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J'ai terminé mon Coben. Pas mal mais pas mon préféré...

Je viens de commencer Le Labyrinthe et j'aime bien pour l'instant.

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Quel COben as tu lu ?

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J'ai terminé mon Coben. Pas mal mais pas mon préféré...

Je viens de commencer Le Labyrinthe et j'aime bien pour l'instant.

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J'attaque Mémé de Philippe Thoreton. Le sujet me touche beaucoup, les critiques sont élogieuses mais pour le moment, j'ai du mal à y entrer dedans. Beaucoup de description, peu de narration. On dirait le début du Grand Meaulnes. Pourvu que ça s'envole par la suite.

Sinon en parallèle j'en suis au tome 2 du bouquin événement After (bah oui, faut pas mourir idiot) et qu'est ce que je m'ennuie bon sang de bois... Je me force à finir ce tome 2 car je ne laisse pas un livre en plan mais c'est évident que je ne continuerai pas avec les 3 autres tomes ! J'ai dévoré "50 nuances" mais d'où sort cet ovni à la guimauve torturée au whisky ?

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envie de lire les grands auteurs, je commence Regain, de Jean Giono

Tu diras ce que tu en as pensé. J'ai bien envie de me plonger dans Giono, un grand classique, mon "voisin" :) et je n'ai rien lu de lui à part l'homme qui plantait des arbres...

Je te dirai ;)

J'ai lu une vingtaine de pages, pour l'instant j'aime bien le style un peu "rustique" du livre. C'est très bien écrit.

Je dois ma tentative de virage sur l'aile dans mes études entre une section littéraire (avec latin) contre un bac "sciences agronomiques et techniques" à la lecture enivrante de "Que ma joie demeure" de Giono. Je frémis encore quand je lis le passage où le héros nous fait ressentir la floraison des chênes ... UN livre donnant un ressenti très sensuel de la campagne et de sa vie vraie ...

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J'ai terminé un roman envoûtant L'autre côté des docks de Ivy Pochoda:

Red Hook. Une langue de terre tout au sud de Brooklyn, là où l'East River se jette dans la baie. L'horizon y est délimité et l'avenir aussi. Blancs ou noirs, habitants du front de mer résidentiel ou des cités, les jeunes du quartier passent leurs soirées d'été dehors à écouter du rap, boire des sodas alcoolisés et à rêver d'aller voir de l'autre côté, à Manhattan. L'aventure est là, tout près, dans cette ligne de gratte-ciels. Une nuit de canicule, June et Val, deux adolescentes inséparables, décident de mettre leur canot pneumatique à l'eau pour rejoindre une petite plage à une demi-heure de là. Sans imaginer que cette expédition va changer leur destin et celui du quartier. Car le lieu bouillonne de lourds contentieux, de rancunes et de dangers inattendus.

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envie de lire les grands auteurs, je commence Regain, de Jean Giono

Tu diras ce que tu en as pensé. J'ai bien envie de me plonger dans Giono, un grand classique, mon "voisin" :) et je n'ai rien lu de lui à part l'homme qui plantait des arbres...

J'ai beaucoup aimé.

L'intrigue est toute simple.

L'intérêt du livre n'est pas là. Le livre est très très bien écrit. Giono a trouvé le ton juste pour nous décrire la vie (ou la mort) de ce village perdu, et de Panturle, son dernier habitant. Les mots, les tournures de phrases, c'est parfait, on s'y croirait.

Livre court, agréable à lire, pas du tout indigeste comme peuvent l'être certains classiques. A lire dehors, l'été, quand il fait chaud, pour se mettre dans l'ambiance !

Par contre, ce livre ne conviendra pas aux personnes qui n'aiment dans un livre que l'intrigue, sans trop se préoccuper du style. Elles trouveront ça un peu mou.

Mais si tu aimes te délecter de la magie des mots, ce livre est pour toi !

Pour continuer avec les grands auteurs, j'ai commence Journal d'un curé de campagne, de Bernanos.

J'ai lu une cinquantaine de pages, c'est bien aussi, mais plus ardu.

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Je suis entrain de lire Angor de Franck Thilliez. Comme d'habitude c'est une tuerie !

Au sens propre ou au figuré :D ? (Ou les deux !)

Je continue sur ma lancée ma lecture de Virginie Despentes, en allant chercher dans les plus anciens. Là c'est Les jolies choses, que je trouve très très bien, mais un peu moins passionnant que ses romans plus récents.

De très belles pages féministes.

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Fan de thrillers, policiers, romans noirs, mais aussi de chick-lit de temps en temps je vous rejoins sur ce post :)

Je viens de terminer L'enfant aux cailloux de Sophie Loubière que j'ai trouvé intéressant de par sa réflexion sur la vieillesse, la solitude, mais aussi les violences faites aux enfants (rien de trash, l'écriture est toute en finesse).

Et là je poursuis ma série "Erlendur Sveinsson" avec La voix d'Arnaldur Indridason (je suis fan de cette série).

N'hésitez pas à venir piocher des idées sur mon blog si ça vous tente !

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"Le chat Murr" d'Hoffman, beau, drôle, fou à la manière du XIXè, mais pas facile à lire.

  • Le roman se présente comme l'autobiographie d'un chat poète qui a appris à écrire. Ludwig Tieck avait déjà fait d'un chat un critique littéraire dans Der gestiefelte Kater.
  • L'éditeur (Hoffmann) prétend que cette autobiographie, livrée par l'auteur Murr mélangée à d'autres feuilles, a été imprimée telle quelle, et comprend donc des pages arrachées à la biographie du maître de Murr, Johannès Kreisler.
  • Ce roman contient donc un autre livre sous forme de fragments lacunaires.
  • Le chat Murr était le nom du chat véritable de Hoffmann, nom inspiré par le bruit du ronronnement. Hoffmann laisse l'œuvre inachevée lorsque son animal de compagnie meurt réellement.
  • Le maître de chapelle Johannes Kreisler, musicien tourmenté et extravagant, apparaissait dans les Kreisleriana (1810) du même auteur. Les critiques considèrent souvent ce personnage comme un autoportrait.
  • À travers le récit de la jeunesse de Murr, le roman contient une parodie de Bildungsroman ou roman d'apprentissage, genre lancé par Goethe.

(dixit W*k*péd*a)

Et je commence "le bleu des abeilles" de Laura Alcoba:

"La narratrice a une dizaine d’années lorsqu’elle parvient à quitter l’Argentine pour rejoindre sa mère, opposante à la dictature réfugiée en France. Son père est en prison à La Plata. Elle s’attend à découvrir Paris, la tour Eiffel et les quais de Seine qui égayaient ses cours de français. Mais Le Blanc-Mesnil, où elle atterrit, ressemble assez peu à l’image qu’elle s’était faite de son pays d’accueil.
Comme dans son premier livre, Manèges, Laura Alcoba décrit une réalité très dure avec le regard et la voix d’une enfant éblouie. La vie d’écolière, la découverte de la neige, la correspondance avec le père emprisonné, l’existence quotidienne dans la banlieue, l’apprentissage émerveillé de la langue française forment une chronique acidulée, joyeuse, profondément touchante."

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La voix d'Arnaldur Indridason (je suis fan de cette série).

N'hésitez pas à venir piocher des idées sur mon blog si ça vous tente !

J'en suis à "Hypothermie" (terminé il y a un mois il me semble).

J'aime beaucoup cet auteur.

Mon préféré de la série est "La femme en vert", superbe.

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La voix d'Arnaldur Indridason (je suis fan de cette série).

N'hésitez pas à venir piocher des idées sur mon blog si ça vous tente !

J'en suis à "Hypothermie" (terminé il y a un mois il me semble).

J'aime beaucoup cet auteur.

Mon préféré de la série est "La femme en vert", superbe.

Ce n'est pas celui que je préfère pour l'instant car le sujet (femmes battues) me touche beaucoup. J'ai trouvé certains passages difficiles à lire :blush:

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