prof désécol Posté(e) 22 juin 2015 Posté(e) 22 juin 2015 Stabilité ? http://www.leparisien.fr/societe/rythmes-scolaires-deux-etudes-a-la-rentree-sur-l-impact-de-la-reforme-22-06-2015-4882651.php La valse des organisations en Ile-de-France Changements d'horaires, de prix, d'activités et d'organisations d'une ville à l'autre... Profs et parents d'élèves d'Ile-de-France ont le tournis. Voici un aperçu, non exhaustif, de ce qui attend les élèves à la rentrée.« Plus de cinquante rythmes différents » dans le Val-d'Oise, c'est ce qu'a constaté le Snuipp-FSU, le principal syndicat enseignant du primaire. Ici, une quarantaine de communes sur 185 ont revu leur copie. Ces modifications, petites ou grandes, concernent également un tiers des villes dans le Val-de-Marne et un quart en Seine-Saint-Denis.Quelques grands chamboulements. Dans le Val-de-Marne, à Champigny et La Queue-en-Brie, on abandonne les cours le samedi matin, pour cause d'absentéisme, et on les place, comme dans la plupart des écoles, le mercredi matin. A Stains, en Seine-Saint-Denis, le maire fait le chemin inverse : à la rentrée, les écoliers auront classe le samedi matin. C'est bon pour le rythme des enfants... et les finances, assure la commune. Dans les Hauts-de-Seine, les ateliers qui étaient répartis sur quatre après-midi seront regroupés le vendredi, de 13 h 30 à 16 h 30. Dans le Val-d'Oise, Goussainville, L'Isle-Adam, Sarcelles et Survilliers passent à « l'expérimentation Hamon », c'est-à-dire qu'ils regroupent les activités périscolaires sur une seule après-midi.Suppressions d'activités périscolaires. Dans le Val-d'Oise, la ville de Jouy-le-Moutier, qui a changé de majorité l'an dernier, a décidé, « pour raisons budgétaires » de mettre fin aux ateliers éducatifs du mercredi matin à la rentrée de septembre. Même punition à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne. Ici, le maire invoque la fatigue des enfants... et le coût : « 350 000 € hors subvention de l'Etat ». A Villepinte, en Seine-Saint-Denis, c'est chose faite. Faute d'encadrants en nombre suffisant, la maire a transformé les ateliers périscolaires en garderie dès juin.Plus cher. A Sannois, dans le Val-d'Oise, il n'y aura pas d'atelier pour tous les élèves, a prévenu le maire et ils seront payants : 0,90 €. Ils le deviennent aussi à Saint-Cyr-l'Ecole, dans les Yvelines et là, la note sera salée. Mis dans le même sac avec la garderie, le prix pour les familles pourrait grimper de 30 à 50 € selon les calculs de l'opposition de gauche. A Soisy-sur-Ecole, dans l'Essonne, la mairie prévoit aussi d'augmenter les tarifs... de la cantine et de la garderie, pour payer les activités périscolaires !
prof désécol Posté(e) 22 juin 2015 Posté(e) 22 juin 2015 (modifié) Une vidéo intéressante : Un an après, l'aménagement des rythmes scolaires reste une question confuse Changements d'horaires, de tarifs, voire même d'activités d'une ville à l'autre, profs et parents d'élèves ont le tournis en ces derniers jours de l'année scolaire. Un an après sa mise en place, l'aménagement des rythmes scolaires est encore loin d'être entrée dans les habitudes. [...] http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2015/06/22/un-apres-l-amenagement-des-rythmes-scolaires-reste-une-question-confuse-753933.html "Certains parents avaient déjà retiré leurs enfants de l'école du village cette année : quitte à payer, ils ont fait le choix du privé" Modifié 22 juin 2015 par prof désécol
prof désécol Posté(e) 22 juin 2015 Posté(e) 22 juin 2015 http://www.leparisien.fr/melun-77000/reforme-des-rythmes-scolaires-la-fcpe-inivite-les-parents-d-eleves-a-s-exprimer-11-06-2015-4853503.php Les parents d’élèves de la FCPE 777 regardent de près la réforme des rythmes scolaires en primaire qui implique depuis la rentrée 2014 (voire 2013 pour les commmunes volontaires) le mercredi matin travaillé, des temps d’activités périscolaires (TAP) l’après-midi, etc. Une centaine de communes ont été auditées par la FCPE. En attendant de connaitre la totalité des réponses, mi-juillet, le secrétaire départemental, Mehdi Azzam, transmettra les premiers résultats ce vendredi matin au conseil départemental de l’Education nationale (CDEN) prévu à la préfecture de Seine-et-Marne à Melun. «Le ressenti des parents diffère beaucoup selon l’engagement de la commune, etc», constate-t-il. En tout cas, la réforme ne fait pas l’unanimité, même là où les TAP sont gratuits. A Saint-Mammès (3 000 habitants et 320 enfants scolarisés en primaire), sur 150 questionnaires retournés, seules deux personnes demandent son abrogation. Mais les effets de la réforme sur l’enfant sont jugés plutôt défavorables (à 40% en maternelle et 56% en élémentaire), sans effet (40% en maternelle et 25% en élementaire) et favorables à 10%. A Chauconin-Neufmontiers (3000 habitants, 330 élèves scolarisés en primaire), un questionnaire sur trois a été retourné. Les effets sur les enfants sont majoritairement jugés défavorables (68% en maternelle, 56% en élémentaire), sans effet (21% et 29%) ou favorables (11% partout). En revanche, l’aspect financier compte. A Saint-Mammès, 70% des répondants souhaitent le retour à la gratuité du «Temps passerelle» (16 h 15-17 h en maternelle; 16 h 30-17 heures en élémentaire). Proposé après les TAP, il est désormais payant (20 centimes par jour et par enfant). La FCPE suggère l’instauration du quotient familial... Quand les TAP sont payants, la pilule passe encore plus mal. A Villeparisis (25 000 habitants, 15 écoles, 3 467 élèves), où la FCPE a reçu 881 réponses pour 1400 enfants, «les effets de la réforme sont jugés défavorables à plus de 80%. en maternelle et élémentaire», selon Philippe Leclerre, délégué local FCPE. Avec des TAP payants (70 centimes par jour et par enfant), leur taux de fréquentation est de 42,92% (ponctuel) ou de 7,94% (régulier).
prof désécol Posté(e) 22 juin 2015 Posté(e) 22 juin 2015 http://www.lopinion.fr/blog/carnet-liaison/reforme-rythmes-scolaires-desastre-oublie-24882 Réforme des rythmes scolaires : le désastre oublié Un peu partout en France, l’heure est au bilan des nouveaux rythmes scolaires. Une réforme ratée dont on ne parle plus. [...] Le fait est qu’après une année entière d’application, voire deux dans certaines villes comme Paris, les enfants sont épuisés et les enseignants découragés. Quant aux inégalités sociales, elles perdurent. Et ce ne sont pas quelques activités dispensées par des animateurs recrutés à la va-vite et à peine formés qui vont changer quoi que ce soit. Je pense même qu’au-delà des questions d’organisation, la réforme Peillon aura, à moyen terme, des conséquences négatives sur le niveau de l’enseignement primaire. Ce qui est en cause, évidemment, c’est la mise en œuvre de cette réforme, sans souplesse, sans moyens, dans l’improvisation la plus totale. Et aujourd’hui, un an après, le fait qu’aucune réflexion ne soit engagée sur la façon de corriger les évidents défauts de cette réforme est tout simplement choquant. D’autant que la majorité des maires a joué le jeu et déployé une énergie folle pour offrir aux enfants de leur commune des activités périscolaires censées être « intéressantes », au risque de vider leurs caisses. Mais l’aide de l’Etat ne suffit plus. A ce propos, la lecture de la presse régionale est édifiante. On y découvre que dans beaucoup de petites villes, les moyens sont épuisés ou les animateurs introuvables, voire les deux. Les maires reviennent peu à peu sur les activités périscolaires qu’ils avaient mis en place l’an dernier et proposent pour la prochaine rentrée une simple garderie. Est-ce pour cela que l’on va à l’école ? Dans les grandes villes comme Paris, où les enfants sont plus nombreux à rester à l’école toute la journée, les conséquences sont peut-être pires encore pour les enfants. Il faut écouter les instits, un peu vite traités de tire-au-flanc il y a deux ans, raconter leur quotidien, obligés de laisser « leurs » élèves et « leur » classe à des animateurs qu’ils connaissent à peine, furieux de retrouver leur salle sans dessus-dessous le lendemain matin, s’épuisant à essayer de rendre utiles les courtes après-midis du mardi et du vendredi, 1h30. «On n’a le temps de rien faire, le temps d’aller en classe et d’expliquer quelque chose, c’est déjà presque la fin », m’a dit l’un d’eux. Enfin, il y a la question des animateurs qui prennent le relais l’après-midi pour le périscolaire. Sait-on vraiment qui ils sont ? Comment ils ont été recrutés ? Sont-ils formés pour s’occuper d’enfants ? Enfin, j’ose poser la question au regard des derniers scandales de pédophilie à l’école : a-t-on vérifié leur casier judiciaire ? La réforme des rythmes scolaires, c’est l’histoire d’une belle idée, mise en œuvre sans discernement, qui aboutit à un fiasco dont les premières victimes – les enfants - sont ceux qu’on croyait aider.
dameoiselle Posté(e) 22 juin 2015 Posté(e) 22 juin 2015 A Paris, toutes les demandes de dérogation formulées par les écoles avec journées stables à la place des journées à durée variable ont été refusées... Toutes. Sans aucune explication.
Goëllette Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 Le but est de laisser croire que tout va bien. On a bien été étouffé en tous cas.
Lena Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 La FCPE 77, c'est bien celle qui avait produit un communiqué de presse absolument abject, reprochant aux enseignants tant et tant et de ne pas vouloir le biendézenfants au lancement de cette conner1e? Il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis... Ce qui me permet de laisser deviner mon point de vue quant au dogmatisme de la mairie de Paris
prof désécol Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 (modifié) La FCPE 77, c'est bien celle qui avait produit un communiqué de presse absolument abject, reprochant aux enseignants tant et tant et de ne pas vouloir le biendézenfants au lancement de cette conner1e? Oui, c'est bien cette fédération-là (l'article date de mars 2013) : http://rue89.nouvelobs.com/2013/03/20/serieux-rififi-entre-parents-deleves-et-profs-dans-le-77-240714 Texte de la FCPE 77: « Quelle ne fut pas notre surprise de déceler un changement de ton, d’attitude et de contenu dans les déclarations liminaires d’une partie de la communauté éducative... les syndicats enseignants. Oui, pour le “bien-être de l’élève”, il ne faut plus que les enseignants soient présents 24 heures en classe par semaine, mais 23 ! La disparition du samedi réduisait le temps d’enseignement et était un scandale, mais maintenant il fallait encore le réduire. Logique... Et ce n’était qu’un début. “Pour le bien-être de l’élève” il est indispensable que l’enseignant soit augmenté, et cela même en période de crise ! Aujourd’hui encore, nous cherchons le lien de causalité. “Pour le bien-être de l’élève”, la pause du mercredi est indispensable ! “Pour le bien-être de l’élève”, il est nécessaire qu’il se repose aussi le samedi et le dimanche. “Pour le bien-être de l’élève”, il est indispensable qu’il garde juillet et août en vacances scolaires. “Pour le bien-être de l’élève”, il est indispensable qu’il y ait plus de maîtres par classe, même si cela se fait avant, et au détriment, d’obtenir des moyennes par classe décentes. Bien entendu “pour le bien-être de l’élève”, refus total de remettre en cause les devoirs à la maison. “Pour le bien-être de l’élève”, refus total de parler du “poids du cartable” et de la sacro-sainte liste des fournitures scolaires. Bref, en quatre mois nous avons le sentiment que ce qui devait être “la réforme des rythmes scolaires de l’élève”, a glissé doucement vers “la réforme des rythmes scolaires de l’élève... et de l’enseignant”. Elle n’est plus désormais que “la réforme des rythmes scolaires des syndicats enseignants” et sera sans doute à terme “la réforme des rythmes scolaires des syndicats enseignants, du lobby touristique, des syndicats de transports, etc.” Mais pas de l’élève, c’est désormais une évidence. Vous l’aurez compris, chers syndicats enseignants siégeant en CDEN, la FCPE de Seine-et-Marne est en colère. En colère de vous avoir crus pendant quatre ans. En colère de voir que finalement votre surenchère syndicale vous amène à oublier à ce point vos déclarations de ces dernières années ; à oublier à ce point l’intérêt de l’élève. » [...] « Pourquoi les enseignants devraient avoir le même nombre de jours de vacances que les élèves ? L’abandon de ce principe d’équivalence, qui ne tient sa légitimité que de l’usage, permettrait d’apporter enfin des solutions satisfaisantes pour organiser la formation des enseignants. [...] Et les brûlots successifs de la FCPE dans le magazine "Liaisons laïques" n'étaient pas mal non plus... Modifié 23 juin 2015 par prof désécol
nola Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 Ne jamais hésiter à demander aux parents FCPE, ce que eux peuvent faire, en tant que parents responsables et investis, pour le biendézenfants. S'ils ont le temps et les capacités pour pondre des communiqués de presse pour nous dézinguer, ils ont aussi le temps de "partager leurs passions" (bénévolement, ça va de soit; on est en période de crise) pendant les TAP avec les enfants par exemple...
sylvielise Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 "Pourquoi les enseignants devraient avoir le même nombre de jours de vacances que les élèves ? L’abandon de ce principe d’équivalence, qui ne tient sa légitimité que de l’usage, permettrait d’apporter enfin des solutions satisfaisantes pour organiser la formation des enseignants. [..." Pourquoi la fonction d'enseignant n'attire-t-elle plus grand monde même par temps de crise ? Pourquoi n'attirera-t-elle plus personne si on touche à ce dernier "privilège" que sont les vacances ? -Parce que c'est mal payé pour un niveau d'études assez élevé.Cf rapports OCDE. -Parce que c'est dur, frontal, interactif à différents niveaux (élèves, parents, collègues, hiérarchie) et que chaque année, il faut remettre tout en cause. -Parce qu'en début (15 ans quand même) de carrière on va n'importe où, on est "flexible" géographiquement. -Parce que, contrairement à d'autres métiers de la Fonction Publique il n'y a que très peu de primes, pas de CE, pas d'avantages en nature. - Parce que l'enseignant, mal aimé de la société qui est passée toute entière sur les bancs de l'école, est seul dans sa classe malgré le travail en équipe. -Parce que la dite société est de plus en plus consumériste et trouve en cet enseignant seul un exutoire à ses peurs et à ses colères. -Parce que la hiérarchie ne veut pas faire de vagues et ne soutient que très rarement ses personnels, surtout s'ils sont seuls. -Parce que la classe politique fait sans arrêt joujou avec l'école sans consulter la base ou, bien pire, en faisant semblant de la consulter. -Parce que sous ces jolis mots :"école numérique", "rythmes de l'enfant", inclusion", "différenciation" il n'y a que du vent et du "démerde-toi avec ça maintenant". -Parce que "100 kilomètes à pied, ça use, ça use, 100 kilomètres à pied ça use les souliers."
Invité Posté(e) 23 juin 2015 Posté(e) 23 juin 2015 "Pourquoi les enseignants devraient avoir le même nombre de jours de vacances que les élèves ? L’abandon de ce principe d’équivalence, qui ne tient sa légitimité que de l’usage, permettrait d’apporter enfin des solutions satisfaisantes pour organiser la formation des enseignants. [..." Pourquoi la fonction d'enseignant n'attire-t-elle plus grand monde même par temps de crise ? Pourquoi n'attirera-t-elle plus personne si on touche à ce dernier "privilège" que sont les vacances ? -Parce que c'est mal payé pour un niveau d'études assez élevé.Cf rapports OCDE. -Parce que c'est dur, frontal, interactif à différents niveaux (élèves, parents, collègues, hiérarchie) et que chaque année, il faut remettre tout en cause. -Parce qu'en début (15 ans quand même) de carrière on va n'importe où, on est "flexible" géographiquement. -Parce que, contrairement à d'autres métiers de la Fonction Publique il n'y a que très peu de primes, pas de CE, pas d'avantages en nature. - Parce que l'enseignant, mal aimé de la société qui est passée toute entière sur les bancs de l'école, est seul dans sa classe malgré le travail en équipe. -Parce que la dite société est de plus en plus consumériste et trouve en cet enseignant seul un exutoire à ses peurs et à ses colères. -Parce que la hiérarchie ne veut pas faire de vagues et ne soutient que très rarement ses personnels, surtout s'ils sont seuls. -Parce que la classe politique fait sans arrêt joujou avec l'école sans consulter la base ou, bien pire, en faisant semblant de la consulter. -Parce que sous ces jolis mots :"école numérique", "rythmes de l'enfant", inclusion", "différenciation" il n'y a que du vent et du "démerde-toi avec ça maintenant". -Parce que "100 kilomètes à pied, ça use, ça use, 100 kilomètres à pied ça use les souliers." +1. Et j'ajouterai: - parce que même pendant ses vacances, l'enseignant doit travailler pour préparer la classe....
prof désécol Posté(e) 24 juin 2015 Posté(e) 24 juin 2015 http://www.leparisien.fr/ablis-78660/trappes-la-reforme-des-rythmes-scolaires-met-les-parents-en-colere-23-06-2015-4886947.php Trappes : la réforme des rythmes scolaires met les parents en colère Ils sont venus en nombre pour faire entendre leur mécontentement. Lundi soir, lors du conseil municipal, une cinquantaine de parents d’élèves ont manifesté contre la modification des rythmes scolaires, prévue à la rentrée prochaine. Il s’agit de la suppression de l’étude au profit des activités périscolaires, qui auront lieu de 15 h 30 à 18 h 30. Et, autre changement de taille, la première heure d’activités sera payante, comme les deux autres. Jeanine Mary, adjointe au maire chargée de l’éducation, justifie cette décision : « Après consultation de la Ligue de l’enseignement, il apparaît que les enfants sont trop nombreux sur le temps de l’étude pour assurer une aide au devoir correcte. » Nicolas Hardy, président de l’Unaape à Trappes, a interrompu la séance pour dénoncer le manque de concertation avec les parents sur ces deux points, ainsi que la hausse du plafond du quotient familial. « A 15 h 30, mes enfants seront en train de traîner dehors au lieu de travailler ! » a lancé une habitante. « J’ai deux enfants et pour moi, c’est simple, l’année prochaine, ils changent d’école ! » a affirmé un père de famille, interpellant le maire (PS) Guy Malandain. « On ne prive les enfants de rien, cela améliorera leur parcours scolaire », a répondu Jeanine Mary. A l’annonce du vote, les habitants excédés ont hué les élus avant de quitter la salle. « On ne prive les enfants de rien, cela améliorera leur parcours scolaire » En supprimant l'étude ?
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