Frédo45 Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Oui, je viens de retrouver sur le site un sujet où il est fait allusion à la non participation du snuipp à l'appel du 12 février 2013 : http://forums-enseignants-du-primaire.com/topic/291482-6-regroupons-nous-ne-soyons-pas-les-dindons-de-la-refondation/ avec notamment ce post qu'on ne peut plus citer : Extrait d'une interview de Sihr, secrétaire national du snuipp sur le café padagogique du 30/01/2013, il me semble :"Vous n'avez pas voulu vous associer à l'appel de trois syndicats pour une grève le 12 février. Pourquoi ? Contrairement à la plateforme de cet appel, nous ne sommes pas pour le retrait de la loi d'orientation. Cette loi donne la priorité au primaire, crée 60 000 postes. On sait aussi que la loi ne fait pas tout. L'application est importante et on sera exigeant pour que le quotidien professionnel des enseignants change. " Des postes de contractuels et d'étudiants, qui remplacent seulement les départ à la retraite + une avance des postes de titulaires de 2014 Tu confonds tout semble-t-il. Il y a une différence entre s'associer à l'appel et participer à la grève. Le 12 février, nationalement, le SNUipp a appelé à la grève mais avec sa propre plate-forme. Localement, il y a eu des plates-formes unitaires.
Goëllette Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Peut-être, mais je ne retrouve pas cet appel. Et il n'a pas appelé la grève CONTRE la réforme des rythmes ni même CONTRE le texte. C'est Sihr qui le dit.
mayre Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Est-il utile de relancer ce débat? L'appel du Snuipp, c'était réécriture du décret. L'autre appel, c'était abrogation du décret. Je m'en rappelle bien, il y avait eu bataille pour faire notre appel intersyndical ici, où on avait réussi à faire écrire ça aux copains du Snuipp: Sur la question des rythmes scolaires dans le premier degré, nos organisations partagent un certain nombre de revendications : Pour le retrait du décret publié le 26 janvier 2013 relatif aux rythmes scolaires Pour la disparition de l’Aide Personnalisée, rebaptisée Activités Pédagogiques Complémentaires (APC) Pour un cadrage national et contre la territorialisation de l’Éducation Nationale Pour la création de postes statutaires en nombre suffisant pour faire baisser le nombre d’élèves par classe, pour la création des postes de remplaçants nécessaires, pour l’accueil des moins de 3 ans dans toutes les écoles maternelles et primaires, pour la création des postes spécialisés permettant le fonctionnement correct de RASED complets Le texte du Snuipp National était celui-ci, je crois (si je me trompe, Frédo, dis moi, je corrigerais): Le SNUipp-FSU porte un projet éducatif ambitieux favorisant la réussite de tous les élèves. Il n’est pas pour que rien ne change ni pour accompagner la politique du gouvernement.C'est pourquoi, il ne peut se satisfaire des propositions faites actuellement pour l'Ecole.Le SNUipp-FSU s’est fermement opposé à la semaine de 4 jours instituée par le décret Darcos de 2008 avec ses journées alourdies par l'aide personnalisée. Il n'est pas pour autant favorable au projet de décret actuel sur l'aménagement des temps scolaires.Celui-ci est inacceptable car :-Il allège de manière insuffisante la journée scolaire.- Il n'offre aucune garantie d'un périscolaire gratuit et de qualité pour tous.- Il écarte les conseils d'école du processus de modification des rythmes.- Il n'offre aucune garantie d'amélioration des conditions d'apprentissage des élèves et la réussite de tous.- Il augmente l'amplitude des horaires des enseignants.Dans le même temps, il ouvre la voie à des dégradations certaines des conditions d'exercice du métier d'enseignant et n'apporte pas de réponse sur une nécessaire revalorisation salariale des PE. La colère qui s'exprime est juste…Dégradation des conditions de travail actuelles: rythmes bien sûr, mais aussi effectifs, carte scolaire, rémunération, pressions hiérarchiques... Sentiment de ne pas être écoutés, de ne pas être consultés...Sentiment d'appartenir à une profession qui est insuffisamment reconnue.Pour la transformation de l'école pour la réussite des élèves, Pour l'exigence de concertation et de reconnaissance à tous les niveaux, Pour une ambition pour le service public, le SNUipp appelle à la grève nationale dans l’éducation le 12 février.
Frédo45 Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Peut-être, mais je ne retrouve pas cet appel. Et il n'a pas appelé la grève CONTRE la réforme des rythmes ni même CONTRE le texte. C'est Sihr qui le dit. Je t'ai envoyé le lien du SNUipp78 qui stipule bien qu'il s'agit d'une grève nationale. Malheureusement, le site du SNUipp est en maintenance mais si tu tapes "grève du 12 février SNUipp", tu verras que les pages existent mais si elles sont momentanément inaccessibles. http://22.snuipp.fr/spip.php?article1087 http://67.snuipp.fr/spip.php?article1527 http://92.snuipp.fr/spip.php?article1700 http://95.snuipp.fr/spip.php?article2233
Frédo45 Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Est-il utile de relancer ce débat? Ce n'est pas a question. Goëlette dit que le SNUipp n'a pas appelé nationalement le 12 février 2013. Je lui explique que si mais sur une plate-forme différente que les 3 autres orgas, et même si localement des appels communs ont pu se faire. Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ?
Yuuko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Un appel national mais avec des mots d'ordre départementaux
Zarko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Rythmes scolaires : le principal syndicat d’instituteurs appelle à la grève LE MONDE | 05.12.2013 à 07h05 • Mis à jour le 05.12.2013 à 08h06 |Maryline Baumard SOS ! syndicat au bord de l’implosion. Le SNUipp-FSU, majoritaire chez les enseignants du premier degré, appelle à la grève jeudi 5 décembre contre lesrythmes scolaires. Mais seuls 21,5 % des professeurs des écoles devraient yrépondre. Derrière l’unité de façade, c’est la cacophonie au sein du syndicat.« Nous traversons aujourd’hui des heures difficiles, sans doute sans précédent dans l’histoire du SNUipp-FSU et je pèse mes mots. Nous n’avons pas été capables d’analyser et d’anticiper une situation. Nous n’avons pas été en situation de l’organiser et pour la première fois de notre existence, une partie des événements nous a échappé, laissant le champ libre à d’autres qui s’en sont largement emparé [FO et SUD] ». A un an des élections professionnelles, l’attaque est d’autant plus violente que ces mots ont été prononcés lors du dernier conseil national, les 19 et 20 novembre, par le secrétaire général adjoint de l’organisation, Christian Navarro, le numéro deux derrière le secrétaire général, Sébastien Sihr. Les nouveaux rythmes scolaires auront-ils la peau du SNUipp ? Officiellement, Sébastien Sihr estime normal « que des voix discordantes se fassent entendre ». Christian Navarro, lui, se refuse à répondre au Monde, précisant par SMS que « Sébastien Sihr est porte-parole ». Lire aussi : Rythmes scolaires : tout comprendre de la réforme EN QUÊTE D'UNE LIGNE Le SNUipp, qui a perdu un millier d’adhérents cet automne, comme le reconnaît M. Sihr, se cherche une ligne. S’il appelle à une deuxième grève nationale le 5 décembre, aux côtés de quelques syndicats minoritaires – CGT, FO, SUD et des parents de la PEEP, classée à droite –, il ne s’était pas mobilisé au niveau national le 14 novembre, alors même qu’une trentaine de ses antennes départementales participaient au mouvement. De quoi perdre son latin. Le SNUipp est une mosaïque de courants de pensée. Son secrétaire général a pour mission de « faire la synthèse », selon le vocabulaire en vigueur. Sébastien Sihr appartient au courant Unité et action (UA), majoritaire avec 64 % des voix, réélu au congrès de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) en juin. A ses côtés, il a deux adjoints. Christian Navarro représente le courant Ecole émancipée (EE) et Aline Becker fait partie d’UA. Les représentants d’Ecole émancipée, bien que toujours minoritaires, se font de plus en plus entendre et obligent Sébastien Sihr au grand écart. En juin, ils ont gagné un sixième secrétaire national parmi les vingt qui dirigent le syndicat. SIHR EN MAL D'APPUIS Si le SNUipp appelle à la grève après s’être abstenu le 14 novembre, c’est que quelque chose a bougé. « Nous avons alerté le ministre, lui avions demandé des réponses qu’il ne nous donne pas. Aujourd’hui, l’heure est à la grève », explique Sébastien Sihr. Voilà pour la version officielle ; en fait, l’intervention de Christian Navarro a obligé Sébastien Sihr à changer de tactique. Qu’un cosecrétaire général adjoint accuse ouvertement son syndicat d’avoir fait « le minimum syndical », et l’enjoigne de «redresser la barre », explique le changement de stratégie. D’autant que Christian Navarro avait pris des accents solennels, rappelant que « ce conseil national est important, sans doute le plus important pour notre organisation syndicale depuis très longtemps ». Le secrétaire général était donc acculé à appeler à ce mouvement national, qui sera peu suivi, car Sébastien Sihr est en mal d’appuis. « Pourquoi n’a-t-il pas tapé du poing sur la table ? Au sein de la FSU, des secrétaires généraux l’ont fait en leur temps. Pourquoi n’était-ce pas possible aujourd’hui au patron du SNUipp d’imposer sa ligne ? », demande un bon connaisseur de la fédération majoritaire. « C’ÉTAIT COMME UN SOS LANCÉ AU MINISTRE » Sébastien Sihr a tenté des rapprochements avec le SE-UNSA et le SGEN-CFDT. Sans résultat, puisque ces derniers veulent que la réforme des rythmes soit améliorée, pas retirée. Le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, a désormais rangé M. Sihr dans le lot des « non-fiables » puisque sa position a peu à peu glissé de l’assentiment à la demande d’amélioration, puis à la demande de retrait déguisée – le mot d’ordre est la réécriture du décret. « Le 18 novembre, a eu lieu au cabinet une réunion sur le métier avec le ministre. A la fin, Sébastien Sihr a fait une intervention qui restera dans toutes les mémoires syndicales. C’était comme un SOS lancé au ministre », racontent des représentants d’autres syndicats présents. « Les rythmes ont mis tous les syndicats sous tension, tempère pour sa part Frédéric Sève, le secrétaire général du SGEN-CFDT. Chez nous, quelques départements seront en grève le 5 décembre. » Le SE-UNSA aura aussi au moins un département mobilisé. Mais dans ces deux syndicats, les positions nationales sont plus suivies. « C’est là qu’on voit ce qu’est le syndicalisme réformiste »,souligne Christian Chevalier, secrétaire général du SE-UNSA. A l’époque de la création du SNUipp, en 1993, Ecole émancipée disposait de 15,5 % des voix et Unité et action de 67 %. Le premier courant arrive aujourd’hui à 28 %, le second a perdu du terrain à 64 %. Ces glissements expliquent en partie les tergiversations. Même si ce qui paraît surtout difficile, au fond, c’est d’être un syndicat de gauche sous un gouvernement de gauche.
Zarko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Pas besoin non plus de tirer sur l'ambulance...puis certains d'entre nous y sont dans cette ambulance....laissons là filer vers le bon hôpital !
Zarko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Et les conditions de vie personnelle et professionnelle des enseignants ? Dans beaucoup d’endroits, faute de locaux, les municipalités envisagent ou vont être obligées d’envisager d’utiliser les salles de classes pour ces activités du midi. Mais alors, que feront les enseignants dont les classes seront réquisitionnées et qui sont condamnés à rester à l’école sur ce temps méridien ? Dans la grande majorité de nos écoles, pas de bureau ni d’ordinateur personnel à disposition, pas de salle des maîtres ! Du coup, les enseignants finiront l’école à 16H 15 voire 16H30 comme avant, avec le mercredi en plus. Il est inconcevable de leur imposer un allongement de leur amplitude de travail à l’école. Et même si un accord entre les enseignants et la commune se faisait, que se passera-t-il quand la municipalité changera ? Et pour les animations pédagogiques, certains DASEN annoncent déjà qu’elles auront lieu le mercredi après-midi. Et nous ne re-listons pas toutes les autres difficultés déjà mises en avant dans nos différentes publications : coûts et temps de transport + nourrice, garderie, ... La revalorisation des salaires... on l’attend toujours ! http://22.snuipp.fr/spip.php?article1087 Oui, on l'attend toujours...et un appel à la grève pour la rentrée ? ....Ah non, on ne peut pas être si vilains !
Zarko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Fredo , il y a quand même un problème: La semaine de 4 jours et demi plébiscitéeAutre sujet de satisfaction pour le ministre : les rythmes scolaires. Selon une enquête d'Harris Interactive commandée par le SNUIPP, principal syndicat des professeurs des écoles, les Français seraient en effet largement favorables à la réforme des rythmes scolaires, notamment un retour à la semaine de 4 jours et demi mais sans toucher au samedi matin. «Je suis heureux de voir que les Français veulent que ça bouge !» a réagi le ministre de l'Education Nationale.http://www.leparisien.fr/politique/rythmes-scolaires-les-francais-favorables-a-la-semaine-de-quatre-jours-et-demi-23-08-2012-2134372.php Or ce n'est pas du tout ce qu'on retrouve ici par exemple... Rythmes scolaires : les différentes décisions dans le département dimanche 20 janvier 2013 Nous savons maintenant que ce sont les maires qui doivent demander le report de la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires à l’année prochaine. Cette décision ne doit pas se faire sans l’avis des enseignants. C’est pour cela que le SNUipp-FSU 66 a demandé à toutes les écoles de réunir un conseil de maîtres et d’interpeller le maire de sa commune. Le SNUipp-FSU 66 a aussi invité les parents d’élèves à se prononcer, en leur proposant une enquête. Nous vous proposons maintenant de mutualiser les différentes prises de positions, en répondant à cet article.Merci de ne communiquer que des informations véridiques et sûres. 5 Messages de forum Rythmes scolaires :les différentes décisions21 janvier 2013 17:21 Ecole maternelle VERTEFEUILLE 100% des enseignants pour les 4 jours (lettre ouverte envoyée au maire de PERPIGNAN 100% des parents délégués pour les 4 jours 87% des parents sollicités par sondage pour les 4 jours (49% de familles se sont exprimées) les parents veulent garder la coupure du mercredi et pour ceux qui travaillent ne pas revenir chercher les enfants à midi pour ensuite les ramener au centre aéré. Ceux qui veulent les 4j 1/2 c’est à condition que tout le péri-scolaire soit gratuit ! Rythmes scolaires :les différentes décisions22 janvier 2013 09:02 Bonjour, Tous les enseignants de l’école élémentaire souhaitent le maintien de la semaine de 4 jours ; tous les parents d’élèves délégués également. Les résultats au sondage effectué auprès de tous les parents d’élèves de l’école révèle que : 81 % sont pour la semaine de 4 jours ; 18 % sont pour la semaine de 4 jours et 1/2 ; 1 % ne se sont pas prononcés. Les arguments avancés en faveur de la semaine de 4 jours est la trop faible réduction du temps de travail quotidien, la non consultation des personnes concernées, la plus grande fatigabilité dûe à l’absence de coupure dans la semaine puisque la journée de classe n’est raccourcie que d’une 1/2 heure, la liaison avec le périscolaire et les activités qui y seront menées en 1/2 heure. Ceux pour la semaine de 4 jours et demi sont favorables à la seule condition que le périscolaire soit un service entièrement gratuit. Ecole élémentaire Pierre de Coubertin à Perpignan Rythmes scolaires :les différentes décisions1er février 2013 16:41, par Marc CASTAING ECOLE MATERNELLE CASALS SAINT ESTEVE : L’ensemble des quatre enseignants de l’école est favorable au maintien de la semaine de 4 jours. Lever les enfants 5 jours d’affiléée et réduire la journée d’une demi heure ne changera rien aux résultats scolaires ! Sur 102 parents consultés, 75 ont répondu. 69 ont dit vouloir conserver la semaine de 4 jours ; 5 souhaitent passer à 4,5 jours et 1 se prononce pour les deux solutions. Nous avons donc 92% des sondés favorables au maintien de la semaine de 4 jours. Les commentaires des parents en faveur d’une amélioration des résultats des enfants rejoignent souvent les nôtres : plus de maîtres que de classes, des classes à effectif allégé et des programmes moins lourds. Demandons l’abandon de cette réforme. Rythmes scolaires :les différentes décisions dans le département11 février 2013 18:20 Ecole maternelle Latour de France Seulement 60 % des parents ont rendu le questionnaire. Par contre 100% des réponses sont pour le maintien des 4 jours et 80% des réponses sont argumentées. Après réunion des parents, des élus et des enseignants de la communauté de communes Agly-Fenouillèdes, la décision a été prise de reporter cette réforme pour 2014. Cela laisse un temps pour la réflexion et un temps pour l’organisation... et puis après tout si personne ne choisit d’appliquer cette réforme, pourra-t-on, peut-être, ouvrir de véritable discussion avec ce gouvernement pour parler des deux mois d’été qui sont bien trop longs pour les enfants, des programmes de l’élémentaire qui s’étoffent à chaque changement de ministre, du nombre d’élèves par classe souvent au-delà de 20, de la formation continue des enseignants ...etc. http://66.snuipp.fr/spip.php?article541 J'avoue qu'internet est une arme redoutable !
Zarko Posté(e) 28 juillet 2014 Posté(e) 28 juillet 2014 Le SNUipp-FSU était au départ favorable à cette semaine de 4 jours et demi (ce qui a d'ailleurs poussé le gouvernement à se lancer dans l'aventure), mais ses professeurs se sont vite rendu compte qu'entre l'idée et la réalisation sur le terrain, il y avait de sacrées différences (ce qui a entraîné un magnifique retournement de veste de la part de la direction de ce syndicat).Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/changement-rythmes-scolaires-1er-bilan-ceux-qui-se-plaignent-ont-raison-jean-remi-girard-850081.html#FyTo3Aikdb8gOx7M.99 C'était juste une anecdote...(et ce n'est pas moi qui l'ai écrit !
mayre Posté(e) 29 juillet 2014 Posté(e) 29 juillet 2014 Je ne fais que rétablir la vérité. Est-ce que j'ai encore le droit ? Il me semble que j'ai répondu la même chose 4 messages plus haut, à moins que je sois idiote. Et ce n'est pas à toi que je m'adressais, alors, calme-toi s'il te plaît. Un appel national mais avec des mots d'ordre départementaux Ca arrive, oui, quand la section diverge légèrement du national, ou quand elle veut un rassemblement intersyndical.
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