Goëllette Posté(e) 12 novembre 2014 Posté(e) 12 novembre 2014 C'est certain, mais je trouve quand même la dernière phrase au minimum maladroite.
mamiebrossard Posté(e) 19 novembre 2014 Auteur Posté(e) 19 novembre 2014 Bon, c'est toujours une horreur totale ... L'IEN nous demande de lui faire un courrier demandant une déscolarisation partielle : comment rédige t-on un tel courrier ? Je croyais que seule le médecin scolaire pouvait en décider ? De plus, si jamais il est déscolarisé partiellement, dois-je proposer le SESSAD ? sachant que même avec un adulte pour lui seul, il n'accepte rien sauf les jeux qu'il a décidé et éventuellement parfois 5 min d'un jeu que l'adulte propose ?
Pepettebond Posté(e) 19 novembre 2014 Posté(e) 19 novembre 2014 Une lettre très formelle décrivant les faits qui te pousse à demander à l'IEN de bien vouloir prendre une décision qui permette à l'enfant et aux autres élèves d'être en sécurité . La possibilité d'une scolarisation plus courte a été évoquée en EE et tu joins un cr de l'équipeéducative vous pouvez demander des demies journées plus courtes (pour un de nos élève c'est 1 h 20 chaque matin ...)
elfebleue Posté(e) 19 novembre 2014 Posté(e) 19 novembre 2014 Bonsoir, Difficile de conseiller , n'étant pas à ta place Toutefois, dans le courrier je pense que signifier qu'une prise en charge type SESSAD est essentielle, si pas possibilité d'envisager une autre orientation. En sachant qu'en général si le SESSAD intervient cela peut être sur le temps de la scolarisation Quoi qu'il en soit l'urgence est de faire ce courrier pour le bien de l'enfant et de ses camarades. Bon courage
mamiebrossard Posté(e) 12 décembre 2014 Auteur Posté(e) 12 décembre 2014 Et voilà, la 2ème AESH pour mon monstre a craqué, elle ne veut plus venir ! C'est trop dur
Goëllette Posté(e) 13 décembre 2014 Posté(e) 13 décembre 2014 Encourage-la à coucher sur papier les raisons qui la poussent à ne plus vouloir revenir. Tu mettra le courrier dans son dossier. Bon courage !
mamiebrossard Posté(e) 28 février 2015 Auteur Posté(e) 28 février 2015 Je reviens vers vous même si la situation a peu évolué. Deux AESH s'occupent de mon cas et ont bien du mal à gérer, ils sont fatigués et n'en peuvent plus Dans 2 semaines, aura lieu la prochaine ESS. Seront présent, l'enseignants référent, l'IEN, le responsable des AESH, l'hôpital, le médecin scolaire, la psychologue scolaire, les parents et moi-même. D'habitude, je me "contentais" de dire ce qui avait évolué ou pas mais là il y aura plusieurs personnes qui ne sont jamais venues aux ESS, dois-je dans ce cas faire le point sur les apprentissages (néants), le comportement en rappelant tout ce qui s'est passé ? De plus, mon cas devrait avoir un traitement médical (contre l'hyperactivité) mais des questions se posent à moi : - on a eu un élève das l'école (entré dans les apprentissages quant à lui) qui en a bénéficié pendant 1 semaine : ma collègue le trouvait métamorphosé mais comme c'est un médicament qui n'agit que la journée, les parents ont vécu un enfer le soir et ont donc arrêté (après consultation médicale) le traitement ! S mon élève est dans ce cas, je crains le pire le soir car il est puissance mille comparé à l'autre élève et je doute que la mère tienne (les parents se sont séparé il y a peu de temps ce qui nous a valu 15 jours d'enfer). De plus, j'ai peur que le discours des parents changent : on avait parlé ITEP mais j'ai peur que maintenant ils me disent non en pensant que ce médicament va tout arranger alors que la psy et moi, nous pensons que peut-être son comportement sera mieux mais que pour les apprentissages qu'ils refusent en bloc même en situation duelle, même dans le jeu, rien ne s'arrange! Que puis-je dire aux parents pour ne pas les braquer mais leur faire comprendre que ce ne sera pas LA solution ! Bref, j'ai hâte que cette ESS se fasse car j'espère que cela va vraiment changer les choses (à priori à l'ITEP il y a de la place) mais j'ai aussi peur qu'avec ce traitement, tout s'interrompe jusqu'à ce qu'on voit .... Sauf que le traitement commencera au mieux en avril mais pet-être en mai et la situation devient vraiment critique : il a réussi à se faufiler chez le voisin une fois (il y avait un espace de 10 cm entre le milieu du grillage et le mur) ...
onaya Posté(e) 1 mars 2015 Posté(e) 1 mars 2015 Je pense qu'en effet il faudrait faire un bref rappel de la situation à la rentrée et depuis ( histoire de bien resituer ton cas) : - point sur les apprentissages - point sur le comportement Alors autre conseil pour expliquer aux parents : cet enfant a besoin peut être d'un traitement ( c'est au personnel qualifié de le dire) mais surtout d'une prise en charge adéquate que l'école ne peut lui offrir pour le moment. Dans un établissement de type ITEP il sera suivi scolairement et en plus il aura des prises en charge éducatives et thérapeutiques. L'admission en ITEP n'est pas figée : quand l'enfant le pourra il sera "basculé" vers une scolarité ordinaire d'abord souvent sous forme de passerelles. La prise d'un comprimé n'est pas magique. L'enfant va souvent être plus calme mais le fond du problème ne sera pas traité. Voilà j'espère t'avoir aidé un peu et reviens nous dire
Goëllette Posté(e) 1 mars 2015 Posté(e) 1 mars 2015 Je ne pense pas qu'il soit dans ton intérêt d'évoquer la situation médicale de l'autre enfant à des personnels médicaux que tu risquerais de te mettre à dos. Par contre, n'omets pas de brosser un portrait juste de son comportement et son travail en classe et dans l'école, même si tu dois te répéter. C'est bien de donner les points positifs, quand il y en a, mais en rechercher à tout prix peut parfois se retourner contre toi en faisant stagner la situation, parce qu'on se saisirait de ce petit progrès pour te faire avaler que finalement, on renonce à l'accompagnement (ou aux soins, à la déscolarisation, ..., selon les cas).
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