matsanpat Posté(e) 26 août 2014 Posté(e) 26 août 2014 Journal de M6 ce soir, sondage : "êtes vous satisfaits de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans votre commune ?" Réponse : NON à 63 %
en plein buggg! Posté(e) 26 août 2014 Posté(e) 26 août 2014 Journal de M6 ce soir, sondage : "êtes vous satisfaits de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans votre commune ?" Réponse : NON à 63 % Ouep! J'ai vu ça aussi!
cleo17fr Posté(e) 26 août 2014 Posté(e) 26 août 2014 Journal de M6 ce soir, sondage : "êtes vous satisfaits de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans votre commune ?" Réponse : NON à 63 % Ouep! J'ai vu ça aussi! Mais c'est pcq les gens n'osent pas dire qu'ils sont pour voyons.......:p
en plein buggg! Posté(e) 26 août 2014 Posté(e) 26 août 2014 Nadjat Vallaud-Belkacem notre nouvelle ministre
Zarko Posté(e) 26 août 2014 Auteur Posté(e) 26 août 2014 C'est quand même une folie...Là où ça marche: Megève et autres villes friquées...Ailleurs ce sera la cata. Mais à force de le dire...Sinon, je suis sûr que ce gvt ne va pas tenir..
nola Posté(e) 26 août 2014 Posté(e) 26 août 2014 Journal de M6 ce soir, sondage : "êtes vous satisfaits de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans votre commune ?" Réponse : NON à 63 % Ouep! J'ai vu ça aussi! Mais c'est pcq les gens n'osent pas dire qu'ils sont pour voyons.......:p C'est parce que ce sont des vieux c... conservateurs qui n'aiment pas les enfants.
Lena Posté(e) 27 août 2014 Posté(e) 27 août 2014 Le maire de Janvry sur Europe 1 là maintenant tout de suite. (12h25)
abel27 Posté(e) 27 août 2014 Posté(e) 27 août 2014 http://www.franceinfo.fr/actu/politique/article/pas-de-polemique-inutile-dans-mon-ministere-najat-vallaud-belkacem-556791 Extrait : "Pour sa première interview en tant que ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem a défendu, sur France Info, bec et ongle la réforme des rythmes scolaires..." Comme si on ne s'y attendait pas...
Paul Getty Posté(e) 27 août 2014 Posté(e) 27 août 2014 http://www.lepoint.fr/societe/rythmes-scolaires-la-reforme-qui-ne-passe-pas-27-08-2014-1857057_23.php#xtor=CS3-191 Rythmes scolaires : la réforme qui ne passe pas 27/08/2014 à 15:22 À une semaine de la rentrée scolaire, les écoles publiques s'apprêtent à ouvrir 4,5 jours. Mais les résistances et les obstacles s'accumulent. Cette année, aucune dérogation n'est possible ! La réforme des rythmes scolaires entrera en vigueur en septembre 2014 dans toutes les écoles publiques - les écoles privées sont libres d'adopter ou non la réforme. À la rentrée 2013, seulement 4 000 sur les 36 000 communes avaient adopté les nouveaux rythmes. Les villes qui ne sont pas prêtes Pour l'heure, la mairie de Marseille a d'ores et déjà annoncé qu'elle ne sera pas prête. Les activités périscolaires du vendredi après-midi ne seront opérationnelles qu'au fur et à mesure du recrutement de tout le personnel nécessaire pour encadrer les enfants. Le maire UMP Jean-Claude Gaudin a reconnu : "On essaie de faire du mieux que l'on peut" évoquant aussi "des conditions extrêmement défavorables". 3 500 animateurs titulaires du Bafa (Brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur) seront nécessaires selon la ville. Or, seuls 350 ont été recrutés à ce jour. La mairie a posté ses demandes d'embauches jusque sur Le bon coin. En attendant, les prochaines semaines risquent d'être compliquées pour les parents d'élèves des 445 écoles qui devront faire garder leur enfant le vendredi après-midi. Quant au maire UMP de Limeil-Brévannes, Françoise Lecoufle, elle déplore le manque d'anticipation de son prédécesseur. "À la rentrée, notre commune va accueillir 3 000 enfants au lieu de 2 000 et d'ici 3 ans, ils seront 4 000. Cette explosion démographique est due au bétonnage du maire précédent avec la signature de 3 000 logements en trois ans sans prévoir les équipements. En septembre, on va ouvrir sept nouvelles classes et d'ici un an, il faudra construire une nouvelle école. Pour cela, la commune doit faire un emprunt de 8 millions d'euros. On ne peut pas improviser et faire n'importe quoi. Ce n'est juste pas possible. Voilà pourquoi, la mairie de Limeil-Brévannes a décidé que les écoles seront fermées les mercredis. Compte tenu de la position de la ville, une demande de report d'un an a été faite auprès de Benoît Hamon." Des maires "hors la loi" Ils seraient au minimum 200 maires à refuser d'appliquer la réforme. Ces maires qui se mettent volontairement "hors la loi" risquent la suspension de leur mandat, voire la révocation ou la réquisition des locaux par le préfet. Pour René Raimondi, maire PS de Fos-sur-Mer, il est question du respect du rythme de l'enfant. "Après une vaste concertation entre parents d'élèves, enseignants et élus municipaux, il a été voté au conseil municipal du 2 juin dernier le maintien du rythme de quatre jours. Le mercredi est le jour du temps de repos et de respiration pour l'enfant. Il y a aussi une inégalité dans le traitement de la réforme entre les villes qui savent faire et les autres villes qui ne savent pas faire. C'est une réforme qui s'est décidée un peu trop rapidement", explique le maire socialiste. Les 1 600 enfants de la commune conserveront le rythme de quatre jours d'école par semaine. "En tant qu'élu local, je reste à l'écoute de la population et je réponds ainsi aux attentes des habitants de ma commune." Il espère un mouvement national malgré le rappel à l'ordre du préfet qui le menace de saisir le tribunal administratif. Les militants Créé en février 2013, au lendemain du décret de Vincent Peillon, ancien ministre de l'Éducation, le collectif Gilets jaunes est un mouvement indépendant et apolitique contre la réforme des rythmes scolaires. Parti d'un simple groupe sur Facebook puis organisé par département, le collectif atteint 80 000 membres. Il est composé de parents d'élèves, d'enseignants, d'animateurs et même d'élus locaux. "Le collectif est contre la réforme et non contre le gouvernement, précise Céline Fabre, porte-parole du collectif et professeur des écoles à Toulon. D'après une étude menée sur les 4 000 communes pionnières, la réforme ne va pas dans l'intérêt de l'enfant et elle est réputée pour être inefficace. Les enfants sont très fatigués. Non seulement elle coûte cher, mais elle démontre des inégalités territoriales sur la qualité des activités proposées suivant les communes, une discrimination pour les enfants handicapés et une déstructuration de la cellule familiale..." Depuis sa création, le collectif mène des actions à travers le pays : manifestations dans les rues, boycott des écoles, grève de la faim d'une maire et d'une enseignante... Pour la rentrée 2014, trois syndicats Sud Éducation, FO et la CGT du personnel de l'Éducation nationale ont déposé un préavis de grève à partir du 2 septembre. "Mais, très peu d'enseignants feront grève pour ne pas gâcher la rentrée des enfants, même si ces derniers sont pris en otage par une réforme catastrophique." Pour sa première rentrée, la ministre de l'Éducation nationale devra affronter la fronde contre cette réforme qui décidément ne passe pas. Le collectif des Gilets jaunes appelle au boycott national des écoles le mercredi 3 septembre. Et un rassemblement devant le Conseil d'État est prévu à 15 heures le 6 septembre, une manifestation initiée par les élus locaux et soutenue par les gilets jaunes et la Peep. L'objectif : demander une audience auprès du Premier ministre, Manuel Valls. Bienvenue rue de Grenelle, Mme Vallaud-Belkacem !
Zarko Posté(e) 27 août 2014 Auteur Posté(e) 27 août 2014 Le Canard enchainé évoque des situations cocasses dans certaines villes. Les parents et les enseignants ne savent toujours pas si les écoles seront ouvertes le mercredi. Les mairies n'ouvriront pas leurs ècoles. Pour les inspections, les enseignants sont tenus d'y être...
Zarko Posté(e) 30 août 2014 Auteur Posté(e) 30 août 2014 Rythmes scolaires : Lyon applique la réforme sans enthousiasme VINCENT CHARBONNIER / CORRESPONDANT À LYON | LE 26/08 À 06:00, MIS À JOUR LE 27/08 À 15:58 Gerard Collomb - JEFF PACHOUD / AFP 1 / 1 Précédent Suivant La municipalité PS a choisi de regrouper les activités périscolaires le vendredi et de les faire payer en partie par les parents.A Lyon, le maire, socialiste, Gérard Collomb, a pris son temps pour appliquer la réforme des rythmes scolaires. Et n’a pas fait preuve d’un zèle excessif, c’est un euphémisme. En février 2013, il avait prétexté le flou sur son financement pour reporter son application à la rentrée 2014, après les élections municipales, ce thème étant mis en sourdine pendant la campagne électorale. Et, une fois réélu, Gérard Collomb a choisi de s’engouffrer dans une brèche ouverte par le décret publié par le ministre de l’Education nationale, Benoît Hamon, qui permet ses « assouplissements adaptés aux réalités locales qui le nécessitent ». Un dispositif destiné initialement aux communes rurales. A compter de la rentrée la semaine prochaine, les enfants scolarisés en primaire auront une matinée de classe supplémentaire le mercredi de 8 h 30 à 11 h 30. Et les activités périscolaires seront regroupées sur une demi-journée, le vendredi de 13 h 30 à 16 h 30. Le temps scolaire ne bouge pas sur les autres jours de la semaine. Pour l’adjointe déléguée à l’éducation, Anne Bruguera, cette solution est « un gain qualitatif important » car elle permet de « proposer de vraies activités le vendredi après-midi » sous la responsabilité d’un directeur de centre de loisirs par groupe scolaire.1.600 animateursPour encadrer ces activités, quelque 1.600 animateurs sont recrutés pour un budget total de 15,9 millions en année pleine, dont 8,7 millions financés par la ville et 3 millions à la charge des parents. Ces derniers devront s’acquitter d’une participation mensuelle de 2 à 19 euros selon leur quotidien familial, alors que Gérard Collomb avait évoqué un forfait annuel de 20 euros avant les élections municipales. Ces choix sont contestés par des syndicats d’enseignants et des fédérations de parents d’élèves. La FCPE du Rhône considère que « la réforme des rythmes reste sur le banc de touche à Lyon ». Des élus écologistes, divers gauche, UMP et UDI fustigent également le dispositif retenu. Président du groupe UMP au conseil municipal, Michel Havard, estime que « Gérard Collomb a choisi d’imposer une solution passe-partout, sans imagination, simple inversion des mercredis matin et vendredis après-midi. Une solution sans innovation qui ne prend pas en compte l’intérêt de l’enfant et les vœux des communautés éducatives ».Vincent Charbonnier, Les Echos En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0203722348247-lyon-applique-la-
jeanounette Posté(e) 30 août 2014 Posté(e) 30 août 2014 Mr Collomb c'est il parait "grâce à lui" (et au Snipp) qu'on a "obtenu" le vendredi aprem (enfin pas pour tous hein ! :-( ) sinon il lachait le gouverneMENT ...
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