montagny Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Qui pourrait enfin mettre au boulot les ZIL qui glandent dans leur école de rattachement ? Malheureusement jamais dans mon école de rattachement Il y a 80 classes sans enseignant tous les jours dans mon dpt,, je ne risque pas d'être inoccupé ! C'est bien pour cela que j'ai un gros doute sur l'utilité d'un super directeur carriériste et lèche-bottes. Je ne sais pas où les ZIL glandent ? Il faut nous donner le nom de ce département de rêve ! Car au contraire, avec la réforme à nous de maintenant, outre les postes créés ... invisibles sur le terrain, on peut constater quasiment partout que les remplacements ne sont plus à la mode, preuve, si'l en est, de la volonté de faire disparaître le contingent de titulaires remplaçants, ce qui serait une catastrophe. Les ZIl glandent où qu'ils soient ! S'ils ne veulent pes de classe c'est parce qu'ils sont incapables d'en gérer une ! Ne voit-on pas les ZIL fuir la CLIS à midi ou même quelques fois à la première récréation! attention ceci est de l'humour Mme la reine des crêpes fourrées à la mauvaise foi ! Tout comme Zarko généralise sur les directeurs je fais de même pour les ZIL.
Lena Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Comme il n'y a pas que la reine des crêpes qui vous lise, pourriez vous ajouter quelque(s) imoticone(s) permettant au lecteur /à la lectrice non couronné(e), de mieux comprendre le "ton" que vous souhaitez mettre à vos interventions. merci d'avance
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Bah ZIL ou brigade, on ne choisit pas toujours son poste... Bon, perso je l'ai choisi, mais si un bon poste se libère, ben j'prendrai peut-être... Je ne vois pas comment un ZIL pourrait glander même si il y a des jours (exceptionnels) où il va dans son école de rattachement, puisque le directeur va lui filer sa classe...Sinon, j'avoue un avantage énorme : échapper aux réunions ! (inutiles et pesantes !)
Goëllette Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Qui pourrait enfin mettre au boulot les ZIL qui glandent dans leur école de rattachement ? Malheureusement jamais dans mon école de rattachement Il y a 80 classes sans enseignant tous les jours dans mon dpt,, je ne risque pas d'être inoccupé ! C'est bien pour cela que j'ai un gros doute sur l'utilité d'un super directeur carriériste et lèche-bottes. Je ne sais pas où les ZIL glandent ? Il faut nous donner le nom de ce département de rêve ! Car au contraire, avec la réforme à nous de maintenant, outre les postes créés ... invisibles sur le terrain, on peut constater quasiment partout que les remplacements ne sont plus à la mode, preuve, si'l en est, de la volonté de faire disparaître le contingent de titulaires remplaçants, ce qui serait une catastrophe. Les ZIl glandent où qu'ils soient ! S'ils ne veulent pes de classe c'est parce qu'ils sont incapables d'en gérer une ! Ne voit-on pas les ZIL fuir la CLIS à midi ou même quelques fois à la première récréation! attention ceci est de l'humour Mme la reine des crêpes fourrées à la mauvaise foi ! Tout comme Zarko généralise sur les directeurs je fais de même pour les ZIL. Question mauvaise foi, tu es le champion, et je ne concours pas à te battre. Et à la limite, heureusement que tu écris que c'est de l'humour, car tu écris tellement de choses abominables pour les collègues qu'ils ne m'apparaissent pas du tout trancher avec ce que tu écris d'habitude. Il ne m'étonnerait pas du tout que tu penses réellement que les ZIL sont tous des fainéants. Tu vois, je suis également pour un statut des directeurs, mais franchement, des gens comme toi me font comprendre les arguments anti-statut !
Goëllette Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Bah ZIL ou brigade, on ne choisit pas toujours son poste... Bon, perso je l'ai choisi, mais si un bon poste se libère, ben j'prendrai peut-être... Je ne vois pas comment un ZIL pourrait glander même si il y a des jours (exceptionnels) où il va dans son école de rattachement, puisque le directeur va lui filer sa classe...Sinon, j'avoue un avantage énorme : échapper aux réunions ! (inutiles et pesantes !) Logiquement, tu dois y assister quand même !
Zarko Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 Celles de mon école de rattachement ont lieu durant la pause méridienne ou le soir à 17h...Si je suis dans une école qui se situe à 30 km qui en plus termine à 17h, je ne peux pas m'y rendre...pour dire quoi en plus ?
zazou19 Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 pour les réunions je rejoins Zarko : je suis TD sur 3 jours et donc 3 classesdans 3 écoles différentes et ca fait 3 ans que je change chaque année d'écoles! franchement les élèves je ne les connais pas suffisamment... je n'ai pas grand chose à en dire... le peu que j'ai à dire je le dis aux titulaires... pareil pour les projets d'école : en n'y passant qu'une journée je n'ai pas le temps ni l'envie de m'y intéresser! donc tres franchement assister à des CE, CM, CC où je n'ai rien à dire ça me fait royalement chier! si ca tombe des jours ou j'y suis je reste mais sinon je ne cours apres... et tous mes titulaires le comprennent tres bien...! sinon pour avoir été zil 2 ans : la première année j'ai tjs été en remplacement et du coup pas mal de boulot car il fallait s'adapter à chaque fois à un nouveau niveau, de nouveaux manuels... la 2° année a été bcp plus glandouille : quasiment pas de remplacement en septembre/octobre! novembre décembre remplacement un peu long en mater, puis congé mater pour moi jusqu'à la fin de l'année! sinon pour revenir au débat initial : je ne suis pas complètement contre la semaine de 4.5j (même si je suis tres bien avec celle de 4 jours personnellement!^^) mais pas comme ça!!!! pas avec ce bordel désorganisé! j'aurais franchement préféré qu'on revienne à 26h +1 et qu'on nous propose des intervenants chaque apres midi (ou au moins 2 fois dans la semaine) pour dédoubler nos classes : 1 groupe qui part en activité (peinture/sport/musique/poney que sais-je...) et nous on reste avec une demi classe! là on aurait pu faire du bon boulot : 5 matinées et des demi-classes l'apreme... bien sur ca aurait couté cher et ca aurait aussi posé des pbm pour les locaux... mais au moins j'aurais eu l'impression que c'était utile... (et on restait "maîtres" de nos classes!)
prof désécol Posté(e) 1 mars 2014 Posté(e) 1 mars 2014 ... [Philippe Raluy, directeur général des services pour l’association Ville et banlieue] : « l’Éducation nationale n’a pas su nous donner le cadre d’emploi de cette méthode. Ses représentants nous ont observé, pour savoir, si on peut dire, jusqu’où nous allions nous casser la figure. Ses corps intermédiaires, IEN ou DASEN , ont été absents du débat et de la méthode. Ce qui fait que les enseignants ont vu arriver un projet local auquel ils n’avaient pas participé ». D’où, selon lui, une hostilité de certains enseignants, jamais démentie à ce jour. Or, ce hiatus pèse sur le climat des TAP : « l’absence de l’éducation nationale fait que les jonctions entre le temps scolaire et périscolaire n’ont pas été creusées, alors même que l’enfant peut se retrouver en TAP dans l’école, voire, dans sa classe. Mais qui gère alors le chahut ? Et jusqu’où fait-on respecter la discipline ? Le cadre des accueils de loisirs sans hébergement est clairement posé et respecté par les enfants : celui des TAP doit encore l’être ». A Creil, par exemple, la ville a convoqué les familles des enfants turbulents, deux élèves ont été exclus, un troisième orienté vers le programme de réussite éducative. et encore un argument pour qu'une personne soit responsable de tout cela ! Avec un statut clair, les problèmes pourraient être gérés par le directeur (= pour certains syndicats et diplodocus professorus, cela représente un gros mot qui dans leur jargon correspond à enseignants chargé de direction corvéable à merci et sur qui on peut tout mettre sur le dos!) En TAP, les élèves qui posent de gros soucis sur le temps scolaire "explosent" et deviennent ingérables. Résultat : les animateurs ne les acceptent souvent plus dans leur atelier et ce sont les REV (à Paris : Responsable Éducatif de la Ville) qui se débrouillent avec eux. On peut bien sûr émettre l'hypothèse qu'un(e) super-directeur(trice) aux super-pouvoirs parviendrait à résoudre ces problèmes de comportement, mais on peut en douter : - les TAP, de par leur nature même, sont censés être des temps de détente, aux exigences différentes et en principe moins grandes que sur le temps scolaire. Dès lors, comment s'étonner et s'indigner du fait que les enfants (plus élèves, sur ce temps-là...) voient leur comportement se relâcher, et pour les plus problématiques se dégrader ? - les animateurs (des associations) refusent ces enfants, et on peut l'expliquer (je n'ai pas écrit "justifier") assez facilement : quelle relation de confiance peuvent-ils établir en l'espace de 6-7 semaines à raison de 3h (ou même 1h30) hebdomadaires avec ceux qui ont particulièrement besoin de stabilité dans la durée ? - ces animateurs ont certes un contrat mais que se passe-t-il s'ils claquent la porte les uns après les autres et qu'on ne les revoit plus ? Alors, on les ménage... - la ville de Creil choisit d'exclure deux enfants : eh oui, les TAP ne sont pas obligatoires, c'est le principe même de ce temps périscolaire si prometteur... mais bon, depuis, quel calme, à l'atelier Kapla. Et les deux agités iront tromper leur ennui chez eux, au parc, dans la rue... «[...] l’absence de l’éducation nationale fait que les jonctions entre le temps scolaire et périscolaire n’ont pas été creusées, alors même que l’enfant peut se retrouver en TAP dans l’école, voire, dans sa classe.[...] » Manière plutôt singulière de retourner le problème : - on demande à l'enseignant de quitter sa classe puis on attribue l'« hostilité de certains enseignants, jamais démentie à ce jour » à un simple manque de concertation préalable - on reproche à tous les échelons de l’Éducation nationale leur manque d'implication alors que les promesses d'un périscolaire municipal de qualité ont été faites par d'autres (ministre, maires entrés dans le dispositif alors que rien ne les y contraignait) - on esquive la question du sens que peut avoir un temps qui est "facultatif" mais néanmoins souvent contraint, qui prétend "reposer" de l'école et qui se déroule... dans une classe.
cleo17fr Posté(e) 2 mars 2014 Posté(e) 2 mars 2014 Et comme l'animateur a le droit de ne pas accepter les enfants difficiles à gérer, on peut même dire après qu'il gère mieux les enfants que la maitresse.... Ca me rappelle un enfant dangereux pour lui, les autres, moi.....il avait été exclu de la cantine et alors que je craquais complètement sur le temps scolaire, on m'avait enrobé ça comme une aide aussi pour moi car il serait plus reposé en déjeunant à la maison.....Bref ceux qui le supportaient 2H était tranquilles et moi je continuais à devoir gérer seul les 6 autres heures...
Goëllette Posté(e) 2 mars 2014 Posté(e) 2 mars 2014 Le périscolaire est un service rendu aux familles, pas un dû.
Zarko Posté(e) 2 mars 2014 Posté(e) 2 mars 2014 On peut aussi rappeler que le taux d'encadrement du périscolaire est plus important que pour le...scolaire. Bon, ça a toujours été le cas, mais on peut se demander si c'est bien logique et où sont vraiment les priorités. Autre risque, c'est l'offre périscolaire au sein d'une même ville mais selon les quartiers. On en
Frédo45 Posté(e) 2 mars 2014 Posté(e) 2 mars 2014 Le périscolaire est un service rendu aux familles, pas un dû. Non, l'accès à la culture et au sport doit être égal. De nombreuses municipalités, depuis des années, proposent des activités aux enfants avec prise en compte du quotient familial. Et c'est une bonne chose. Les enfants sont trop inégaux dans ce domaine. Et il faut œuvrer pour que les enfants issus de milieux défavorisés puissent faire de la musique, du théâtre ou du sport au-delà de la contrainte financière.
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