ColdTurkey Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Petite histoire du jour : une collègue ne stresse pas par rapport à sa rentrée et aux nouveaux rythmes scolaires. Le choix de sa commune est 8h30-11h30 et 13h45-16h00; l'école était déjà à 2h de pause méridienne (donc un quart d'heure, cela passe). Mais surtout, la commune ne met rien en place pour les TAP. Du coup, aucune pression concernant une quelconque nouvelle organisation, ni une occupation des locaux scolaire, ni de perte du temps d'ATSEM, ni une baisse des crédits. Finalement, elle est plutôt satisfaite. J'ai trouvé son témoignage intéressant.
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 Moi, c'est la coupure du mercredi que je trouve indispensable et ce gaspillage d'argent inacceptable.
en plein buggg! Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Ha oui! C'est presque tout pareil qu'avant! ......SAUF LE MERCREDI MATIN EN PLUS!!!
ColdTurkey Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Si je comprends bien, quand une commune est riche, on ne peut pas regrouper les TAP le vendredi am....Et si elle est pauvre, on peut ? C'est l'un des soucis de cette réforme, tout semble être régi selon le fait du prince. Les règles sont à géométrie variable et les IA font comme ils en ont envie. Il n'y a aucune régulation. Cette réforme met en évidence tous les défauts de l'EN. Malheureusement, tant que ces défauts ne seront pas corrigés, toute réforme subira les mêmes désagréments. Une grande remise en ordre de la hiérarchie est absolument nécessaire.
ColdTurkey Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Ha oui! C'est presque tout pareil qu'avant! ......SAUF LE MERCREDI MATIN EN PLUS!!! Certes, mais pour elle, c'est surtout la possibilité de pouvoir travailler sans un grand nombre des contraintes que d'autres vont devoir subir. Et cela suffit à la soulager.
prof désécol Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Petite histoire du jour : une collègue ne stresse pas par rapport à sa rentrée et aux nouveaux rythmes scolaires. Le choix de sa commune est 8h30-11h30 et 13h45-16h00; l'école était déjà à 2h de pause méridienne (donc un quart d'heure, cela passe). Mais surtout, la commune ne met rien en place pour les TAP. Du coup, aucune pression concernant une quelconque nouvelle organisation, ni une occupation des locaux scolaire, ni de perte du temps d'ATSEM, ni une baisse des crédits. Finalement, elle est plutôt satisfaite. J'ai trouvé son témoignage intéressant. À ce détail près que le lundi matin, désormais, ressemble à ça :
prof désécol Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Ha oui! C'est presque tout pareil qu'avant! ......SAUF LE MERCREDI MATIN EN PLUS!!! Oups... tu as été plus rapide.
ColdTurkey Posté(e) 23 août 2014 Posté(e) 23 août 2014 Je vous ai livré son sentiment actuel. Si je la recroise (ce qui ne manquera pas d'arriver), j'aurai son nouveau sentiment de cette nouvelle expérience. Mais j'attends avant de me prononcer sur celui-ci. Ce sera le sien.
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 C'est certain qu'il y aura des sentiments divers et variés...Déjà pour les communes qui regroupent les TAP sur le vendredi am, ce n'est pas du tout pareil que celles qui vont se taper 45 min par jour à gérer le flux des élèves, animateurs ou pour la gestion des locaux... il y aura le problème de la récré de l'après-midi (si elle n'est pas supprimée... )
Zarko Posté(e) 23 août 2014 Auteur Posté(e) 23 août 2014 La rentrée scolaire rythmée par la pagaille Ecoutez Le nouveau ministre de l’Education Nationale peut toujours taper sur la table et même menacer comme il l’a fait en juin dernier en déclarant : « Si un maire décidait de ne pas ouvrir l'école le mercredi alors qu'il doit y avoir classe, c'est aussi absurde qu'un maire qui n'ouvrirait pas une école le dimanche alors que c'est un jour de vote. C'est illégal. Ce n'est pas possible. Et je ne vois pas des maires s'entêter dans une posture comme celle-là. C'est parfaitement illégal et ils seraient condamnés comme tels ». La fleur au fusil ne fait plus recette, Monsieur le Ministre ! Beaucoup de maires de toutes tendances n’appliqueront pas la réforme. Leur refus ne reflète pas leur obscurantisme comme certains le prétendent. Leur refus n’est pas la défense intransigeante du passé. Ils sont inquiets à la fois pour leurs finances publiques et à la fois surtout pour la qualité du service rendu à la population et aux enfants. Beaucoup de communes vont organiser au mieux une garderie pendant le temps imparti aux activités péri scolaires. Elles n’ont ni assez d’animateurs formés, ni de fonds suffisants. L’aide de l’Etat ne compense même pas le tiers des sur-dépenses occasionnées, même avec l’aide de la CNAF. Le ministre peut toujours menacer les maires récalcitrants de poursuites en justice. La justice ne peut pas grand-chose quand le mouvement est massif et qu’il s’appuie sur des délibérations municipales. Le gouvernement devrait raison garder et revenir sur l’obligation d’appliquer cette réforme concoctée à la va vite et qui remet en cause un principe républicain celui sur l’égalité territoriale. Une partie de la Droite se lance dans le refus de l’aménagement des rythmes, certes mais elle n’est pas seule : de nombreux maires ruraux divers gauche ne veulent pas obtempérer et des maires de villes communistes et même socialistes font de même. Beaucoup de ces élus se prononcent pour la défense de l’école publique et considèrent que la priorité de la priorité devrait être portée au renforcement des enseignements, à la défense de l’école rurale, à l’allégement des effectifs et à la formation des enseignants. Ont-ils vraiment tort ? Un vrai ministre républicain lèverait l’obligation d’appliquer la réforme et proposerait un débat national qui pourrait s’appuyer sur les expérimentations en cours et les aménagements. Jean-François Chalot http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/la-rentree-scolaire-rythmee-par-la-155758
nonau Posté(e) 24 août 2014 Posté(e) 24 août 2014 L'académie de médecine préconise le samedi matin travaillé et une coupure en semaine! Comme ça a toujours été le cas! Mais le gouvernement a bien caché cette info car les lobbys touristiques, les parents et mêmes des enseignants auraient été mécontents. Reste la semaine à 4 jours ( comme on l'a connu avant Darcos et la perte de 2 heures de cours par semaine!) en grignotant quelques jours sur les vacances et ne posait aucun problème à personne et qui n'engendrait pas une baisse du niveau! Au contraire! http://media.education.gouv.fr/file/05/3/6053.pdf pour être statistiquement significatif. Les auteurs concluent que « les progrès des élèves sur les ap prentissages fondamentaux, à niveau de départ équivalent et à environnement social équivalent, ne sont donc pas beaucoup affectés par le choix du rythme scolaire hebdomadaire. [...] On peut donc en conclure que, ni négatif ni nettement positif, l’effet de ce tte organisation de la semaine scolaire (4jours) sur les
Zarko Posté(e) 24 août 2014 Auteur Posté(e) 24 août 2014 Benoît Hamon affirme qu'Arnaud Montebourg et lui ne sont «pas loin des frondeurs»0 contributions Créé le 24/08/2014 à 07h20 -- Mis à jour le 24/08/2014 à 09h22 Benoît Hamon et Arnaud Montebourg le 17 juin 2014 à l'Assemblée nationale à Paris DOMINIQUE FAGET AFP PARTI SOCIALISTE - Le ministre est l'invité de son homologue à la fête de la rose ce dimanche... Le ministre de l'Education nationale Benoît Hamon affirme dimanche dans Le Parisien que son collègue de l'Economie Arnaud Montebourg et lui ne sont «pas loin des frondeurs» du PS qui contestent la politique économique de l'exécutif. Après Montebourg qui a critiqué dans Le Monde la politique de rigueur, M. Hamon fait à son tour entendre ses critiques contre les choix budgétaires du président François Hollande et de son Premier ministre Manuel Valls. «L'Allemagne sert ses intérêts personnels, pas ceux de l'Europe»Benoît Hamon est d'ailleurs l'invité vedette dimanche de la Fête de la Rose de Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire) organisée par Arnaud Montebourg. «La relance de la demande est la condition de la réussite de la politique de l'offre qui a été faite depuis deux ans. On ne peut rien vendre aux Français s'ils n'ont pas des revenus suffisants», explique Benoît Hamon dans Le Parisien/Aujourd'hui en France. Comme son collègue de l'Economie, le ministre de l'Education a également dans son viseur la politique menée outre-Rhin. La chancelière allemande Angela Merkel «ne peut plus être celle qui donne le la de l'orientation européenne. L'Allemagne sert ses intérêts personnels, pas ceux de l'Europe». Concernant les parlementaires socialistes très critiques vis-à-vis du gouvernement, Hamon déclare qu'«Arnaud et moi ne sommes pas loin des frondeurs, mais notre problème n'est pas d'en prendre la tête. Notre volonté est d'être au service d'un rassemblement de la gauche et de peser au sein du gouvernement», insiste-t-il Hamon devrait déjà se préoccuper de la fronde, bien réelle, de nombreux maires de gauche et de la quasi-totalité des enseignants. A ce "rythme" là, il ne va pas tenir longtemps et ce gvt risque d'exploser. A la limite, tant mieux !
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