Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Rythmes scolaires. Les parents jugent leurs enfants plus fatigués Coutances - 04h00 écouter Après un mois et demi de Tap et d'école le mercredi matin, les parents jugent leurs enfants fatigués. | DR Céline Guitton C'est le bilan quasi unanime que dressent les parents d'élèves rencontrés dans plusieurs écoles de la CBC. Constat partagé par les enseignants. La réforme des rythmes scolaires est mise en place depuis un mois et demi. À la sortie des classes, les parents d'élèves dressent tous le même bilan : les enfants sont plus fatigués que l'an dernier à la même époque. La faute au mercredi matin travaillé ? Aux Tap ? Aux rythmes différents chaque jour ? Les enseignants partagent eux aussi le même constat : beaucoup de fatigue, et plus tôt dans l'année qu'habituellement. http://www.ouest-france.fr/rythmes-scolaires-les-parents-jugent-leurs-enfants-plus-fatigues-2909490 C'est faux sans doute ?
Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Le Griffonnage 18 octobre 2014 On le sait, la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans les écoles briochines fait débat. De nombreux agents territoriaux ont d'ailleurs fait grève pendant deux semaines. Ils ne le savent sans doute pas, mais ils ont un soutien de poids. Timothé, âgé de 10 ans, cadet de la famille Denis, que la rédaction va suivre tout au long de l'année scolaire, est en effet opposé à ces nouveaux rythmes. Non seulement il est crevé en fin de semaine, mais surtout, les cours du mercredi matin l'empêchent de manger sa traditionnelle galette-saucisse du midi, sur le marché, avec sa maman. Et ça, c'est intolérable. Solidaire du combat quasi politique de son aîné, Mewenn, 6 ans, est déjà prêt à organiser un défilé avec lui.© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/le-griffonnage-18-10-2014-10390747.php
Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Jeudi 16 octobre 2014 07:21 Éducation : Des perturbations ce jeudi dans certaines écoles 1 Des perturbations sont à prévoir ce jeudi dans certaines écoles de Saint-Brieuc.© DR Plusieurs syndicats ont appelé agents et enseignants à la grève ce jeudi à la suite de l'application de la réforme des rythmes scolaires à Saint-Brieuc. Les mouvements de grève d'une partie du personnel municipal et du personnel enseignant sont reconduits ce jeudi. Ils entraîneront plusieurs perturbations concernant l'accueil périscolaire et la restauration. Le point école par école. Temps scolaire (grève des enseignants). Mise en place d'un service minimum dans les écoles de Balzac, Cesson Bourg maternelle, les Merles primaire et Jean-Nicolas primaire. Temps périscolaire. Pas d'accueil ni le matin ni le soir : les Merles primaire. Pas d'accueil le midi : Etablette, Berthelot, Guy Ropartz et Baratoux. Service a minima le midi : Françoise Dolto, Brèche aux Cornes, Cesson Bourg, Ville-Hellio, Hoche, Curie, Poutrin, Beauvallon, Jean Nicolas primaire, Yves-Dollo et Grand-Clos élémentaire. Accueil du soir. Pas d'accueil à Jacques-Brel maternelle. A noter qu'un rassemblement des grévistes est prévu ce jeudi vers 11h30 place de la préfecture à Saint-Brieuc. Les autres écoles (La vallée, Croix-Rouge, Guébriant, Jacques-Brel élémentaire, Grand-Clos maternelle) fonctionneront normalement. Ouest-France http://www.saint-brieuc.maville.com/actu/actudet_-education-des-perturbations-ce-jeudi-dans-certaines-ecoles_fil-2639686_actu.Htm
Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Région > Hénin-Beaumont et ses environs Carvin : la CGT dénonce un «malaise» autour des TAP, le maire démentPUBLIÉ LE 16/10/2014 ANNE-CLAIRE GUILAIN Y’a-t-il un malaise chez les agents municipaux de Carvin autour de la question des TAP ? C’est ce qu’assure la CGT dans un trac dénonçant une réorganisation sans concertation et qui vise le maire P. Kemel. Ce dernier se défend de tout dysfonctionnement et assume avoir donné la priorité au TAP. - A + C’est la parole de l’un contre celle de l’autre. Dans un tract, la CGT des territoriaux de Carvin accuse le maire de, entre autres, « s’appuyer sur la flexibilité imposée de ses agents pour mettre en place les TAP de la réforme des rythmes scolaires » et dénonce la « non-concertation, les changements d’affectation imposés dans l’urgence au mépris du profil des postes, le manque de moyens opérationnels (…), la souffrance au travail, le mal-être et les arrêts maladies en augmentation ». En gros, la CGT reproche au maire d’avoir volontairement et rapidement déshabillé certains services en demandant aux agents d’assurer quelques heures de TAP. « C’est une méthode assez particulière : on a fait glisser les agents vers d’autres missions, sans rien leur demander. Rien n’a été quantifié, ni chiffré. Les temps de préparation des TAP, de concertation, de déplacements pour certains n’ont pas été pris en compte », confie un représentant syndical qui estime « qu’on a essayé de faire au mieux et au moins cher mais au détriment de la santé des agents et de la qualité pour les enfants ». Et ce dernier assure que : « les TAP ne sont qu’un exemple des dysfonctionnements qu’il y a au sein de la mairie et surtout du manque de dialogue social ». Des efforts budgétaires demandés Joint par téléphone, le maire Philippe Kemel dit ne pas avoir connaissance de ces dysfonctionnements. Mais assume : « c’est vrai que l’on a donné priorité aux TAP. Oui, nous avons repositionné certaines missions de nos agents pour être prêt au 1er septembre et accueillir les enfants dans de bonnes conditions, ce qui a été fait ». Et il dit ne pas perdre les chiffres des yeux : « tout cela nous l’avons mis en place à budgets constants. Dans le cadre de la loi de finances, un effort va être demandé aux collectivités. Je veux faire cet effort sans remettre en cause les services publics fondamentaux qui sont de notre compétence. On demande au personnel d’être au rendez-vous de tout cela. Certaines habitudes vont changer. » Car l’année 2015 se présente comme une année d’économies pour tous les services. Un serrage de ceinture annoncé qui n’entame pas l’atmosphère au sein de la mairie selon Philippe Kemel. « Selon moi, l’ambiance est sereine, le personnel est motivé et force de propositions. et je l’en remercie. Pour ceux qui n’iraient pas bien – et je sais qu’il y en a notamment un –, ma porte est ouverte pour en parler. » De son côté, la CGT prévoit d’envoyer prochainement un questionnaire au personnel municipal, histoire de prendre la mesure du baromètre social. Une manière de prendre le pouls de ce malaise, s’il existe ou pas. http://www.lavoixdunord.fr/region/carvin-la-cgt-denonce-un-malaise-autour-des-tap-le-ia34b0n2440259
Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Traitement et indemnités Augmentation immédiate de la valeur du point d’indice et 50 points d’indice supplémentaires pour tous (200 € mensuel). Le gel du point d’indice depuis le 1er juillet 2010, c’est le racket!!! Un PE adjoint au 6ème échelon, en septembre 2010 percevait 1 804 € net. En avril 2014, il touchait 1 775 €, soit 29 € de perte alors que les prix ont augmenté ! Si son traitement avait seulement suivi l’inflation de 8 %, il aurait perçu 1 890 €, soit 140 € de plus. Tableaux des traitements, indemnités et prestations familiales: http://www.snudifo18.org/archives/2014/01/26/29048701.html attribution d'une indemnité pour les Professeurs des écoles Les PE ne veulent ni de l’aumône, ni du décret sur les rythmes scolaires ! Le SNUDI-FO revendique 1200 € annuels minimum pour tous sans conditions ! Décidément, pour un mi nistre qui veut imposer l'enseignement d'une "morale laïque", Monsieur PEILLON ne fait pas preuve d'une grande moralité ! Lors d'une entrevue accordée le vendredi 26 avril, les représentants du ministre ont annoncé à notre fédération que la condition sine qua nonepour augmenter le taux de passage dans la hors classe et , attribuer une indemnité à chaque PE c'était que les syndicats signent préalablement à toute discussion un document, intitulé "accord de méthode", dans lequel ils déclarent approuver : le contenu des décret et loi PEILLON sur les rythmes scolaires, la fusion école élémentaire collège prévue par l'école du socle des compétences, l'augmentation du temps d'enseignement devant classe des titulaires-remplaçants . Après le camouflet reçu pour l'application du décret sur les rythmes scolaires - 82 % des communes ont refusé de le mettre en œuvre - le ministre devrait tenir compte du climat de rejet de ses orientations, qu'il a instauré dans les écoles, les collèges, les lycées et les lycées professionnels. S'il se trouve des "syndicats", le SE UNSA et le SGEN CFDT par principe et filiation politique, pour appuyer tout ce que fait le ministre, et signer cet "accord de méthode" , qu'il ne compte pas sur FORCE OUVRIERE. Pour nous les choses sont claires. Le gouvernement a décidé de bloquer les traitements et salaires dans la fonction publique pour la 4ème année consécutive, c'est inacceptable, ça suffit ! LIRE ICI le communiqué intersyndical du 24 avril 2013 Nous exigeons l'ouverture de véritables négociations sans aucun préalable sur les revendications des personnels, notamment salariales, c'est à dire : assez du blocage des salaires, augmentation de 5 % de la valeur du point d'indice et attribution de 44 points d'indice au titre du rattrapage du pouvoir d'achat perdu depuis 10 ans pour les PE : non à l'aumone des 400 €, création d'une indemnité équivalente à l'ISOE (touchée par les professeurs de collège et lycée), et donc qui ne soit pas inférieure à 1200 € /an concernant le passage à la hors classe : augmentation immédiate de 2 à 7 % du taux de passage (comme dans le 2nd d egré ) http://www.snudifo-53.fr/63310524
prof désécol Posté(e) 18 octobre 2014 Posté(e) 18 octobre 2014 (modifié) Tiens, les élections professionnelles se rapprochent et certains ont compris le sujet fédérateur : petit sondage du snuipp : http://snuipp.fr/Quelques-clics-sur-les-rythmes-une Merci pour ce lien, je viens de le partager avec mes collègues! Ne vous emballez pas trop vite et lisez la déclaration du SNUipp qui accompagne ce sondage : Cette rentrée a donc vu le passage à 4,5 jours se généraliser dans les écoles. Après les turbulences médiatiques de quelques maires en mal d'exposition cathodique, le silence a vite pris le dessus. Les maires des petites communes -comme notamment celui de Janvry- qui ont mouillé la chemise contre la réforme apprécieront à sa juste valeur le silence radio du SNUipp pendant l'année écoulée... Les enseignants ont besoin, en plus de leur temps d'enseignement face aux élèves, de temps pour travailler en équipe, rencontrer les partenaires, préparer leur classe, rencontrer les parents, monter des projets, faire des réunions. Il dépasse désormais largement le cadre des 108 heures octroyées officiellement à l'heure actuelle. Mais bien sûr... Le SNUipp réussira d'ailleurs bien à nous obtenir 216 heures pour tout cela. Enfin, les inégalités sur le territoire imposent que la question du financement du périscolaire soit vraiment traitée nationalement. [...] Le SNUipp-FSU réclame donc un financement pérenne par l’État, assorti d'un système de péréquation entre communes pour un périscolaire de qualité et gratuit sur tout le territoire. Voilà désormais le SNUipp auto-promu syndicat du périscolaire. Mais, n'en doutons pas, quand l'association des maires de France aura réussi à obtenir la pérennisation d'une aide de l'état, le SNUipp, trop honnête, n'osera pas s'en attribuer les lauriers... Modifié 18 octobre 2014 par prof désécol
Zarko Posté(e) 18 octobre 2014 Auteur Posté(e) 18 octobre 2014 Surtout que ce serait bien étonnant que les aides soient pérennisées... Bien au contraire...Remarquez, sur ce point le gvt a bien appelé cette aide "fond d'amorçage" ...puis si l'État finance le périscolaire, ce sera forcément au détriment du scolaire...ou alors on nous aurait menti quand on nous a répété qu'il ne fallait pas mélanger les deux...
Zarko Posté(e) 19 octobre 2014 Auteur Posté(e) 19 octobre 2014 C'est d'ailleurs le snuipp qui l'écrit lui-même ! Le système éducatif PROJET DE LOI DE FINANCES Un budget bien trop pâle 10 octobre 2014 Dans un contexte d’austérité budgétaire, l’éducation semble relativement préservée avec un budget en légère hausse pour 2015. Une progression qui ne permettra toutefois pas de dégager les moyens nécessaires pour les salaires ou la formation continue. D’autant que 28% de cette hausse sont consacrés au périscolaire ! Quant aux 2511 créations de postes dans le 1er degré, elles risquent de servir pour l’essentiel à faire face à la hausse démographique. http://snuipp.fr/Budget-2015-compenser-la J'aimerais connaître exactement la position du snuipp donc...
prof désécol Posté(e) 19 octobre 2014 Posté(e) 19 octobre 2014 (modifié) J'aimerais connaître exactement la position du snuipp donc... Pour ce qui est l'ordre de priorité des préoccupations de ce qui est censé être un "syndicat d'enseignants", une des phrases de conclusion de la déclaration au comité des rythmes qui accompagne le sondage du SNUIpp cité plus haut laisse peu de place au doute... Il est donc clair que le sujet de la réforme des rythmes n'est pas clos et qu’il doit être traité sous tous ses aspects pour les élèves, les parents, les municipalités mais aussi les enseignants. Modifié 19 octobre 2014 par prof désécol
Zarko Posté(e) 19 octobre 2014 Auteur Posté(e) 19 octobre 2014 J'aimerais connaître exactement la position du snuipp donc... Pour ce qui est l'ordre de priorité des préoccupations de ce qui est censé être un "syndicat d'enseignants", une des phrases de conclusion de la déclaration au comité des rythmes qui accompagne le sondage du SNUIpp cité plus haut laisse peu de place au doute... Il est donc clair que le sujet de la réforme des rythmes n'est pas clos et qu’il doit être traité sous tous ses aspects pour les élèves, les parents, les municipalités mais aussi les enseignants. Ouais...mais j'ai quand même l'impression que le discours officiel du snuipp national est bien différent de celui de certaines sections locales...Il y a bien quelque chose qui cloche, non ?
Lena Posté(e) 20 octobre 2014 Posté(e) 20 octobre 2014 Europe 1 13h15environ, ce jour: psychiatre spécialiste du sommeil. SI les enfants sont fatigués c'est normal c'est la rentrée c'est toujours comme ça. SI les enfants sont fatigués, c'est à cause des parents qui débloquent côté régularité. (témoignage, je couche mon môme à 19h30 pour le lever à 7h c'est juste l'horreur) -> SI les enfants sont fatigués c'est qu'il y a des ruptures de rythme. (témoignage mon môme a 8 ans et est dans un état pas croyable; il va comme l'an dernier à la garderie jusque 18h30 et il n'était pas dans cet état là l'an dernier) -> Forcément avec des journées pareilles, qu'est ce que vous voulez avoir comme résultat, surtout si la personne qui gère le périsco est incompétente. Voilà voilà. SI vos enfants sont fatigués, c'est au choix que vous percevez mal leur état, ou que vous faites n'imp' avec eux. Merci madame. Je vous dois combien?
Zarko Posté(e) 20 octobre 2014 Auteur Posté(e) 20 octobre 2014 RÉFORME DES RYTHMES SCOLAIRES Financement des rythmes scolaires : les mauvaises manières du gouvernement Publié le 15/10/2014 • Par Delphine Gerbeau • dans : A la une, France © Image of Money Consternation, scandale... Les mots des associations d'élus locaux sont forts pour dénoncer la baisse drastique du fonds d'amorçage de la réforme des rythmes scolaires, à rebours des engagements du gouvernement. La mesure a été discrètement introduite à l'article 55 du projet de loi de finances pour 2015, comme la Gazette l'a révélé le 10 octobre. Voir le sommaire Cet article fait partie du dossier Rythmes scolaires : comment mettre en place la réforme, à quels coûts ? Au printemps, Benoît Hamon, alors ministre de l’Education nationale, avait rassuré en annonçant une prorogation du fonds d’amorçage pour la rentrée 2015-2016. En ce qui concerne le montant, il s’était cependant borné à promettre qu’il serait « adapté » aux besoins des territoires. L’article 55 du PLF réalise cette adaptation, en prévoyant que le fonds est prorogé, mais uniquement pour sa partie majorée. Ce fonds d’amorçage comportait jusqu’à présent une part fixe de 50 euros par éléve pour toutes les communes appliquant la réforme, et une part majorée de 40 euros par élève pour les communes touchant la dotation de solidarité urbaine ou rurale «cible». Lire : Rythmes scolaires : le fonds d’amorçage remis en cause Division par 4 du fonds d’amorçage - 250 communes de 10 000 habitants et plus et 30 communes dont la population est comprise entre 5 000 et 9 999 habitants étaient éligibles à la DSU cible en 2013 ; 10 000 communes de moins de 10 000 habitants sont éligibles à la DSR cible, mais un certain nombre d’entre elles n’ont pas d’école. Or 23 000 communes possèdent au moins une école et sont donc concernées par la réforme des rythmes. Le dispositif prévu pourrait donc diviser par quatre le montant consacré au fonds d’amorçage – pour la rentrée 2014-2015, il était de 360 millions d’euros. les communes les plus défavorisées toucheraient donc 40 euros par élève, au lieu de 90, et les autres n’auraient plus droit au fonds. « Cette réforme, dont on sait mieux apprécier le coût maintenant qu’elle est généralisée, demande aux communes en moyenne 200 € par élève, ce montant ne comprenant pas les investissements qui devront être engagés dans de nombreuses communes confrontées à des problèmes de locaux. Les financements de la CAF réservés aux seules communes ayant la capacité de mettre en place des accueils de loisirs déclarés, nécessairement plus coûteux que les ateliers ou les garderies, ne pourront pallier l’absence de l’aide de l’Etat », met en garde l’Association des maires de France. Mauvaise manière - Mais au delà du fond de l’article, c’est la méthode qui a particulièrement irrité les associations d’élus locaux. « Nous sommes tous scandalisés, il n’y a eu aucune concertation ou information préalable de la part du ministère de l’Education nationale, explique Caroline Cayeux, présidente de Villes de France. des maires ont déjà annoncé qu’ils allaient devoir licencier des animateurs embauchés cette année ». Même son de cloche à l’Association des petites villes de France, qui a découvert « l’astuce » en lisant les motifs de l’article 55 intitulé « prorogation du fonds d’amorçage de la réforme des rythmes scolaires pour l’année 2015-2016″… Il est vrai cependant que le fonds d’amorçage, comme son nom l’indique, a été conçu dès l’origine comme un dispositif provisoire, ayant vocation à disparaître une fois la réforme mise en place. Le moment était cependant mal choisi, alors qu’une nouvelle baisse des dotations aux collectivités vient d’être annoncée. Matignon aurait déjà demandé aux services du ministère de l’Education nationale une évaluation du coût de la pérennisation du fonds… http://www.lagazettedescommunes.com/284452/financement-des-rythmes-scolaires-les-mauvaises-manieres-du-gouvernement/ des maires ont déjà annoncé qu’ils allaient devoir licencier des animateurs embauchés cette année ».
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