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J'en suis désolée pour vous mais là, vraiment, on y est pour rien. Encore un dommage colatéral de la réforme : augmenter encore le clivage privé/public. Le diocèse de chez nous cherche à s'aligner sur le public pour les rythmes mais pour l'instant, ça bloque financièrement. On avait parlé de bénévoles. Mais où trouver des bénévoles fiables et constants dans le temps ?

Sondage dans les écoles privées de mon dpt sur les 4,5 jours 94% des parents contre :)

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J'en suis désolée pour vous mais là, vraiment, on y est pour rien. Encore un dommage colatéral de la réforme : augmenter encore le clivage privé/public. Le diocèse de chez nous cherche à s'aligner sur le public pour les rythmes mais pour l'instant, ça bloque financièrement. On avait parlé de bénévoles. Mais où trouver des bénévoles fiables et constants dans le temps ?

On y est TOUS pour quelque chose car on a laissé faire ! C'est pas 2 petites grèves de rien du tout qu'il aurait fallu ...

Et les bénévoles ça peut pas marcher longtemps , de plus ils s'en vont souvent très vite quand ils ont fait l'expérience des groupes de 18 avec une bonne proportion d 'agités ...

Cchampagne je suis désolé mais il n'y aura plus de clivage public/privé quand le privé sera vraiment privé, car une boîte de surcroît religieuse (vive la Laïcité!), qui coûte 9 milliards à l'Etat ce n'est pas une boîte privée! Je me demande d'ailleurs comment une Ecole hors contrat, qui ne bénéficie d'aucun subside de l'Etat, n'a pas encore saisit le Tribunal Européen pour enfreinte à la concurrence...

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Et voilà, c'est reparti.

Je n'entrerai pas dans ce débat, je fréquente ce forum pour parler de mon job. Point.

Donc .... :)

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Et voilà, c'est reparti.

Je n'entrerai pas dans ce débat, je fréquente ce forum pour parler de mon job. Point.

Donc .... :)

ben ça en fait partie ! Désolée !

Posté(e)

Je ne me battrai jamais pour que le privé applique cette réforme, mais plutôt pour que le public cesse de l'appliquer.

Être dans la logique, "nous, on en morfle, alors les autres doivent morfler aussi", me gène.

Si le public en est là aujourd'hui, c'est uniquement de notre faute:

-on ne s'est pas mobilisé

et

-on a voté en décembre pour les organisations syndicales qui approuvent les orientations gouvernementales sur l'EN....

Nous sommes du pain béni pour qui veut se faire un nom, à "gauche" (et encore!), en politique...et dans l'opinion publique, nous ne sommes plus bons à donner aux chiens (fainéants, surpayés, grévistes, profiteurs.....)

Posté(e)

Je ne me battrai jamais pour que le privé applique cette réforme, mais plutôt pour que le public cesse de l'appliquer.

Être dans la logique, "nous, on en morfle, alors les autres doivent morfler aussi", me gène.

Si le public en est là aujourd'hui, c'est uniquement de notre faute:

-on ne s'est pas mobilisé

et

-on a voté en décembre pour les organisations syndicales qui approuvent les orientations gouvernementales sur l'EN....

Nous sommes du pain béni pour qui veut se faire un nom, à "gauche" (et encore!), en politique...et dans l'opinion publique, nous ne sommes plus bons à donner aux chiens (fainéants, surpayés, grévistes, profiteurs.....)

Qui a dit de se battre pour que le privé applique ? Personne ici !

On fait simplement remarquer que les choses ne sont pas justes et on rappelle que les enseignants du privé sont payés par l'argent public.

Il faut quand même que tout le monde soit conscient de ça . Je pensais que ça serait déclencheur de la mobilisation dans le public mais hélas non ! Et comme tu dis on s'est laissé faire . Enfin perso , j'ai ramé pour mobiliser et et j'ai participé aux grèves sur le sujet , aux manifs , y compris celles organisées par les parents mais on n'a jamais été très nombreux ... profs ou parents d'ailleurs . D'où l'échec .

Posté(e)

Je ne me battrai jamais pour que le privé applique cette réforme, mais plutôt pour que le public cesse de l'appliquer.

Être dans la logique, "nous, on en morfle, alors les autres doivent morfler aussi", me gène.

Si le public en est là aujourd'hui, c'est uniquement de notre faute:

-on ne s'est pas mobilisé

et

-on a voté en décembre pour les organisations syndicales qui approuvent les orientations gouvernementales sur l'EN....

Nous sommes du pain béni pour qui veut se faire un nom, à "gauche" (et encore!), en politique...et dans l'opinion publique, nous ne sommes plus bons à donner aux chiens (fainéants, surpayés, grévistes, profiteurs.....)

Qui a dit de se battre pour que le privé applique ? Personne ici !

On fait simplement remarquer que les choses ne sont pas justes et on rappelle que les enseignants du privé sont payés par l'argent public.

Il faut quand même que tout le monde soit conscient de ça . Je pensais que ça serait déclencheur de la mobilisation dans le public mais hélas non ! Et comme tu dis on s'est laissé faire . Enfin perso , j'ai ramé pour mobiliser et et j'ai participé aux grèves sur le sujet , aux manifs , y compris celles organisées par les parents mais on n'a jamais été très nombreux ... profs ou parents d'ailleurs . D'où l'échec .

Dans ce cas là, c'est une problématique qui n'a rien à voir avec ce qui nous intéresse ici, à savoir les rythmes.

Enfin, quand je dis "on", c'est pour parler de la "grande famille de l'EN" :glare: ....Parce que pour ma part, j'ai aussi fait 2-3 trucs (m'inviter à des intersyndicales, pointer l'ignorance de certains représentants, du SE, du SNUipp qui ne connaissaient pas les textes de la réforme ou de la CFDT qui ne connaissait même pas les horaires du primaire dans ma ville; mobiliser les écoles du quartier, avoir des échanges musclées avec le maire de la ville où j'exerce, bon petit soldat PS, sur les rythmes...).

Mais aujourd'hui, j'ai un certain plaisir à rappeler à certains collègues lorsqu'ils se plaignent, leur attitude lors des mobilisations.

Posté(e)

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/3893364/en-visite-a-buchy-gerard-larcher-annonce-une-grande-evaluation-des-rythmes-scolaires#.VeLCVn10hh9

En visite à Buchy, Gérard Larcher annonce une grande évaluation des rythmes scolaires

Gérard Larcher était un peu comme à la maison, hier : dans sa Normandie natale, à deux pas de Forges-les-Eaux où le président du Sénat exerça, par le passé, son métier de vétérinaire. Invité par le maire de Buchy, Patrick Chauvet, pour y inaugurer le nouveau quartier des Halles, Gérard Larcher en a profité pour effectuer sa rentrée, sous le signe de l’éducation.

Le numéro 2 de l’État s’est rendu dans l’école primaire tout juste réaménagée pour discuter notamment, face à de nombreux élus locaux, des rythmes scolaires. Gérard Larcher a évoqué à cette occasion l’évaluation que s’apprête à lancer le Sénat sur le sujet. En l’occurrence, la commission de l’Éducation que préside la sénatrice de Seine-Maritime Catherine Morin-Desailly (UDI). « Il ne s’agit pas de faire machine arrière », assure Gérard Larcher, mais de savoir « si c’est vraiment utile quand on y met autant d’argent public - notamment à la charge des communes -, si c’est utile et équitable pour l’enfant... »

« Pas une logique de condamnation »

En clair, il s’agit de mener a posteriori le travail qui, selon lui, a manqué en amont de cette réforme « réalisée sans étude d’impact ». Cette grande évaluation nationale devrait durer six mois, au cours desquels les 57 sénateurs de la commission Éducation vont multiplier les auditions. « Nous ne sommes pas dans une logique de condamnation », tenait à préciser le président du Sénat, hier, sans faire pour autant mystère du constat très critique motivant la démarche parlementaire. « Cette évaluation va mettre le doigt sur certaines choses qu’il faudra changer », prédit la députée Françoise Guégot (Les Républicains), sur la foi des échos recueillis « dans les petites communes rurales ».

Une fois achevée cette évaluation, « ce sera le débat », promet Gérard Larcher, sans présager davantage de la suite. Mais pour lui, l’école maternelle et élémentaire doit rester « la priorité » en matière d’éducation. Loin devant la réforme du collège, qu’il ne porte manifestement pas plus dans son cœur.

Posté(e)

Je ne me battrai jamais pour que le privé applique cette réforme, mais plutôt pour que le public cesse de l'appliquer.

Être dans la logique, "nous, on en morfle, alors les autres doivent morfler aussi", me gène.

Si le public en est là aujourd'hui, c'est uniquement de notre faute:

-on ne s'est pas mobilisé

et

-on a voté en décembre pour les organisations syndicales qui approuvent les orientations gouvernementales sur l'EN....

Nous sommes du pain béni pour qui veut se faire un nom, à "gauche" (et encore!), en politique...et dans l'opinion publique, nous ne sommes plus bons à donner aux chiens (fainéants, surpayés, grévistes, profiteurs.....)

Qui a dit de se battre pour que le privé applique ? Personne ici !

On fait simplement remarquer que les choses ne sont pas justes et on rappelle que les enseignants du privé sont payés par l'argent public.

Il faut quand même que tout le monde soit conscient de ça . Je pensais que ça serait déclencheur de la mobilisation dans le public mais hélas non ! Et comme tu dis on s'est laissé faire . Enfin perso , j'ai ramé pour mobiliser et et j'ai participé aux grèves sur le sujet , aux manifs , y compris celles organisées par les parents mais on n'a jamais été très nombreux ... profs ou parents d'ailleurs . D'où l'échec .

Dans ce cas là, c'est une problématique qui n'a rien à voir avec ce qui nous intéresse ici, à savoir les rythmes.

Enfin, quand je dis "on", c'est pour parler de la "grande famille de l'EN" :glare: ....Parce que pour ma part, j'ai aussi fait 2-3 trucs (m'inviter à des intersyndicales, pointer l'ignorance de certains représentants, du SE, du SNUipp qui ne connaissaient pas les textes de la réforme ou de la CFDT qui ne connaissait même pas les horaires du primaire dans ma ville; mobiliser les écoles du quartier, avoir des échanges musclées avec le maire de la ville où j'exerce, bon petit soldat PS, sur les rythmes...).

Mais aujourd'hui, j'ai un certain plaisir à rappeler à certains collègues lorsqu'ils se plaignent, leur attitude lors des mobilisations.

Ben si ça a à voir puisqu'ils ont le droit de rester à jours et pas le public !

Posté(e)

Demandez si pour un même métier et salaire, un employé accepterait de venir 36 jours supplémentaires dans l'année ...36 jours c'est plus que cinq semaines !!! Tout simplement honteux !!

Eh bien nous, oui....

Posté(e)

Pendant un temps, on nous a conté que nous avions la droite la plus bête du monde...

Pendant ce temps, ces malins ont simplement noyauté la gauche !

Quand on regarde la politique de ce gouvernement, Macron en tête, comment se dire que c'est un gouvernement de gauche ?

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