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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

En même temps, au conseil d'Etat... ils sont pas à une connerie près.

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Rythmes scolaires: à l'école Jacques-Prévert d'Antibes, des parents déchantent Publié le jeudi 11 décembre 2014 à 14h34

Une pétition et une lettre ouverte ont été déposées en mairie pardes Antibois déçus des conditions d’application de la réforme qui fait couler beaucoup d’encre

Dans une brasserie, avenue de la République, on taille la bavette. Au menu : les nouveaux rythmes scolaires. Ils sont quelques-uns, attablés, sévères, à décortiquer l'emploi du temps de leurs chères têtes blondes.

«Ça ne va pas du tout… trente gamins pour une Atsem[agent territorial spécialisé des écoles maternelles], ce n'est pas gérable. » Autour de Sandra, on acquiesce.

Leurs enfants sont, en fait, scolarisés à Roger-Cardi. En maternelle. La mère de famille, qui a lancé la discussion, veut agir. « Nous sommes nombreux à pointer du doigt la façon dont est appliquée la réforme… »

Elle l'ignore mais quelques heures à peine avant son déjeuner en centre-ville, d'autres parents excédés déposaient une lettre ouverte au maire sur le sujet. Accompagnée d'une pétition.

« Devant la télé »

« On attendait un peu de voir comment ça allait se passer », livre Jean-Marie Alexandre, parent d'élève à l'école Prévert, des Semboules. Avant de poursuivre : « Chaque soir, on discutait devant les grilles de l'école et nous faisions tous le même constat… »

La proposition en matière de nouvelles activités périscolaires (NAP) ne s'avère pas concluante. Pire, les Antibois martèlent que « la sécurité des enfants n'est pas suffisamment assurée ».

« Il y a eu un conseil d'école et certains signataires y ont d'ailleurs assisté. Il y avait un représentant de la mairie. Mais il en est ressorti que rien de plus ne serait fait… »

Alors ils ont décidé de bouger. Quatre-vingts personnes ont signé le document. « Les enfants nous racontent… A la pause déjeuner et le soir, des Atsem se retrouvent à animer, comme elles peuvent, des classes entières. À faire l'appel tout le temps pour être sûres de ne pas avoir paumé un gamin. Et quand il pleut, ils se retrouvent à cinquante devant la télé… »

Delphine Chatelain, dont les deux fillettes sont à Prévert, intervient : « Attention, on ne jette pas la pierre aux Atsem. Nous leur faisons confiance. On sait qu'elles font le maximum. Mais enfin, une personne pour s'occuper de trente petits entre 3 et 5 ans… même quand on fait le maximum… » Soupir. « Puis en terme d'éducation, d'ouverture, c'est inintéressant. Je ne comprends pas. Antibes a fait une contre-proposition au gouvernement mais aurait dû anticiper le fait qu'elle serait refusée. Ils attendent un retour du tribunal ? Mais enfin, pendant ce temps, les enfants aussi attendent ! »

« C'est frustrant. Surtout quand on voit qu'ailleurs il y a de vraies propositions… »Jean-Marie Alexandre fronce les sourcils : « Je crois que c'est un choix conscient de la Ville. » Un choix politique ? « Je crois. Sauf qu'elle est là, cette réforme. Qu'on le veuille ou non ! »

Aymeric Vial prend le relais : « Ce n'est probablement pas la seule mairie à faire de la résistance. Mais il y a de fortes inégalités entre les territoires. » Il marque une pause.« Je n'avais aucun a priori sur les nouveaux rythmes… Je n'étais pas inquiet, je me disais : on est à Antibes ! »Déception. « J'ai juste constaté qu'ici les NAP consistaient à laisser les enfants quarante-cinq minutes à ne rien faire. »

http://www.nicematin.com/antibes/rythmes-scolaires-a-lecole-jacques-prevert-dantibes-des-parents-dechantent.2021418.html

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Rythmes scolaires: à l'école Jacques-Prévert d'Antibes, des parents déchantent Publié le jeudi 11 décembre 2014 à 14h34

Une pétition et une lettre ouverte ont été déposées en mairie pardes Antibois déçus des conditions d’application de la réforme qui fait couler beaucoup d’encre

Dans une brasserie, avenue de la République, on taille la bavette. Au menu : les nouveaux rythmes scolaires. Ils sont quelques-uns, attablés, sévères, à décortiquer l'emploi du temps de leurs chères têtes blondes.

«Ça ne va pas du tout… trente gamins pour une Atsem[agent territorial spécialisé des écoles maternelles], ce n'est pas gérable. » Autour de Sandra, on acquiesce.

Leurs enfants sont, en fait, scolarisés à Roger-Cardi. En maternelle. La mère de famille, qui a lancé la discussion, veut agir. « Nous sommes nombreux à pointer du doigt la façon dont est appliquée la réforme… »

Elle l'ignore mais quelques heures à peine avant son déjeuner en centre-ville, d'autres parents excédés déposaient une lettre ouverte au maire sur le sujet. Accompagnée d'une pétition.

« Devant la télé »

« On attendait un peu de voir comment ça allait se passer », livre Jean-Marie Alexandre, parent d'élève à l'école Prévert, des Semboules. Avant de poursuivre : « Chaque soir, on discutait devant les grilles de l'école et nous faisions tous le même constat… »

La proposition en matière de nouvelles activités périscolaires (NAP) ne s'avère pas concluante. Pire, les Antibois martèlent que « la sécurité des enfants n'est pas suffisamment assurée ».

« Il y a eu un conseil d'école et certains signataires y ont d'ailleurs assisté. Il y avait un représentant de la mairie. Mais il en est ressorti que rien de plus ne serait fait… »

Alors ils ont décidé de bouger. Quatre-vingts personnes ont signé le document. « Les enfants nous racontent… A la pause déjeuner et le soir, des Atsem se retrouvent à animer, comme elles peuvent, des classes entières. À faire l'appel tout le temps pour être sûres de ne pas avoir paumé un gamin. Et quand il pleut, ils se retrouvent à cinquante devant la télé… »

Delphine Chatelain, dont les deux fillettes sont à Prévert, intervient : « Attention, on ne jette pas la pierre aux Atsem. Nous leur faisons confiance. On sait qu'elles font le maximum. Mais enfin, une personne pour s'occuper de trente petits entre 3 et 5 ans… même quand on fait le maximum… » Soupir. « Puis en terme d'éducation, d'ouverture, c'est inintéressant. Je ne comprends pas. Antibes a fait une contre-proposition au gouvernement mais aurait dû anticiper le fait qu'elle serait refusée. Ils attendent un retour du tribunal ? Mais enfin, pendant ce temps, les enfants aussi attendent ! »

« C'est frustrant. Surtout quand on voit qu'ailleurs il y a de vraies propositions… »Jean-Marie Alexandre fronce les sourcils : « Je crois que c'est un choix conscient de la Ville. » Un choix politique ? « Je crois. Sauf qu'elle est là, cette réforme. Qu'on le veuille ou non ! »

Aymeric Vial prend le relais : « Ce n'est probablement pas la seule mairie à faire de la résistance. Mais il y a de fortes inégalités entre les territoires. » Il marque une pause.« Je n'avais aucun a priori sur les nouveaux rythmes… Je n'étais pas inquiet, je me disais : on est à Antibes ! »Déception. « J'ai juste constaté qu'ici les NAP consistaient à laisser les enfants quarante-cinq minutes à ne rien faire. »

http://www.nicematin.com/antibes/rythmes-scolaires-a-lecole-jacques-prevert-dantibes-des-parents-dechantent.2021418.html

Et ça les choque pas quand c'est une instit. 29 PS MS GS une année avec l'atsem 2 x 45 minutes par jour... Mais là, non, les parents ne sont pas choqués. J'aurais dû les mettre devant la télé ?

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La Chapelle : les classes de découverte abandonnées à cause des nouveaux rythmes scolaires

PUBLIÉ LE 13/12/2014

DELPHINE TONNERRE

Changer d’air, de lieu, de vie de classe à la mer, la montagne ou la campagne, c’était un autre rythme. Mais c’est comme ça : la réforme des rythmes scolaires empêchera la plupart de ces séjours de se mettre en place. Un choix qui n’est pas pris de gaieté de cœur par les élus. « C’est une décision prise à regret car les projets étaient intéressants », a tenu à rappeler le maire. Mais Bernard Coisne a fait ses comptes : « Le financement des classes de découverte nous coûtait près de 50 000 euros. On estime que les NAP vont nous coûter autour de 200 000 euros. On va récupérer une partie de cette somme auprès de l’État et de la CAF, mais on navigue un peu à vue. » Vendredi, une délibération a été prise pour modifier la convention avec les écoles privées : ce qui n’est plus accordé au public est aussi retiré du forfait au privé, équité oblige.

Christophe Deronne, chef de file de l’opposition de gauche, a réclamé au cours de ce conseil un tableau analytique sur le coût réel des nouveaux rythmes scolaires. Il a aussi fait part des demandes d’associations de parents d’élèves d’école chapelloises qui s’interrogent sur la possibilité de sorties moins coûteuses. « Il n’y avait pas d’enthousiasme généralisé sur une autre formule, alors on verra dans le futur », a répondu le maire. En clair, il faudra d’abord que la commune fasse ses comptes sur ce que ces nouveaux rythmes lui coûtent et rapportent avant de s’engager dans d’autres dépenses.

http://www.lavoixdunord.fr/region/la-chapelle-les-classes-de-decouverte-abandonnees-a-ia11b49733n2548663?xtor=RSS-2

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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

En même temps, au conseil d'Etat... ils sont pas à une connerie près.

C'est tellement vrai...

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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

En même temps, au conseil d'Etat... ils sont pas à une connerie près.

C'est tellement vrai...

D'un côté, vous trouvez que les collègues ne votant pas, ne prennent pas leurs droits d'expression en mains et de l'autre, la plus haute autorité de la République, qui défend les droits de tous, est qualifiée de génératrice de "conneries"...

L'usine à paradoxes (je pèse mes mots) de certains n'est pas menacée de délocalisation !

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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

En même temps, au conseil d'Etat... ils sont pas à une connerie près.

C'est tellement vrai...

D'un côté, vous trouvez que les collègues ne votant pas, ne prennent pas leurs droits d'expression en mains et de l'autre, la plus haute autorité de la République, qui défend les droits de tous, est qualifiée de génératrice de "conneries"...

L'usine à paradoxes (je pèse mes mots) de certains n'est pas menacée de délocalisation !

Je ne vois pas le lien ou le paradoxe... Petite précision, le conseil d'État n'a pas fait les mêmes conclusions selon les cas. Là, il dit que les TAP ne sont pas obligatoires, à Marseille c'est autre chose...
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En fait dans le République et son fonctionnement, tu prends ce qui t'arrange, tu fais ton shopping pour faire ta sauce...en fait t'es super libéral ! :)

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Rythmes : Rejet des recours de deux communes

Le rapporteur public du Conseil d'Etat a conclu le 10 décembre au recours déposés par les communes de Janvry et de Fournels contre la réforme des rythmes scolaires. Najat Vallaud-Belkacem "se réjouit de la position ainsi exprimée qui écarte les griefs formulés à l'encontre du décret fondateur de la réforme des rythmes scolaires engagée, dans le cadre de la refondation de l'école, pour améliorer l'efficacité des apprentissages et favoriser la réussite scolaire des élèves."

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/11122014Article635538805140602439.aspx

En même temps, au conseil d'Etat... ils sont pas à une connerie près.

C'est tellement vrai...

D'un côté, vous trouvez que les collègues ne votant pas, ne prennent pas leurs droits d'expression en mains et de l'autre, la plus haute autorité de la République, qui défend les droits de tous, est qualifiée de génératrice de "conneries"...

L'usine à paradoxes (je pèse mes mots) de certains n'est pas menacée de délocalisation !

C'est pas en sortant les grands mots que ça a plus de poids. Le conseil d'Etat a quand même dit que les instits ne bossent que pendant le temps scolaire.

Avec une telle méconnaissance de ce qu'est l'école, on devrait faire confiance à ces clowns pour les rythmes ?!!!

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En fait dans le République et son fonctionnement, tu prends ce qui t'arrange, tu fais ton shopping pour faire ta sauce...en fait t'es super libéral ! :)

Non, non, pas de shopping ;) juste le respect des lois pour tous ou la volonté de les changer si elles me semblent mauvaises ou inadaptées. Le décret, qui n'est pas une loi d'ailleurs, est â abroger.

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