HappyPomme Posté(e) 14 mars 2014 Posté(e) 14 mars 2014 Ah, et VP qui rappelle ses 60 000 postes en 5 ans en remplacement des 80 000 de la mandature précédente ... en oubliant de préciser qu'il ne s'agit pas que de postes d'enseignants Et en oubliant de dire qu'ils vont revenir sur cette promesse parce qu'ils n'ont pas les sous.... Ni les candidats suffisants...
Frédo45 Posté(e) 14 mars 2014 Posté(e) 14 mars 2014 Ah, et VP qui rappelle ses 60 000 postes en 5 ans en remplacement des 80 000 de la mandature précédente ... en oubliant de préciser qu'il ne s'agit pas que de postes d'enseignants Et en oubliant de dire qu'ils vont revenir sur cette promesse parce qu'ils n'ont pas les sous.... Si les 60.000 postes ne sont pas exclusivement des postes d'enseignants, les 80.000 ne l'étaient pas non plus. Les agents administratifs ont eux aussi payé le prix fort des mesures de l'ancien gouvernement.
Zarko Posté(e) 14 mars 2014 Posté(e) 14 mars 2014 Ce n'est pas le même budget mais bon y a t-il encore DRS budgets ? À part celui qu'on jette par la fenêtre pour seulement envisager la mise en place des rythmes ? Affligeant... : (
nola Posté(e) 15 mars 2014 Posté(e) 15 mars 2014 Ah, et VP qui rappelle ses 60 000 postes en 5 ans en remplacement des 80 000 de la mandature précédente ... en oubliant de préciser qu'il ne s'agit pas que de postes d'enseignants Et en oubliant de dire qu'ils vont revenir sur cette promesse parce qu'ils n'ont pas les sous.... Mais non, mais non, mauvaise langue, va. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/03/14/20002-20140314ARTFIG00408-fonctionnaires-la-baisse-des-effectifs-n-est-plus-taboue.php?pagination=2#nbcomments Marylise Lebranchu, la ministre de la Réforme de l'État, plaide pour que soient comptabilisées dans les créations de postes de l'Éducation nationale celles relevant des collectivités locales (assistantes maternelles, entretien…). «On doit tout compter», recommande la ministre sans préciser si les recrutements dans l'enseignement en seront affectés ou non. On pourra aussi compter les animateurs pour les TAP, les CUI administratifs etc...On va donc se garder nos classes à 30.
elpissou Posté(e) 15 mars 2014 Posté(e) 15 mars 2014 Avez vous vu ça : http://www.liberation.fr/video/2014/03/14/rythmes-scolaires-la-parole-aux-enfants_987152 C'est beau, plein de clichés comme on les aime : Lucille, Oscar, Tess, Cali, Anastas et Galatée font de la mise en page de journal et du théâtre à Paris, Lucian, Ali et Moussa font de l'escrime mais aussi jeux de construction, kapla, perles, jeux collectifs en Seine Saint Denis, les parisiens ont des professeurs, quand le dyonisien vient à l'école le mercredi matin pour passer le temps... Bon on a eu droit qu'aux images de l'escrime dans le 93, les autres ateliers ne doivent pas être "télégéniques"... Merci à Libé pour ce grand moment de propagande....
Sarri Posté(e) 15 mars 2014 Posté(e) 15 mars 2014 Ah, et VP qui rappelle ses 60 000 postes en 5 ans en remplacement des 80 000 de la mandature précédente ... en oubliant de préciser qu'il ne s'agit pas que de postes d'enseignants Et en oubliant de dire qu'ils vont revenir sur cette promesse parce qu'ils n'ont pas les sous.... Si les 60.000 postes ne sont pas exclusivement des postes d'enseignants, les 80.000 ne l'étaient pas non plus. Les agents administratifs ont eux aussi payé le prix fort des mesures de l'ancien gouvernement. Donc il faut se taire??? C'est marrant que toi, représentant du SNUIPP, tu prennes systématiquement le contre-pied des instits pour défendre le gouvernement ou la hiérarchie. J'espère que, grâce à toi, les collègues ouvrent les yeux et comprennent que s'ils veulent que leur métier évolue, il faudra d'abord se battre sans les gros syndicats, voir même contre eux... La déprime et le malaise actuel des PE sont compréhensibles car ils sont seuls, terriblement seuls. La hiérarchie se moque d'eux et les prend pour des marionnettes, l'opinion les dénigre de plus en plus et leurs propres syndicats les abandonnent. Ils n'ont plus personne vers qui se tourner. Et si les instits vont mal, les enfants n'iront pas très bien non plus. L'avenir est très sombre...
cleo17fr Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 Avez vous vu ça : http://www.liberation.fr/video/2014/03/14/rythmes-scolaires-la-parole-aux-enfants_987152 C'est beau, plein de clichés comme on les aime : Lucille, Oscar, Tess, Cali, Anastas et Galatée font de la mise en page de journal et du théâtre à Paris, Lucian, Ali et Moussa font de l'escrime mais aussi jeux de construction, kapla, perles, jeux collectifs en Seine Saint Denis, les parisiens ont des professeurs, quand le dyonisien vient à l'école le mercredi matin pour passer le temps... Bon on a eu droit qu'aux images de l'escrime dans le 93, les autres ateliers ne doivent pas être "télégéniques"... Merci à Libé pour ce grand moment de propagande.... D'autant plus, que l'école Saint Merri, c'est pas n'importe quelle école de Paris, c'est une école à projet spécifique (école ouverte), je ne serai pas surprise qu'elle ait eu qques moyens en plus... Les animateurs ont l'air de meilleur qualité que les nôtres, mais c'est ptet pcq je suis en maternelle....et que visiblement, le paquet a été mis sur l'élémentaire. Les enfants sont contents en tous cas de pouvoir jouer aux perles l'aprèm, pourquoi chercher à faire mieux ?
mayre Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 Ah, et VP qui rappelle ses 60 000 postes en 5 ans en remplacement des 80 000 de la mandature précédente ... en oubliant de préciser qu'il ne s'agit pas que de postes d'enseignants Et en oubliant de dire qu'ils vont revenir sur cette promesse parce qu'ils n'ont pas les sous.... Si les 60.000 postes ne sont pas exclusivement des postes d'enseignants, les 80.000 ne l'étaient pas non plus. Les agents administratifs ont eux aussi payé le prix fort des mesures de l'ancien gouvernement. Donc il faut se taire??? C'est marrant que toi, représentant du SNUIPP, tu prennes systématiquement le contre-pied des instits pour défendre le gouvernement ou la hiérarchie. J'espère que, grâce à toi, les collègues ouvrent les yeux et comprennent que s'ils veulent que leur métier évolue, il faudra d'abord se battre sans les gros syndicats, voir même contre eux... La déprime et le malaise actuel des PE sont compréhensibles car ils sont seuls, terriblement seuls. La hiérarchie se moque d'eux et les prend pour des marionnettes, l'opinion les dénigre de plus en plus et leurs propres syndicats les abandonnent. Ils n'ont plus personne vers qui se tourner. Et si les instits vont mal, les enfants n'iront pas très bien non plus. L'avenir est très sombre... Même s'il y a des points où je te rejoins, j'ai du mal avec le passage en gras. Il y a des syndicats qui ont toujours été pour l'abrogation (Sud, CGT, Snudi-FO, FAEN, CNT) Comme je l'ai déjà dit, il est légitime que les syndicats représentent diverses opinions. Après, le problème vient du fait que nombre de PE n'adhèrent pas ou ne votent pas sur des revendications, mais sur des notions de "puissance". De fait, on se retrouve avec une représentativité biaisée au ministère. On verra bien ce que donnent les élections professionnelles d'octobre.
Sarri Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 Je parle des 3 gros syndicats qui font la pluie et le beau temps. Se syndiquer dans un des "petits" que tu cites implique des convictions fortes que, pour l'instant tout le monde n'a pas. En effet, beaucoup de PE préfèrent s'adresser à un gros car ils se disent "ils sont puissants, ils me défendront mieux". C'est là qu'est le piège.
leene Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 Je parle des 3 gros syndicats qui font la pluie et le beau temps. Se syndiquer dans un des "petits" que tu cites implique des convictions fortes que, pour l'instant tout le monde n'a pas. En effet, beaucoup de PE préfèrent s'adresser à un gros car ils se disent "ils sont puissants, ils me défendront mieux". C'est là qu'est le piège. c'est une des raisons des collègues pour y adhérer mais c'est loin d'être vrai. Un syndicat plus petit défend aussi bien (et peut être avec plus de proximité) qu'un gros. Là où on a un peu plus de difficultés c'est quand on veut faire bouger des gros dossiers où il nous faudrait beaucoup de cas concrets (la gestion des TRS par exemple) . Il faudrait que certains collègues arrêtent de se syndiquer par intérêt mais qu'ils le fassent par conviction et là ça changerait beaucoup de choses.....
Goëllette Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 Même s'il y a des points où je te rejoins, j'ai du mal avec le passage en gras. Il y a des syndicats qui ont toujours été pour l'abrogation (Sud, CGT, Snudi-FO, FAEN, CNT) Comme je l'ai déjà dit, il est légitime que les syndicats représentent diverses opinions. Après, le problème vient du fait que nombre de PE n'adhèrent pas ou ne votent pas sur des revendications, mais sur des notions de "puissance". De fait, on se retrouve avec une représentativité biaisée au ministère. On verra bien ce que donnent les élections professionnelles d'octobre. Il y en a d'autres, et qui se sont prononcés contre beaucoup plus clairement que SUD, par exemple. Je pense au SNE entre autres. C'est aussi cette façon d'écarter certains au prétexte qu'ils n'ont peut-être pas les idées "ENement" politiquement correctes, qui nous fait du tort, car participe à nous éparpiller. (Je précise que je ne suis pas membre du SNE du tout, mais je lis beaucoup de choses et les ai sentis dès 2012 contre ce qui se tramait.)
prof désécol Posté(e) 16 mars 2014 Posté(e) 16 mars 2014 L'article du Canard enchaîné suivant (trouvé sur le site des Gilets jaunes) date de la fin novembre 2013 mais il reste intéressant :
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