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Posté(e)

Elle continue cependant sa lutte acharnée pour décrédibiliser les enseignants !

La haine de soi... :online2long:

:noelblush:

Elle est enseignante, cette brave dame ?

Posté(e)

Elle continue cependant sa lutte acharnée pour décrédibiliser les enseignants !

La haine de soi... :online2long:

:noelblush:

Elle est enseignante, cette brave dame ?

La FCPE regroupe pas mal de collègues. Oui, je sais, pour moi aussi c'est incompréhensible que des collègues aiment MM. Raout et Hazan. :noelblush:

Posté(e)

Hazan qui est lui-même prof !

A noter que souvent, ce sont des profs du secondaire ou de fac ...

Posté(e)

Hazan n'est pas/plus prof. Il est président de la caisse des écoles du XIIè à Paris et actuellement membre du comité de pilotage sur les rythmes scolaires.

Posté(e)

Goellette, ca date de février l'article sur Nimes! mais en effet la mairie de Nimes s'est prononcée contre... je n'ai pas réussi à trouver un article sur le midi libre mais j'ai reçu ça de FO 30 :

COMMUNIQUE DE LA FNEC FP FO
LA MAIRIE DE NÎMES VIENT DE PRENDRE POSITION POUR LE RETRAIT DE LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES !
Le Sénateur-Maire de Nîmes a fait adopter samedi dernier un voeu demandant le retrait de la réforme des rythmes scolaires en 2014. Il pointe dans son texte notamment le coût de la réforme, entre 1,5 et 2,5 millions d'euros pour la ville, et son impact négatif sur l'activité des associations sportives et de loisirs.
L'Adjoint au Maire, chargé des affaires scolaires, qui est également ancien Inspecteur d'Académie, a voté pour ce voeu en précisant qu'il estimait nécessaire une réforme des rythmes scolaires, mais que la mise en oeuvre de celle-ci était "désinvolte et désastreuse".
Cette annonce est un véritable séisme dans le département !
Alors que Nîmes fait partie des 2 communes qui ont rendu un PEDT,
que la municipalité avait clairement soutenu la réforme
et soigneusement préparé sa mise en oeuvre pour 2014,
ce revirement démontre qu'elle est inapplicable !
Pour la FNEC FP FO, cette décision de la municipalité nîmoise est une conséquence directe de la mobilisation massive qui s'est exprimée les 14 novembre et 5 décembre par la grève et la manifestation, et qui grandit de jour en jour.
A quelques mois des élections municipales, les élus nîmois ne sont pas restés sourds aux mots d'ordre d'abrogation, portés par les personnels enseignants et territoriaux constitués en interfédérale !
Ils ont pris acte de la colère des professionnels de l'Education Nationale, mais aussi de celle des parents d'élèves toujours plus nombreux à dénoncer les méfaits de la réforme notamment dans les communes où elle s'applique;
ils ont pris acte de la résistance des maires des communes rurales, qui dénoncent le manque de moyens et commencent à s'organiser pour demander le retrait de la réforme !
Le Ministre est de plus en plus isolé, ses soutiens tombent les uns après les autres !
L'interfédérale nationale se réunit ce soir pour prendre des décisions sur la suite du mouvement.
L'interfédérale départementale se réunira le mardi 7 janvier.
Nous pouvons gagner, nous allons gagner l'abrogation du décret !
Posté(e)

Dans le Val de Marne, le maire de Vitry et celui de St Maur ont annoncé officiellement qu'ils ne mettront pas en place la réforme des rythmes scolaires :

http://snudifo94.free.fr/

http://snudifo94.free.fr/1212%202013%20Vitry%20Hebdo%20journal%20%20par%20la%20ville%20de%20vitry.pdf

Le décret sur l’aménagement des rythmes scolaires mobilise la communauté éducative. Elle s’est réunie le 3 décembre. La ville refuse d’appliquer le texte en septembre 2014.
Monsieur le maire, êtes-vous prêt à ne pas appliquer le décret ? ” La question revient, d’une manière ou d’une autre, à plusieurs reprises. C’est dire que, dans la communauté éducative, l’aménagement des rythmes scolaires fait débat.
Mardi 3 décembre, l’inspectrice de l’Éducation nationale, présente à l’hôtel de ville parmi deux cents participants, peut mesurer le rejet généré par la réforme Peillon. Cette réunion, animée par Dominique Étave, adjointe au maire en charge de l’Éducation, ainsi que par le maire, Alain Audoubert, fait le point sur un dossier qui a provoqué cinq jour- nées de grève dont la dernière a lieu le jeudi suivant.
Dans l’assemblée, une mère de famille défend l’aménagement des rythmes scolaires : “Des témoignages montrent que a marche dans certains endroits”. La réponse fuse de la salle par la voix de M. Laborde, parent d’élève : “Voilà pourquoi nous refusons cetteréforme. Elle renforce les inégalitésentre territoires et donc entre les enfants”. Le décret Peillon réorganise les vingt-quatre heures hebdomadaires d’enseignement sur neuf demi-journées et réduit de quarante- cinq minutes par jour ce temps pour laisser la place à des activités périscolaires mises en place et financées par les
communes. Le matin même, le rapport Pisa (émanant de l’Europe) a montré un creusement des inégalités entre les enfants. M me Postaire, militante FPE, interroge : “Il y a un paradoxe éton- nant. Le rapport Pisa met en lumière ce que nous savons déjà et le décret Peillon creuse encore les inégalités. Pendant que des enfants feront du coloriage, d’autres, dans des villes riches, pourront faire des activités pédago- giques”. À sa suite, M. Prigent, directeur de centre de loisirs, deman- de : “Comment j’accueille quatre cents enfants dans mes locaux, moi ?” Une majorité des intervenants converge pour demander un vrai débat sur la refondation de l’école en partant des objectifs : “bâtir l’écolede la réussite pour tous”, pour décliner les moyens et les programmes. D’où découlera l’organisation des rythmes scolaires. D’ici là, Alain Audoubert, le maire, confirme la position de la ville de “refuser le bricolage”. À l’unisson avec quinze autres municipalités du Val-de-Marne, Vitry n’appliquera pas le décret en septembre 2014.
Dernière minute
: Lors du conseil municipal du jeudi 12 décembre 2 vœux demandant l’abrogation du décret sont adoptés à l’unanimité (moins un vote contre). Lors de son introduction le Maire a rappelé qu'il a reçu une délégation massive d'enseignants avec leur syndicat le 5/12 et que la mobilisation des enseignants pour l’abrogation de ce décret est sans précédent. Le vœu qu’il propose au conseil municipal vise à tenir l’engagement qu’il a pris devant cette délégation.
Un autre élu a également déposé un voeu demandant le retrait de la réforme.
Ces 2 vœux ont été votés à l’unanimité des conseillers municipaux (toutes étiquettes confondues) hormis une conseillère
municipale qui a voté contre.le Maire a déclaré lors de ce conseil municipal qu’il n'enverrait aucun projet d’organisation des temps scolaires et périscolaires à la DASEN avant les élections Municipales et donc qu’il se refusait à mettre en place le décret à St Maur...
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Goellette, ca date de février l'article sur Nimes! mais en effet la mairie de Nimes s'est prononcée contre... je n'ai pas réussi à trouver un article sur le midi libre mais j'ai reçu ça de FO 30 :

Gloups. Je croyais avoir lu ça dans les nouvelles de décembre ...

Mais il va bien désobéir, le Maire de Nîmes, et ne pas organiser la semaine de quatre jours et demi en septembre 2014?

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L'union - L'Ardennais

21/10/13

http://www.lunion.presse.fr/region/rythmes-scolaires-l-appel-aux-associations-est-lance-ia3b24n271649

Rythmes scolaires : l'appel aux associations est lancée

[...] Quoi qu’il en soit, la municipalité prévient : elle ne pourra satisfaire tout le monde.

« Je m’attends à des réactions dans les écoles, du type, on y apprend le tambour alors que mon enfant préfère la trompette », commente le maire Bruno Bourg-Broc avant de conclure avec un chiffre : « 700 000 euros, c’est le coût de cette réforme pour la municipalité sur une année pleine, à Châlons ».

Avec un maire autant à l'écoute de ses administrés, la réforme risque de démarrer en fanfare à Châlons...

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Sud-Ouest

21/12/13

http://www.sudouest.fr/2013/12/20/rythmes-scolaires-le-non-de-la-municipalite-1408244-4699.php

St Médard de Mussidan.

Rythmes scolaires : le non de la municipalité

[...] Selon les élus, travail précaire et bénévolat resteront les seules possibilités pour les municipalités « d’assurer » les nouvelles activités périscolaires.

Dans ces conditions, la commune demande un report de la mise en place de la réforme. [...]

Posté(e)

Goellette, ca date de février l'article sur Nimes! mais en effet la mairie de Nimes s'est prononcée contre... je n'ai pas réussi à trouver un article sur le midi libre mais j'ai reçu ça de FO 30 :

Gloups. Je croyais avoir lu ça dans les nouvelles de décembre ...

Mais il va bien désobéir, le Maire de Nîmes, et ne pas organiser la semaine de quatre jours et demi en septembre 2014?

Oui, apparemment, c'est ce que mes collègues ont entendu à la radio il y a quelques jours.

A la mairie d'Alès, ils nous ont dit, de manière imagée, qu'ils brûlaient un cierge tous les soirs pour la réforme ne passe pas...

Et les parents et les enseignants de la ville également.

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