leene Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 ben ce qui me sidère le plus quand même c'est que le snuipp parisien appelle à la grève les enseignants parisiens et que le snuipp national ne suit pas .... enfin bon nous à la cgt on est pour l'abrogation du décret actuel et l'ouverture de négociations avec tous les partenaires !!
matsanpat Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 ...et que certaines sections du snuipp appellent le 13 ! Ça aussi c'est n'importe quoi !
dameoiselle Posté(e) 24 octobre 2013 Auteur Posté(e) 24 octobre 2013 ben ce qui me sidère le plus quand même c'est que le snuipp parisien appelle à la grève les enseignants parisiens et que le snuipp national ne suit pas .... Oui, mais ça souligne bien que lorsque la base met la pression, il est possible d'agir sur la position du syndicat
zazou19 Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 c'est clair que le snuipp est ambigu sur ce coup là... mais ils ne sont pas d'accord entre eux... je suis allée à une RIS avec 2 représentants : on sentait bien que la représentante n'était pas fondamentalement contre mais le représentant oui!! ce qui me fait peur c'est que de nombreux adhérents du se_unsa et du snuipp ne suivent pas la grève car leur syndicat n'appelle pas à manifester... dans le cas du se_unsa ok on connait leur position, mais pour le snuipp c'est plus embêtant car ils ne sont pas clairs et ça va jouer contre nous...
beaba_ Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 Ce serait bien que les syndiqués Snuipp remettent un coup de pression à leur antenne locale pour qu'il y ait une vraie mobilisation ! Les métiers qui rendent heureux : http://www.rtl.fr/actualites/info/article/les-metiers-qui-rendent-heureux-un-palmares-surprenant-7765978668 Les professeurs des écoles et du secondaire, heureux d'être utiles à la société Les 800.000 professeurs des écoles et du secondaire sont sur la troisième marche du podium. Servir la société, c'est ce qui semble faire avancer les enseignants. "La vocation, la passion denseigner les animent toujours pour 79% dentre eux, malgré tout ce que lon sait des difficultés de lécole au quotidien", commente Le Nouvel Observateur. Malgré la dépréciation de leur profession et la perte de prestige du métier, ils sont en 6e position quant au sentiment dascension sociale. Mais 63% seulement des professeurs estiment travailler dans de bonnes conditions, et surtout seuls 31% dentre eux se sentent reconnus par leurs supérieurs. Il y a deux semaines (vers le 10 octobre), des articles parlaient du fort taux de suicide enregistré chez les agriculteurs et maintenant on nous dit que c'est la 2e profession la plus heureuse de France ? http://www.leparisien.fr/economie/suicide-pres-de-500-cas-chez-les-agriculteurs-en-trois-ans-10-10-2013-3213187.php Encore une fois, j'aimerais bien connaître la méthodologie permettant d'arriver à ce genre de conclusion.
matsanpat Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 J'ai pensé à la même chose que toi...! Et crois-tu qu'on est la 3ème profession la plus heureuse ? Je n'en suis pas si sûre...
prof désécol Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/24/1738026-montcuq-le-sivu-face-aux-rythmes-scolaires.html "Comment préparez-vous la mise en place des nouveaux rythmes scolaires ? Avec inquiétude ! L’organisation de la semaine doit être arrêtée le 25 novembre. Pour chaque école de Montcuq, il y aura 3 heures par semaine pour lesquelles nous devrons former notre personnel et embaucher des salariés supplémentaires, ce qui représente un surcoût et une difficulté de recrutement. Nous avons fait appel à 36 associations culturelles, éducatives et sportives, susceptibles de nous apporter de l’aide sous forme de bénévolat. Nous organiserons une réunion d’information avec les volontaires. Et pour le mercredi ? Là aussi, il y a un problème. Qui va s’occuper des enfants à partir de midi ? Où vont-ils manger ? Comment les transporter dans les centres de loisirs, louer un minibus, trouver un chauffeur ? Est-ce que les parents respecteront leur engagement ? Quel est le coût de la réforme pour Montcuq ? Il est estimé à 150 € par enfant et par an, soit 15 900 €. Nous avons 106 écoliers, 68 au primaire, 38 en maternelle. Nous espérons que l’aide d’amorçage de l’État de 45 € par élève sera reconduite." ...On est impatients de voir le dispositif de la réforme de Montcuq...
beaba_ Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 J'ai pensé à la même chose que toi...! Et crois-tu qu'on est la 3ème profession la plus heureuse ? Je n'en suis pas si sûre... Ce qui est possible, c'est qu'il y ait de grandes disparités au sein de ces professions avec des personnes très heureuses et d'autres très malheureuses, ce qui pourrait expliqué à la fois les taux de suicide importants (même si dans l'EN pour les profs, officiellement, le suicide est anecdotique ... aucune statistique fiable à ce sujet ...) et le résultat de cette étude. Je ne sais pas. Mais ça me laisse dubitative ... surtout qu'on parle beaucoup du malaise enseignant ... Ou alors, grâce aux forts taux de suicides, ne restent que les gens heureux ?
prof désécol Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 (modifié) http://94.citoyens.com/2013/rythmes-scolaires-christian-hervy-salarme-du-cout-pour-les-communes,23-10-2013.html "Maire (PCF) de Chevilly-Laure, Christian Hervy s’alarme du coût de la réforme des rythmes scolaires qui prévoit d’écourter les journées d’école en contrepartie d’activités municipales et d’une demi-journée d’école le mercredi ou samedi. Selon les estimations de l’élu, la mise en place de la réforme dans cette commune de 18500 habitants reviendrait à 300 000 euros en cas de samedi travaillé et 640 000 euros en cas de mercredi travaillé. L’édile estime également que si l’ensemble des enfants participaient aux activités municipales de fin d’après-midi, il lui faudrait recruter 92 animateurs dans la ville. [...] « Comment, dans ces conditions, envisager sereinement la mise en place d’un service supplémentaire de qualité, alors que dès 2015, et plus sûrement en 2016, les finances de notre commune poseraient la question, non pas d’augmenter les services rendus, mais bien de les diminuer?, interroge Christian Hervy. S’agissant de la petite couronne parisienne, il est invraisemblable qu’une telle réforme puisse être mise en oeuvre alors que les collectivités sont sans cesse, et à tort, accusées de dépenser trop, et risquent, au moins dans la métropole de Paris, de devoir remettre en cause en 2016 ce qu’elles auront mis en place en 2014″, reprend le maire qui demande de différer la mise en oeuvre de la réforme. "Christian Hervy n’est pas le seul élu à décrier la mise en oeuvre des nouveaux rythmes. La maire PCF de Villejuif, Claudine Cordillot, s'est pour sa part inquiétée il y a quelques jour de la « territorialisation de l’école et les risques de creusement des inégalités » qui pourrait en découler tandis que le député UMP Sylvain Berrios a pointé le coût de la réforme et invité les élus à refuser sa mise en place. Une demande également exigée par les syndicats d'enseignants." Modifié 24 octobre 2013 par prof désécol
prof désécol Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 La voix du nord 24/10/13 http://www.lavoixdunord.fr/region/cambresis-reforme-des-rythmes-scolaires-les-elus-ia14b0n1643082 Extraits : "Ils étaient 80 élus, ce jeudi soir, venus de l’arrondissement pour participer au sein du pôle culturel de Caudry à un débat sur la réforme des rythmes scolaires, à l’invitation, notamment, du maire de Caudry. [...] Hubert Lefèvre : « M. Peillon a dit au maire d’une grande ville : vous ferez un rond-point en moins. Le problème, à Neuvilly, c’est qu’on n’a pas de rond-point. » Rires dans la salle. Mais la problématique est bien celle-ci : le financement de la réforme. [...] « On a mis en place une garderie, une cantine… J’ai dû embaucher trois personnes et on nous reproche nos dépenses de fonctionnement. Et maintenant il faut que j’embauche des intervenants ? » Michel Hennequart, maire de Mazinghien, est excédé. Et ce dernier de soulever un autre problème : « On a 40 enfants, 7 menacent de partir dans le privé, c’est une classe qui va fermer. » [...] Jacques Olivier, ancien de l’Éducation nationale aussi, a avoué ne rien comprendre : « Pendant 37 ans, on m’a expliqué que le meilleur temps d’apprentissage pour les enfants, c’était après la récréation de l’après-midi. Et aujourd’hui, à ce moment-là, on va nous les confier. » [...] Alors le maire de Montay, Pierre Leblond, d’en venir au fait : « En mars, il y aura les élections, après il reste six mois pour aller à la rentrée. Mais si on ne prend pas la décision avant les élections, qu’est-ce qui arrive ? » Flou à ce sujet [...] Guy Bricout, après avoir constaté via un vote à mains levées qu’une large majorité des élus souhaitaient attendre l’après-municipales sur ce sujet, a proposé d’écrire au nom de tous au directeur académique pour demander « une plus grande souplesse » à l’Éducation nationale. [...] "
prof désécol Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 (modifié) La voix du nord 22/10/13 http://www.lavoixdunord.fr/region/rythmes-scolaires-le-coup-de-sang-du-maire-ia31b0n1639765 Rythmes scolaires: le «coup de sang» du maire [...] Avec 52 000 € de rentrées fiscales par an, je ne souhaite pas créer un impôt Peillon pour remplacer cette primette donnée en 2014 par l’État. [...] Cela crée une rupture de l’égalité des chances et remet presque en cause les lois Jules Ferry rendant l’enseignement primaire public, laïc et gratuit. » Modifié 24 octobre 2013 par prof désécol
prof désécol Posté(e) 24 octobre 2013 Posté(e) 24 octobre 2013 (modifié) Les Echos 23/10/13 http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203086062400-etude-pisa-sur-les-resultats-des-eleves-vincent-peillon-promet-le-pire-621480.php Etude Pisa sur les résultats des élèves : Vincent Peillon promet le pire [...] L’enquête PISA est devenue la principale évaluation internationale des systèmes éducatifs. La dernière date de 2009. La prochaine est annoncée pour le 3 décembre. Et Vincent Peillon a visiblement décidé de s’appuyer sur cette étude - qu’il promet catastrophique pour la France - pour mieux justifier les réformes qu’il mène pour l’école. [...] A l’OCDE, les annonces sur le positionnement de la France dans la future étude Pisa sont perçues comme autant de « spéculations ». « Nous n'avons pas encore terminé les études des tendances qui permettent de parler de hausse ou de baisse », confie Eric Charbonnier, expert sur l’éducation.[...] Modifié 24 octobre 2013 par prof désécol
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