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La Dépêche

12/12/03

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/12/1773606-foix-rythmes-scolaires-bilan-d-etape-mitige.html

Foix. Rythmes scolaires : bilan d'étape mitigé

" [...] Le ton n’est pas le même, suivant la taille des communes concernées. Côté Foix, au Cardié par exemple, les propos des représentants sont mesurés. [...]

Le représentant de Cadirac, lui, est plus circonspect : «Il n’y a aucune critique sur les activités, résume-t-il. Mais le mot qui revient le plus souvent, c’est celui de la fatigue des enfants. Et la difficulté pour les familles à trouver un nouvel équilibre».

Du côté de Crampagna, le ton est beaucoup plus acerbe. «Chez nous, il n’y a pas d’accueil périscolaire, explique le représentant des parents. Les enfants sont «gardés» dans la cour ou les classes, avant l’arrivée des parents. Aujourd’hui, ils passent plus de temps à l’école qu’auparavant. [...] "

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Midi Libre

16/12/13

http://www.midilibre.fr/2013/12/15/les-conseillers-socialistes-de-grabels-pas-d-accord-sur-les-rythmes-scolaires,797364.php

Les conseillers socialistes de Grabels pas d'accord sur les rythmes scolaires

"Lors du dernier conseil municipal, René Revol a demandé aux conseillers de voter la suspension de la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires.

Sur les quatre conseillers socialistes qui siègent dans la majorité deux ont suivi le maire Parti de Gauche, Corp et Pagès, tandis que les élues Carbonnel-Bringuier et Martichon ont émis un vote contre cette délibération qui s’oppose à la politique du gouvernement.

Tous les autres conseillers ont adopté la position du maire. [...] "

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La Provence

4/12/13

http://www.laprovence.com/article/edition-salon/2652119/rythmes-scolaires-le-projet-saffine-les-parents-grimacent.html

Salon-de-Provence. Rythmes scolaires : le projet s'affine, les parents grimacent

" Ils sont remontés les parents d'élèves, remontés et inquiets. Le projet de rythmes scolaires tel qu'il se profile et que l'a voulu le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, ne leur convient pas. Pour appuyer leurs préoccupations, ils ont fait circuler une pétition qu'ils ont remise, hier matin, au maire Michel Tonon [...].

"Qu'est-il prévu après 12 h 30 pour les enfants dont les parents travaillent, le mercredi ?", interrogeait une maman.

La réponse du maire est claire : "Rien". Le centre aéré continuera de fonctionner, l'après-midi, selon des modalités qui restent encore à organiser mais la collectivité ne peut se permettre de prendre en charge le transport d'une centaine d'enfants répartis dans la vingtaine de groupes scolaires de la ville vers le centre de loisirs.

[...] Autre conséquence de la réforme l'organisation des activités sportives et culturelles extrascolaires. À la Maison des jeunes et de la culture, au conservatoire... On planche déjà pour aménager les emplois du temps en supprimant le mercredi matin. Un casse-tête qui risque bien de ne pas être résolu. Hier, le maire, Michel Tonon, le confirmait : "le conservatoire aura bien du mal à retrouver tous ses créneaux". [...] "

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Courrier Picard

20/12/13

http://www.courrier-picard.fr/region/un-conseil-rythme-par-la-reforme-ia186b0n270792

Beauvais. Un conseil rythmé par la réforme

Des parents d'élèves se sont invités au dernier conseil municipal, mercredi soir, pour exprimer leur insatisfaction sur l'application des rythmes scolaires.

[...] « Les parents d'élèves sont inquiets pour leurs enfants. Les horaires proposés ne nous conviennent pas. Cette réforme, nous allons finalement la payer à Beauvais quand nos enfants seront accueillis dans les centres de loisirs le mercredi après-midi, explique cette dernière. Nous sommes globalement contre cette réforme. Laissons le mercredi à nos enfants ! »

Ce point de vue a alors fait réagir le maire de Beauvais, qui n'a pas manqué de souligner qu'elle « subissait » elle aussi cette réforme du gouvernement en place. [...]

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Les DASEN et les IEN peuvent se charger de la mise en place. Ils sont payés pour ça et sauront nous montrer toutes les facettes de leurs talents.

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7 à Poitiers

10/12/13

http://www.7apoitiers.fr/enquete/1068/rythmes-scolaires-pourquoi-ca-rale

Rythmes scolaires : pourquoi ça râle

[...] L’argument de la précipitation, Gérard Barc le partage. « C’était presque scandaleux de vouloir la mettre en place dès 2013 », assure le maire… socialiste de Vouneuil-sur-Vienne. Qui a décidé de reporter son application à 2014 dans sa propre commune. Au-delà, le conseiller général du canton estime que la réforme des rythmes scolaires met en évidence les disparités entre les villes et le milieu rural. « Et pas que sur le plan financier, mais aussi sur la question des locaux, du personnel communal et de l’encadrement. C’est hyper compliqué d’avoir des gens formés et disponibles, une heure par semaine, en milieu d’après-midi… » [...]

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Paris-Normandie.fr

2/12/13

http://www.paris-normandie.fr/article/societe/opinion-pourquoi-la-fcpe-de-seine-maritime-reclame-une-concertation-sur-les-rythmes-

ROUEN (Seine-Maritime). la FCPE de Seine Maritime explique pourquoi elle soutient le mouvement de protestation sur la mise en application de la réforme des rythmes scolaires

[...] si le gouvernement veut réussir cette réforme des rythmes scolaires, elle doit être :

1) Une réforme discutée et réfléchie mettant l’enfant au coeur de la réflexion globale,

2) Une réforme concertée avec tous les acteurs de terrain de la communauté éducative et partagée par tous pour une meilleure efficacité,

3) Une réforme sous la tutelle de l’Education Nationale et financée par l’Etat dans sa totalité,

4) Une réforme épargnant le pouvoir d’achat des familles avec l’application de la gratuité des activités périscolaires réalisées dans un cadre normé et garanti par l’Etat, notamment en matière d’encadrement et de formation des animateurs,

5) Une réforme qui impose le retour au samedi matin travaillé, le mercredi libre et la restitution des 72 heures annuelles supprimées en 2008,

6) Une réforme qui revisite les contenus des enseignements et la qualité des apprentissages,

Si la réforme des rythmes scolaires est un des aspects de la refondation de l'école, la FCPE de Seine Maritime ne la considère pas pour autant comme la pierre angulaire de cette refondation.

L’éducation des enfants doit rester nationale, afin de garder une cohérence territoriale et un équilibre nécessaire entre le monde urbain et rural, entre les grandes et petites villes sans risquer de creuser davantage les inégalités sociales et territoriales.

Dans notre département, d’autres urgences doivent être prises en compte, si nous voulons faire réussir tous les jeunes seinomarins : |...]

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Courageux, mais certaines de leurs revendications vont faire bondir, y compris dans les rangs des parents. Je pense notamment au samedi matin.

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Courageux, mais certaines de leurs revendications vont faire bondir, y compris dans les rangs des parents. Je pense notamment au samedi matin.

Pas que dans les rangs des parents. Je le dis et redis, je préfère encore bosser le mercredi que le samedi.

Posté(e)

Courageux, mais certaines de leurs revendications vont faire bondir, y compris dans les rangs des parents. Je pense notamment au samedi matin.

Pas que dans les rangs des parents. Je le dis et redis, je préfère encore bosser le mercredi que le samedi.

Mais pour les élèves et les finances publiques, à supposer qu'il faille vraiment travailler une demi journée supplémentaire, le samedi est largement préférable.

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