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Posté(e)

Il est quand même préférable que ce soit les CE qui décident plutôt que les mairies, à choisir, non ?

ET nous à paris on serait les seuls c*** a rester à 5 jours? :cry:

Eh oui, c'est ça d'habiter à la capitale !

Au fait, est-ce vrai que votre mairesse a eu un fils avec le Président ?

Hein? :blink:

Et c'est les provinciaux qui nous apprennent ça !

On revient à la semaine de 4 jours ou je colporte ça dans tout Paris ! :p

Posté(e)

Oui, je parlais de la CAPN, pardon.

De toute manière, il reste que l'article ne cite que trois syndicats, dont un qui ne siège pas à la CAPN, et après tu dis que seuls les syndicats représentatifs ont le droit de parler...

Alors, comme Leene, je dirais qu'il manque au moins une opinion représentative.

On peut tourner les choses dans le sens qu'on veut : lors du CTM de jeudi dernier les choses ont été très claires, les masques sont tombés. FO a voté contre le décret mais a aussi voté contre une proposition d'amendement pour que les PE du 2nd degré passent à 18 heures... Le SE-UNSA et le SGEN-CFDT ont voté POUR ce décret et la FSU s'est abstenu (ce qui revient à voter POUR). Ces gens ont un discours de façade pour allécher le client puis votent à l'opposé de ce discours. C'est une ESCROQUERIE...

LE SE-UNSA et le SGEN-CFDT sont à fond pour la réforme des rythmes, le SNUIPP a été pour et même s'il joue maintenant entre deux, Shir propose des horaires à la carte (la droite en rêvait et c'est lui qui le propose...), une diminution des vacances... A eux trois, ces syndicats représentent plus de 80 % des enseignants, vous ne pensez quand même pas que le ministre va oser s'opposer à eux en retirant cette réforme????

Ils représentent 90% des représentants, pas des enseignants. Nuance !

Oui, je parlais de la CAPN, pardon.

De toute manière, il reste que l'article ne cite que trois syndicats, dont un qui ne siège pas à la CAPN, et après tu dis que seuls les syndicats représentatifs ont le droit de parler...

Alors, comme Leene, je dirais qu'il manque au moins une opinion représentative.

:devil: Syndicats qui représentent, je viens de le calculer :

- SE UNSA : 24.95% des votants (25.31% des exprimés) et ... 10.23% des inscrits pour 3 sièges sur 10

- SNUIPP : 47.46% des votants (48.14% des exprimés) et ... 19.46% des inscrits pour 6 sièges sur 10

Tout cela pour rappeler le poids que pourraient avoir les 200000 électeurs qui n'ont pas voté.

La balle est dans notre camp à l'automne, afin de leur montrer ce qu'il leur en coûte de ne pas s'occuper de nous représenter.

Tu comptes leur montrer quoi? Et pourquoi en automne? Peux tu éclairer mes petits neurones grillés par la semaine de 5 jours s'il te plait? :)

En automne, il y aura les élections professionnelles, et puisque ces syndicats sensés nous représentés ne veulent pas représenter notre opinion dans les hautes instances, il faut faire en sorte qu'ils aient moins de puissance.

Et pour qu'ils aient moins de puissance, il faut que la majorité des collègues, qui n'a pas voté, n'oublie pas de le faire cette fois-ci, et opte pour des syndicats les ont représentés, au moins sur le sujet des rythmes.

Capito ?

Posté(e)

sur Europe 1.fr: Rythmes scolaires : Hamon gardera le cap

DANS LA CONTINUITE - Benoît Hamon n’a pas l’intention de revenir sur les réformes de son prédécesseur.
Le remaniement terminé, les ministres prennent leur poste et ouvrent le bal des conférences de presse. A l’Education, Benoît Hamon a tenu à apporter une réponse ferme et définitive à ceux qui demandent une abrogation de la réforme contestée des rythmes scolaires : c'est non. Le nouveau ministre de l’Education nationale compte inscrire son action dans la continuité de celle de son prédécesseur.

ben voilà... je déprime... :(:(:(:(:(:(

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Oui, je parlais de la CAPN, pardon.

De toute manière, il reste que l'article ne cite que trois syndicats, dont un qui ne siège pas à la CAPN, et après tu dis que seuls les syndicats représentatifs ont le droit de parler...

Alors, comme Leene, je dirais qu'il manque au moins une opinion représentative.

On peut tourner les choses dans le sens qu'on veut : lors du CTM de jeudi dernier les choses ont été très claires, les masques sont tombés. FO a voté contre le décret mais a aussi voté contre une proposition d'amendement pour que les PE du 2nd degré passent à 18 heures... Le SE-UNSA et le SGEN-CFDT ont voté POUR ce décret et la FSU s'est abstenu (ce qui revient à voter POUR). Ces gens ont un discours de façade pour allécher le client puis votent à l'opposé de ce discours. C'est une ESCROQUERIE...

LE SE-UNSA et le SGEN-CFDT sont à fond pour la réforme des rythmes, le SNUIPP a été pour et même s'il joue maintenant entre deux, Shir propose des horaires à la carte (la droite en rêvait et c'est lui qui le propose...), une diminution des vacances... A eux trois, ces syndicats représentent plus de 80 % des enseignants, vous ne pensez quand même pas que le ministre va oser s'opposer à eux en retirant cette réforme????

Ils représentent 90% des représentants, pas des enseignants. Nuance !

Oui, je parlais de la CAPN, pardon.

De toute manière, il reste que l'article ne cite que trois syndicats, dont un qui ne siège pas à la CAPN, et après tu dis que seuls les syndicats représentatifs ont le droit de parler...

Alors, comme Leene, je dirais qu'il manque au moins une opinion représentative.

:devil: Syndicats qui représentent, je viens de le calculer :

- SE UNSA : 24.95% des votants (25.31% des exprimés) et ... 10.23% des inscrits pour 3 sièges sur 10

- SNUIPP : 47.46% des votants (48.14% des exprimés) et ... 19.46% des inscrits pour 6 sièges sur 10

Tout cela pour rappeler le poids que pourraient avoir les 200000 électeurs qui n'ont pas voté.

La balle est dans notre camp à l'automne, afin de leur montrer ce qu'il leur en coûte de ne pas s'occuper de nous représenter.

Tu comptes leur montrer quoi? Et pourquoi en automne? Peux tu éclairer mes petits neurones grillés par la semaine de 5 jours s'il te plait? :)

En automne, il y aura les élections professionnelles, et puisque ces syndicats sensés nous représentés ne veulent pas représenter notre opinion dans les hautes instances, il faut faire en sorte qu'ils aient moins de puissance.

Et pour qu'ils aient moins de puissance, il faut que la majorité des collègues, qui n'a pas voté, n'oublie pas de le faire cette fois-ci, et opte pour des syndicats les ont représentés, au moins sur le sujet des rythmes.

Capito ?

Capito chef! :lol:

TU as raison tiens je n'avais pas pensé à ça... hé hé :devil_2:

Posté(e)

sur Europe 1.fr: Rythmes scolaires : Hamon gardera le cap

DANS LA CONTINUITE - Benoît Hamon n’a pas l’intention de revenir sur les réformes de son prédécesseur.
Le remaniement terminé, les ministres prennent leur poste et ouvrent le bal des conférences de presse. A l’Education, Benoît Hamon a tenu à apporter une réponse ferme et définitive à ceux qui demandent une abrogation de la réforme contestée des rythmes scolaires : c'est non. Le nouveau ministre de l’Education nationale compte inscrire son action dans la continuité de celle de son prédécesseur.

ben voilà... je déprime... :(:(:(:(:(:(

POurvu qu'il rajoute pas un truc... la semaine de 6 jours...ou le mois de 28 jours... :angel_not:

Posté(e)

Quant à Vincent Peillon, s'il n'y avait pas eu sa réforme des rythmes, on aurait dit de lui, qu'il a réengagé une forme de formation initiale, saccagée par le précédent gouvernement, dans une période austère. Ce n'est pas parfait, c'est évident mais il y a du mieux.

S'il n'avait pas fait sa réforme des rythmes, on retiendrait qu'il a réenclenché la scolarisation des moins de 2 ans alors que la fréquentation des écoles par les TPS avait chuté. On retiendrait la création des postes de maîtres supplémentaires et une légère augmentation des effectifs (insuffisante).

Sans son égo et son manque d'écoute sur la question des rythmes, son bilan n'aurait pas été jugé si sévèrement par les PE.

D'ailleurs, chez certains, je ressens une forme de déraison qui frise même parfois l'hystérie dès qu'on parle de lui...

Maintenant, allez-y, bâchez-moi. Dîtes-moi qu'on dirait un conseiller de Vincent Peillon qui parle... Défoulez-vous.

non tu as tout a fait raison... il n' a pas fait que des mauvaises choses... mais il a voulu s'entêter sur cette question des rythmes (pourquoi d'ailleurs???) et ça a complètement occulté tout ce qu'il a pu faire de bien à coté... j'ai envie de dire "tant pis pour lui!" il suffisait d'admettre que sa réforme posait de nombreux pbm et l'abandonner au lieu de s'entêter à dire "tout va bien, tout le monde est content!" , il aurait montré qu'il était à l'écoute de la base, on lui en aurait été reconnaissant et il aurait pu rester ministre de l'EN!

moi maintenant il me file des boutons quand je le vois!!

S'il s'est entêté, c'est par ego. Pour être considéré comme un MEN réformiste... Et aussi parce qu'il était très mal conseillé, je pense.

Posté(e)

Sauf que les horaires des écoles n'ont jamais été déterminés par les conseils d'école...

Le cadre national étant fixé, certes. Toutefois, toutes modifications horaires souhaitées par le maire devaient, en vertu de l'article L521-3 du code de l'éducation, être présentées en CE pour avis.

Donc, soyons plus mesurés. Quand, avant 2008, certaines écoles travaillaient le samedi, d'autres le mercredi et d'autres pendant les vacances d'été, ce n'était pas un choix des conseils d'école... Certaines aujourd'hui encore, commencent à 9h00, d'autres commencent à 8h30, certaines finissent à 16h00, d'autres 16h30, d'autres 17h00. Et ce aussi, parce que les horaires des écoles sont déjà conditionnés par les transports scolaires. Ce n'est pas un hasard si les écoles finissent avant les collèges et les lycées...

Quant à Vincent Peillon, s'il n'y avait pas eu sa réforme des rythmes, on aurait dit de lui, qu'il a réengagé une forme de formation initiale (qui est soumise à la loi LRU), saccagée par le précédent gouvernement, dans une période austère. Ce n'est pas parfait, c'est évident mais il y a du mieux. Ne dit-on pas que le mieux est l'ennemi du bien?

S'il n'avait pas fait sa réforme des rythmes, on retiendrait qu'il a réenclenché la scolarisation des moins de 2 ans alors que la fréquentation des écoles par les TPS avait chuté. Le vrai levier pour la scolarisation des 2 ans aurait été de les comptabiliser dans les effectifs. Car, dans les faits, chez nous, beaucoup d'écoles ne peuvent les accueillir faute de places disponibles. Les compter aurait permis une ouverture de classe permettant des conditions décentes.On retiendrait la création des postes de maîtres supplémentaires et une légère augmentation des effectifs (insuffisante). Plutôt que des maîtres supplémentaires, qui parfois se retrouvent à combler le manque de remplaçants ou de maître E, j'eus préféré des postes tout court, de remplaçants ou de maître E, par exemple. Certes, avoir des créations au lieu de suppressions, c'est mieux, mais il en manque encore beaucoup!

Sans son égo et son manque d'écoute sur la question des rythmes, son bilan n'aurait pas été jugé si sévèrement par les PE. Il A écouté... mais pas les bonnes personnes... A relire trois ans après, la consultation Chatel : http://cache.media.education.gouv.fr/file/01_janvier/25/5/Rythmes_scolaires_Rapport_de_synthese_janvier-2011_167255.pdf Malheureusement, il a cru que les syndicats qu'il a consultés étaient représentatifs de l'avis des PE...

D'ailleurs, chez certains, je ressens une forme de déraison qui frise même parfois l'hystérie dès qu'on parle de lui... Je pense que la "haine" provient du fait que son discours d'entrée au ministère était très séduisant, qu'on a tous espéré un grand changement de politique... et que pam! on s'en prend quand même plein la poire!

Maintenant, allez-y, bâchez-moi. Dîtes-moi qu'on dirait un conseiller de Vincent Peillon qui parle... Défoulez-vous. Ben, t'as le droit de penser ce que tu veux, hein. Peillon aura été mauvais pour moi.

T'es encore malhonnête sur le coup et je t'avoue que ça me blase... La loi LRU, j'ai été le premier ici à dire qu'elle était plus grave que la réforme des rythmes. Combien de fois ai-je dit ici que la réforme des rythmes était l'arbre qui cachait la forêt ?

Alors oui, il ne l'a pas abrogé et je pense qu'on devrait plus lui reprocher cela... Mais comme ça, tout le monde ou presque s'en fout...

Pour l'avis du conseil d'école, c'est comme pour l'avis du conseil des maîtres pour les répartitions, on l'interprète comme on veut...

Pour les dispositifs plus de maîtres que de classe et les TPS, ils sont là, créés. Maintenant, aux PE de se battre pour la création de postes supplémentaires permettant de faire baisser le taux d'encadrement et de permettre à ces dispositifs d'être efficaces. Nous, dans le 45, on a voté unanimement contre les propositions du CTSD. Et chez toi ?

Posté(e)

Quant à Vincent Peillon, s'il n'y avait pas eu sa réforme des rythmes, on aurait dit de lui, qu'il a réengagé une forme de formation initiale, saccagée par le précédent gouvernement, dans une période austère. Ce n'est pas parfait, c'est évident mais il y a du mieux.

S'il n'avait pas fait sa réforme des rythmes, on retiendrait qu'il a réenclenché la scolarisation des moins de 2 ans alors que la fréquentation des écoles par les TPS avait chuté. On retiendrait la création des postes de maîtres supplémentaires et une légère augmentation des effectifs (insuffisante).

Sans son égo et son manque d'écoute sur la question des rythmes, son bilan n'aurait pas été jugé si sévèrement par les PE.

D'ailleurs, chez certains, je ressens une forme de déraison qui frise même parfois l'hystérie dès qu'on parle de lui...

Maintenant, allez-y, bâchez-moi. Dîtes-moi qu'on dirait un conseiller de Vincent Peillon qui parle... Défoulez-vous.

non tu as tout a fait raison... il n' a pas fait que des mauvaises choses... mais il a voulu s'entêter sur cette question des rythmes (pourquoi d'ailleurs???) et ça a complètement occulté tout ce qu'il a pu faire de bien à coté... j'ai envie de dire "tant pis pour lui!" il suffisait d'admettre que sa réforme posait de nombreux pbm et l'abandonner au lieu de s'entêter à dire "tout va bien, tout le monde est content!" , il aurait montré qu'il était à l'écoute de la base, on lui en aurait été reconnaissant et il aurait pu rester ministre de l'EN!

moi maintenant il me file des boutons quand je le vois!!

S'il s'est entêté, c'est par ego. Pour être considéré comme un MEN réformiste... Et aussi parce qu'il était très mal conseillé, je pense.

On se demande bien par qui ....

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Oui, je parlais de la CAPN, pardon.

De toute manière, il reste que l'article ne cite que trois syndicats, dont un qui ne siège pas à la CAPN, et après tu dis que seuls les syndicats représentatifs ont le droit de parler...

Alors, comme Leene, je dirais qu'il manque au moins une opinion représentative.

On peut tourner les choses dans le sens qu'on veut : lors du CTM de jeudi dernier les choses ont été très claires, les masques sont tombés. FO a voté contre le décret mais a aussi voté contre une proposition d'amendement pour que les PE du 2nd degré passent à 18 heures... Le SE-UNSA et le SGEN-CFDT ont voté POUR ce décret et la FSU s'est abstenu (ce qui revient à voter POUR). Ces gens ont un discours de façade pour allécher le client puis votent à l'opposé de ce discours. C'est une ESCROQUERIE...

LE SE-UNSA et le SGEN-CFDT sont à fond pour la réforme des rythmes, le SNUIPP a été pour et même s'il joue maintenant entre deux, Shir propose des horaires à la carte (la droite en rêvait et c'est lui qui le propose...), une diminution des vacances... A eux trois, ces syndicats représentent plus de 80 % des enseignants, vous ne pensez quand même pas que le ministre va oser s'opposer à eux en retirant cette réforme????

Il y a des départements qui étaient massivement à 4 jours et qui avaient moins de vacances. Parmi les collègues, un certain nombre préfèrerait revenir à ce système plutôt qu'à celui proposé. Maintenant, pour ma part, je ne rejoins pas S. Sihr sur ce point, je préfèrerais un cadrage national strict. Cependant, le SNUipp est le seul à proposer... Alors, forcément, quand on propose, on prend le risque de faire des mécontents. Les autres ? Que proposent-ils ? Ah ! Non, c'est vrai. Ils ne proposent rien, ce n'est pas à eux de la faire...

Posté(e)

Quant à Vincent Peillon, s'il n'y avait pas eu sa réforme des rythmes, on aurait dit de lui, qu'il a réengagé une forme de formation initiale, saccagée par le précédent gouvernement, dans une période austère. Ce n'est pas parfait, c'est évident mais il y a du mieux.

S'il n'avait pas fait sa réforme des rythmes, on retiendrait qu'il a réenclenché la scolarisation des moins de 2 ans alors que la fréquentation des écoles par les TPS avait chuté. On retiendrait la création des postes de maîtres supplémentaires et une légère augmentation des effectifs (insuffisante).

Sans son égo et son manque d'écoute sur la question des rythmes, son bilan n'aurait pas été jugé si sévèrement par les PE.

D'ailleurs, chez certains, je ressens une forme de déraison qui frise même parfois l'hystérie dès qu'on parle de lui...

Maintenant, allez-y, bâchez-moi. Dîtes-moi qu'on dirait un conseiller de Vincent Peillon qui parle... Défoulez-vous.

non tu as tout a fait raison... il n' a pas fait que des mauvaises choses... mais il a voulu s'entêter sur cette question des rythmes (pourquoi d'ailleurs???) et ça a complètement occulté tout ce qu'il a pu faire de bien à coté... j'ai envie de dire "tant pis pour lui!" il suffisait d'admettre que sa réforme posait de nombreux pbm et l'abandonner au lieu de s'entêter à dire "tout va bien, tout le monde est content!" , il aurait montré qu'il était à l'écoute de la base, on lui en aurait été reconnaissant et il aurait pu rester ministre de l'EN!

moi maintenant il me file des boutons quand je le vois!!

S'il s'est entêté, c'est par ego. Pour être considéré comme un MEN réformiste... Et aussi parce qu'il était très mal conseillé, je pense.

On se demande bien par qui ....

Alexandre Sine, son directeur de cabinet, le même qui avait proposé un fameux projet d'évaluation des enseignants... qui a été retoqué par N. sarkozy et X. Darcos parce que trop dangereux politiquement.

Posté(e)

Je pense que Peillon n'a pas suivi les conseils d'une seule personne. Il avait préparé son entrée au ministère bien avant l'élection de Hollande, en recevant certains syndicats notamment. Syndicats qui n'ont pas à mon avis suffisament pris la mesure de la désespérance de la profession pour défendre des positions claires sur les conditions de travail .

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