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Metz : une maîtresse porte plainte


pepite100

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Je rappelle à tous les collègues que lorsque nous subissons des insultes ou des violences physiques ce n'est pas à nous de porter plainte mais bien à l'Education Nationale au travers du Rectorat (code de l'Education)!

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Je rappelle à tous les collègues que lorsque nous subissons des insultes ou des violences physiques ce n'est pas à nous de porter plainte mais bien à l'Education Nationale au travers du Rectorat (code de l'Education)!

A priori non, c'est toujours l'agent qui porte plainte en son nom, l'administration peut ensuite prendre le relais pour nous aider (avocat de l'EN ) mais au départ c'est une plainte individuelle,avec tous les problèmes que ça implique...

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Je rappelle à tous les collègues que lorsque nous subissons des insultes ou des violences physiques ce n'est pas à nous de porter plainte mais bien à l'Education Nationale au travers du Rectorat (code de l'Education)!

A priori non, c'est toujours l'agent qui porte plainte en son nom, l'administration peut ensuite prendre le relais pour nous aider (avocat de l'EN ) mais au départ c'est une plainte individuelle,avec tous les problèmes que ça implique...

Je confirme, c'est bien à nous de porter plainte.

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Ouais ouais, si tu te fais pas envoyer balader par les gendarmes...

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L'an dernier, un élève de CP a frappé une collègue. Cet enfant était déjà violent avec ses camarades, avait un vocabulaire très inapproprié pour son âge, mais respectait l'adulte. La collègue n'a pas porté plainte, a laissé couler...

Depuis ce jour, le gamin est en perpétuelle provocation et, comme nous l'a dit l'enseignante de CLIS de l'école, il cherche à nous pousser à bout, jusqu'à recevoir une baffe, car chez lui, c'est la seule chose qu'il connaît.

Peut-être que si l'an dernier la collègue avait porté plainte, cela aurait fait bouger les choses ( sachant que la famille de cet enfant est déjà suivi par les services sociaux).

C'est clair qu'à première vue, on peut se dire que porter plainte contre un enfant de 7 ans, c'est très dur. Mais parfois cela peut permettre de dêbloquer des situations difficiles.

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Différent, il est « stigmatisé » par les autres élèves, selon Paul Gerber, l’inspecteur académique de la circonscription. « Seules les personnes à qui il reconnaît l’autorité parviennent à l’amadouer. » Ce n’est pas le cas de la remplaçante de la directrice de l’école Jules-Verne.

Ouais limite l'ia, donc la remplaçante ne sait pas y faire quoi :getlost: Et depuis quand on est là pour amadouer ??

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comme d'habitude... "c'est pas leur faute, ils ont juste besoin d'aide..." ouais et c'est à nous de subir?

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Quand j'ai choisi de devenir PE, je n'imaginais pas un jour me poser la question d'aller porter plainte ou pas contre un élève. Cela me semblait ahurissant de porter plainte contre un enfant.
Puis j'ai du me poser la question dans la "VRAIE" vie ... Et là, c'est beaucoup plus compliqué. En conseil des maîtres, on a fini par se dire que c'était peut-être la solution ultime pour qu'il se passe quelque chose pour cet élève. Puisque que le juge pour enfant estimait qu'il était important de sauvegarder à tout prix le lien mère-enfant, puisqu'après avoir été viré d'un ITEP pour des faits grave cet élève se trouvait dans son école de secteur, puisque l'AEMO n'aboutissait à rien de concret, puisque cet élève frappait / menaçait de mort régulièrement élèves et enseignants, puisque cet élève était en grande souffrance ...

Peut-être que l'accumulation de plaintes a aidé ... peut-être pas ! Mais après une année d'hésitation, cet élève a été placé moins de 6 mois après la première plainte ...

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Je rappelle à tous les collègues que lorsque nous subissons des insultes ou des violences physiques ce n'est pas à nous de porter plainte mais bien à l'Education Nationale au travers du Rectorat (code de l'Education)!

A priori non, c'est toujours l'agent qui porte plainte en son nom, l'administration peut ensuite prendre le relais pour nous aider (avocat de l'EN ) mais au départ c'est une plainte individuelle,avec tous les problèmes que ça implique...

Je confirme, c'est bien à nous de porter plainte.

Je persiste: on nous fait croire notamment en nous invitant à souscrire à "L'autonome" que c'est à nous de porter plainte mais NON! C'est à l'administration, cela s'appelle la "protection fonctionnelle"...cf

http://www.ac-montpellier.fr/sections/ia66/securite-hygiene/securite-hygiene/downloadFile/attachedFile_4_f0/GUIDE?nocache=1377248788.79

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Je rappelle à tous les collègues que lorsque nous subissons des insultes ou des violences physiques ce n'est pas à nous de porter plainte mais bien à l'Education Nationale au travers du Rectorat (code de l'Education)!

A priori non, c'est toujours l'agent qui porte plainte en son nom, l'administration peut ensuite prendre le relais pour nous aider (avocat de l'EN ) mais au départ c'est une plainte individuelle,avec tous les problèmes que ça implique...

Je confirme, c'est bien à nous de porter plainte.

Je persiste: on nous fait croire notamment en nous invitant à souscrire à "L'autonome" que c'est à nous de porter plainte mais NON! C'est à l'administration, cela s'appelle la "protection fonctionnelle"...cf

http://www.ac-montpellier.fr/sections/ia66/securite-hygiene/securite-hygiene/downloadFile/attachedFile_4_f0/GUIDE?nocache=1377248788.79

Pour avoir dû porter plainte, je sais très bien comment ça se passe. Tu portes plainte toi-même, et ensuite tu demandes à bénéficier de la protection fonctionnelle. Quand tu bénéficies de celle-ci, tu reçois un courrier du rectorat qui te le confirme, et qui explique que dans ce cadre-là, le recteur a écrit au procureur pour lui demander de donner une suite à la plainte déposée. Ce courrier précise aussi que cette démarche du recteur auprès du procureur n'est pas une plainte, car il n'en a pas la possibilité légale (c'est celui qui subit le dommage qui dépose la plainte).

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