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Les actions contre la réforme des rythmes à la rentrée 2014


Zarko

Messages recommandés

Assurément pas offensé, je trouve une certaine condescendance assez désagréable.

Mais je ne suis probablement pas plus agréable.

Donc pas de soucis.

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On pourrait prendre le barème comme point discriminant en dernière position en cas d'égalité de compétences ou de diplômes (pour certains postes comme cela se fait déjà pour des directions, des postes rep ou eclair...)

C'est sûr que le gars depuis 30 ans dans l'EN va retourner à la Fac pour obtenir des diplômes qui n'existaient pas à son époque... tout en gérant sa classe, bien sûr. Vu le nombre de départs en formation CAPASH, il ne reste que le CAFIPEMF...

Ce système mettrait devant ceux qui savent le mieux se vendre, même s'ils font souvent l'inverse dans leurs classes.

Je préfère très largement l'ancienneté, et la vieille enseignante que je suis, avec peut-être des méthodes pas à la mode, se sent tout aussi capable que les plus jeunes bardés de diplômes et au fait de la new pedagogy !

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On pourrait prendre le barème comme point discriminant en dernière position en cas d'égalité de compétences ou de diplômes (pour certains postes comme cela se fait déjà pour des directions, des postes rep ou eclair...)

C'est sûr que le gars depuis 30 ans dans l'EN va retourner à la Fac pour obtenir des diplômes qui n'existaient pas à son époque... tout en gérant sa classe, bien sûr. Vu le nombre de départs en formation CAPASH, il ne reste que le CAFIPEMF...

Ce système mettrait devant ceux qui savent le mieux se vendre, même s'ils font souvent l'inverse dans leurs classes.

Je préfère très largement l'ancienneté, et la vieille enseignante que je suis, avec peut-être des méthodes pas à la mode, se sent tout aussi capable que les plus jeunes bardés de diplômes et au fait de la new pedagogy !

Surtout quand on lit les "mémoires" des CAFIPEMF...pas envie d'aller écrire et vanter des mièvreries ou des âneries... :getlost:

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Rythmes scolaires: les maires de Fos et PSLR à Paris le 16 octobre
Rythmes scolaires: les maires de Fos et PSLR à Paris le 16 octobrePublié le :
12/10/2014 à 17h52Par D.Cismondo
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Les maires de Fos et de Port Saint Louis du Rhône ont rendez-vous cette semaine à Paris avec l'un des conseillers de la Ministre de l'éducation nationale. René Raimondi et Martial Alvarez seront accompagnés de représentants de parents d'élèves.
Dans ces deux communes, l'opposition à la réforme des rythmes scolaires reste importante. A Paris, les deux maires vont proposer la mise en place d'une expérimentation basée sur une semaine de 4 jours avec des horaires aménagées.
C'est demain que la justice administrative va se pencher sur les délibérations prises lors des conseils municipaux marquant l'opposition à la réforme actuelle et proposant une nouvelle expérimentation basée sur une semaine de 4 jours.

http://www.maritima.info/depeches/education/departement/31025/rythmes-scolaires-les-maires-de-fos-et-pslr-a-paris-demain.html

goodluck.gif

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Grève dans les écoles briochines. La mobilisation s'intensifie 13 octobre 2014 à 07h18 Lancé la semaine dernière, le mouvement de grève des agents territoriaux, qui dénoncent les conditions de travail imposées depuis la mise en place de la réforme des rythmes scolaires, se poursuit et s'intensifie. Ce week-end, les grévistes ont reçu de nouveaux soutiens. « L'organisation choisie pour mettre en oeuvre les nouveaux rythmes scolaires sur la commune de Saint-Brieuc est un échec », jugent la FSU 22, le SNUACTE-FSU 22 et le SNUipp-FSU 22. Les syndicats « invitent personnels municipaux des écoles, parents, élus et enseignants » à un rassemblement devant la mairie, demain, à 17 h 30. Sud Éducation 22 apporte « tout son soutien aux agents communaux des écoles en lutte pour défendre leurs justes revendications » et appelle les enseignants « à être solidaires des mouvements des agents communaux, qui prennent, comme eux, la réforme de plein fouet, et à les soutenir y compris par la grève le 16 octobre ». Le Parti ouvrier indépendant dénonce « une réforme mauvaise pour tout le monde » et demande l'abrogation du décret Peillon/Hamon. Le POI apporte, lui aussi, « tout son soutien aux mobilisations qui se mettent en place ».

http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/greve-dans-les-ecoles-la-mobilisation-s-intensifie-13-10-2014-10383646.php

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On pourrait prendre le barème comme point discriminant en dernière position en cas d'égalité de compétences ou de diplômes (pour certains postes comme cela se fait déjà pour des directions, des postes rep ou eclair...)

C'est sûr que le gars depuis 30 ans dans l'EN va retourner à la Fac pour obtenir des diplômes qui n'existaient pas à son époque... tout en gérant sa classe, bien sûr. Vu le nombre de départs en formation CAPASH, il ne reste que le CAFIPEMF...

Ce système mettrait devant ceux qui savent le mieux se vendre, même s'ils font souvent l'inverse dans leurs classes.

Je préfère très largement l'ancienneté, et la vieille enseignante que je suis, avec peut-être des méthodes pas à la mode, se sent tout aussi capable que les plus jeunes bardés de diplômes et au fait de la new pedagogy !

Surtout quand on lit les "mémoires" des CAFIPEMF...pas envie d'aller écrire et vanter des mièvreries ou des âneries... :getlost:

Si cela ne t'intéresse pas c'est ton problème. Qui es-tu pour pouvoir décréter que tel idée est une ânerie ou pas ? A moins que tu sois diplômé en la matière.... :)

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Si cela ne t'intéresse pas c'est ton problème. Qui es-tu pour pouvoir décréter que tel idée est une ânerie ou pas ? A moins que tu sois diplômé en la matière.... :)

Pas besoin d'être diplômé. C'est du suivisme pédagogique. Les prochains mémoires porteront sur le bien fondé du SCCCC (par exemple) comme les précédents parlaient des magnifiques programmes 2008, du précédent socle ou autre...

Mais bon, tu ne vas pas faire boire un âne qui n'a pas soif. :)

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En ânerie ? :clown:

(ceci dit des collègues sont pemf, et à ce titre font passer la pratique et l'oral du cafipemf; en séance, il y a du pire et du meilleur! et de temps à autre des consignes type: "on sait qu'il est "léger", mais faut pas le barrer, il y a un poste qui l'attend au ministère" ; alors si l'écrit est aussi naze que la séance, ça doit être croquignolet! :wacko: )

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Tiens, un exemple:

Comment l’élaboration d’écrits en sciences expérimentales et technologie, dans le cadre du PRESTE, permet-elle de construire des savoirs, savoir-faire, savoir être dans le domaine des sciences et celui de la maîtrise de la langue au cycle 3 ?

http://www.ac-creteil.fr/zeprep/dossiers/04_sc_mx_mem.html

http://themamaternelle.free.fr/liste%20memoires.html

Bon, après preste, on aura peut-être illico ! :tongue:

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Enseignants en péril lettre aux organisations syndicales

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REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES

LETTRE OUVERTE AUX ORGANISATIONS SYNDICALES

Nous ne comprenons pas...

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Comment l’École de la République, celle que nous aimons et servons tous avec dévouement chaque jour, en est-elle arrivée là ?

Morcelée, divisée, empreinte de méfiance, de colère, de délation, elle n'a plus rien de l’École pour laquelle nous nous sommes engagés.

Comment une simple demi-journée supplémentaire peut-elle causer un tel désastre ?

La réponse est simple, et vous comme nous la connaissons, car nous voyons et ressentons les choses de l'intérieur de l’école. La réponse, c'est que tout ceci a été bâti sur un mensonge, ou plutôt une série de mensonges. Et quand personne n'y croit, à commencer par les enseignants, cela ne peut pas fonctionner.

Les études PISA si mauvaises, réalisées sur des élèves qui sont allés à l'école 4,5 jours, les retours d'expérimentation catastrophiques de la réforme en 2013-2014, passés sous silence malgré les cris de protestation de tous les acteurs de terrain, la propagande lancée par le Ministère dès le printemps 2014 afin d'endormir l'inconscient collectif, argumentée par des chronobiologistes soigneusement choisis et dont autant de confrères, d'avis différents, ont été muselés et écartés !
Jamais personne n'a réussi à prouver que les enfants n'apprenaient pas moins bien en 4 jours. Alors qu’il est évident que des élèves fatigués en fin de semaine n'apprennent pas mieux. Nous sommes à même de vous l'affirmer.
Nous avons donc tous compris que cette réforme, passée en force sous la forme d'un décret, rejetée à deux reprises par le CSE, n'était pas mise en place dans l'intérêt de l'enfant.

L'intérêt économique, lui, semble plus pertinent à souligner dans ce cas. Car maintenant que tout le monde regarde ce qui se passe dans sa commune, son école, et bien souvent même s'en prend à son maire, il sera plus aisé de procéder aux ajustements nécessaires aux objectifs attendus par l'Europe et l'OCDE.
N'oublions pas que l’Éducation Nationale coûte cher, très cher, trop cher à l’État ! Les ajustements commenceront par la réduction de la PAJE-emploi, du fait de la scolarisation le mercredi. Puis nous nous dirigerons vers la territorialisation, comme la plupart d'entre vous nous avait alertés dès le départ sur ce point.

Il s'agit donc d'une atteinte très grave, d'une agression caractérisée envers cette école qui nous est si chère, au sein de laquelle nous mettons tout notre coeur à faire réussir tous les élèves.

Devons-nous nous résigner et accepter qu'elle devienne une école au rabais ?

Est-ce ainsi que nous concevons l'égalité des chances ?

Alors non, nous ne comprenons pas...
Lorsque nous entendons des réponses comme « C'est la réforme de la FCPE », « Tu ne peux pas comprendre, nous préparons nos élections professionnelles », « C'est compliqué, il y trop de questions politiques », « On ne peut pas participer à quelque chose que nous n'avons pas construit », nous demeurons perplexes, car nous avons besoin de protection et de soutien de la part des syndicats.

OUI, vous, organisations syndicales !

Vous avez su, tous ensemble, lever les foules pour les retraites, et même pour le Kosovo.

Nous avons aujourd’hui besoin de sentir cette même force, ce même souffle.

Nous, enseignants, éprouvons un réel besoin d’être représentés et soutenus à un moment où il se passe des choses aussi graves dans le monde éducatif.

Nos élèves vont mal, nos enfants vont mal, nous allons mal !

Nous sommes nombreux, très nombreux dans ce cas !

Et nous vous demandons solennellement de nous sortir de là, nous et nos élèves.

Accepteriez-vous de réaliser une chose qui a semblé impossible jusqu'alors, mais qui semble à nos yeux être le seul moyen de contrer le passage en force de cette réforme :

accepteriez-vous de vous UNIR, afin d’obtenir, tous ensemble, l'abrogation de ces décrets toxiques pour l’École ? Nous avons besoin de cela pour vous renouveler notre confiance.

Nous avons besoin de vous savoir auprès de nous sur le terrain, au moment précis où nous avons tant besoin de vous.

Ne laissez pas la REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES détruire

l'Ecole de la république, ses acteurs et ses élèves !

S'il vous plaît, pour nos élèves, nous vous en conjurons, ralliez-vous pour exiger l'abrogation

des décrets Peillon – Hamon !

Des enseignants en péril...

Des acteurs de l'Education en souffrance.

enseignante email_icon.gif Contacter l'auteur de la pétition

*Prénom *Nom de famille *Ville *Pays Fonction Syndiqué(e) ? *Adresse de courriel Rendre publique votre signature ? Oui Non Votre adresse de courriel ne sera jamais affichée publiquement, ni divulguée à qui que ce soit.

http://www.petitions24.net/enseignants_en_peril_lettre_aux_organisations_syndicales

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