poujohel Posté(e) 31 octobre 2014 Posté(e) 31 octobre 2014 SOCIÉTÉRythmes scolaires : l’aide de l’Etat sera maintenue à son niveau actuel MARIE-CHRISTINE CORBIER / JOURNALISTE | LE 28/10 À 18:06, MIS À JOUR À 18:15 Rythmes scolaires : reconduction de l’aide de l’Etat - SIPA 1 / 1 Précédent Suivant Manuel Valls a voulu apaiser, mardi, les inquiétudes des élus sur les rythmes scolaires. L’Etat n’aidera plus les communes se limitant à de la seule garderie.C’est une victoire des associations d’élus sur le financement desrythmes scolaires . Manuel Valls a annoncé devant le Sénat, le maintien du fonds d’amorçage pour les rythmes scolaires « à son niveau actuel ». Les élus étaient jusqu’ici vent debout contre la limitation de l'aide de l’Etat aux seules communes en difficulté pour l’année 2015-2016, à un niveau de 200 millions d’euros au lieu des 400 millions de l’année précédente. La reconduction de l’aide de l’Etat sera toutefois limitée aux seules communes engagées dans un projet éducatif territorial, excluant de fait une aide financière pour les collectivités qui ne font que de la garderie. La ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem avait jugé, la semaine dernière devant l’Assemblée nationale, « pas juste (ni) vertueux » le fait que l’Etat verse de l’argent à des communes qui se limitent à des activités de garderie.« Je reste à la disposition des maires de France pour avancer sur le financement de la réforme des rythmes scolaires », a par ailleurs ajouté Manuel Valls. Des amendements au projet de loi de Finances avaient été déposés ce mardi matin à l’Assemblée par les députés Olivier Dussopt, Patrick Bloche et Yves Durand. « Conditionner l’aide à la mise en place d’un projet éducatif territorial est une façon de récompenser les communes vertueuses, réagit Olivier Dussopt, par ailleurs président de l’Association des petites villes de France (APVF). Pour celles qui n’en ont pas, il leur reste huit à neuf mois pour mettre en place un tel projet et bénéficier de l’aide de l’Etat pour l’année 2015-2016. » Les déclarations de Manuel Valls « Des amendements ont été déposés ce matin par les groupes SRC et RRDP à l’Assemblée nationale. Le gouvernement, avec la ministre de l’Education nationale, les soutiendra. Le fonds d’amorçage pour les rythmes scolaires sera donc maintenu à son niveau actuel. Les parlementaires proposent d’ajouter qu’un projet éducatif territorial s’assure de la qualité des activités. Ce dispositif sera mis en œuvre avec souplesse, en tenant compte des situations locales. Et les services de l’Etat seront mobilisés pour accompagner les communes. » http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0203895264781-rythmes-scolaires-laide-de-letat-sera-maintenue-a-son-niveau-actuel-1058416.php En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0203895264781-rythmes-scolaires-laid Voilà comment jeter de l'argent par les fenêtres...Et cette réforme restera toujours inégalitaire ... Et ben je pense que l'on n'est pas au bout de la réforme. Étant donné que très peu de pedt ont été finalement signés car ils n'étaient nécessaires que si on dérogeait au cadre, là vue que le financement n'est pérennisé que dans le cas où il y a aura un pedt, ben je pense que beaucoup de communes vont chercher à modifier les horaires arrêtés jusqu’alors pour monter leur pedt (et on risque d'avoir une généralisation d'un après-midi libéré, une ineptie totale...). Va encore y avoir des conseils d'écoles sur le sujet.....
Zarko Posté(e) 31 octobre 2014 Auteur Posté(e) 31 octobre 2014 https://www.facebook.com/photo.php?fbid=595422017236000&set=gm.802390433116997&type=1&theater
Zarko Posté(e) 1 novembre 2014 Auteur Posté(e) 1 novembre 2014 REFORME SCOLAIREPour Karine Berger, il fallait maintenir les 50€ d’aide par enfantKarine Berger. Archives TAGS : Hautes-Alpes Education Fil Info A la Une Politique Politique départementale Politique locale NOTEZ CET ARTICLE : 1 2 3 4 5 L’amendement défendu par Karine Berger, députée des Hautes-Alpes, visant à maintenir l’aide de l’État de 50 € par enfant pour la mise en place de la réforme des rythmes scolaires a finalement été rejeté. Dans un communiqué, elle explique : “Après un amendement du Groupe socialiste, le budget prévoit que cette aide ne sera versée plus qu’aux communes ayant signé un Projet éducatif territorial (PEDT). Or, seules cinq communes du département l’ont d’ores et déjà fait”. Karine Berger indique avoir “expressément demandé qu’à défaut du dépôt d’un PEDT au 30 juin 2015 par les communes, les inspections d’académie puissent leur proposer un tel document à approuver par elles afin qu’elles ne perdent pas leur aide. Cette proposition a été rejetée par le rapporteur de la commission, le député de l’Ariège Alain Fauré, et le gouvernement. C’est un coup qui pourrait être dur pour nos petites communes rurales.” La députée explique qu’elle sera “très attentive à ce que l’inspection d’académie des Hautes-Alpes soit à la disposition des maires ruraux qui ont déjà de très nombreuses charges et qui ont à peu près tous joué le jeu des activités périscolaires de qualité. Ainsi, elles doivent pouvoir, toutes, bénéficier de cette aide dans les années à venir”. http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2014/11/01/pour-karine-berger-il-fallait-maintenir-les-50-d-aide-par-enfant
Zarko Posté(e) 1 novembre 2014 Auteur Posté(e) 1 novembre 2014 Rythmes: la majorité se divise sur une prorogation du fonds en 2015-2016 avec ou sans la condition du PEDT31 oct, 2014 par Philippe Wallez Le lead La discussion hier à l’Assemblée nationale portait sur le projet de loi de finances 2015 dans son volet « Mission Enseignement scolaire » . Une partie de la discussion abordait la question de la prorogation du fonds d’amorçage pour l’année 2015-2016, amorcée par un amendement de la majorité, accepté la veille au Sénat par le premier ministre Manuel Valls. Ce texte vise à prolonger pour l’année 2015-2016 le versement du même montant alloué (50 euros) pour toutes les communes et non pas seulement celles éligibles à la DSU (urbain sensible) ou DSR (rural fragile) qui bénéficient par ailleurs d’ un supplément de 40 euros à ce titre. Une condition pourtant était posée. « Cet effort très important, qui bénéficiera à 23 000 communes, devrait représenter 300 millions d’euros. Le versement de cette aide sera conditionné à l’établissement par les communes d’un projet éducatif territorial – PEDT. » a précisé Mme Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education nationale. Cet amendement a finalement été adopté. Malgré la voix de ceux demandant la pérennisation, à l’instar de Xavier Breton (UMP): « En proposant de conditionner le bénéfice de ce fonds à la mise en œuvre d’activités périscolaires de qualité, dans le cadre de projets éducatifs territoriaux, vous accentuez les inégalités entre les communes qui ont les moyens et celles qui, malheureusement, n’ont objectivement pas les moyens suffisants pour engager cette réforme. » Malgré également, parmi les socialistes, ceux qui ont émis des réserves de faisabilité au point qu’un amendement (N°236) a été déposé par Valérie Rabault (SRC), rapporteure générale de la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire. « Nous sommes tous d’accord sur ces bancs pour reconnaître qu’un PEDT offre la garantie d’un projet pédagogique favorable pour les enfants. Mais la politique impose aussi de prendre en compte la réalité. Si l’on se penche sur les statistiques du Fonds d’amorçage, notamment pour les départements ruraux, il apparaît que si l’on ne maintenait l’aide de cinquante euros que pour les communes ayant signé un PEDT, 90 % des communes rurales seraient exclues. Je vous donnerai l’exemple très concret d’un département que je connais bien, le Tarn-et-Garonne. Sur ses 195 communes, 129 ont une école, et parmi ces 129 communes, 13 se sont engagées dans un PEDT, soit 10 %. (….) Parfois, dans les communes de moins de 1 000 habitants, le maire est seul avec son conseil municipal, et le secrétaire de mairie n’est présent que deux jours par semaine. Par conséquent, le maire est amené à écrire seul le PEDT, avec le directeur ou la directrice d’école. Entre 6 000 et 7 000 PEDT ont été signés, qui concernent à peu près la moitié des 52 100 écoles que compte notre pays, mais les zones rurales ne sont pas dans ce cas » Karine Berger (SRC), sceptique, évoque le cas des Hautes-Alpes Plusieurs interventions dans les rangs socialistes allaient dans ce sens. Ainsi Karine Berger (SRC Hautes-Alpes), soutenant la démarche de Mme Rabault, évoquait la situation de son territoire en ces mots. « J’invite tous mes collègues à demander quelle est la situation dans leur circonscription, comme je l’ai fait dans celle dont je suis élue, où 37 communes ont des écoles et sont donc concernées par les rythmes scolaires. Une seule de ces communes dispose d’un PEDT. Deux communes, gérées par des candidats de droite malheureux aux élections sénatoriales, refusent de mettre en place la réforme des rythmes scolaires sous forme éducative et se contentent de garderies. Restent donc 34 communes qui jouent le jeu à fond et ne disposent pas de PEDT. Or, trois d’entre elles, qui ont lancé une demande de PEDT auprès de l’inspection d’académie, sont encore en négociations au bout de six mois ». Mme Rabault concluait ainsi. « Il serait donc souhaitable que cette aide de cinquante euros puisse être maintenue sans condition, qu’un PEDT ait été réalisé ou pas ». Avant de proposer un sous-amendement additif au texte. « L’inspection académique accompagne les communes de moins de 5 000 habitants dans la rédaction d’un PEDT. En l’absence de PEDT au 30 juin 2015, l’inspection académique propose une écriture du PEDT et le fait valider par la commune concernée « . La ministre a refusé d’inscrire cette clause, estimant qu’une circulaire, rédigée en ce sens et adressée aux recteurs et IA-DASEN suffirait. Générant une réaction sceptique de Mme Berger. « Si vous nous affirmez que, d’ici à six mois, l’inspection d’académie, ayant reçu dans les semaines prochaines les PEDT de toutes les communes de France, pourront y apporter une réponse rapide et ayant fait l’objet d’une concertation vraiment constructive avec nos maires – ceux de L’Epine, de Trescléoux ou de Veynes –, je suis prête à toper avec vous. Sur le terrain, cependant, telle n’est pas aujourd’hui la réalité des choses. Si donc nous devons écrire dans la loi que, pour que la condition de PEDT soit mise, c’est à l’inspection d’académie de prendre ses responsabilités, et non pas aux maires des petites communes, nous souscrirons évidemment à votre démarche. » Le député radical de gauche des Hautes-Alpes Joël Giraud a émis un communiqué, se réjouissant que« l’amendement déposé par les députés radicaux de gauche, mais aussi par plusieurs députés socialistes ait donc été adopté dans l’après midi » Communiqué du député des Hautes-Alpes Joël Giraud (radicaux de gauche). Le financement des rythmes scolaires prorogé dans toutes les communes dès lors qu’elles s’engagent dans un projet éducatif territorial L’amendement déposé par les députés radicaux de gauche, mais aussi par plusieurs députés socialistes a donc été adopté dans l’après midi. L’Etat financera en 2015/2016 les communes ayant mis en place des activités dans le cadre des rythmes scolaires sans discrimination d’antériorité dans l’application de la mesure ni de nature fiscale ( il avait été envisagé de réserver le financement aux collectivités éligibles a la DSR, cible jugée inadaptée par les associations d’élus ). Il sera toutefois demandé aux collectivités de s’engager dans une mise en cohérence territoriale via un projet éducatif territorial, ce qui ne génère pas de coût supplémentaire mais permet de mieux coordonner les actions sur le bassin de vie scolaire. http://www.provenceducation.com/?p=28281 Oui, on n'a pas fini d'en parler !
Zarko Posté(e) 2 novembre 2014 Auteur Posté(e) 2 novembre 2014 Avion: de nouvelles activités périscolaires proposées à la rentrée de la Toussaint PUBLIÉ LE 01/11/2014 La Voix du Nord La ville s’est opposée tant qu’elle a pu à la réforme des rythmes scolaires mais a dû céder. Pas question pour autant d’organiser une simple garderie, comme elle le clame désormais dans tous les dépliants distribués aux habitants. - A + Dès ce premier jour de la rentrée des vacances de la Toussaint, la municipalité propose de nouvelles activités basées sur la culture, la citoyenneté et les sports. Ces activités sont assurées par des personnes diplômées ou qualifiées. Il peut s’agir des animateurs habituels des centres de loisirs, des intervenants municipaux mais aussi des ATSEM qui travaillent déjà dans les écoles. Ces cycles d’intervention thématiques (CIT) ne sont pas obligatoires mais soumis à inscription préalable des enfants. Ceux-ci, une fois inscrits, doivent obligatoirement suivre les sept séances. Les thématiques changeront après chaque période de vacances scolaires. Mais attention, même gratuits, ces CIT ne pourront accueillir tout le monde. Le nombre de places a été défini : vingt places pour les classes de maternelle ; vingt-huit places pour les autres cycles (CP-CE1 et CE2-CM1-CM2). Les animations se dérouleront soit à l’intérieur de l’école (salle de motricité, informatique, BCD…) ou à l’extérieur de l’école (cour, jardin, espaces verts ou dans les salles municipales à proximité des établissements). Les enfants inscrits aux CIT sont rassemblés à la fin des cours (16 h 30) par les agents de la commune et sont accompagnés sur le lieu de l’animation. À la fin des cycles (17 h 45), les parents viennent les rechercher à l’accueil de loisirs périscolaire. Seuls les enfants inscrits à l’accueil périscolaire seront accueillis jusque 18 h 30. Pour plus de renseignements, se rapprocher de la mairie d’Avion au Tél. 03 21 79 44 79 ou de la Maison de l’enfance rue de la Cité Saint-Antoine Tél. 03 21 14 76 50. Les activités jour par jour Lundi, de 16h30 à 17h45 Prin/Cotton et Rolland/Mandela. - Maternelles: les graines d’artistes préparent Noël; - CP, CE1: basket; - CE2, CM1, CM2: je crée mon jeu de société. Mardi, de 16h30 à 17h45 Lurçat et Cadras. - Maternelles: athlétisme. - CP, CE1: le numérique. - CE2, CM1, CM2: voyages en lecture; lectures buissonnières. Frank/Michel, Aragon/Triolet. - Maternelles: les graines d’artistes préparent Noël. - CP, CE1: marionnettes. - CE2, CM1, CM2: hockey. Jeudi de 16h30 à 17h45 Lannoy et Wallon Maternelles: histoires gourmandes. CP, CE1: créer un jeu de société. CE2, CM1, CM2: hockey. Cachin Maternelles: athlétisme. CP, CE1: marionnettes. CE2, CM1, CM2: le numérique. Vendredi, de 16h30 à 17h45 Parent, Desnos/Casanova Maternelles: histoires gourmandes. CP, CE1: basket. CE2, CM1, CM2: montage vidéo. Joliot-Curie Maternelles: on prépare Noël. CP, CE1: lectures buissonnières. CE2, CM1, CM2: construire un jeu ancien. Bon, espérons que la PE ne fasse pas aussi basket dans la journée... Puis je croyais que ces TAP devaient être facultatifs, là ils deviennent obligatoires...
Zarko Posté(e) 2 novembre 2014 Auteur Posté(e) 2 novembre 2014 L'impact négatif le plus retentissant est toutefois consécutif aux nouveaux rythmes scolaires. Le mercredi matin se passant à l'école, les cours équestres ont dû être réaménagés. "Tout cela fait que je suis passée de 125 adhérents à 90 et encore, j'ai de la chance d'être le seul centre à des kilomètres à la ronde, d'avoir une certaine réputation et d'accueillir deux écoles privées qui ne rentrent pas dans les nouveaux rythmes." Marion a dû, avec regret, licencier la seule personne qui la secondait au club. Et elle a du mal à tirer un salaire de ses activités. http://www.midilibre.fr/2014/11/02/crues-le-lourd-tribut-du-club-equestre-de-lamalou,1074764.php
Filounet Posté(e) 9 novembre 2014 Posté(e) 9 novembre 2014 Attention à bien rester sur nos arguments contre la réforme. Les Maires en ont d'autres, c'est bien, mais moi, je suis contre cette réforme car : - 5 jours d'affilée, c'est trop. - il est faux de dire que 6h de classe par jour, c'est trop - le mélange périscolaire-scolaire dans la même journée est dangereux Désormais, bien des élèves passent autant d'heures (voire plus) de périscolaire que de cours scolaires chaque jour. Quand on se contente de s'amuser du désordre pendant le périscolaire, de la pauvreté des propositions, on est contre-productif, à mon avis.
Zarko Posté(e) 11 novembre 2014 Auteur Posté(e) 11 novembre 2014 LOIRET > FLEURY-LES-AUBRAIS 10/11/14 - 17H57 Trois parents d’élèves pointent des dysfonctionnements dans les nouveaux rythmes scolairesLu 3084 fois Pour Laurence Boivin-Pagès (à gauche), Céline Pinson et Sylvain Janiec, trois parents d’élèves élus, la mairie doit revoir sa copie sur certains points. - Marion Bonnet Trois mois après la rentrée et le passage à la semaine de quatre jours et demi, trois parents d’élèves fleuryssois pointent quelques dysfonctionnements ou incohérences. dans l’organisation. «Non, le tableau n'est pas aussi rose qu'on veut bien nous le faire croire. » Voilà, en substance, le message porté par trois représentants des parents d'élèves fleuryssois. Sylvain Janiec, Laurence Boivin-Pagès et Céline Pinson ont souhaité réagir au bilan dressé récemment par l'adjointe chargée de l'éducation, Fabienne Leproux-Vauzelle (notre édition du 6 octobre). Ils pointent plusieurs « dysfonctionnements » ou « incohérences », dans l'organisation des nouveaux rythmes (auxquels, du reste, ils s'opposent). Tout d'abord, ils dénoncent des « hausses trop élevées » des tarifs de l'aide au travail personnel (ATP). Sans toutefois demander la gratuité du service. « Nous savons que tout a un coût. » « Pour le quotient le plus bas, explique Sylvain Janiec (Rassemblement des parents d'élèves indépendants du groupe scolaire Curie-Jourdain), on passe à 17,12 € pour quatre séances. C'est 7 € de plus que l'année dernière. Pour le quotient le plus haut, on est à 39,04 € (tarifs propres à Curie-Jourdain, ndlr). C'est trop ! » Chips-coca au goûterÉcole Curie-Jourdain toujours. Étant donné qu'elle est la seule à bénéficier de créneaux d'aide aux devoirs quatre soirs par semaine, la demi-heure gratuite de périscolaire (entre 16 heures et 16 h 30) n'existe pas, à la différence des autres écoles. « Moi, j'arrive à 16 h 10, pour aller chercher ma fille, reprend Sylvain Janiec. Je ne la mets pas à l'aide aux devoirs, mais je dois quand même payer », dénonce-t-il. « Cela fait cher la récréation. » Les trois parents fustigent également la suppression des goûters, qui étaient jusqu'à maintenant fournis gratuitement par la ville. « Les familles ont été un peu mises devant le fait accompli. C'est une catastrophe sur le plan alimentaire, souligne Céline Pinson (Association des parents d'élèves de Ferragu). Car, les enseignants le voient, pour certains enfants, le goûter, c'est chips-coca. » Autant de motifs de mécontentement que ces trois parents ne se sont pas privés de faire remonter aux élus et aux services, lors du comité de suivi du 14 octobre. Sans trop y croire. Ils résument ainsi le sentiment général des parents d'élèves fleuryssois : « résignés ». Marion Bonnet http://www.larep.fr/loiret/actualite/2014/11/10/trois-parents-deleves-pointent-des-dysfonctionnements-dans-les-nouveaux-rythmes-scolaires_11213983.html
del150409 Posté(e) 13 novembre 2014 Posté(e) 13 novembre 2014 6 mois après la suite du rapport UDAF 38 sur les 47 communes iséroises à 4,5 jours en 2013/2014 http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/EnqueteRythmesScolaires-RapportFinal.pdf L'abstract http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/Synthese-Elus-Familles.pdf
Goëllette Posté(e) 13 novembre 2014 Posté(e) 13 novembre 2014 6 mois après la suite du rapport UDAF 38 sur les 47 communes iséroises à 4,5 jours en 2013/2014 http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/EnqueteRythmesScolaires-RapportFinal.pdf L'abstract http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/Synthese-Elus-Familles.pdf En gros, l'école devient un servoce marchand où les parents mettent leurs enfants quand ça les arrange et veulent pouvoir décider ce qui s'y fait sans avoir de comptes à rendre en retour.
nola Posté(e) 15 novembre 2014 Posté(e) 15 novembre 2014 6 mois après la suite du rapport UDAF 38 sur les 47 communes iséroises à 4,5 jours en 2013/2014 http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/EnqueteRythmesScolaires-RapportFinal.pdf L'abstract http://udaf38.fr/wp-content/uploads/2015/01/Synthese-Elus-Familles.pdf En gros, l'école devient un servoce marchand où les parents mettent leurs enfants quand ça les arrange et veulent pouvoir décider ce qui s'y fait sans avoir de comptes à rendre en retour. Exactement le programme de la FCPE.
Zarko Posté(e) 15 novembre 2014 Auteur Posté(e) 15 novembre 2014 Rythmes scolaires. La commune a opté pour trois quarts d’heure d’activités périscolaires par jour les lundis, mardis, jeudis et vendredis, de 15 h à 15 h 45. Trente-quatre animateurs encadrent les activités : chant, percussions, danse contemporaine, arts plastiques, informatique, sports, graff, lecture, jeux de société, théâtre. « Lorsque nous avons déposé notre projet à la commission départementale de l’Éducation nationale, la loi Hamon n’existait pas. On est allé trop vite, les enfants sont fatigués, ça leur fait de longues journées. Certains d’entre eux arrivent tôt le matin et repartent tard le soir avec la garderie. La chronobiologie de l’enfant s’en trouve fortement perturbée, d’autant plus que le mercredi il y a l’école. Une directrice m’a assuré que l’enfant ne peut plus s’approprier les heures de cours en classe tellement il est fatigué. On va donc revoir notre copie. » http://www.lavoixdunord.fr/region/les-projets-des-maires-crespin-alain-dee-la-ia27b36913n2493814?xtor=RSS-2 ...je me demande ce qu'ils peuvent faire de mieux...
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