prof désécol Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 Là aussi, on n'a pas accès à l'intégralité de l'article si on n'est pas abonné. Va sur Google, tape le nom du ministre et "turbulences", tu auras un lien vers l'article complet.
prof désécol Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 SudOuest 3/01/13 http://www.sudouest.fr/2014/01/03/rythmes-scolaires-en-gironde-ca-passe-ou-ca-coince-1418875-2780.php Il s'agit d'un sondage : Pour ou contre la réforme des rythmes scolaires ?
Goëllette Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 Là aussi, on n'a pas accès à l'intégralité de l'article si on n'est pas abonné. Va sur Google, tape le nom du ministre et "turbulences", tu auras un lien vers l'article complet. Pareil, soit il s'agit de copiés-collés, soit ça ramène au site et à l'article incomplet.
prof désécol Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 http://www.lemonde.fr/ecole-primaire-et-secondaire/article/2013/12/13/vincent-peillon-un-ministre-fragilise-par-les-turbulences_4333944_1473688.html Vincent Peillon, un ministre fragilisé par les turbulences " Le démenti n'a pas convaincu grand monde. « Non », il n'y a pas eu de recul sur la question du temps de travail des enseignants des classes préparatoires, a contre toute évidence assuré Vincent Peillon, qui présentait jeudi 12 décembre ses premiers arbitrages sur le métier d'enseignant. Force est pourtant d'en convenir : secoué depuis dix-huit mois par les fortes turbulences que cause la réforme des rythmes scolaires, le ministre de l'éducation nationale subit là une nouvelle déconvenue politique. D'autant plus qu'il s'était, depuis la rentrée, attaché à afficher sur ce point une extrême fermeté.Ces derniers jours, M. Peillon l'avait répété à l'envi : « Il n'y a pas de raison de lâcher. Les Français ne le comprendraient pas », martelait-il encore mardi 10 décembre, face à ses proches. Mais l'Elysée, malgré les démentis de l'entourage présidentiel, a contraint son ministre à temporiser. Au moins. « On me demande d'arrêter », glisse-t-il à son entourage quelques heures plus tard. A en croire ses amis politiques, ce nouvel accroc n'affecterait en rien le cours de l'action Peillon à la bourse de l'exécutif. « Il est en bonne forme politique », assure l'un d'eux, qui néanmoins s'en désole : « En criant haut et fort que Peillon a reculé sur les classes prépas, on remet un euro dans la machine et on risque de remobiliser les gens sur les rythmes scolaires. » Un avertissement pour M. Peillon ? « Globalement, jusqu'ici, on l'avait laissé faire », assure un de ses conseillers. L'épisode le démontre : après les frictions sur la réforme des rythmes, le ministre de l'éducation, du point de vue du président, ne semble plus jouir aujourd'hui d'une autonomie totale. Bien qu'il soit en charge du dossier prioritaire du quinquennat, la confiance ne règne pas tout à fait entre les deux hommes, marqués par un passif ancien, remontant aux années où François Hollande présidait aux destinées du Parti Socialiste. « Le président n'a pas une passion pour lui », confirme un ami de M. Hollande. M. Peillon ne fait pas partie des ministres que le chef de l'Etat consulte régulièrement sur les affaires politiques, à l'image de Jean-Yves Le Drian, Bernard Cazeneuve, Manuel Valls ou Laurent Fabius. « UNE MÉTHODE UN PEU RAIDE » Quant au ministre, il a plutôt jusqu'ici décidé de jouer cavalier seul. Certes, il s'était, depuis l'arrivée de la gauche au pouvoir, quasi exclusivement consacré à ses dossiers ministériels, l'épisode du congrès PS de Toulouse excepté, en coulisse duquel il avait manoeuvré plus qu'à son tour. Depuis la dernière rentrée scolaire, le virus de la politique semble l'avoir epris. Tous les mardis matins depuis la rentrée, un petit-déjeuner réunit ses amis politiques : Marc Mancel, un de ses conseillers, et les parlementaires Patrick Bloche, Patrick Mennucci, Eduardo Rihan-Cypel ou David Assouline. Il soutient désormais ardemment le premier ministre Jean-Marc Ayrault, avec qui les relations n'avaient pourtant pas toujours été faciles. Il a tôt déclaré sa candidature aux européennes dans la circonscription du Sud-Est, où il affrontera Jean-Marie Le Pen. Et certains le voient reparti en campagne pour le premier secrétariat du PS, qu'il ambitionnait déjà de conquérir en 2008, à l'époque du congrès de Reims. Démenti formel de ses proches : « On n'en a pas parlé », jure son entourage, pour qui « il n'a pas envie de sortir du gouvernement. Il a envie de continuer. » Il n'est néanmoins pas certain que la rugosité dont il a fait montre Rue de Grenelle lui garantisse d'y être maintenu en cas de remaniement. Commentaire d'un ami du président : « Il donne l'impression d'être un peu trop allant, de ne pas forcément écouter les autres. On ne peut pas dire qu'il soit un mauvais ministre, mais il a une méthode un peu raide. » Mais pour ses amis politiques, le problème de M. Peillon serait d'être un peu trop seul au sein de l'exécutif : « Il a fait une superbe réforme, il applique tout ce que l'on a toujours dit dans l'opposition mais il n'a pas le soutien qu'il mérite », regrette Patrick Mennucci. "
Goëllette Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 Mais pour ses amis politiques, le problème de M. Peillon serait d'être un peu trop seul au sein de l'exécutif : « Il a fait une superbe réforme, il applique tout ce que l'on a toujours dit dans l'opposition mais il n'a pas le soutien qu'il mérite », regrette Patrick Mennucci. " En gros, il fait une politique de droite et ses amis socialistes s'en félicitent ?
prof désécol Posté(e) 3 janvier 2014 Posté(e) 3 janvier 2014 Mais pour ses amis politiques, le problème de M. Peillon serait d'être un peu trop seul au sein de l'exécutif : « Il a fait une superbe réforme, il applique tout ce que l'on a toujours dit dans l'opposition mais il n'a pas le soutien qu'il mérite », regrette Patrick Mennucci. " En gros, il fait une politique de droite et ses amis socialistes s'en félicitent ? Non, il veut dire "quand les socialistes étaient dans l'opposition".
Zarko Posté(e) 4 janvier 2014 Posté(e) 4 janvier 2014 En tout cas, ça se dispute au sein même du SE, du snuipp et de la FCPE...C'est sans doute parce qu'ils sont démocratiques ! http://fcpenousaussi.wesign.it/fr http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/12/05/rythmes-scolaires-le-principal-syndicat-d-instituteurs-appelle-a-la-greve_3525168_3224.html
Goëllette Posté(e) 4 janvier 2014 Posté(e) 4 janvier 2014 L'article du blog FCPE dissidents est confus. Que demandent-ils ? Que dénoncent-ils ? Quant à celui sur le snuipp, j'aime le passage : Le SNUipp, qui a perdu un millier d’adhérents cet automne, comme le reconnaît M. Sihr, se cherche une ligne.
prof désécol Posté(e) 4 janvier 2014 Posté(e) 4 janvier 2014 (modifié) Midi Libre 4/01/14 http://www.midilibre.fr/2014/01/03/la-reforme-des-rythmes-scolaires-inquiete-et-mobilise,803973.php Aveyron : la réforme des rythmes scolaires mobilise et inquiète Une nouvelle mobilisation est organisée le mercredi 8 janvier en cinq lieux du département. Pour exiger la suppression de la réforme. [...] Les résultats de l’enquête “rythmes”, lancée au plan local par le syndicat [sNUI-pp FSU 12], étayent ses dires. "Les enfants sont fatigués sans doute plus que d’habitude ; le travail scolaire ne s’en trouve pas amélioré ; les collègues dénoncent une dégradation véritable de leurs conditions de travail, comme le sont aussi celles des agents territoriaux", liste, notamment, Valérie Tavernier qui pointe du doigt "les inégalités criantes" constatées au niveau des activités périscolaires. [...] Jean-Luc Vernhes, secrétaire général de la CGT-Territoriaux, est formel : cela ne va pas sans poser des difficultés pour certaines collectivités ("Nous avons en face de nous des élus inquiets"), ni sans accroître certaines disparités. [...] Aussi bien le SNUipp-FSU 12 que la CGT-Territoriaux, Sud-Éducation et la CGT-Educ’action dénoncent d’une même voix le danger à voir les enseignants réduits à enseigner le “lire-écrire-compter”, et laisser les mairies prendre en charge le reste (le sport, les arts...). "C’est une porte d’entrée vers l’éclatement de l’Éducation nationale...". Et comme leur ministre de tutelle n’a donné aucune réponse à leurs préoccupations (et revendications) portées dans la rue courant novembre, puis le 5 décembre, ils ont décidé de “remettre le couvert” le mercredi 8 janvier, à 17 heures, sous la forme de cinq rassemblements décentralisés à travers le territoire aveyronnais : à Rodez, Decazeville, Millau, Saint-Affrique et Villefranche-de-Rouergue. [...] Modifié 4 janvier 2014 par prof désécol
Goëllette Posté(e) 5 janvier 2014 Posté(e) 5 janvier 2014 Ce qui fiche le cafard, c'est que ce qui se passe cette année aurait pu se passer l'an dernier, si notre révolte n'avait pas été étouffée !
prof désécol Posté(e) 5 janvier 2014 Posté(e) 5 janvier 2014 (modifié) Centre Presse 5/01/14 http://www.centre-presse.fr/article-280094-aussi-rude-que-br-pour-vincent-peillon.html 2014 aussi rude que 2013 pour Vincent Peillon ? " [...] Le ministre a d'ailleurs regretté en novembre dans Le Monde que « la question des rythmes occupe seule tout le champ médiatique car elle n'a de sens que dans un ensemble ».Mais cet ensemble, les Français ont du mal à le reconstituer. En témoigne la cote de popularité de Vincent Peillon, en chute libre depuis la rentrée. Il fait désormais partie des ministres les plus impopulaires du gouvernement, juste derrière Pierre Moscovici, avec seulement 30% d'opinions favorables. [...] Pour François Jarraud, rédacteur en chef du Café pédagogique, sa présence rue de Grenelle ne se discute pas. « Son départ enterrerait la dernière tentative de la gauche pour sauver l'école », assure-t-il. « Sa personne n'est pas indispensable. Son projet, si. » " Bon, si avec ça on n'a pas compris pour qui roule le rédac'chef du Café pédagogique... Mais il a parfois des éclairs de lucidité : http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/Education/n/Contenus/Articles/2014/01/05/Pas-en-mesure-d-imposer-sa-volonte-1746693 " [...] la décision de lier la réforme des rythmes scolaires aux municipales pourrait être funeste. Imaginons que l'opposition remporte un énorme succès sur la promesse de ne pas l'appliquer… Ce scénario était envisageable dès le départ. " Modifié 5 janvier 2014 par prof désécol
abel27 Posté(e) 5 janvier 2014 Posté(e) 5 janvier 2014 Pourquoi séparer le projet de la personne ? Ce n'est pas parce qu'on aime pas Peillon que je trouve sa réforme pourrie, c'est parce que sa réforme est pourrie que je ne peux plus le voir. Ne pas lier les deux et résumer ça à un simple ressenti envers un ministre est un peu limite. Mais bon, depuis le temps qu'on nous sort qu'on est incapable de comprendre et qu'on va nous expliquer...
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