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"Le code informatique à l'école dès septembre"


ColdTurkey

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Dès septembre, je favoriserai en primaire une initiation au code informatique, de manière facultative et sur le temps périscolaire.

Benoit Hamon (http://www.lejdd.fr/Societe/Education/Benoit-Hamon-Le-code-informatique-a-l-ecole-des-septembre-675833)

Une simple phrase riche en questions :

- Le ministre de l'EN est-il devenu aussi ministre du périscolaire?

- L'allégement des programmes passe-t-il par par une augmentation du nombre de matières?

- Est-il nécessaire d'être formé pour enseigner?

- L'égalité devant les apprentissages est-elle facultative?

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http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/07/13/l-apprentissage-du-code-informatique-sera-propose-au-primaire-en-septembre_4456197_3224.html

L'enseignement du langage informatique sera proposé en primaire dès la rentrée de manière facultative, annonce au Journal du dimanche (édition du 13 juillet) le ministre de l'éducation nationale Benoît Hamon.

SUR LE TEMPS PÉRISCOLAIRE

Il souhaite que soit proposée « en primaire une initiation au code informatique, de manière facultative et sur le temps périscolaire. Nous avons lancé le 19 juin un appel aux associations pour structurer une offre nationale », précise-t-il.

Voilà, on y est : un ministre annonce de nouveaux apprentissages à l'école, puis précise qu'en fait c'est le périsco qui s'en chargera...

J'en conclus que le périsco, c'est un moment d'apprentissage et pas le moment de loisir et de repos indispensable qu'on nous avait vendu..... Que les animateurs sont capables d'enseigner comme les PE des contenus qui seront ensuite exploités au collège.

« Cette initiation devrait être inscrite dans les programmes du second degré », selon le ministre, qui considère que « certains professeurs pourraient, plus naturellement que d'autres, être des pédagogues du code : les professeurs de technologie et de mathématiques ».

La confusion dans la tête des parents ne va pas s'arranger...

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Peillon avait déjà en tête de mettre l'EPS ou les activités culturelles sur le temps périsco....Certains responsables (syndic associatifs le savaient et ont pourtant approuvé.

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On touche le fond, là... Sortez les pelles pour commencer à creuser.

A creuser des tranchées ! Pas envie de m'enterrer sans avoir lutté ! :chris:

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Mais enfin, vous n'avez rien compris : c'est pour optimiser l'achat de matériel, vous savez, ce merveilleux matériel qui a envahi les écoles dans les années 80 pour magnifier la révolution informatique (et doper Thomson accessoirement, à l'époque), ces formidables TO7 et MO5 qui dorment sûrement dans les caves des école !!!!

mo5-boite.jpg

to75b15d_1.jpg

Le TO7, il avait le lecteur de K7 et le stilet..... Une splendeur !

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Je me souviens des programmations logo avec la "tortue"... (un fiasco puisque Thomson a perdu devant les multinationales américaines et le désengagement de l'Etat...)Tiens, il faudra que Hamon précise quel langage de programmation doit être "enseigné" (c'est vite obsolète...) et s'il ne serait pas plus sage d'apprendre à lire et à écrire le français dans un premier temps... et dans le temps scolaire...

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Plan informatique pour tous
35px-Crystal_mycomputer.png
Cet article est une ébauche concernant l’informatique.
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Le plan informatique pour tous (IPT) était un programme du gouvernement français qui devait permettre d'initier les 11 millions d'élèves du pays à l'outil informatique et de soutenir l'industrie nationale. Il faisait suite à plusieurs programmes d'introduction de l'informatique dans le secondaire depuis 1971. Le plan IPT a été présenté à la presse, le vendredi 25 janvier 1985, par Laurent Fabius, Premier ministre de l'époque1. Il visait à mettre en place, dès la rentrée de septembre, plus de 120 000 machines dans 50 000 établissements scolaires et à assurer la formation, à la même échéance de 110 000 enseignants. Son coût était évalué à 1,8 milliard de francs, dont 1,5 milliard pour le matériel.

Description[modifier | modifier le code]

La sélection des partenaires industriels avait été confiée à Gilbert Trigano, le cofondateur du club Méditerranée. Celui-ci a retenu des sociétés françaises comme : Exelvision, Léanord, SMT Goupil, Thomson, Bull, LogAbax, etc.[réf. nécessaire] Ce choix était politique car son initiateur, JJ Schreiber, avait marqué sa préférence pour des Macintosh, spécialement modifiés pour l'occasion. Si son choix avait été retenu, Apple avait marqué son intention d'installer son unité de fabrication ultramoderne en France plutôt qu'en Irlande, mais il fallait choisir Thomson, entreprise nationalisée et en difficulté. Une occasions unique a alors été perdue, l'accord négocié au plus haut niveau avec Apple comprenant en effet un transfert de technologie complet de l'usine d'assemblage, alors aux plus hauts standards mondiaux en matière de productivité [1]

Le plan informatique pour tous avait notamment popularisé le nanoréseau : un réseau de taille modeste (jusqu'à 32 postes, à 500 KBits/s) qui comprenait des nano-machines (Thomson MO5, Thomson TO7/70 ou Thomson MO5NR) et un serveur compatible PC (le plus souvent un Bull Micral 30, mais aussi des Goupil 3, Léanord SIL'Z 16, Olivetti Persona 1600 et CSEE 150 étaient également utilisés). Le PC était muni de deux lecteurs de disquettes5¼ pouces, l'un servait au système d'exploitation (MS-DOS version 2.11), l'autre aux données pour les Thomson. Le serveur donnait également accès à une imprimante partagée. Une version ultérieure (NR33) permettait d'utiliser un disque dur en y installant tout le système ; ceci permettait un démarrage beaucoup plus rapide. Toutes les machines étaient pilotables à distance (le serveur en particulier grâce au système NR-DOS) et il était possible de récupérer une copie de n'importe quelle portion de leur mémoire à distance par une opération nommée « pillage de poste » (commande CLONE en BASIC).

Critique[modifier | modifier le code]

Ce plan a fait l'objet de vives critiques 2.

Le plan informatique pour tous s'est appuyé sur le nanoréseau. Conçu avec comme tête de réseau les premiers PC 16 bits Bull Micral, le nanoréseau a été une réussite informatique et pédagogique. Malheureusement le choix des terminaux 8 bits MO5 de Thomson a été une catastrophe. Cela devait développer la filière française de l'informatique avec le LSE (Langage Symbolique pour l'Enseignement) et le minitel, mais le crayon optique n'a pas résisté longtemps à la souris de Apple. Les critiques ont concerné le manque de formation des enseignants, le choix de mettre l'accent sur l'enseignement de la programmation au détriment de l'utilisation de progiciels, si bien que ce plan est aujourd'hui considéré par certains[Qui ?] comme un échec. Cependant le plan permit aussi un premier accès à l'informatique pour de nombreux élèves (le taux d'équipement des ménages en ordinateur était extrêmement faible à l'époque) et leurs enseignants, une première approche de la programmation (en BASIC ou en Logo) et de l'utilisation d'un ordinateur (avec clavier et crayon optique, la souris n'existant que depuis un peu plus d'un an sur des ordinateurs de type américains Apple Lisa ou Macintosh, très onéreux).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_informatique_pour_tous

le choix de mettre l'accent sur l'enseignement de la programmation au détriment de l'utilisation de progiciels, si bien que ce plan est aujourd'hui considéré par certains[Qui ?] comme un échec.

Ben, on recommence...?

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Je ne prendrais pas de mon temps pour expliquer le TBI et la classe mobile aux employés périscolaires :glare:

Hé, hé...c'est pourtant ce cqui risque de se passer...sans compter que l'intervenant va utiliser l'ordi de la classe et le TBI...j'espère qu'il ne va pas te les "reprogrammer "! :(

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Je ne prendrais pas de mon temps pour expliquer le TBI et la classe mobile aux employés périscolaires :glare:

Tu pourrais tout de même faire un effort pour l'intérêt du service public et la continuité de l'enfant, et vice-versa. ;)

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