Cette nuit, j'ai rêvé... Venez dévoiler le secrets de votre incs.

[Ljub]

J'ai rêvé que j'étais en Guinée.

J'ai fait le voyage en bateau, mais je dois accomplir les dernières centaines de mètres à la nage, au milieu des hippopotames  .

Sitôt arrivé, je sympathisé avec un type. On discute, mais l'envie d'aller aux toilettes se fait sentir.

Je demande à une personne qui travaille dans des douches publiques où sont les toilettes les plus proches : elle m'indique la direction d'une "Maison de la Vérité".

Le type qui est avec moi m'emmène directement à cette maison, qui s'avère être un gigantesque musée. Du coup, je le visite et je perds mon envie pressante.

On découvre ensuite un immense réfectoire : je propose au type de venir y manger dans la soirée. Il est d'accord.

A la sortie du musée (ai-je trouvé les toilettes ? Mystère !), je ressens l'envie de mettre un bonnet. D'ailleurs, quasi tout le monde en porte un.

[Torque]

Tu ne devrais pas mangé trop épicé le soir......

[Ljub]

C'était de la bonne ! C'est la première fois que je vois des hippopotames dans un rêve 😆.

[joelafrite]

J'avoue que l'analogie entre "La Maison de la Vérité" et les toilettes me laisse perplexe 

[Torque]

Bah si, aux toilettes on ne peut pas tricher, on n'évacue que ce qu'on a mangé. La conséquence étant directement liée à la cause on a là l'expression de la vérité dans toute sa splendeur.

D'autre part et tout aussi logiquement, Ljub associe les toilettes à un musée, lieu  où sont entreposés et exposés les effets du passé. Tenterait-il alors de faire le tri entre de vrais souvenirs et d'autres qui lui auraient été rapportés ? Si tel est le cas on est là sur une envie d'émancipation, les souvenirs rapportés l'étant par les autres et en particulier les parents. Quant au bateau qui ne va pas au bout de sa mission et lâche le pauvre nageur au milieu de monstres à grande gueule, il pourrait y avoir là comme un reproche, un sentiment d'abandon et l'envie pressante de se couvrir d'un bonnet signifierait le besoin de se cacher d'un monde abordé trop tôt.

Reste le mystère de la Guinée......

[Ljub]

Merci pour cette analyse.

 

[Ljub]

J'ai rêvé que je devenais tonton pour la troisième fois (encore un garçon).

Alors qu'il n'a que quelques jours et que je le tiens dans mes bras, il se met à parler et me demande si je sais quelle route il faut prendre pour aller à Séville.

Ma mère me dit alors que ça fait un peu tôt pour qu'il parler (merci pour l'info ).

Je dis à mon neveu que je vais me renseigner (en pensant à vous, Loiziriens) : mais il a lui-même la réponse et m'indique un repère (une croix rouge) marquant l'entrée de la ville.

[Torque]

Ce nouveau neveu c'est toi petit. Il t'arrive de convoquer ton passé pour y chercher des réponses à tes questions d'aujourd'hui et tu constates alors au moins deux choses: ta mère aurait dû avoir davantage confiance en tes capacités et établir avec toi une plus grande communication et d'autre part que tu avais sans doute déjà les réponses à pas mal de trucs. L idée serait que la vie est un éternel recommencement basé sur une reproduction systématique de nos façons d'aborder les choses. Et la question qui en découle serait "doit-on changer pour pouvoir évoluer ?".

Ton idée de recourir aux Loiziriens montre qu'ici tu te sens bien mais au final tu constates que les vraies réponses sont en toi.

 

[Ljub]

Il faut s'adapter pour évoluer. ET donc, changer.

Mais est-ce qu'on ne perd pas une part de soi-même en étant contraint de s'adapter à un contexte qu'on n'apprécie pas forcément (la question ne se posant pas si je juge le contexte positif) ?

[Torque]

Quand tu es en pleine mer tu t'adaptes et tu te mets à nager. Certes ce n'est pas réjouissant et ça va à l'encontre de la part de toi-même qui voudrait bien buller mais c'est ça ou tu coules.

[joelafrite]

Je suis d'accord avec Torque

Par contre, le coup de Séville, bon ...

[joelafrite]

J'ai rêvé que je participais à une course, "La montée de Chambles".

C'est une course qui existe et que je devais faire en décembre. J'ai dû déclarer forfait pour cause de blessure.

Le concept est simple : c'est à Chambles, et ça monte

J'ai donc rêvé que je participais, avec une ancienne collègue. Dans la vraie vie, elle fait du triathlon.

Cette course est très désagréable : on court dans un pré, très très humide, limite boueux, la pente est très raide. Je suis vraiment déçu : c'est ça la montée de Chambles ? Courir dans un pré pourri ?

En fait le coup du pré n'était que la première étape. Ensuite il y a trois autres épreuves !

La deuxième : une sorte de course de haies dans la boue.

Là j'ai dit à ma collègue que j'en avais marre, que cette course était naze et que donc je rentrais chez moi.