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Qu'entends t on par fondements scientifiques???


ccilou

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C'est une question réccurente à laquelle certains ont tenté d'apporter des eclaircisssements....mais ne pourrions pas echanger via ce poste....qui peut servir de récap aussi

Les fondements scintifiques : combien de sous parties comporte t elle... quels sont les gds axes...???

Moi je verrais :

-définition du theme choisi

-les programmes

-le public concerné

qu'en pensez vous????

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Comme tu le dis, cette question est déjà débattue sur d'autres pages !

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Comme tu le dis, cette question est déjà débattue sur d'autres pages !

oui mais y'en a par tout c'est ca le pb....ce post peut juste traiter de la partie fondement...apres si 'autres candidats veulent refaire un post pour la recap des seances ou autres questions...libre a eux... ;)

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De ce que je lis (mais je ne suis que simple instit), le texte de cadrage distingue deux axes:

Par fondements scientifiques, on attend la présentation des principaux acquis scientifiques qui permettent de comprendre le sujet retenu, mais aussi, selon la nature du sujet ou du cycle, les éclairages qu’apporte la connaissance des élèves et des mécanismes d’apprentissage.

Donc, je ferais deux parties:

- une théorique traitant de connaissances encyclopédiques.

- une portant sur les conceptions que pourraient avoir les élèves en resituant la place dans le cycle, les difficultés que le savoir théorique pourrait poser aux élèves... Et du coup définir précisément la compétence travaillée.

Et hop, partie pédagogique avec à la fin des prolongements...

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Mayre ton plan me semble bien pour les sciences, l'histoire et la géo mais pour l'art visuel et l'histoire de l'art je ne vois pas ce qu'on pourrait mettre à l'intérieur de ces 2 parties surtout pour du cycle 1!!!

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De ce que je lis (mais je ne suis que simple instit), le texte de cadrage distingue deux axes:

Par fondements scientifiques, on attend la présentation des principaux acquis scientifiques qui permettent de comprendre le sujet retenu, mais aussi, selon la nature du sujet ou du cycle, les éclairages quapporte la connaissance des élèves et des mécanismes dapprentissage.

Donc, je ferais deux parties:

- une théorique traitant de connaissances encyclopédiques.

- une portant sur les conceptions que pourraient avoir les élèves en resituant la place dans le cycle, les difficultés que le savoir théorique pourrait poser aux élèves... Et du coup définir précisément la compétence travaillée.

Et hop, partie pédagogique avec à la fin des prolongements...

J ai pris comme option sciences et je fais ma séquence sur la digestion dans les fondements scientifiques selon toi je dois dire comment se passe la digestion avec les termes "savants" pour ensuite annonce que selon le BO 2012 on ne retiendra que certains terme pour le cycle 3 et hop ma séquence pédagogique?

C est une véritable galere ces fondements scientifiques

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Mayre ton plan me semble bien pour les sciences, l'histoire et la géo mais pour l'art visuel et l'histoire de l'art je ne vois pas ce qu'on pourrait mettre à l'intérieur de ces 2 parties surtout pour du cycle 1!!!

Ben, je ne sais pas, hein, mais moi je vois des trucs à dire...

Genre, pour l'art, suivant la compétence travaillées, les différentes méthodes existantes et les capacités motrices et d'abstraction des enfants en conséquence.

Pour l'Histoire de l'Art, un historique de l'oeuvre, son analyse (technique, intention, en quoi elle est représentative de l'époque...) et ce qui peut être accessible à un enfant.

Par exemple, pour toi qui part sur la sculpture (attention, c'est un copié-collé wiki-docs d'application, fait en 5 minutes pour te montrer ce que moi je verrais -donc surtout à ne pas prendre tel quel -pas membre de jury, moi!!):

Réaliser une oeuvre collective en trois dimensions

Les techniques

Pour créer une œuvre, plusieurs manières peuvent être envisagées, voire combinées entre elles.

  • Le modelage : L'idée de modelage fait tout de suite penser à la pâte à modeler que l'on travaille si facilement avec les doigts. C'est la technique la plus primitive et la plus directe de mise en forme d'un solide plastique, en l'occurrence la terre ou argile (grès, porcelaine ou faïence). Le modelage en terre n'a cessé d'être pratiqué au fil des siècles. Dans un bon nombre de cas, il a permis au sculpteur de préciser sa pensée. Il a rarement eu un caractère définitif à cause de sa fragilité, mais à partir de la Renaissance, il se voit attribuer un caractère privilégié puisque le sculpteur exécute tous ses modèles en terre et donne à reproduire ses œuvres à des mouleurs, fondeurs ou praticiens (agrandisseurs). Beaucoup d'artistes modernes, en quête de nouveauté, emploient pour leurs créations des matériaux inattendus : des tôles, des pièces métalliques et même des matières plastiques.

    La méthode consiste à ajouter ou retirer de la matière autour d'un ou plusieurs centres qui deviendront « l'âme » de la sculpture. Cette technique du modelage s'applique aux matériaux dits « plastiques », c'est-à-dire susceptibles de se déformer de façon réversible sous l'effet de forces minimes (l'argile, la cire, le plâtre et des pâtes à modeler diverses). À tout moment, de la matière peut être retirée ou ajoutée, les « repentirs » sont permis (jusqu'à un certain point, cependant). La souplesse du matériau permet d'enregistrer les impressions les plus fugitives avec une liberté totale. La limitation principale du matériau réside dans sa résistance souvent assez faible. Le séchage lent de la sculpture est l'étape suivante pour l'argile et le plâtre, le refroidissement pour la cire et la cuisson pour l'argile sèche.

  • La taille, dont le principe est de soustraire, à l'aide d'un outil percuté par un galet (préhistoire) ou une massette, des éclats dans une matière dure pour dégager de sa gangue une forme : il existe deux techniques fondamentales de taille pour sculpter la pierre ou le bois : la taille directe, sans croquis préalable ni modèle et qui tient compte de la forme originelle du bloc pour faire émerger une forme imaginée par le sculpteur, et la taille avec mises aux points, qui recopie fidèlement un modèle à partir de mesures exactes.
  • L'assemblage consiste à assembler des objets divers (qu'ils soient neufs, vieux ou du quotidien) ensemble pour former une sculpture unique dont la somme dépassera la valeur esthétique des éléments séparés.
  • La stéréolithographie, ou prototypage rapide, permet de créer un volume d'après des données informatiques créées ex-nihilo ou scannées d'après un modèle réel en trois dimensions2.
  • La sculpture numérique ou virtuelle permet de sculpter un volume virtuel, sans passer par une phase "plan". Quelques logiciels libres permettent ainsi de modeler un objet virtuel par des fonctions simples permettant d'étirer, creuser, aplatir, lisser, colorer une forme tridimensionnelle, un peu comme on le ferait avec de la pâte à modeler (Sculptris3 par exemple), sur ordinateur. Une Imprimante 3D permet éventuellement de la transformer en objet réel.

Les matériaux

Traditionnellement, en occident, les matériaux utilisés en sculpture sont généralement d'origine minérale, la pierre (marbre, granite, calcaire, jade), le ciment (qui peut être moulé) ou le béton (en taille directe dans la période de prise), l'argile (porcelaine, terre cuite, pâte Fimo qui sèchent au four ou la terre glaise qui sèche à l'air libre en 24 heures), mais peuvent également être en métal (bronze, acier, aluminium, étain) et encore d'origine animale tels que l'os6 et l'ivoire, et végétale tel le bois, certains fruits, légumes ou cucurbitacées (la citrouille d'Halloween). La sculpture moderne et contemporaine utilise également le textile (déjà utilisé depuis le XVIe siècle, comme sur « Marietta »[réf. nécessaire]), le verre, le sel, le sable (les châteaux de sable), la glace, l'eau, les cristaux liquides et d'autres matériaux fabriqués par l'homme, tels que les matières plastiques, et en particulier les PMMA (polymétacrylate de méthyle) connus sous des noms déposés comme Plexiglas ou Altuglas, ainsi que n'importe quel objet trouvé. Le papier mâché est également un matériau extrêmement économique, et les techniques de réalisation de sculptures avec ce matériau sont simples à mettre en œuvre. Aussi, les possibilités d'associations avec d'autres matières sont quasi illimitées.

Dans ses derniers écrits, Joan Miró affirmait même qu'à l'avenir, on pourrait imaginer des sculptures utilisant les gaz comme matériaux.

Ainsi, d'autres sculpteurs contemporains, ont ouvert la voie à des recherches nouvelles, associant des matériaux traditionnels à la haute technologie. Dans ces réflexions sur la création contemporaine, le sculpteur Eduardo Leal de la Galla, adopte une position radicalement opposée aux dérives encouragées par d'importants mécènes, considérant comme sculpture, le fait de présenter dans une vitrine, un véritable veau sectionné et conservé dans du formol (œuvre de Damien Hirst).

« La sculpture peut se réaliser selon trois procédés : celui qui consiste à prélever la matière dans un bloc compact, celui qui consiste à façonner une matière molle pour créer des formes, enfin celui qui consiste à fabriquer ce que l'on veut réaliser. »

Formes

On distingue deux grandes catégories de sculptures : le relief et la ronde-bosse

Relief

Le relief est une sculpture qui demeure attachée à un arrière-plan, se dressant hors de cet arrière-plan. Selon le degré de projection des figures au-dessus du plan, les reliefs sont qualifiés différemment : le relief écrasé (stacciato relievo) : dont le relief est très faible. Les contours des figures sont finement incisés (ex : certains reliefs assyriens).

  • Bas-relief (basso-relievo) : l'avancée d'une figure hors du plan est inférieure à la moitié de son volume, sans contre-dépouille. Le moyen ou demi-relief (mezzo-relievo) : l'avancée de la figure hors du plan est égale ou légèrement supérieure à la moitié de son volume, avec parfois de légères contre-dépouilles.
  • Haut-relief (alto-relievo) : les formes sont quasiment complètes (en ce qui concerne leur volume), mais elles restent attachées au fond. Certaines parties (les membres, la tête) sont complètement détachées et en contre-dépouille.
  • Intaille. L'intaille est un relief où le sujet est incisé dans l'épaisseur de la surface plane. Celle-ci a été utilisée par les Égyptiens, d'où le nom de « relief égyptien ». Un autre nom de l'intaille est « relief cœlanaglyphique ». Les parties les plus hautes de la figure affleurent à la surface, tandis que leurs contours sont profondément entaillés de façon à accentuer l'impression de volume. C'est en quelque sorte un procédé de gravure.

Ronde-Bosse

La ronde-bosse est une sculpture conçue de façon à pouvoir être observée de tous les côtés, ou presque tous les côtés7. La ronde-bosse repose souvent sur le sol ou sur un socle. Elle est parfois logée dans une niche.

On remarquera Michel-Ange jouant avec ces deux principes et exécutant des statues dont les personnages émergent du bloc (de marbre) mais pas complètement8.

Sculpture extrême

Dès le début du XXe siècle, on note chez plusieurs artistes une forte envie de se dissocier du naturalisme, réalisme et l'art figuratif : « Ce n’est pas la forme extérieure des choses qui est réelle, mais leur essence. À partir de cette vérité, personne ne peut exprimer la réalité en imitant la surface externe des choses » (Brancusi).

Si Brancusi est l’incontestable fondateur de la sculpture moderne et le maître la réduction afin de parvenir à la forme artistique pure, Marcel Duchamp est «l'inventeur» des ready-made9.

Brancusi suit, systématiquement, l’esprit primordial et les principes fondamentaux de la forme, la dégageant des aspects éphémères, accidentels ou contingents. Le ready-made est un objet trouvé considéré pour son caractère esthétique comme une œuvre d'art. La «réalisation» d'un ready-made consiste, en effet, à choisir un objet manufacturé et le désigner, donc le définir, comme œuvre d'art10. La démarche initiée par Brancusi et Duchamp a donné naissance à une grande partie de pratiques artistiques modernes et contemporaines telles que le non-figuratif, l'assemblage, l'accumulation, l'installation, le in-situ, le Concept Hundertwasser, le Concept Gaudi, le Concept Botarro, et plusieurs autres.

Pour le cycle 1:

La priorité est donnée à l’exploration motrice et sensible comme principe de découverte et à l’expression de l’imaginaire. La découverte et la manipulation des matières et des matériaux amènent les enfants à en explorer des caractéristiques physiques et des propriétés plastiques. Dans les activités artistiques, cette découverte passe par une utilisation sensorielle alliant le toucher, la perception visuelle et diverses actions du corps. De cette connaissance, l’enfant tire une expérience qu’il utilise pour choisir un matériau plutôt qu’un autre en fonction de son envie de représenter. Les compositions plastiques sont réalisées en deux ou trois dimensions à partir d’activités picturales (utilisation des couleurs en application directe ou par l’intermédiaire de matières colorées), d’activités de fabrication par assemblage, par modelage et sculpture, d’activités avec et autour des objets.

La variété des expériences implique une diversité de propositions : partir d’un même matériau pour en appréhender l’éventail des caractéristiques (le carton,le papier, le bois, la terre…) ou découvrir une gamme importante de matières selon un critère donné(des matières douces, fluides, bleues…). Elle permet d’élargir la palette de découvertes tactiles et sensorielles, de diversifier et d’adapter les gestes (colorer, modeler, coller, assembler, empiler, tailler…), d’acquérir progressivement une maîtrise et d’exercer des choix sur les savoirs (la connaissance d’un matériau et de ses possibilités d’utilisation), sur le goût (la préférence pour un matériau ou son exclusion en fonction de l’expérience faite), sur l’imagination(les formes nouvelles qu’on fait adopter au matériau). On différencie ce qui est matériau à l’origine (l’usage du bois, du plastique dans l’environnement) de sa mise en forme dans un objet qui implique un jeu, une transformation, un «rendu» à partir de qualités, de propriétés ressenties et utilisées (texture, résistance, malléabilité, couleur, opacité…). Le matériau devient matière plastique quand une intervention le met au service d’une composition.

Chez les petits, les situations de découverte sont privilégiées : médiums, matériaux choisis, outils sont librement utilisés dans des conditions matérielles qui vont évoluer au cours de l’année. Du plaisir sensoriel, ils tirent une première connaissance qui les conduit progressivement à ajuster des gestes.

En grande section, les enfants sont placés face à des difficultés adaptées pour combiner, transformer et enrichir les réalisations : modifier des formes, faire le choix d’un matériau pour ses effets, associer deux ou plusieurs techniques... Les liens avec les collections (personnelles ou de classe) ainsi que les pratiques et les oeuvres des artistes introduisent le questionnement qui permet de dépasser et d’élargir le cadre des expériences personnelles.

  • Merci 1
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De ce que je lis (mais je ne suis que simple instit), le texte de cadrage distingue deux axes:

Par fondements scientifiques, on attend la présentation des principaux acquis scientifiques qui permettent de comprendre le sujet retenu, mais aussi, selon la nature du sujet ou du cycle, les éclairages quapporte la connaissance des élèves et des mécanismes dapprentissage.

Donc, je ferais deux parties:

- une théorique traitant de connaissances encyclopédiques.

- une portant sur les conceptions que pourraient avoir les élèves en resituant la place dans le cycle, les difficultés que le savoir théorique pourrait poser aux élèves... Et du coup définir précisément la compétence travaillée.

Et hop, partie pédagogique avec à la fin des prolongements...

J ai pris comme option sciences et je fais ma séquence sur la digestion dans les fondements scientifiques selon toi je dois dire comment se passe la digestion avec les termes "savants" pour ensuite annonce que selon le BO 2012 on ne retiendra que certains terme pour le cycle 3 et hop ma séquence pédagogique?

C est une véritable galere ces fondements scientifiques

Oui, moi je le vois comme ça: une partie théorique, et ensuite une analyse des difficultés en lien (vocabulaire, représentations des élèves...) qui sont très bien expliquées sur le doc d'accompagnement.

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Par fondements scientifiques, on attend la présentation des principaux acquis scientifiques qui permettent de comprendre le sujet retenu, mais aussi, selon la nature du sujet ou du cycle, les éclairages quapporte la connaissance des élèves et des mécanismes dapprentissage.

Donc, je ferais deux parties:

- une théorique traitant de connaissances encyclopédiques.

- une portant sur les conceptions que pourraient avoir les élèves en resituant la place dans le cycle, les difficultés que le savoir théorique pourrait poser aux élèves... Et du coup définir précisément la compétence travaillée.

Et hop, partie pédagogique avec à la fin des prolongements...

J ai pris comme option sciences et je fais ma séquence sur la digestion dans les fondements scientifiques selon toi je dois dire comment se passe la digestion avec les termes "savants" pour ensuite annonce que selon le BO 2012 on ne retiendra que certains terme pour le cycle 3 et hop ma séquence pédagogique?

C est une véritable galere ces fondements scientifiques

Oui, moi je le vois comme ça: une partie théorique, et ensuite une analyse des difficultés en lien (vocabulaire, représentations des élèves...) qui sont très bien expliquées sur le doc d'accompagnement.

Je vais inclure une partie sur les sciences dans le système éducatif pour expliquer comment on en est venu à la démarche d investigation car je trouve cela plutôt important
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Je vais inclure une partie sur les sciences dans le système éducatif pour expliquer comment on en est venu à la démarche d investigation car je trouve cela plutôt important

Je pense pour le coup que ça ne rentre pas trop dans la première partie, mais pense à la mettre en valeur dans la deuxième.

(avec éventuellement une phrase de transition, du style :"compte-tenu de ces considérations, j'ai conçu une séquence basée sur la démarche d'investigation, dont l'importance [...])

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Je vais inclure une partie sur les sciences dans le système éducatif pour expliquer comment on en est venu à la démarche d investigation car je trouve cela plutôt important

Je pense pour le coup que ça ne rentre pas trop dans la première partie, mais pense à la mettre en valeur dans la deuxième.

(avec éventuellement une phrase de transition, du style :"compte-tenu de ces considérations, j'ai conçu une séquence basée sur la démarche d'investigation, dont l'importance [...])

Le problème c est que dans la seconde partie il ne doit y avoir que la séquence donc c est pour cela que je le mets dans la première partie.Sur mon livre de révision il y a un sujet en éducation civique avec en première partie un paragraphe sur l histoire de la philosophie avec ce qu apporte cet enseignement aux élèves donc je trouve que ça se rapproche de ce que je veux mettre ...
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