ont simplement été proposés par les conseils d'école et pas validés par les communes. D'autre part ces indications peuvent être remises en cause par les nouvelles équipes municipales qui seront élues en mars. Enfin, nous remarquons que parfois les horaires réglementaires ne sont pas respectés et passent à 22, à 25 ou 26 heures d'enseignement au lieu des 24H.

Pour ces différentes raisons, l'UNSA EDUCATION ( ainsi que la FSU, le SGEN CFDT, FO ) refusent de voter - La FCPE s'abstient et les autres membres valident.

FO demande le vote d'un voeu de refus de l'application de la réforme mais le Préfet refuse de présenter ce voeu au Comité départemental.

La FCPE demande que des postes soient mis à disposition pour les associations partenaires de l'école afin de pouvoir confier la coordination des nouveaux rythmes à des personnels expérimentés et qualifiés.

Le représentant des associations partenaires de l'école présent exprime sa déception face au peu d'implication qui leur a été demandé. Elles n'ont pas été sollicitées et peu consultées y compris dans le cadre de la formation d'intervenants qu'elles peuvent dispenser.

Les représentants des maires font part de la difficulté de trouver un vivier d'intervenants pour le péri-scolaire. Elles demandent que les communautés de communes s'emparent de cette question.

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compte rendu CDEN dans le 71 :

RYTHMES SCOLAIRES

Le Préfet rappelle que seules 32 communes sur 398 ayant une école ont appliqué la réforme l'année dernière.

Pour la rentrée 2014: 321 communes ont validé de nouveaux horaires scolaires, 41 communes sont en cours de négociation et 2 communes ont déclaré refuser d'appliquer la réforme.

Le Préfet refuse de donner le nom de ces communes, afin de ne pas les stygmatiser! Il confirme que malgré leur refus d'appliquer la réforme, leurs écoles devront travailler neuf demi-journées et l'accueil devra se faire jusqu'à 16H30.

Pour le DASEN tout est bien engagé et pour 306 communes ( présentes dans le document remis sur table) les propositions d'horaires scolaires sont identiques pour les conseils d'école et les mairies. Pour 41 communes, le processus est engagé mais les horaires non diffusés.

Le SEUNSA souhaite connaître la source du document: Ce sont les IEN qui se sont chargés de faire remonter les horaires scolaires.

En réalité, nous observons que dans plusieurs cas, les horaires scolaires ont simplement été proposés par les conseils d'école et pas validés par les communes. D'autre part ces indications peuvent être remises en cause par les nouvelles équipes municipales qui seront élues en mars. Enfin, nous remarquons que parfois les horaires réglementaires ne sont pas respectés et passent à 22, à 25 ou 26 heures d'enseignement au lieu des 24H.

Pour ces différentes raisons, l'UNSA EDUCATION ( ainsi que la FSU, le SGEN CFDT, FO ) refusent de voter - La FCPE s'abstient et les autres membres valident.

FO demande le vote d'un voeu de refus de l'application de la réforme mais le Préfet refuse de présenter ce voeu au Comité départemental.

La FCPE demande que des postes soient mis à disposition pour les associations partenaires de l'école afin de pouvoir confier la coordination des nouveaux rythmes à des personnels expérimentés et qualifiés.

Le représentant des associations partenaires de l'école présent exprime sa déception face au peu d'implication qui leur a été demandé. Elles n'ont pas été sollicitées et peu consultées y compris dans le cadre de la formation d'intervenants qu'elles peuvent dispenser.

Les représentants des maires font part de la difficulté de trouver un vivier d'intervenants pour le péri-scolaire. Elles demandent que les communautés de communes s'emparent de cette question.

bombe.jpeg

Explosion prévue début septembre 2014 et on sait déjà qui ramassera les morceaux. :(

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Qui? Ramasser quoi?

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compte rendu CDEN dans le 71 :

RYTHMES SCOLAIRES

Pour le DASEN tout est bien engagé [...]

[...] En réalité, nous observons que dans plusieurs cas, les horaires scolaires ont simplement été proposés par les conseils d'école et pas validés par les communes. D'autre part ces indications peuvent être remises en cause par les nouvelles équipes municipales qui seront élues en mars. Enfin, nous remarquons que parfois les horaires réglementaires ne sont pas respectés et passent à 22, à 25 ou 26 heures d'enseignement au lieu des 24H.

Tout ça sent le bricolage sur un coin de table après une bonne bouteille de gros rouge qui tache... :cool:

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compte rendu CDEN dans le 71 :

RYTHMES SCOLAIRES

Pour le DASEN tout est bien engagé [...]

[...] En réalité, nous observons que dans plusieurs cas, les horaires scolaires ont simplement été proposés par les conseils d'école et pas validés par les communes. D'autre part ces indications peuvent être remises en cause par les nouvelles équipes municipales qui seront élues en mars. Enfin, nous remarquons que parfois les horaires réglementaires ne sont pas respectés et passent à 22, à 25 ou 26 heures d'enseignement au lieu des 24H.

Tout ça sent le bricolage sur un coin de table après une bonne bouteille de gros rouge qui tache... :cool:

pas de gros rouge qui tache en Bourgogne s'il te plaît !

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L'Indépendant

9/02/14

http://www.lindependant.fr/2014/02/09/fronde-contre-les-rythmes-scolaires-dans-les-p-o-reprise-de-la-mobilisation-ce-lundi,1845703.php

Fronde contre les rythmes scolaires dans les P-O : reprise de la mobilisation ce lundi

Un peu partout dans le département, les parents d’élèves ont manifesté vendredi devant les écoles pour exprimer leur refus de la réforme Peillon sur les rythmes scolaires. Un mouvement plutôt bien suivi.

A Elne Le Collectif des gilets jaunes avait demandé aux parents d’élèves de ne pas mettre en classe leurs enfants ce vendredi. D’après les organisateurs, 70 % des enfants des trois écoles de la commune n’étaient pas en cours. Un chiffre confirmé par les organisations syndicales.

A Llupia Vendredi, a eu lieu dans la commune, le boycott des écoles élémentaire et maternelle, contre la réforme des rythmes scolaires imposée par le ministre Vincent Peillon. En maternelle, les 2/3 des enfants étaient absents et la moitié des présents soutenait l’action. En élémentaire, on comptait 48 élèves absents sur les 109 inscrits, soit près de 50 % des effectifs et 25 enfants présents dont les parents soutenaient le mouvement.

A Cases-de-Pène La protestation a été très suivie avec 93 écoliers absents sur les 110 inscrits, soit 84,6 % d’absentéisme. D’autres actions sont prévues en cas de maintien de cette réforme et ceci dès la semaine prochaine.

Au Barcarès Les parents d’élèves barcarésiens se sont tout particulièrement mobilisés contre la réforme. Vendredi, seulement 27 % des élèves étaient présents en élémentaire et 37 % en maternelle.

A Perpignan Du côté de Saint-Assiscle, à l’école primaire D’Alembert II, 170 enfants sur 240 étaient absents vendredi. Et ce n’est qu’un début. Les parents d’élèves prévoient de nombreuses actions la semaine prochaine. Ils envisagent notamment de bloquer l’école jeudi et d’organiser une chaîne humaine autour de l’établissement vendredi.

[...]

Modifié par prof désécol
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compte rendu CDEN dans le 71 :

RYTHMES SCOLAIRES

Le Préfet rappelle que seules 32 communes sur 398 ayant une école ont appliqué la réforme l'année dernière.

Pour la rentrée 2014: 321 communes ont validé de nouveaux horaires scolaires, 41 communes sont en cours de négociation et 2 communes ont déclaré refuser d'appliquer la réforme.

Le Préfet refuse de donner le nom de ces communes, afin de ne pas les stygmatiser! Il confirme que malgré leur refus d'appliquer la réforme, leurs écoles devront travailler neuf demi-journées et l'accueil devra se faire jusqu'à 16H30.

Pour le DASEN tout est bien engagé et pour 306 communes ( présentes dans le document remis sur table) les propositions d'horaires scolaires sont identiques pour les conseils d'école et les mairies. Pour 41 communes, le processus est engagé mais les horaires non diffusés.

Le SEUNSA souhaite connaître la source du document: Ce sont les IEN qui se sont chargés de faire remonter les horaires scolaires.

En réalité, nous observons que dans plusieurs cas, les horaires scolaires ont simplement été proposés par les conseils d'école et pas validés par les communes. D'autre part ces indications peuvent être remises en cause par les nouvelles équipes municipales qui seront élues en mars. Enfin, nous remarquons que parfois les horaires réglementaires ne sont pas respectés et passent à 22, à 25 ou 26 heures d'enseignement au lieu des 24H.

Pour ces différentes raisons, l'UNSA EDUCATION ( ainsi que la FSU, le SGEN CFDT, FO ) refusent de voter - La FCPE s'abstient et les autres membres valident.

FO demande le vote d'un voeu de refus de l'application de la réforme mais le Préfet refuse de présenter ce voeu au Comité départemental.

La FCPE demande que des postes soient mis à disposition pour les associations partenaires de l'école afin de pouvoir confier la coordination des nouveaux rythmes à des personnels expérimentés et qualifiés.

Le représentant des associations partenaires de l'école présent exprime sa déception face au peu d'implication qui leur a été demandé. Elles n'ont pas été sollicitées et peu consultées y compris dans le cadre de la formation d'intervenants qu'elles peuvent dispenser.

Les représentants des maires font part de la difficulté de trouver un vivier d'intervenants pour le péri-scolaire. Elles demandent que les communautés de communes s'emparent de cette question.

Je me permets de souligner une bien bonne blague.

Ou pas.

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