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Sud Ouest

24/12/13

http://www.sudouest.fr/2013/12/24/la-ville-a-son-rythme-1411530-1510.php

Royan. Rythmes scolaires : la ville prend son temps

"Singulière position que celle de la majorité municipale, de Didier Quentin du moins, au sujet du changement des rythmes scolaires. On le sait, Royan a choisi de ne pas appliquer les nouveaux rythmes dès la rentrée 2013. Dans la ligne de l'UMP, le maire n'adhère pas à cette réforme. Là où la position locale devient singulière, c'est que Didier Quentin a annoncé vendredi soir lors du Conseil municipal, à la faveur d'une question du conseiller d'opposition communiste Jacques Guiard, que la Ville ne prendrait aucune mesure pour préparer la rentrée 2014 avant les prochaines élections municipales. « Pour ne pas engager la prochaine majorité municipale », argue le maire sortant et candidat à sa succession.

« Ce qui me gêne, c'est le coût pour la Ville de l'organisation de cette réforme, entre 200 000 et 250 000 euros », rappelait vendredi soir Didier Quentin. Une somme qui a connu au passage une majoration, puisque le maire évoquait, il y a encore quelques semaines, un coût évalué à 200 000 euros.

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La Dépêche

24/12/13

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/24/1781552-labastide-anjou-nouveaux-rythmes-scolaires-est-rentree-prochaine.html

Labastide d'Anjou

Rythmes scolaires : c'est pour la rentrée prochaine

[...] Cela pose des difficultés à la commune en termes de personnel, de locaux (obligation d’utilisation des classes et du dortoir); réduction des créneaux d’intervention des techniciens des services techniques (mercredi). Le coût estimé pour la commune serait de 32 000€. [...]

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La Dépêche

24/12/13

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/24/1781212-figeac-bilan-et-perspectives-de-la-reforme-des-rythmes-scolaires.html

Figeac. Bilan et perspectives de la réforme des rythmes scolaires

[...] Les «Atsem» pour qui une réunion ultérieure est prévue lundi 23 décembre n’étaient pas conviées à cette réunion. Marianne Laroze, directrice de Partir !, a présenté un bilan des activités du 1er trimestre et les intervenants du 2nd trimestre. Des enseignantes ont pointé certains problèmes pédagogiques et de discipline lors des APE, soulignant l’utilité d’une concertation. [...]

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Le Parisien - You

21/12/13

http://you.leparisien.fr/actu/2013/12/21/rythmes-scolaires-sylvain-berrios-defend-le-principe-de-libre-choix-des-communes-21931.html

Rythmes scolaires : Sylvie Berrios défend le principe de libre-choix des communes

[...] A l’origine de l’appel des maires et parlementaires du Val-de-Marne contre la réforme Peillon, avec Christian Cambon (Sénateur-Maire de Saint-Maurice) j’ai, dès le départ, refusé un diktat ministériel contraire à l’intérêt des enfants, non souhaité par les parents, non voulu par les enseignants et non financé par l’Etat. [...]

[...] En tout état de cause, s’agissant d’un simple décret ministériel, celui-ci ne s’impose pas aux maires comme l’a reconnu le ministre en personne. Dès lors, seules les communes qui auront transmis officiellement à l’Éducation nationale leur projet éducatif territorial – valant de fait acceptation de la réforme des rythmes scolaires – devront se conformer au décret Peillon. [...]

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Le Parisien

17/12/13

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/rythmes-scolaires-des-villes-trainent-deja-les-pieds-17-12-2013-3415359.php

Rythmes scolaires : des villes traînent déjà les pieds

[...] la direction académique n’est pas dupe. En Seine-Saint-Denis, les 35 copies ne seront pas sur le bureau le jour J. Ni même pour le Conseil départemental de l’Education nationale (CDEN), décalé lui aussi au 13 février. « On sait déjà que nous n’aurons pas tous les avant-projets avant les élections municipales, estime-t-on au cabinet du directeur académique. Des délais supplémentaires seront certainement accordés, mais il faudra surtout comptabiliser les villes qui ne souhaitent pas du tout mettre en place la réforme. » [...]

[...] Reçus à leur demande en novembre par le directeur académique, dix des quatorze maires des villes du centre et de droite du département ont clairement fait savoir qu’ils n’enverraient pas leur copie dans les temps. Quant aux élus communistes et Front de gauche, particulièrement virulents ces dernières semaines contre la réforme, ils se gardent encore pour certains de prendre position.[...]

Posté(e)

[...] En tout état de cause, sagissant dun simple décret ministériel, celui-ci ne simpose pas aux maires comme la reconnu le ministre en personne. Dès lors, seules les communes qui auront transmis officiellement à lÉducation nationale leur projet éducatif territorial valant de fait acceptation de la réforme des rythmes scolaires devront se conformer au décret Peillon. [...]

C'est vrai ça ??

Posté(e) (modifié)

[...] En tout état de cause, sagissant dun simple décret ministériel, celui-ci ne simpose pas aux maires comme la reconnu le ministre en personne. Dès lors, seules les communes qui auront transmis officiellement à lÉducation nationale leur projet éducatif territorial valant de fait acceptation de la réforme des rythmes scolaires devront se conformer au décret Peillon. [...]

C'est vrai ça ??

Je ne pense pas ; j'imagine que si le décret ne s'imposait pas aux maires, le préfet de l'Essonne n'aurait pas déposé un recours contre la commune de Janvry suite à la décision municipale de ne pas mettre en place la réforme. (recours finalement abandonné par le Préfet)

Ce qui n'est pas obligatoire, c'est la mise en place d'activités périscolaires. Un maire peut très bien décider la fin de la classe à 15h30 sans proposer quoi que ce soit d'autre jusqu'à 16h30 et au-delà...

Mais à la lecture des articles de ce fil, on constate que :

- les dates butoirs successives fixées par les Inspections Académiques n'effraient pas beaucoup certains maires pour lesquels il est urgent d'attendre

- certains maires ont annoncé qu'ils appliqueraient la réforme a minima (sans périsco), voire laissent à l'I.A le soin de fixer elle-même les horaires de classe

- le renoncement au référé déposé par le préfet contre Janvry risque de donner du courage à certains et de faire en quelque sorte "jurisprudence"...

Modifié par prof désécol
Posté(e)

Dans le Val de Marne, le maire de Vitry et celui de St Maur ont annoncé officiellement qu'ils ne mettront pas en place la réforme des rythmes scolaires :

http://snudifo94.free.fr/

http://snudifo94.free.fr/1212%202013%20Vitry%20Hebdo%20journal%20%20par%20la%20ville%20de%20vitry.pdf

Le décret sur l’aménagement des rythmes scolaires mobilise la communauté éducative. Elle s’est réunie le 3 décembre. La ville refuse d’appliquer le texte en septembre 2014.
Monsieur le maire, êtes-vous prêt à ne pas appliquer le décret ? ” La question revient, d’une manière ou d’une autre, à plusieurs reprises. C’est dire que, dans la communauté éducative, l’aménagement des rythmes scolaires fait débat.
Mardi 3 décembre, l’inspectrice de l’Éducation nationale, présente à l’hôtel de ville parmi deux cents participants, peut mesurer le rejet généré par la réforme Peillon. Cette réunion, animée par Dominique Étave, adjointe au maire en charge de l’Éducation, ainsi que par le maire, Alain Audoubert, fait le point sur un dossier qui a provoqué cinq jour- nées de grève dont la dernière a lieu le jeudi suivant.
Dans l’assemblée, une mère de famille défend l’aménagement des rythmes scolaires : “Des témoignages montrent que a marche dans certains endroits”. La réponse fuse de la salle par la voix de M. Laborde, parent d’élève : “Voilà pourquoi nous refusons cetteréforme. Elle renforce les inégalitésentre territoires et donc entre les enfants”. Le décret Peillon réorganise les vingt-quatre heures hebdomadaires d’enseignement sur neuf demi-journées et réduit de quarante- cinq minutes par jour ce temps pour laisser la place à des activités périscolaires mises en place et financées par les
communes. Le matin même, le rapport Pisa (émanant de l’Europe) a montré un creusement des inégalités entre les enfants. M me Postaire, militante FPE, interroge : “Il y a un paradoxe éton- nant. Le rapport Pisa met en lumière ce que nous savons déjà et le décret Peillon creuse encore les inégalités. Pendant que des enfants feront du coloriage, d’autres, dans des villes riches, pourront faire des activités pédago- giques”. À sa suite, M. Prigent, directeur de centre de loisirs, deman- de : “Comment j’accueille quatre cents enfants dans mes locaux, moi ?” Une majorité des intervenants converge pour demander un vrai débat sur la refondation de l’école en partant des objectifs : “bâtir l’écolede la réussite pour tous”, pour décliner les moyens et les programmes. D’où découlera l’organisation des rythmes scolaires. D’ici là, Alain Audoubert, le maire, confirme la position de la ville de “refuser le bricolage”. À l’unisson avec quinze autres municipalités du Val-de-Marne, Vitry n’appliquera pas le décret en septembre 2014.
Dernière minute
: Lors du conseil municipal du jeudi 12 décembre 2 vœux demandant l’abrogation du décret sont adoptés à l’unanimité (moins un vote contre). Lors de son introduction le Maire a rappelé qu'il a reçu une délégation massive d'enseignants avec leur syndicat le 5/12 et que la mobilisation des enseignants pour l’abrogation de ce décret est sans précédent. Le vœu qu’il propose au conseil municipal vise à tenir l’engagement qu’il a pris devant cette délégation.
Un autre élu a également déposé un voeu demandant le retrait de la réforme.
Ces 2 vœux ont été votés à l’unanimité des conseillers municipaux (toutes étiquettes confondues) hormis une conseillère
municipale qui a voté contre.le Maire a déclaré lors de ce conseil municipal qu’il n'enverrait aucun projet d’organisation des temps scolaires et périscolaires à la DASEN avant les élections Municipales et donc qu’il se refusait à mettre en place le décret à St Maur...
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L'Indépendant

26/12/13

http://www.lindependant.fr/2013/12/26/premier-bilan-et-premieres-inquietudes,1828783.php

Rythmes scolaires à Carcassonne : premier bilan et premières inquiétudes

"[...] Dans l'Aude, département champion pour ce qui est de la mise en place anticipée de la réforme (obligatoire seulement à partir de la rentrée prochaine), 22 communes ont signé avec l'État un Projet éducatif territorial qui ouvre droit à l'aide de 90 € par enfant pour l'organisation de ces activités. Le préfet les a réunies dernièrement afin de dresser un premier bilan.

Les maires présents ont fait part de satisfactions (notamment en ce qui concerne le partenariat avec les associations, et l'embauche de contrats aidés pour assurer les encadrements d'activités), mais également de ce que le préfet qualifie de "points de vigilance" : manque de locaux, problèmes dans le ramassage scolaire, difficultés avec un personnel enseignant souvent hostile à la réforme, confrontation avec des parents qui comparent les activités proposées à leurs enfants avec celles des communes voisines… [...]

[...] Pour l'instant, la réforme et son dispositif annexe d'activités périscolaires s'applique pour 10 000 élèves de l'Aude. Il en reste 20 000 de plus à faire entrer dans le système, d'ici septembre prochain. Pour cela, les mairies peuvent compter sur un appui de l'État qui va organiser trois vagues d'accompagnement à l'élaboration des projets territoriaux en février, mai et septembre 2014. [...]"

Elaboration des PEdT en septembre 2014... Application en 2015 ? :noelhappy:

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Le Bien Public

24/12/13

http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2013/12/24/montigny-mornay-villeneuve-les-rythmes-scolaires-au-centre-des-debats

Montigny-Mornay-Villeneuve : Les rythmes scolaires au centre des débats

[...] Une réflexion sera étudiée pour la mise en place du temps d’accueil périscolaire (TAP), sachant qu’actuellement la communauté de communes n’a pas les moyens financiers, les locaux et le personnel pour le mettre en place. [...]

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