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oui donc encore une fois il y a de l'argent .... mais surtout pas pour nous pauvre petits pe de base.....

donc en gros il y a des concessions pour tout le monde (les maires surtout, le tourisme , les parents en évitant le samedi ...) mais pas d'augmentation pour nous et pas la possibilité d'avoir un après midi libéré .... à quand une grève (dans la rue, du zèle peu importe!!) massivement suivie???

Posté(e)

La possibilité d'avoir un après-midi libéré, je dirais même que c'est une interdiction d'après l'article qui dévoilait les futurs rythmes de Lille. Il y était dit que ce qui avait le plus déranger le ministère, c'était justement que les PE soient libérés un après-midi supplémentaire dans la semaine ! Sans doute au nom de l'intérêt des enfants ??? :thumbdown:

Pour l'augmentation, tu es injuste. Tu oublies la prime de 33 € par mois :whistling: ; ou peut-être moins (100 à 200 € nous disait-on). Enfin, il vaut mieux parler des 400 €, ça fait plus. Il aurait pu être annoncé la prime décennale de 4000 € !!! Ah non, pas sûr qu'elle soit reconduite l'année prochaine ... :unsure:

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Pour l'augmentation, tu es injuste. Tu oublies la prime de 33 € par mois :whistling: ; ou peut-être moins (100 à 200 € nous disait-on). Enfin, il vaut mieux parler des 400 €, ça fait plus. Il aurait pu être annoncé la prime décennale de 4000 € !!! Ah non, pas sûr qu'elle soit reconduite l'année prochaine ... :unsure:

Je ne sais pas dans quelle mesure ce n'est pas un coup de bluff de Peillon.

La communication est leur manière principale d'agir au point qu'ils en oublient souvent la réalité.

Je pense qu'ils se sont dit : "on va dire dire qu'on leur filera un petit quelque chose, mais pas tout de suite. Cela les calmera et il nous foutrons la paix".

Cela n'a pas vraiment marché.

Je ne sais pas ce qu'ils vont faire. Car notre refus d'obéissance semble fortement déranger.

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Ras-le-bol du SNALC-FGAF et du SNE-FGAF à propos des rythmes scolaires

Voici le message que nos deux organisations viennent de transmettre :

Rythmes scolaires : assez !

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF expriment leur agacement et leur colère face aux campagnes médiatiques des uns et des autres sur la question de la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires. Sondages bidons, syndicats incapables d'affirmer une position claire et jouant parfois un double jeu, municipalités aux discours orientés, partis politiques qui se permettent d'instrumentaliser l'école à des fins électorales : ça suffit ! L'École de la république n'est ni un champ de bataille, ni un bac à sable !

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF rappellent qu'ils se sont opposés au décret non pas par dogmatisme ou par corporatisme mais par anticipation des problèmes hélas constatés aujourd'hui : incapacité à recruter des animateurs formés en nombre suffisant, indigence de certaines activités, désorganisation de la semaine, difficulté de la mise en place pour les élèves de maternelle... tout cela, nous l'avions dit, nous le savions. Comme nous savions également que dans les endroits où le travail a été bien fait et où les intervenants de qualité ne manquent pas, la réforme se passerait globalement bien.

C'est pourquoi le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF demandent que l'on remette l'ouvrage sur le métier par d'importants ajustements, en donnant par exemple le pouvoir de décision de l'organisation de la semaine scolaire aux conseils d'école et non, comme c'est le cas actuellement dans les faits, aux municipalités. C'est à l'École de décider, dans le cadre national, quel doit être son fonctionnement et ce sont les professionnels de l'École qui sont les plus à même de déterminer ce qui est bon pour les enfants. Nous avions porté cette demande au Conseil Supérieur de l'Éducation et nous ne l'avions pas fait sans raison. Nous demandons également que les Inspecteurs et les Conseillers Pédagogiques viennent davantage sur le terrain pour contribuer à une meilleure organisation des activités périscolaires.

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF rappellent enfin que le cœur de l'École, ce sont les enseignements et non les activités périscolaires. Il invite le nouveau Conseil Supérieur des Programmes à se saisir d'urgence de la question de l'enseignement dans le premier degré, en prenant les mesures qui s'imposent face à la faiblesse de beaucoup de nos élèves en maîtrise de la langue et en calcul. Nous demandons un renforcement des horaires de Français et de Mathématiques, ainsi qu'un bilan réellement objectif des méthodes pédagogiques « conseillées » dans le cadre de la formation des maîtres. La liberté pédagogique, c'est la capacité pour chacun de choisir ce qui lui semble le plus efficace et non le formatage à des théories souvent discutables.

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Lu dans le Dauphiné Libéré du 10/10/2013 : extrait :

Certains maires portent ausi une autre initiative de nature à séduire les associations de parents d'élèves, les employés municipaux, chargés du périscolaire et qui ne déplait pas aux enseignants :

la répartition des 24 heures de cours pourrait aboutir à un deuxième après-midi libéré. D'évidence le vendredi. Pour Jacques Pélissard, c'est dores et déjà possible, mais le sujet n'a pas été abordé hier à Matignon...

Qui l'eut cru... Savoureux, non ?....

JBB

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Ras-le-bol du SNALC-FGAF et du SNE-FGAF à propos des rythmes scolaires

Voici le message que nos deux organisations viennent de transmettre :

Rythmes scolaires : assez !

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF expriment leur agacement et leur colère face aux campagnes médiatiques des uns et des autres sur la question de la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires. Sondages bidons, syndicats incapables d'affirmer une position claire et jouant parfois un double jeu, municipalités aux discours orientés, partis politiques qui se permettent d'instrumentaliser l'école à des fins électorales : ça suffit ! L'École de la république n'est ni un champ de bataille, ni un bac à sable !

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF rappellent qu'ils se sont opposés au décret non pas par dogmatisme ou par corporatisme mais par anticipation des problèmes hélas constatés aujourd'hui : incapacité à recruter des animateurs formés en nombre suffisant, indigence de certaines activités, désorganisation de la semaine, difficulté de la mise en place pour les élèves de maternelle... tout cela, nous l'avions dit, nous le savions. Comme nous savions également que dans les endroits où le travail a été bien fait et où les intervenants de qualité ne manquent pas, la réforme se passerait globalement bien.

C'est pourquoi le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF demandent que l'on remette l'ouvrage sur le métier par d'importants ajustements, en donnant par exemple le pouvoir de décision de l'organisation de la semaine scolaire aux conseils d'école et non, comme c'est le cas actuellement dans les faits, aux municipalités. C'est à l'École de décider, dans le cadre national, quel doit être son fonctionnement et ce sont les professionnels de l'École qui sont les plus à même de déterminer ce qui est bon pour les enfants. Nous avions porté cette demande au Conseil Supérieur de l'Éducation et nous ne l'avions pas fait sans raison. Nous demandons également que les Inspecteurs et les Conseillers Pédagogiques viennent davantage sur le terrain pour contribuer à une meilleure organisation des activités périscolaires.

Le SNE-FGAF et le SNALC-FGAF rappellent enfin que le cœur de l'École, ce sont les enseignements et non les activités périscolaires. Il invite le nouveau Conseil Supérieur des Programmes à se saisir d'urgence de la question de l'enseignement dans le premier degré, en prenant les mesures qui s'imposent face à la faiblesse de beaucoup de nos élèves en maîtrise de la langue et en calcul. Nous demandons un renforcement des horaires de Français et de Mathématiques, ainsi qu'un bilan réellement objectif des méthodes pédagogiques « conseillées » dans le cadre de la formation des maîtres. La liberté pédagogique, c'est la capacité pour chacun de choisir ce qui lui semble le plus efficace et non le formatage à des théories souvent discutables.

Je suis peut-être un chouïa fermée, mais je ne comprends pas deux choses (le reste étant clair):

- Il est dit que le conseil d'école (local) devrait décider, mais que c'est à l'Ecole (national) de décider. Donc, c'est aux conseils d'école de proposer une organisation à trancher au national, ce serait ça? Si les CPC viennent organiser les TAP, c'est que cela n'est pas remis en cause?

- S'il y a bilan de pédagogies, c'est qu'il y a un jugement, et donc des "bonnes" et "mauvaises" méthodes? Cela me semble justement contradictoire avec la liberté pédagogique, comme le fait que certaines méthodes soient plus conseillées que d'autres au cours de la formation, d'ailleurs (et je suis toujours contre le fait qu'un syndicat se mêle de pédagogie, mais bon, ça c'est mon point de vue)

  • J'adhère 1
Posté(e)

Entendu, ce matin sur Europe 1, Ayrault reconduirait les aides gouvernementales aux communes pour l'année scolaire prochaine.



Donc....Tout va bien!!! :unsure:

Posté(e)

Lu dans le Dauphiné Libéré du 10/10/2013 : extrait :

Certains maires portent ausi une autre initiative de nature à séduire les associations de parents d'élèves, les employés municipaux, chargés du périscolaire et qui ne déplait pas aux enseignants :

la répartition des 24 heures de cours pourrait aboutir à un deuxième après-midi libéré. D'évidence le vendredi. Pour Jacques Pélissard, c'est dores et déjà possible, mais le sujet n'a pas été abordé hier à Matignon...

Qui l'eut cru... Savoureux, non ?....

JBB

aurais un lien ou un scan de cet article ?

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