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Les actions contre la réforme des rythmes à la rentrée 2014


Zarko

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Donnez-moi un seul exemple d'une grève menée par les professeurs des Ecoles et qui a amélioré leurs conditions de travail depuis 20 ans. A raison de 3 ou 4 jours minimum de grèves annuels, cela fait entre 60 et 80 journées de grèves qui n'ont mené à rien. Ne pas remettre ce mode d'action en question est suicidaire.

On a fait reculer Juppé et Allègre...Depuis plus rien, mais pas de grèves assez dures et durables. Une grève le jour de la rentrée aurait été un bon angle d'attaque.

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Je ne parle pas de communisme! Peux-tu juste envisager qu'un autre modèle économique et sociétal est possible sans parler de "communisme"! Celui dans lequel on nous a mis nous mène tout droit à la catastrophe autant économique qu'écologique...Mais il est trop complexe pour les politiques et les citoyens lambdas de remettre en question ce modèle, il est plus facile de l'accompagner en sachant que les dés sont pipés par l'intermédiaire de lobbyistes peu scrupuleux du bien collectif.

Alors négocier quoi? Une prime ISAE à 370 euros par an! contre ces nouveaux rythmes ou l'annualisation du temps de travail? Revoir complètement nos statuts en nous faisant miroiter une petite augmentation venue de la diminution des primes du 2nd degrés?

On sait que dans toutes les négociations nous sommes les dindons de farce, nous les citoyens moyens! Prends les une par une: "retraite", "pacte de responsabilité", "la sécu", "les allocs", "les rythmes scolaires"...+ toutes les choses qui passent en catimini à 2h du mat. d comme la privatisation des barrages par Royale

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Il y a 2 solutions face l'impérialisme libéral qui se traduit dans notre école par ces nouveaux rythmes notamment: soit les grèves massives et durables soit la violence issue d'un mouvement incontrôlé...

Le communisme est mort, l'extrême gauche agonise "mélenchonement" et tu proposes des alternatives qui ont été rejetées par la majorité... Je ne suis pas fataliste mais les seules issues sont la négociation avec des compensations pour nos efforts.

Où je te rejoins, c'est sur la nécessité de syndicats capables de dire "oui on met des nouveaux rythmes mais on veut ça et ça".

:thumbsup::wacko:

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Petit rappel, pas inutile...

Le Ministre doit entendre les demandes des personnels

Le ministre ne répond ni à la demande de retour à une stricte séparation du scolaire et du péri scolaire ; ni à l’exigence du respect des locaux scolaires et en particulier le respect des salles de classe, ni au rétablissement d’horaires stables et uniformes chaque jour de la semaine ni à la limitation des pauses méridiennes à rallonge.

FO est intervenu contre l’annualisation et la flexibilité. Après avoir rappelé son opposition au décret Peillon et au décret Hamon, la FNEC-FP-FO a soutenu avec d’autres organisations la demande de supprimer l’obligation de 5 matinées contenue dans le projet. Elle est également intervenue pour que soit maintenu le respect du calendrier national bâti sur les 36 semaines de classe et les 24heures d’enseignement hebdomadaires contre toute possibilité de travailler pendant les congés scolaires.

Elle a indiqué que dans les écoles le conflit n’est pas réglé.

Zéro voix au CTM, le ministre ne peut pas, ne doit pas publier le décret !

Après le résultat des votes au CSE : 31 contre (FO, FSU, CGT, SUD, FCPE, SNALC…) 27 abstentions (UNSA, CFDT…) et 3 voix pour (PEEP, Ligue de l’enseignement, jeunesse au plein air) et au CTM : 7 contre (FO, FSU, CGT, SUD) et 4 abstentions (UNSA, CFDT) et zéro voix pour, le ministre n’a obtenu aucun consensus.

A l’ouverture du CSE le ministre Hamon a déclaré « qu’il ne négligera pas les avis du CSE ».

Cette déclaration doit être suivie d’effet le ministre doit suspendre la réforme immédiatement.

Le décret ne doit pas être publié.

http://fo-snudi.fr/spip.php?article151

Apparemment , il a plus que négligé cet avis... :getlost:

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Brebières: Un appel à la classe vide à la rentrée contre les nouveaux rythmes scolaires

PUBLIÉ LE 21/10/2014 - MIS À JOUR LE 21/10/2014 À 12:16

par Géraldine Csizmadia

À l’école Curie-Pasteur, beaucoup de parents trouvent leurs enfants fatigués par les nouveaux rythmes scolaires. Ils veulent faire entendre leur opposition à cette organisation « faite sans concertation ».
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La rentrée des vacances sera marquée par une distribution de tracts, mardi 4 novembre à 15 h 45, en vue d’une opération classe vide le lendemain. « Des parents qui ne sont pas à l’association de parents d’élèves nous ont parlé des Gilets jaunes et nous ont proposé d’organiser un mouvement contre la réforme nationale. », explique Mme Bricemalin, déléguée de parents d’élèves élue. Un premier boycott a été organisé à la hâte le mercredi 1er octobre. Le mouvement propose de boycotter chaque premier mercredi du mois (ou samedi selon les cas). « Ce jour-là, il y a eu 41 % d’absentéisme. Les parents se plaignent de la fatigue de leurs enfants », poursuit-elle.

« Rien contre la mairie »

« Nous tenons à préciser que nous n’avons rien contre la mairie. Elle a dû appliquer une réforme mise en place sans concertation. Et que le mouvement des Gilets jaunes est apolitique », expliquent M. Meunier, Mmes Bricemalin, Boulay et Marino. Ils mettent en avant le ressenti des parents : « Quand ils sont fatigués, les enfants ne vont pas toujours dormir, mais sont plus énervés » « On conduit les enfants à l’école plus tôt le matin, après ils ont une pause de deux heures le midi. Il est difficile de capter leur attention l’après-midi. Où est l’intérêt de l’enfant ? ». L’APE de Brebières espère voir des parents de communes voisines rejoindre à leur tour le mouvement des Gilets jaunes.

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Il y a 2 solutions face l'impérialisme libéral qui se traduit dans notre école par ces nouveaux rythmes notamment: soit les grèves massives et durables soit la violence issue d'un mouvement incontrôlé...

Le communisme est mort, l'extrême gauche agonise "mélenchonement" et tu proposes des alternatives qui ont été rejetées par la majorité... Je ne suis pas fataliste mais les seules issues sont la négociation avec des compensations pour nos efforts.

Où je te rejoins, c'est sur la nécessité de syndicats capables de dire "oui on met des nouveaux rythmes mais on veut ça et ça".

Moi j'ai plutôt l'impression que c'est le capitalisme qui est agonisant. Une fois la croissance normalisée en Asie, ce sera le tour de l'Afrique et après ? Plus de croissance mondiale car plus de marché à conquérir. Et pour un système qui mise sur la création de richesse, tout le monde comprend aisément ce que cela signifie : la fin.

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Je ne parle pas de communisme! Peux-tu juste envisager qu'un autre modèle économique et sociétal est possible sans parler de "communisme"! Celui dans lequel on nous a mis nous mène tout droit à la catastrophe autant économique qu'écologique...Mais il est trop complexe pour les politiques et les citoyens lambdas de remettre en question ce modèle, il est plus facile de l'accompagner en sachant que les dés sont pipés par l'intermédiaire de lobbyistes peu scrupuleux du bien collectif.

Alors négocier quoi? Une prime ISAE à 370 euros par an! contre ces nouveaux rythmes ou l'annualisation du temps de travail? Revoir complètement nos statuts en nous faisant miroiter une petite augmentation venue de la diminution des primes du 2nd degrés?

On sait que dans toutes les négociations nous sommes les dindons de farce, nous les citoyens moyens! Prends les une par une: "retraite", "pacte de responsabilité", "la sécu", "les allocs", "les rythmes scolaires"...+ toutes les choses qui passent en catimini à 2h du mat. d comme la privatisation des barrages par Royale

C'est ce qui a été fait chez Pôle Emploi au moment de l'unification. Résultat : 20 % d'augmentation pour ceux qui ont renoncé au statut. Et depuis ? Des augmentations de salaires au compte-gouttes ou mis en rapport avec des résultats impossibles à obtenir en ces temps de fort chômage, des conditions de travail plus dures avec multiplication des tâches et un manque criant de moyens.

Maintenant, pour les mesures que tu as énoncées, quels sont ceux qui s'y sont opposés ?

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Il y a 2 solutions face l'impérialisme libéral qui se traduit dans notre école par ces nouveaux rythmes notamment: soit les grèves massives et durables soit la violence issue d'un mouvement incontrôlé...

Le communisme est mort, l'extrême gauche agonise "mélenchonement" et tu proposes des alternatives qui ont été rejetées par la majorité... Je ne suis pas fataliste mais les seules issues sont la négociation avec des compensations pour nos efforts.

Où je te rejoins, c'est sur la nécessité de syndicats capables de dire "oui on met des nouveaux rythmes mais on veut ça et ça".

Moi j'ai plutôt l'impression que c'est le capitalisme qui est agonisant. Une fois la croissance normalisée en Asie, ce sera le tour de l'Afrique et après ? Plus de croissance mondiale car plus de marché à conquérir. Et pour un système qui mise sur la création de richesse, tout le monde comprend aisément ce que cela signifie : la fin.

C'est pour cela que l'avenir se prépare.

Regardons autour de nous : les différences riches/pauvres vont croissantes.

On recréé dans nos pays riches des pauvres pour conserver un équilibre.

Et tout est fait pour bien remettre en route ces différences en cassant l'éducation et en dérèglementant de plus en plus.

Je ne crois pas malheureusement que ce soit la fin.

Mais je préfèrerais que tu aies raison.

J'espère même que l'avenir te donnera raison.

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Il y a 2 solutions face l'impérialisme libéral qui se traduit dans notre école par ces nouveaux rythmes notamment: soit les grèves massives et durables soit la violence issue d'un mouvement incontrôlé...

Le communisme est mort, l'extrême gauche agonise "mélenchonement" et tu proposes des alternatives qui ont été rejetées par la majorité... Je ne suis pas fataliste mais les seules issues sont la négociation avec des compensations pour nos efforts.

Où je te rejoins, c'est sur la nécessité de syndicats capables de dire "oui on met des nouveaux rythmes mais on veut ça et ça".

Moi j'ai plutôt l'impression que c'est le capitalisme qui est agonisant. Une fois la croissance normalisée en Asie, ce sera le tour de l'Afrique et après ? Plus de croissance mondiale car plus de marché à conquérir. Et pour un système qui mise sur la création de richesse, tout le monde comprend aisément ce que cela signifie : la fin.

C'est pour cela que l'avenir se prépare.

Regardons autour de nous : les différences riches/pauvres vont croissantes.

On recréé dans nos pays riches des pauvres pour conserver un équilibre.

Et tout est fait pour bien remettre en route ces différences en cassant l'éducation et en dérèglementant de plus en plus.

Je ne crois pas malheureusement que ce soit la fin.

Mais je préfèrerais que tu aies raison.

J'espère même que l'avenir te donnera raison.

Moi je crois que la finance mondialisée a encore de beaux jours devant elle. Vu par exemple comment ce gvt, prétendu de gauche, la protège quand elle ne la vénère pas...
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