montagny Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Les différences entre les pays européens cités sont rarement significatives (fais les calculs en pourcentage et on reste dans la marge d'erreur de ce type d'enquête), et rien ne prouve qu'elles soient liées aux rythmes. On pourrait aussi s'attendre à trouver une différence significative, toutes choses égales par ailleurs, entre les petits aveyronnais (aux 4 jours depuis longtemps) et les petits marseillais (restés à 4,5 jours jusqu'en 2008), en faveur des derniers. Ce n'est pas le cas. L'étude de l'UDAF est intéressante parce qu'elle s'intéresse au qualitatif et montre les réflexions spontanées. Pas grand chose là-dedans à propos du scolaire, ce qui n'a au fond rien de surprenant puisque ce n'est pas le but de cette réforme. Par rythme j'entends aussi le nombre d'heures d'enseignement par an et le nombre de jours travaillés. Si cette réforme doit aller au bout, la baisse du nombre annuel d'heures devra baisser et le nombre de jours de classe augmenté : moins de vacances mais des journées plus courtes et régulières en passant à 5 jours identiques ; ce qui faciliterait l'organisation des structures extra scolaires voire mieux une réorganisation de la vie (parents en journée continue avec une sortie des bureaux vers 15h30 ou 16h L'objectif principal est donc le périscolaire? Ou la réorganisation des horaires de bureaux (et tant pis pour ceux qui ne travaillent pas dans des bureaux)? C'est effectivement ambitieux, mais ça n'a rien à voir avec la réussite scolaire, but mis en avant par Peillon et les orgas pro-réforme. Mon premier soucis et argument est : "Si cette réforme doit aller au bout, la baisse du nombre annuel d'heures devra baisser et le nombre de jours de classe augmenté : moins de vacances mais des journées plus courtes et régulières en passant à 5 jours identiques" Nola tu n'as retenu qu'une conséquence secondaire des grands changements que je souhaite...lecture sélective? Un vrai directeur lieutenant du maire ? et caporal du DASEN ? Qui pourrait enfin mettre au boulot les ZIL qui glandent dans leur école de rattachement ?
nola Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 On voit bien que cette réforme est une simple affaire de croyance et de conviction personnelle. C'est respectable, mais ça n'a pas plus de valeur que l'opinion d'Elisabeth Teissier. D'ailleurs, au nom de leurs croyances, certains maires imposent 3h de pause ou des après-midi d'une heure ou bien des journées très irrégulières (Paris). L'avantage des convictions, c'est qu'elles ne nécessitent aucune validation, ni aucune réflexion: on peut raconter ce qu'on veut quand on veut. Vérité à Brest, erreur à Marseille. Montagny, ce que tu souhaites n'est pas très clair. Vu que c'est lui qui prend les décisions, je m'en tiens à ce que dit souhaiter le ministre,: la réussite scolaire des élèves. De ce point de vue là, il n'y a aucun lien entre les rythmes et la réussite. Outre le fait que de toute manière, le rythme 7/2 par exemple, sacralisé quand ça en arrange certains, est très rapidement oublié quand ça dérange des intérêts puissants. D'ailleurs, les 38 semaines que souhaite Peillon ne sont pas divisibles par 7, il va donc falloir inventer une autre justification. Bref au mieux, on est dans la déclaration de bonnes intentions, voire la pensée magique, au pire on aggrave sciemment les inégalités au lieu de lutter contre, et ce serait intéressant de se demander pourquoi c'est si important pour ce gouvernement de faire une réforme que la droite approuve très largement par ailleurs, tout en regrettant qu'elle n'aille pas assez loin dans la mise sous tutelle du primaire par les élus locaux. Tu as une hypothèse sur cette étrange connivence entre l'UMP et le PS? Les propos de Boissinot et Vallini fournissent, je trouve, une intéressante piste de réflexion sur les intentions du PS.
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Qui pourrait enfin mettre au boulot les ZIL qui glandent dans leur école de rattachement ? Malheureusement jamais dans mon école de rattachement Il y a 80 classes sans enseignant tous les jours dans mon dpt,, je ne risque pas d'être inoccupé ! C'est bien pour cela que j'ai un gros doute sur l'utilité d'un super directeur carriériste et lèche-bottes.
montagny Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 S'il y a bien un point sur l'école qui m'indiffère, c'est bien la distinction gauche droite dans les propositions. Les meilleurs conditions d'enseignement (rythme, effectifs, aide aux enfants en difficultés, intégration des handicapés...) sont parfois sous des gvts libéraux, de droite, du centre... L'école tout comme l'environnement se doit d'être "trans politique", une compétence transversale quelque part... Comme le dit bien A Prost, le problème de l’éducation nationale ne se résume pas à des lignes budgétaires ni à des nombres de postes mais au système de management pour mettre en place les réformes ; réécouter son interview sur France culture il y a quelques mois est très enrichissant.
Goëllette Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Qui pourrait enfin mettre au boulot les ZIL qui glandent dans leur école de rattachement ? Malheureusement jamais dans mon école de rattachement Il y a 80 classes sans enseignant tous les jours dans mon dpt,, je ne risque pas d'être inoccupé ! C'est bien pour cela que j'ai un gros doute sur l'utilité d'un super directeur carriériste et lèche-bottes. Je ne sais pas où les ZIL glandent ? Il faut nous donner le nom de ce département de rêve ! Car au contraire, avec la réforme à nous de maintenant, outre les postes créés ... invisibles sur le terrain, on peut constater quasiment partout que les remplacements ne sont plus à la mode, preuve, si'l en est, de la volonté de faire disparaître le contingent de titulaires remplaçants, ce qui serait une catastrophe.
Frédo45 Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Par rythme j'entends aussi le nombre d'heures d'enseignement par an et le nombre de jours travaillés. Si cette réforme doit aller au bout, la baisse du nombre annuel d'heures devra baisser et le nombre de jours de classe augmenté : moins de vacances mais des journées plus courtes et régulières en passant à 5 jours identiques ; ce qui faciliterait l'organisation des structures extra scolaires voire mieux une réorganisation de la vie (parents en journée continue avec une sortie des bureaux vers 15h30 ou 16h Je ne suis pas sûr que les enfants aient besoin de moins d'heures de classe. Au contraire... Moins d'heures de classe, c'est donner aux collectivités locales la charge de l'enseignement culturel et sportif et c'est, de fait, créer des inégalités. Quant au rôle du super-directeur gérant et l'école et le périscolaire, encore une fois, tout est prétexte à un statut...
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 http://www.lagazettedescommunes.com/222838/reforme-des-rythmes-scolaires-le-cnfpt-enrichit-son-offre-de-formation/ Plus hétéroclite que les sessions précédentes, l’audition de la mission des rythmes scolaires était consacrée, le 26 février 2014, à l’application de la réforme dans les banlieues, à l’offre de formation du Centre national de la fonction publique territorial (CNFPT) et au point de vue de la chercheuse Claire Leconte. C’est peu dire que le CNFPT était attendu par la mission d’information ! L’organisme de formation est-il en capacité de répondre aux besoins en formation induits par la réforme des rythmes ? Oui, a répondu son président, François Deluga, qui a détaillé les efforts du CNFPT, en plus de l’offre traditionnelle : des évolutions dans les itinéraires métier pour inclure le projet éducatif de territoire; la mise en place d’un itinéraire coordonné; le lancement d’un itinéraire de la réforme des rythmes scolaires destiné aux directeurs de l’éducation, directeurs-généraux adjoints, animateurs, Atsem; le lancement d’un itinéraire sur l’accompagnement périscolaire; à compter de 2015, l’offre d’un itinéraire portant sur la coordination des temps scolaires et périscolaires; l’ expérimentation, dans certaines régions, d’autres qualifications que le BAFA et BAFD. Partie prenante des comités de suivi départementaux de la réforme des rythmes, le CNFPT a également noué des partenariats avec les ministères de l’Education nationale et de la Jeunesse et des sports. Ces collaborations lui donnent ainsi une vision d’ensemble. Aux dires de François Deluga, trois difficultés persistent donc à ce jour : « la question de l’articulation de l’action éducative et périscolaire en maternelle n’est pas évidente ; les spécificités des territoires d’Outre-Mer ; le partage des locaux ». Toujours selon lui, les communes qui disposaient déjà d’un accueil périscolaire et jouissaient donc des équipements et des ressources humaines, sont moins en difficulté que celles qui doivent tout construire. L’Education nationale a-t-elle abandonné la banlieue ? - « Dès 2013 , nous avons réuni un groupe de travail avec la vingtaine de villes de banlieue qui ont décidé d’appliquer la réforme », explique Danièle Carlier, adjointe au maire de Creil en charge de la citoyenneté et du bien vivre ensemble. Verdict : « sans aide de l’Etat, le coût revient entre 300 et 390 euros par enfant ». Si les villes de banlieues parties en 2013 ont choisi un départ précoce pour éviter que « la réforme, les enfants, ne deviennent des enjeux des municipales » et affichent souvent l’ambition de « lutter contre les inégalités », elles connaissent, peu ou prou, les mêmes organisations et problèmes que leurs consoeurs (classe le mercredi matin, « temps d’activité périscolaire », TAP, en fin de journée d’école, parfois regroupés en 1h30, un jour sur deux). Mais les difficultés de recrutement d’animateurs qualifiés et de d’absentéisme y sont plus aigues. « Nous avons appliqué les mêmes méthodes qu’en développement social local, en dressant un diagnostic des besoins sociaux et éducatifs, en relevant les locaux et ressources à disposition, en faisant des projections sur le nombre d’enfants escomptés, puis en établissant un programme et un planning des activités proposées » détaille Philippe Raluy, directeur général des services pour l’association Ville et banlieue. Ce dernier déplore cependant les délais dans la parution des textes, qui ont laissé les services municipaux relativement démunis, face à une communauté enseignante hostile : « l’Education nationale n’a pas su nous donner le cadre d’emploi de cette méthode. Ses représentants nous ont observé, pour savoir, si on peut dire, jusqu’où nous allions nous casser la figure. Ses corps intermédiaires, IEN ouDASEN , ont été absents du débat et de la méthode. Ce qui fait que les enseignants ont vu arriver un projet local auquel ils n’avaient pas participé ». D’où, selon lui, une hostilité de certains enseignants, jamais démentie à ce jour. Or, ce hiatus pèse sur le climat des TAP : « l’absence de l’éducation nationale fait que les jonctions entre le temps scolaire et périscolaire n’ont pas été creusées, alors même que l’enfant peut se retrouver en TAP dans l’école, voire, dans sa classe. Mais qui gère alors le chahut ? Et jusqu’où fait-on respecter la discipline ? Le cadre des accueils de loisirs sans hébergement est clairement posé et respecté par les enfants : celui des TAP doit encore l’être ». A Creil, par exemple, la ville a convoqué les familles des enfants turbulents, deux élèves ont été exclus, un troisième orienté vers le programme de réussite éducative.
nola Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 L'école est et a toujours été soumise aux choix politiques. Il me semble que les 10 dernières années notamment l'ont amplement démontré.
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 En réponse au maire de Talant, la directrice académique des services de l’Éducation nationale rappelle la réalité de la loi. En annonçant qu’il suspend dans sa commune l’application de la réforme sur les rythmes scolaires (notre édition d’hier), le maire de Talant, Gilbert Menut, a incontestablement fait un coup politique. Afficher, à quelques jours du premier tour des élections municipales, son hostilité à une réforme qui est loin de faire l’unanimité dans la population et chez les enseignants, voilà qui pose un candidat à sa réélection. Mais quelle est la réalité de son pouvoir de maire en la matière ? Que peut-il faire exactement ? Autrement dit, qu’est-ce qui se profile derrière cette annonce médiatisée, un vrai bras de fer ou un coup de bluff ? « Je ne vois pas comment un maire peut refuser d’appliquer la loi », constate Evelyne Greusard, directrice académique des services de l’Éducation nationale que nous avons questionné hier à ce sujet http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2014/02/28/rythmes-scolaires-les-maires-devront-respecter-la-loi ....« Une règle qui ne pourra pas être transgressée », selon Evelyne Greusard. C'est ce qu'on verra !
montagny Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 http://www.lagazettedescommunes.com/222838/reforme-des-rythmes-scolaires-le-cnfpt-enrichit-son-offre-de-formation/ Plus hétéroclite que les sessions précédentes, l’audition de la mission des rythmes scolaires était consacrée, le 26 février 2014, à l’application de la réforme dans les banlieues, à l’offre de formation du Centre national de la fonction publique territorial (CNFPT) et au point de vue de la chercheuse Claire Leconte. C’est peu dire que le CNFPT était attendu par la mission d’information ! L’organisme de formation est-il en capacité de répondre aux besoins en formation induits par la réforme des rythmes ? Oui, a répondu son président, François Deluga, qui a détaillé les efforts du CNFPT, en plus de l’offre traditionnelle : des évolutions dans les itinéraires métier pour inclure le projet éducatif de territoire; la mise en place d’un itinéraire coordonné; le lancement d’un itinéraire de la réforme des rythmes scolaires destiné aux directeurs de l’éducation, directeurs-généraux adjoints, animateurs, Atsem; le lancement d’un itinéraire sur l’accompagnement périscolaire; à compter de 2015, l’offre d’un itinéraire portant sur la coordination des temps scolaires et périscolaires; l’ expérimentation, dans certaines régions, d’autres qualifications que le BAFA et BAFD. Partie prenante des comités de suivi départementaux de la réforme des rythmes, le CNFPT a également noué des partenariats avec les ministères de l’Education nationale et de la Jeunesse et des sports. Ces collaborations lui donnent ainsi une vision d’ensemble. Aux dires de François Deluga, trois difficultés persistent donc à ce jour : « la question de l’articulation de l’action éducative et périscolaire en maternelle n’est pas évidente ; les spécificités des territoires d’Outre-Mer ; le partage des locaux ». Toujours selon lui, les communes qui disposaient déjà d’un accueil périscolaire et jouissaient donc des équipements et des ressources humaines, sont moins en difficulté que celles qui doivent tout construire. L’Education nationale a-t-elle abandonné la banlieue ? - « Dès 2013 , nous avons réuni un groupe de travail avec la vingtaine de villes de banlieue qui ont décidé d’appliquer la réforme », explique Danièle Carlier, adjointe au maire de Creil en charge de la citoyenneté et du bien vivre ensemble. Verdict : « sans aide de l’Etat, le coût revient entre 300 et 390 euros par enfant ». Si les villes de banlieues parties en 2013 ont choisi un départ précoce pour éviter que « la réforme, les enfants, ne deviennent des enjeux des municipales » et affichent souvent l’ambition de « lutter contre les inégalités », elles connaissent, peu ou prou, les mêmes organisations et problèmes que leurs consoeurs (classe le mercredi matin, « temps d’activité périscolaire », TAP, en fin de journée d’école, parfois regroupés en 1h30, un jour sur deux). Mais les difficultés de recrutement d’animateurs qualifiés et de d’absentéisme y sont plus aigues. « Nous avons appliqué les mêmes méthodes qu’en développement social local, en dressant un diagnostic des besoins sociaux et éducatifs, en relevant les locaux et ressources à disposition, en faisant des projections sur le nombre d’enfants escomptés, puis en établissant un programme et un planning des activités proposées » détaille Philippe Raluy, directeur général des services pour l’association Ville et banlieue. Ce dernier déplore cependant les délais dans la parution des textes, qui ont laissé les services municipaux relativement démunis, face à une communauté enseignante hostile : « l’Education nationale n’a pas su nous donner le cadre d’emploi de cette méthode. Ses représentants nous ont observé, pour savoir, si on peut dire, jusqu’où nous allions nous casser la figure. Ses corps intermédiaires, IEN ouDASEN , ont été absents du débat et de la méthode. Ce qui fait que les enseignants ont vu arriver un projet local auquel ils n’avaient pas participé ». D’où, selon lui, une hostilité de certains enseignants, jamais démentie à ce jour. Or, ce hiatus pèse sur le climat des TAP : « l’absence de l’éducation nationale fait que les jonctions entre le temps scolaire et périscolaire n’ont pas été creusées, alors même que l’enfant peut se retrouver en TAP dans l’école, voire, dans sa classe. Mais qui gère alors le chahut ? Et jusqu’où fait-on respecter la discipline ? Le cadre des accueils de loisirs sans hébergement est clairement posé et respecté par les enfants : celui des TAP doit encore l’être ». A Creil, par exemple, la ville a convoqué les familles des enfants turbulents, deux élèves ont été exclus, un troisième orienté vers le programme de réussite éducative. et encore un argument pour qu'une personne soit responsable de tout cela ! Avec un statut clair, les problèmes pourraient être gérés par le directeur (= pour certains syndicats et diplodocus professorus, cela représente un gros mot qui dans leur jargon correspond à enseignants chargé de direction corvéable à merci et sur qui on peut tout mettre sur le dos!)
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 “Je peux comprendre les attentes et les impatiences de certains, mais il serait irresponsable d’engager cette dépense récurrente, sans avoir en face, les recettes récurrentes correspondantes.” Pascal Allizard a pris la parole à la fin du conseil communautaire, lundi soir, pour exprimer publiquement sa position au regard de la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires. http://www.lornecombattante.fr/2014/02/28/reforme-des-rythmes-scolaires%C2%A0a-conde-sur-noireau-la-mise-au-point-de-pascal-allizard/
montagny Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 En réponse au maire de Talant, la directrice académique des services de l’Éducation nationale rappelle la réalité de la loi. PARTAGER Envoyer à un ami En annonçant qu’il suspend dans sa commune l’application de la réforme sur les rythmes scolaires (notre édition d’hier), le maire de Talant, Gilbert Menut, a incontestablement fait un coup politique. Afficher, à quelques jours du premier tour des élections municipales, son hostilité à une réforme qui est loin de faire l’unanimité dans la population et chez les enseignants, voilà qui pose un candidat à sa réélection. Mais quelle est la réalité de son pouvoir de maire en la matière ? Que peut-il faire exactement ? Autrement dit, qu’est-ce qui se profile derrière cette annonce médiatisée, un vrai bras de fer ou un coup de bluff ? « Je ne vois pas comment un maire peut refuser d’appliquer la loi », constate Evelyne Greusard, directrice académique des services de l’Éducation nationale que nous avons questionné hier à ce sujet http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2014/02/28/rythmes-scolaires-les-maires-devront-respecter-la-loi ....« Une règle qui ne pourra pas être transgressée », selon Evelyne Greusard. C'est ce qu'on verra ! coup politique bien sûr ! Après les municipales, vous verrez ces grands révolutionnaires UMP se mettre dans le rang une fois les subventions données par le gvt. Les maires qui hurlent au loup, ne le font que pour "crier famine" !
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