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Posté(e)

Peillon ne transigera pas. Il a l'air plus déterminé que jamais !

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0203125901914&fw=1

il va falloir qu'on se passe de ses services alors .....

comment ça c'est pas possible ????

va falloir qu'on insiste et qu'on insiste encore .... et pas que sur les rythmes car là y a un tas d'autres choses qui est en train de passer .....

Posté(e)

Peillon ne transigera pas. Il a l'air plus déterminé que jamais !

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0203125901914&fw=1

Pour ceux qui ne connaissait pas M. Chevalier:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Chevalier

Extrait:

Ancien élève de l’école normale de Cahors (Lot), il adhère au SNI-PEGC en 1986, est élu au conseil syndical du Lot en 1989 et délégué du personnel en 1990. Il devient secrétaire général de la section du Lot en 1992.

Il intègre le siège national du SE-UNSA en 2003 et il est élu secrétaire national chargé du secteur « formation des enseignants-débuts de carrière » en 2004. Le 19 mai 2009, succédant à Luc Bérille, il est élu secrétaire général du SE-UNSA. Il est également membre de l'Exécutif national de la fédération UNSA éducation et du Bureau national de l'UNSA.

Posté(e)

Ah ben dans celui là c'est le grand retour du corporatisme enseignant ces égoïstes qui ne pensent qu'à eux :

Rythmes scolaires : un concentré de mauvaise foi et d hypocrisie

http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20131114.OBS5494/rythmes-scolaires-un-concentre-de-mauvaise-foi-et-d-hypocrisie.html

Pour ceux qui ne connaissait pas encore M. Chevalier:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Chevalier

Extrait:

Ancien élève de l’école normale de Cahors (Lot), il adhère au SNI-PEGC en 1986, est élu au conseil syndical du Lot en 1989 et délégué du personnel en 1990. Il devient secrétaire général de la section du Lot en 1992.

Il intègre le siège national du SE-UNSA en 2003 et il est élu secrétaire national chargé du secteur « formation des enseignants-débuts de carrière » en 2004. Le 19 mai 2009, succédant à Luc Bérille, il est élu secrétaire général du SE-UNSA. Il est également membre de l'Exécutif national de la fédération UNSA éducation et du Bureau national de l'UNSA.

Posté(e)

Le Parisien

11/11/13

http://www.leparisien.fr/societe/rythmes-en-maternelle-le-ministere-preconise-la-sieste-apres-le-repas-11-11-2013-3306303.php

Rythmes en maternelle : le ministère préconise la sieste après le repas

aie aie aie... Mr Sirh vient de dire ce que je craignais : 4 jours pour les mater, 4.5j pour les élem... ou comment en arriver petit à petit à séparer les 2... puis rattacher la GS au cp parce que bon, en GS ils ne font plus la sieste... et puis la PS et la MS finalement ce n'est pas de l'école (on change les couches???) bref, ca sent mauvais...

aurais tu une référence ? un lien ?

dans l'article en lien juste au dessus!

Les professeurs des écoles «n'ont pas attendu ces instructions du ministre pour tenter de les mettre en oeuvre, ils savent que c'est important», a réagi Sébastien Sihr, du SNUipp-FSU, premier syndicat du primaire, regrettant que ces recommandations n'aient pas été discutées en amont avec les représentants d'enseignants .«La question, c'est comment on a les moyens de les faire vivre[...] Avec le décret actuel, c'est dans bien des endroits mission impossible» a-t-il ajouté, avec des après-midi «coupés en trois», temps scolaire, temps périscolaire, puis garderie pour ceux qui restent après 16H30, alors que les enfants de maternelle «ont besoin de repères stables et structurants».

Il faut selon lui «se mettre autour de la table» pour «construire des modèles cohérents». Il avance «deux pistes»: discuter de la possibilité de rester à la semaine de quatre jours en maternelle, sans raccourcir des journées qui intègrent temps de sieste et repos, ou concentrer les trois heures d'activités périscolaires sur une après-midi.

Posté(e)

Peillon ne transigera pas. Il a l'air plus déterminé que jamais !

http://m.lesechos.fr/redirect_article.php?id=0203125901914&fw=1

il va falloir qu'on se passe de ses services alors .....

comment ça c'est pas possible ????

va falloir qu'on insiste et qu'on insiste encore .... et pas que sur les rythmes car là y a un tas d'autres choses qui est en train de passer .....

« En France, il y a un ATSEM (agent spécialisée des écoles maternelles) pour quinze élèves. A Marseille, c’est un pour trente.

Comment il calcule ça ? Ca voudrait dire deux par classe en moyenne ?

Posté(e)

On n'en est plus à une ânerie près. 2 atsems par classe. Trop fort ce Peillon.

Posté(e)

Hypothèse: les atsem assurant tout ou partie du ménage souvent, toutes les dames de ménage ont été assimilées aux atsem.

???

Posté(e)

C'est le même principe pour le calcul du nombre d'élèves par classe : Compter les élèves et diviser par le nombre total d'enseignants (peu importe s'ils sont titulaires, remplaçants, déchargés, malades,...).

Il faut bien comprendre leur mode de fonctionnement : ces gens là ne manient que des chiffres et des dossiers! Il ne faut pas leur demander de connaître la réalité.

Mais avec ce mode de fonctionnement totalement déconnecté de la réalité, l'ensemble des secteurs dont l'état est responsable est en danger : justice, police, hôpital, éducation nationale.

Certain me diront que la crise en est la raison. Je crois que c'est plus des choix de gestion : la refondation dépense beaucoup d'argent et de moyens qui seraient assurément bien mieux utilisés ailleurs. On peut aussi légitimement penser que c'est une volonté que de casser ce secteur public au profit du privé : logique pour une politique de droite, scandaleux pour une politique (soit disant) de gauche.

Posté(e)

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/14/97001-20131114FILWWW00717-rythmes-scolaires-2-maires-se-retractent.php

2 villes abandonnent la réforme.

Bon ce sont des villes ump donc ça sent un peu la récupération politique mais bon...

Ce qu'ils disent est pourtant juste :

"Décidée par quelques technocrates (...) cette réforme s'avère chaque jour un peu plus déconnectée de la réalité du terrain dans nos écoles et dans nos villes."

Ils regrettent en outre que cette réforme dont le principe était "au départ consensuel", soit "appliquée par le Ministère de l'Education Nationale de façon tellement brutale et sans nuance qu'elle génère en outre des disparités énormes entre les écoliers selon leur lieu de résidence contrairement au principe d'égalité".

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