Aller au contenu

Les actions contre la réforme des rythmes à la rentrée 2014


Zarko

Messages recommandés

Le Snuipp commencerait-il à comprendre ? Ou c'est l'approche des élections ?

http://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Synthese_enquete_avec_filigrane.pdf

Mais oui, continuez votre couplet... Vous le chantonnez depuis 1 an et demi. Sauf que le SNUipp depuis le début demande la suspension de la réforme... Ceux qui sont dans une posture électoraliste depuis 1 an et demi sont au SNUDI FO.

Quelle mauvaise foi !

Et dire que dans la première manif celle du 12 fevrier 2013 (pour la province car Paris était déjà en grève avant ) j'entendais mes collègues du Snuipp dire qu'ils avaient été obligés d'appeler sinon FO allait se gargariser ! Le snu (national ) signataire de l'appel de Bobigny n'a jamais voulu l'abrogation . Mon collègue un "vieux" du Snu m'a parlé de leur surprise face à la réaction de rejet de cette réforme de la part des collègues . Vous n'avez appelé le 12.02 que parce que la base poussait , puis il y a eu les annonces de report et la mobilisation de la base est retombée comme un soufflé . Alors là vous avez commencé à tergiverser en parlant de réécriture . Après septembre 2013 sous prétexte que "y'a des endroits où ça se passe bien " pas question non plus d'appeler à l'abrogation de ce décret . Mes "vieux" collègues du snu nous le disent clairement : le problème c'est la position du national ! Dans les sections la majorité était contre mais obligée de composer avec le national . D'où une posture mi-chèvre mi-chou depuis le début ! Il fallait se débarrasser de ce décret qui a installé une pagaille totale dans l'école française : plus aucune commune ne fonctionne de la m^me façon ce qui empêche maintenant un vrai mouvement national . J'espère sincèrement que vous le paierez dans les urnes mais c'est même pas sûr vu l'intérêt quasi nul que l'ensemble de la profession a porté au problème et aux positions du snu ,suite à l'annonce des reports .Chaque PE qui ne s'est pas mobilisé porte aussi individuellement la responsabilité de ce cirque !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et comment croire à une quelconque velléité de suspension chez le SNUIpp lorsqu'il

réclame donc un financement pérenne par l’État, assorti d'un système de péréquation entre communes pour un périscolaire de qualité et gratuit sur tout le territoire.

http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/de_claration_comite_rythmes_vendredi_17_10-1_2_.pdf

Quand on veut vraiment la suspension de cette réforme, est-il seulement possible de regretter

les annonces sur l'arrêt du fonds d'amorçage, dans un contexte de très forte réduction des dotations aux communes, [qui] sont en contradiction totale avec ce besoin d'un financement national à la hauteur des besoins.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

« Nous traversons aujourd’hui des heures difficiles, sans doute sans précédent dans l’histoire du SNUipp-FSU et je pèse mes mots. Nous n’avons pas été capables d’analyser et d’anticiper une situation. Nous n’avons pas été en situation de l’organiser et pour la première fois de notre existence, une partie des événements nous a échappé, laissant le champ libre à d’autres qui s’en sont largement emparé

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/12/05/rythmes-scolaires-le-principal-syndicat-d-instituteurs-appelle-a-la-greve_3525168_3224.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Snuipp commencerait-il à comprendre ? Ou c'est l'approche des élections ?

http://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Synthese_enquete_avec_filigrane.pdf

Mais oui, continuez votre couplet... Vous le chantonnez depuis 1 an et demi. Sauf que le SNUipp depuis le début demande la suspension de la réforme... Ceux qui sont dans une posture électoraliste depuis 1 an et demi sont au SNUDI FO.

Quelle mauvaise foi !

Et dire que dans la première manif celle du 12 fevrier 2013 (pour la province car Paris était déjà en grève avant ) j'entendais mes collègues du Snuipp dire qu'ils avaient été obligés d'appeler sinon FO allait se gargariser ! Le snu (national ) signataire de l'appel de Bobigny n'a jamais voulu l'abrogation .

Les revendications de l'appel de Bobigny, quoique vous en disiez, ne sont pas prises en compte dans la réforme.

Mon collègue un "vieux" du Snu m'a parlé de leur surprise face à la réaction de rejet de cette réforme de la part des collègues .

Oui, en effet, on a beaucoup de retraités qui ont stoppé leur syndicalisation. J'en ai eu au téléphone qui ne comprenaient pourquoi on était contre la réforme. Mais ils ne sont pas sur le terrain et le SNUipp n'est pas contre les 4 jours et demi. Vous essayez de faire croire que s'opposer à la réforme, c'est être opposé aux 4 jours et demi. Mais non, le SNUipp est clairement favorable aux 4 jours et demi mais opposé à la réforme. FO ? Ils sont favorables à ??? Bah non, ça, on ne sait pas !

Vous n'avez appelé le 12.02 que parce que la base poussait , puis il y a eu les annonces de report et la mobilisation de la base est retombée comme un soufflé. Alors là vous avez commencé à tergiverser en parlant de réécriture .

Dans l'appel du 12, il y avait déjà le mot réécriture et franchement, votre mauvaise foi me fait rire. Un coup, le SNUipp doit écouter la base, un autre, il ne doit pas le faire... En gros, l'objectif est de taper sur le syndicat majoritaire, c'est là qu'il y le plus de voies à glaner !!!

Après septembre 2013 sous prétexte que "y'a des endroits où ça se passe bien " pas question non plus d'appeler à l'abrogation de ce décret . Mes "vieux" collègues du snu nous le disent clairement : le problème c'est la position du national ! Dans les sections la majorité était contre mais obligée de composer avec le national . D'où une posture mi-chèvre mi-chou depuis le début ! Il fallait se débarrasser de ce décret qui a installé une pagaille totale dans l'école française : plus aucune commune ne fonctionne de la m^me façon ce qui empêche maintenant un vrai mouvement national . J'espère sincèrement que vous le paierez dans les urnes mais c'est même pas sûr vu l'intérêt quasi nul que l'ensemble de la profession a porté au problème et aux positions du snu ,suite à l'annonce des reports .Chaque PE qui ne s'est pas mobilisé porte aussi individuellement la responsabilité de ce cirque !

Ah ! C'est la faute des PE maintenant ? Nous sommes pour les 4 jours et demi et en ce sens, nous ne souhaitons pas l'abrogation du décret mais sa réécriture car nous refusons le statu quo Darcos. Et c'est étonnant, parce que si dans certains départements, le SNUipp local s'est prononcé pour l'abrogation, dans d'autres, ce sont FO, CGT et SUD qui ont rejoint le SNUipp sur un appel commun sur la suspension et la réécriture... Mais ça, vous n'en parlez surtout pas...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le double langage du SNUIPP fait beaucoup rire au ministère...

Oui, bien sûr, tu as tes entrées au ministère, toi...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

« Nous traversons aujourd’hui des heures difficiles, sans doute sans précédent dans l’histoire du SNUipp-FSU et je pèse mes mots. Nous n’avons pas été capables d’analyser et d’anticiper une situation. Nous n’avons pas été en situation de l’organiser et pour la première fois de notre existence, une partie des événements nous a échappé, laissant le champ libre à d’autres qui s’en sont largement emparé

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/12/05/rythmes-scolaires-le-principal-syndicat-d-instituteurs-appelle-a-la-greve_3525168_3224.html

Ah ! Le fameux article sur la cacophonie... Tu postes la réponse de S. Sihr et de C. Navarro ???

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

arton176-6c5ad.jpg
COMMUNIQUÉ INTERSYNDICAL DU 31 OCTOBRE 2014
La réforme des rythmes scolaires a été un échec
vendredi 31 octobre 2014

entete_intersyndical-d7751.jpg
La réforme des rythmes scolaires, expérimentée dès la rentrée 2013 par Vincent Peillon, présentée comme une nécessité pour alléger la charge de travail des enfants, a été un échec.

Dès la rentrée 2013, la mise en place de la phase expérimentale nous a permis de dresser un constat négatif des premières applications de cette réforme.

La généralisation à la rentrée 2014 s’est faite sans qu’un bilan ministériel sur les effets de la réforme ne soit fait.

Malgré de larges mobilisations des enseignants, personnels des collectivités, salariés du secteur associatif et parents d’élèves, dénonçant la dégradation de leurs conditions de travail et les inégalités territoriales créées pour les enfants, les gouvernements successifs se sont entêtés à poursuivre une réforme emblématique de la politique d’austérité.

Les modifications apportées par le décret Hamon n’améliorent en rien les conditions d’apprentissage des élèves et compliquent davantage les conditions de travail de l’ensemble des personnels. Elles mettent en place un nouveau transfert de compétences de l’État vers les collectivités.

Tout ceci confirme nos craintes, notamment sur :

  • le manque de clarté des missions de chacun et la problématique de l’utilisation des locaux faute de moyens et d’espaces supplémentaires nécessaires ;
  • l’instauration de tâches supplémentaires pour les personnels enseignants et territoriaux ;
  • l’allongement des temps de travail engendrant de la fatigue pour les enfants ainsi que pour les personnels concernés ;
  • le manque de lisibilité du temps contraint et du périscolaire pour les enfants et les parents ;
  • l’insécurité des conditions d’accueil des enfants ;
  • la captation de compétences éducatives relevant de l’École par les collectivités. Nos organisations réitèrent leur opposition à la généralisation de la réforme des rythmes scolaires et demandent à la ministre de suspendre son application et d’abroger les décrets correspondants.

L’intersyndicale CGT Éduc’action, CGT Services publics, FNEC FP FO, FO Services publics et de Santé, Sud Éducation, Sud Collectivités territoriales entend poursuivre la lutte contre les nouveaux rythmes scolaires et, dès à présent, appelle tous les personnels à se mobiliser pour construire, du local au national, la mobilisation qui s’impose !

Le 31 octobre 2014

http://www.fo-snudi.fr/spip.php?article176

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Snuipp commencerait-il à comprendre ? Ou c'est l'approche des élections ?

http://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Synthese_enquete_avec_filigrane.pdf

Mais oui, continuez votre couplet... Vous le chantonnez depuis 1 an et demi. Sauf que le SNUipp depuis le début demande la suspension de la réforme... Ceux qui sont dans une posture électoraliste depuis 1 an et demi sont au SNUDI FO.

Quelle mauvaise foi !

Et dire que dans la première manif celle du 12 fevrier 2013 (pour la province car Paris était déjà en grève avant ) j'entendais mes collègues du Snuipp dire qu'ils avaient été obligés d'appeler sinon FO allait se gargariser ! Le snu (national ) signataire de l'appel de Bobigny n'a jamais voulu l'abrogation .

Les revendications de l'appel de Bobigny, quoique vous en disiez, ne sont pas prises en compte dans la réforme.

Mon collègue un "vieux" du Snu m'a parlé de leur surprise face à la réaction de rejet de cette réforme de la part des collègues .

Oui, en effet, on a beaucoup de retraités qui ont stoppé leur syndicalisation. J'en ai eu au téléphone qui ne comprenaient pourquoi on était contre la réforme. Mais ils ne sont pas sur le terrain et le SNUipp n'est pas contre les 4 jours et demi. Vous essayez de faire croire que s'opposer à la réforme, c'est être opposé aux 4 jours et demi. Mais non, le SNUipp est clairement favorable aux 4 jours et demi mais opposé à la réforme. FO ? Ils sont favorables à ??? Bah non, ça, on ne sait pas !

Vous n'avez appelé le 12.02 que parce que la base poussait , puis il y a eu les annonces de report et la mobilisation de la base est retombée comme un soufflé. Alors là vous avez commencé à tergiverser en parlant de réécriture .

Dans l'appel du 12, il y avait déjà le mot réécriture et franchement, votre mauvaise foi me fait rire. Un coup, le SNUipp doit écouter la base, un autre, il ne doit pas le faire... En gros, l'objectif est de taper sur le syndicat majoritaire, c'est là qu'il y le plus de voies à glaner !!!

Après septembre 2013 sous prétexte que "y'a des endroits où ça se passe bien " pas question non plus d'appeler à l'abrogation de ce décret . Mes "vieux" collègues du snu nous le disent clairement : le problème c'est la position du national ! Dans les sections la majorité était contre mais obligée de composer avec le national . D'où une posture mi-chèvre mi-chou depuis le début ! Il fallait se débarrasser de ce décret qui a installé une pagaille totale dans l'école française : plus aucune commune ne fonctionne de la m^me façon ce qui empêche maintenant un vrai mouvement national . J'espère sincèrement que vous le paierez dans les urnes mais c'est même pas sûr vu l'intérêt quasi nul que l'ensemble de la profession a porté au problème et aux positions du snu ,suite à l'annonce des reports .Chaque PE qui ne s'est pas mobilisé porte aussi individuellement la responsabilité de ce cirque !

Ah ! C'est la faute des PE maintenant ? Nous sommes pour les 4 jours et demi et en ce sens, nous ne souhaitons pas l'abrogation du décret mais sa réécriture car nous refusons le statu quo Darcos. Et c'est étonnant, parce que si dans certains départements, le SNUipp local s'est prononcé pour l'abrogation, dans d'autres, ce sont FO, CGT et SUD qui ont rejoint le SNUipp sur un appel commun sur la suspension et la réécriture... Mais ça, vous n'en parlez surtout pas...

La réécriture !!! mais avant de réécrire on efface non ?!

Et elle contient quoi de neuf votre réécriture : la pérennisation du fond d'amorçage ? le choix aux communes (ça c'est fait ) ou aux conseils d'école pour encore plus de bazar et de d'inégalités ? Le choix du samedi ? (ça aussi en théorie c'est déjà possible ) Si tu peux m'expliquer clairement en quoi consiste votre fumeuse réécriture STP car avec les gens du snu de mon coin ils esquivent quand je leur demande !

Et oui je maintiens que si chaque PE individuellement s'était plus engagé pour lutter contre cette réforme au lieu de juste râler en salle des profs on en serait pas là !

Quant au fait que dans certains endroits FO CGT et SUD se sont joints à l'appel de suspension , il fallait bien en intersyndicale lâcher du lest pour que le snu se joigne aux appels ...D'ailleurs la suspension , laissez moi rire ça veut dire quoi sinon qu'on arrête les frais ! Vous jouez sur les mots depuis le début et vous tortillez des fesses et c'est tout !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi ce qui me sidère, c'est l'aveuglement des DASEN dans cette affaire : ils ont été capables, pour faire plaisir au Ministère, d'accepter je ne sais combien d'expérimentations, d'horaires, dans un même département. Obéissance aveugle, ok haut-fonctionnaire, mais est-ce une raison pour tout accepter ???? Les rapports hiérarchiques sont d'une complexité extraordinaires au sein de l'Education Nationale, c'est un système féodal, avec un roi, des seigneurs, des vassaux, tout ce petit monde fait allégeance, pour grapiller quelques primes par ci, par là, en dépit du bon sens. Tout en bas, les paysans, pardon, les profs......

Et avec l'assentiment de la FCPE et des syndicats majoritaires, même si Snoopy (hahaha, je sais, ça va plaire !!!) a changé son fusil d'épaule en cours de route.

Tout ceci est consternant, pour les enfants, l'Ecole en général et accessoirement, ses agents, petites fourmis misérables, punchings balls préférés de tous, parents, élus, hiérarchie, presse, associations de parents majoritaires. haro sur le baudet !!!!!!

Je comprends mieux le comportement de certains fonctionnaires français de 1940 à 1944.

De Gaulle avait raison : les Français sont des veaux.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...