Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Franchise : FAMILY SPHERE s’adapte à la réforme des rythmes scolaires 11.07.2014, Information communiquée par l'enseigne inPartager 0 La réforme des rythmes scolaires est au cœur des préoccupations des familles. Véritable bouleversement dans leur vie quotidienne, elles doivent adopter une nouvelle organisation pour assurer le bien-être de leurs enfants. Family Sphere, réseau spécialisé dans la garde à domicile d’enfants de 0 à 12 ans, se mobilise pour répondre à l’incertitude des parents. Ils ont accès, à proximité de chez eux, à une palette de services personnalisés : • La garde d’enfants à domicile dès la naissance • L’accompagnement de l’école au domicile ou lors des activités extrascolaires • Les pauses-déjeuner au domicile de l’enfant • L’aide aux devoirs et le soutien scolaire • L’organisation de gardes partagées • La garde d’enfants en situation de handicap • Les mamies nounous Pour faciliter la vie des parents, les agences prennent aussi en charge toutes les tâches complémentaires (activités d’éveil, bain…). Les enfants sont entre les mains d’intervenants diplômés et qualifiés. En plus d’une nouvelle organisation, cette réforme engendre davantage de formalités administratives. Pour plus de simplicité, Family Sphere est l’employeur des intervenants. Chaque agence recrute ses professionnels après un entretien individuel et s’occupe de leur suivi. Toutes les démarches administratives et modifications de contrat sont prises en charge par l’agence. Créé en juin 2006, le réseau Family Sphere est présent aujourd’hui sur l’ensemble de la France avec 92 agences. Spécialiste de la garde d’enfants de 0 à 12 ans à domicile, Family Sphere offre aux parents des solutions pratiques, modulables et sûres. L’enseigne est un organisme agréé par l’Etat. Le réseau met à la disposition des familles des intervenants qualifiés, pour apporter sécurité, attention et confort aux enfants. Ils recrutent aussi ceux qui veulent se barrer de l'EN ?
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Rythmes scolaires: La fronde d'une trentaine de maires ne prend pas de vacances1 contribution Créé le 11/07/2014 à 17h16 -- Mis à jour le 11/07/2014 à 18h29 Saint Ouen le 03 septembre 2013. Illustration premier jour de rentree a la nouvelle ecole primaire PEF de l'ecoquartier des Docks. Cartables. Ecoliers. A. GELEBART / 20 MINUTES EDUCATION - En Essonne, ces maires assurent toujours qu’ils n’ont pas les moyens d’appliquer la réforme, même assouplie… Ils promettent une rentrée chaotique. Alors que toutes les écoles de France doivent adopter la semaine de quatre jours et demi à la rentrée, une trentaine de maires d’Essonne ont annoncé, ce vendredi, qu’ils n’ouvriront pas leurs établissements mercredi 3 septembre. «Les choses sont en train de se crisper», assure Christian Schoettl (Nouveau Centre), maire de Janvry très opposé à la réforme. Pourquoi Belle-Ile et la Guyane ont droit de ne pas la mettre en place et pas nous? Les problèmes de transports, de cantine, nous les avons tous.» >> Que risquent les maires récalcitrants? Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République), maire d’Hyères, ainsi que 31 maires de droite, du centre ou non encartés de l’Essonne et du Val-de-Marne, ont demandé un report pour les communes qui ne sont pas prêtes. «Ce n’est pas dans un esprit partisan, mais dans l’intérêt de la population, promet le fondateur de Debout la République. Nous ne voulons pas confier nos enfants à des animateurs pas formés. Comment voulez-vous que je recrute 150 animateurs pour trois quarts d’heures par jour d’ici la rentrée?». Lui, explique cette levée de boucliers en Essonne parce qu’il y a beaucoup de communes rurales. «Mais aussi beaucoup de parents qui ne travaillaient pas le mercredi pour éviter les transports et s’occuper des enfants.» Autour de lui, une quinzaine de maires, notamment de petites communes rurales énumèrent les difficultés: manque d’animateurs, de locaux, de budget. Des problématiques que beaucoup de villes ont pointées. Car la grogne ne se limite par à l’Essonne. «Des solutions émergent»«Il y a déjà 4.000 communes qui ont mis en route la réforme cette année dont des communes rurales, notamment dans le Gers et l’Ariège, répond le ministère de l’Education. Avec de la bonne volonté et un travail pour mutualiser les compétences, des solutions émergent. Nous comprenons que cette réforme puisse causer pour les parents une modification d’organisation. Mais on voit en un an des bénéfices se dégager dans l’apprentissage des enfants.» Jean Perthuis, maire de Valpuiseaux, se désespère pourtant: «Je suis maire depuis 37 ans et c’est la première fois que je ne trouve pas de solution». «Ce n’est pas qu’on ne veut pas mais on ne peut pas», promet Germain Dupont, adjoint au maire de Tigery. Ou alors on fait payer les familles mais ce serait rentrer dans des inégalités et injustices.» Une autre édile caricature les activités: «on va apprendre aux élèves à monter et descendre dans un bus pendant trois quarts d’heure». Et les maires d’agiter le chiffon rouge du privé qui gonfle ses effectifs. >> Que pensent les enfants de la réforme des rythmes scolaires? Un fonds insuffisant?Sur la question budgétaire, primordiale, ces maires récalcitrants insistent sur le fait que le fonds de l’Etat ne couvrirait qu’un quart des dépenses globales. «L’Etat verse 50 euros par enfant et par an, objecte-t-on au ministère. Mais pour les communes qui connaissent des difficultés; la dotation peut atteindre 90 euros par enfant et par an.» Et Christian Schoettl de porter le coup de grâce: «Je rappelle que l’Etat va dépense 2 milliards d’euros pour trois heures d’activités par semaine, 36 semaines par an. Mon père dirait que c’est sortir un bazooka pour tuer une alouette.» Oihana Gabriel
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Et Christian Schoettl de porter le coup de grâce: «Je rappelle que l’Etat va dépense 2 milliards d’euros pour trois heures d’activités par semaine, 36 semaines par an. Mon père dirait que c’est sortir un bazooka pour tuer une alouette.» ou un missile pour tirer sur une girouette !
Petit_Gizmo Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Il me semblait avoir lu, je ne sais plus où, que les TAP ne pouvaient pas être placées le mercredi matin ? Que les 3h de cours du mercredi étaient intouchables, nécessité absolue ? En tout cas, que Montagny ne se vexe pas, mais je rejoins mes collègues : faire déplacer instits et élèves pour 2h de classe le mercredi matin, c'est en effet ridicule
Yuuko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Ce que j'ai lu dans plusieurs écoles ce ne sont pas les TAP qui sont placés là mais les APC en fait
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Ce que j'ai lu dans plusieurs écoles ce ne sont pas les TAP qui sont placés là mais les APC en fait ?? Ah bon...il faudra m'expliquer, je ne comprends pas comment c'est possible .
montagny Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 D'ailleurs, à propos d'horaires,je me permets de reposer une petite question: tu pourrais nous dire quels sont tes horaires et ceux de tes élèves, s'il te plaît, Montagny? je les ai cités dans d'autres fils : lundi mardi jeudi : 8h30-11h30 puis 12h50-15h20 mercredi : 8h30-12h30 vendredi : 8h30-11h30
nola Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 D'ailleurs, à propos d'horaires,je me permets de reposer une petite question: tu pourrais nous dire quels sont tes horaires et ceux de tes élèves, s'il te plaît, Montagny? je les ai cités dans d'autres fils : lundi mardi jeudi : 8h30-11h30 puis 12h50-15h20 mercredi : 8h30-12h30 vendredi : 8h30-11h30 Est-ce que tu te rends compte que c'est beaucoup plus confortable, sans même parler des conditions matérielles et du public, que ce que beaucoup de collègues subissent déjà ou vont subir à la rentrée?
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 D'ailleurs, à propos d'horaires,je me permets de reposer une petite question: tu pourrais nous dire quels sont tes horaires et ceux de tes élèves, s'il te plaît, Montagny? je les ai cités dans d'autres fils : lundi mardi jeudi : 8h30-11h30 puis 12h50-15h20 mercredi : 8h30-12h30 vendredi : 8h30-11h30 Est-ce que tu te rends compte que c'est beaucoup plus confortable, sans même parler des conditions matérielles et du public, que ce que beaucoup de collègues vont subissent déjà ou vont subir à la rentrée? Tant mieux pour lui...Quoique je ne trouve pas que ce soit mieux qu'avec la coupure du mercredi. Le gros problème et la grosse injustice, c'est que des recteurs et des DASEN ont accepté ici ce qu'ils ont refusé ailleurs !! Là, si un tribunal fait son boulot, on pourra voir qq surprises bientôt !
nola Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Le gouvernement tenait à un cadrage national a minima. C'est le cœur de la réforme et sa raison d'être.
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 INVITATION PRESSE27 MAIRES DE L’ESSONNE ET DU VAL DE MARNEREPRESENTANT UNE POPULATION DE PRES DE 300.000 HABITANTSREPORTENT L’APPLICATIONDE LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRESDes Maires de taille, de situation géographique, sociologique et d’orientation politique différentes (Montgeron, Etampes, Sucy en Brie, Savigny-sur Orge,…) sont unanimes à considérer que la réforme est inapplicable à la rentrée de septembre et qu’ils n’ouvriront pas leurs écoles le mercredi 3 septembre :• Impossibilité de recruter des animateurs qualifiés et compétents pour des vacations si courtes• Difficulté d’organiser les transports scolaires et de la cantine relèvent du casse-tête• Délai trop court pour les Maires nouvellement élus• Coût exorbitant pour les communes dont les dotations se réduisentAu cours d’une conférence de presse, qui se tiendra :Le vendredi 11 juillet à 10H00 à la salle de la Juine de l’Assemblée départementale d’Evry,Ils présenteront le manifeste qu’ils remettront au Ministre de l’Education Nationale et expliqueront les raisons précises pour lesquelles cette réforme leur semble inapplicable. Contacts :Christian SCHOETTL : 06.08.72.99.96.Nicolas DUPONT-AIGNAN : 06.16.61.96.79. https://www.facebook.com/groupe70nonalareforme
Zarko Posté(e) 12 juillet 2014 Posté(e) 12 juillet 2014 Le gouvernement tenait à un cadrage national a minima. C'est le cœur de la réforme et sa raison d'être. C'est quand même les recteurs et DASEN qui ont cadré en acceptant ou retoquant des aménagements sans pouvoir en donner les raisons exactes !
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