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Posté(e)

Pfff, vous m'avez rappelé qu'il fallait que je remplisse deux GEVASCO pour il y a une semaine....

Je viens donc de m'y plonger, une grande première pour moi. Autant pour mon élève en fauteuil je vois à peu près quoi remplir (et encore....), autant mon élève maintenu en GS parce qu'il avait peut-être juste besoin d'un peu plus de temps que les autres et éventuellement d'une aide pour rappeler les consignes, je vois pas....

Que de perte de temps !

Posté(e)

Sous forme d'acquisition de connaissances par exemple.

D'ailleurs acquérir des connaissances est une compétence...

Pas faux, donc il faut bien partir de la transmission de connaissances, et non l'inverse, comme ça en a été la mode au début des années 2000 ...

Pas si sûr que la compétence "acquérir des connaissances" soit très opérationnelle, à moins de supposer qu'on acquière des connaissances en mécanique auto de la même manière qu'on acquière des connaissance en langue par exemple, ce qui paraît franchement douteux.

Posté(e)

Sous forme d'acquisition de connaissances par exemple.

D'ailleurs acquérir des connaissances est une compétence...

Pas faux, donc il faut bien partir de la transmission de connaissances, et non l'inverse, comme ça en a été la mode au début des années 2000 ...

Pas si sûr que la compétence "acquérir des connaissances" soit très opérationnelle, à moins de supposer qu'on acquière des connaissances en mécanique auto de la même manière qu'on acquière des connaissance en langue par exemple, ce qui paraît franchement douteux.

d'où la définition des connaissances sous 3 formes : concepts, schémas et procédures. Donc chaque acquisition d'une connaissance répond d'un champs de compétence. Pas de connaissance sans compétence ; ce débat n'a pas d'issue car l'une, la connaissance, ne va pas sans l'autre, la compétence.

Posté(e)

Et surtout, pas de compétence sans connaissance, je persiste.

Je ne suis pas fortiche en mécanique, notamment parce que je ne connais pas le rôle de chacune des pièces de mon auto, et avoir la compétence de lever le capot ne me sert pas à grand chose.

Désolée, mais je ne suis pas une intellectuelle.

Posté(e)

Et surtout, pas de compétence sans connaissance, je persiste.

Je ne suis pas fortiche en mécanique, notamment parce que je ne connais pas le rôle de chacune des pièces de mon auto, et avoir la compétence de lever le capot ne me sert pas à grand chose.

Désolée, mais je ne suis pas une intellectuelle.

je ne cherche pas à avoir raison et toi tort mais juste à prouver que scientifiquement ce débat est vain mais si tu aimes tant persister persiste car je sais que rien ne te fais changer d'avis sur TA propre vérité...

Posté(e)

J'ai pris l'exemple de la mécanique auto pour prendre un peu de recul. Koba a raison, nous sommes enfermés dans la logique des compétences comme étant l'alpha et l'oméga de l'apprentissage et pourtant personne d'autre (CFA, lycées, collèges, école d'ingénieurs, universités, autodidactes, Greta) ne raisonne comme ça.

Ce serait intéressant de se demander pourquoi. Autrement dit, par exemple, pourquoi un livret de PS peut-il contenir plusieurs feuilles alors qu'un relevé de notes en BTS tient sur une demi-feuille A4?

Posté(e)

:)

Je te laisse donc ramener ta science. Pas de problème !

Posté(e)

d'où la définition des connaissances sous 3 formes : concepts, schémas et procédures. Donc chaque acquisition d'une connaissance répond d'un champs de compétence. Pas de connaissance sans compétence ; ce débat n'a pas d'issue car l'une, la connaissance, ne va pas sans l'autre, la compétence.

Par ma foi ! il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela !

Je comprends que cette idée de compétence peut effrayer, mais concrètement, si il n'était pas question de compétences, comment travailleriez-vous ? Et comment évaluriez-vous ?

J'avoue que je suis moi-même dubitatif sur les compétences, les sous-compétences, les transversales et autres, mais sérieux, que pourrions-nous faire d'autre ?

C'est une question sincère, j'ai du mal à m'imaginer bosser autrement, alors même que je trouve que ces notions de compétences amènent de nombreuses dérives...

Perso, ce qui me donne le vertige, c'est toutes ces générations sacrifiées qui n'apprenaient strictement rien avant la loi d'orientation de Jospin, les évaluations nationales, le LPC, Pisa...

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Posté(e)

La masturbation étant très à la mode ces temps-ci, je me demandais, avant de m'effondrer dans les bras de Morphée, si compétence et capacité fricotaient toujours ensemble. Ça me rappelle mes glorieuses années d'IUFM ça, en attendant, je ne peux que constater que compétence flirte surtout avec performance et ça, c'est complètement en décalage avec la notion d'école de la République.

L'Ecole n'a jamais été aussi inégalitaire, et c'est encore pire depuis le socle., sorte de minimum (mais alors vraiment mini), finalement, on aurait remis au goût du jour le certificat d'études, ça aurait été moins hypocrite.

Posté(e)

A l'Ecole Normale, nous parlions d'objectifs. C'est bien les objectifs, non ? C'est moins intellectuel, c'est plus parlant.

Posté(e)

:)

Je te laisse donc ramener ta science. Pas de problème !

Dommage qu'aux jeux olympiques il n'y ait pas la discipline de mauvaise foi sur glace on aurait des chances de médaille...

Ah le bon vieil esprit terre à terre, le terrain y a rien de tel mon bon monsieur !

Posté(e)

Vous vous prenez bien la tête. Dans les classes, on évalue des compétences, qu'elles correspondent à des savoirs ou non...

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